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The Conversation - Penser l'après : Seule la reconversion écologique pourra é... - 0 views

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    "Le risque est grand que la crise sanitaire que nous traversons n'accélère fortement les évolutions en cours dans le monde du travail, sans même que nous puissions prendre le temps d'ouvrir les débats et d'organiser les délibérations pourtant absolument nécessaires. Premier risque : l'extension, voire la généralisation, du travail à distance. Alors que l'on faisait l'éloge depuis des décennies, du travail relationnel, la peur du contact et la recherche de la distance vont sans nul doute contribuer à restructurer fortement le monde du travail. Deux modalités distinctes sont à prévoir : d'une part, un fort développement du télétravail ; d'autre part, une réorganisation du travail en présentiel visant la diminution des contacts. Avant la crise sanitaire, le télétravail était peu répandu en France. En 2017, seuls 3 % des salariés déclaraient le pratiquer au moins un jour par semaine, dont plus de 60 % de cadres. Selon une définition large du télétravail, on comptait environ 1,8 million de télétravailleurs en France, soit 7 % des salariés. La crise sanitaire a fait exploser ce chiffre : un quart des salariés était considéré en télétravail à la fin mars 2020, selon l'enquête Acemo spéciale de la Dares."
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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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INSEE - Partir de bon matin, à bicyclette... - 0 views

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    "En 2015, 2 % des actifs ayant un emploi vont travailler à vélo. Ce mode de transport est bien moins utilisé que l'automobile, largement prédominante, les transports en commun ou la marche, mais il fait jeu égal avec les deux-roues motorisés. Ses adeptes parcourent quelques kilomètres entre leur domicile et leur lieu de travail. Ils résident plutôt dans les villes-centres des grands pôles urbains. Les départements les plus urbanisés sont ainsi ceux où le recours à ce mode de transport est le plus important. L'utilisation du vélo pour aller travailler varie peu en fonction de l'âge, contrairement aux autres modes de déplacement. Les femmes vont moins souvent travailler à bicyclette que les hommes, tandis qu'elles empruntent plus fréquemment les transports en commun. Les cadres et les diplômés du supérieur recourent plus à ce mode de déplacement que les autres actifs. Les étrangers européens résidant en France conservent des habitudes très proches de leur pays d'origine. "
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CESE - Synthèse - Travail, Emploi et Mobilités - 0 views

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    Des préoccupations croissantes s'expriment dans la société française autour du sujet des mobilités. De par leurs difficultés d'organisation, les mobilités occupent une place centrale et controversée dans la vie quotidienne des personnes qui travaillent. Les déplacements domicile-travail se font encore pour une part prépondérante en voiture individuelle, mode de transport très émetteur en gaz à effet de serre. Aujourd'hui, les mobilités se situent au carrefour d'enjeux fondamentaux tels que l'accès à l'emploi, la lutte contre le changement climatique, la qualité de vie au travail, l'aménagement du territoire. Cet avis intervient dans un contexte où tous les leviers pour agir de manière volontaire en faveur de la transition écologique doivent être utilisés afin d'atteindre l'objectif d'un réchauffement climatique limité conformément aux recommandations du GIEC.
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CESE - Avis - Travail, emploi et mobilités - 0 views

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    Des préoccupations croissantes s'expriment dans la société française autour du sujet des mobilités. De par leurs difficultés d'organisation, les mobilités occupent une place centrale et controversée dans la vie quotidienne des personnes qui travaillent. Les déplacements domicile-travail se font encore pour une part prépondérante en voiture individuelle, mode de transport très émetteur en gaz à effet de serre. Aujourd'hui, les mobilités se situent au carrefour d'enjeux fondamentaux tels que l'accès à l'emploi, la lutte contre le changement climatique, la qualité de vie au travail, l'aménagement du territoire. Cet avis intervient dans un contexte où tous les leviers pour agir de manière volontaire en faveur de la transition écologique doivent être utilisés afin d'atteindre l'objectif d'un réchauffement climatique limité conformément aux recommandations du GIEC.
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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CESE - Note de Synthèse - L'Emploi dans la transition écologique - 0 views

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    La transition écologique entend promouvoir une évolution des modes de production et de consommation pour les rendre compatibles avec la préservation des ressources de la planète. A condition d'être conduite avec clarté et détermination, elle peut être une chance et le socle d'un projet économique, social et environnemental solide pour l'Europe et pour la France. Le CESE dresse un bilan des évolutions amorcées dans les différents secteurs d'activités pour mieux intégrer les objectifs environnementaux et formule un ensemble de préconisations pour faire de la transition écologique un levier pour l'emploi en France. Type de saisine : Autosaisine Descripteur Eurovoc : écologie, ENVIRONNEMENT (DOMAINE), productivité du travail, EMPLOI ET TRAVAIL (DOMAINE) Domaine Eurovoc : Emploi et travail
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Caisse des dépôts - Le Cese plaide pour des trajets domicile-travail plus éco... - 0 views

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    "Un an après le début du mouvement des gilets jaunes et en attendant l'adoption définitive au Parlement du projet de loi d'orientation des mobilités (LOM), le Conseil économique, social et environnemental (Cese) a adopté ce 13 novembre un avis intitulé "Travail, emploi et mobilités" dans lequel il formule des propositions très concrètes pour répondre aux enjeux de transition écologique et de justice sociale induits par les déplacements domicile-travail."
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Quitter Paris pour la campagne… Un rêve de citadin mais pas (encore ?) une ré... - 0 views

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    "Au cours de l'année 2017, 128 000 personnes ont déménagé de la capitale (pendant que 95 000 s'y installaient). Tout récemment, 200 000 Parisiens sont partis de leur ville à l'occasion du confinement. Quitter Paris pour la campagne, rêve de citadin, n'est pourtant pas une réalité statistique, ou du moins pas encore. C'est la réalité du marché du travail qui aujourd'hui s'impose. Partir de Paris ne signifie pas quitter la région parisienne : 55 % des partants sont restés en Île-de-France, dont la majorité dans l'agglomération parisienne. Les autres se retrouvent pour moitié dans des grandes villes de province. Les départs pour « la campagne » sont donc minoritaires, et souvent le fait de retraités. Les actifs en couple, avec ou sans enfant, continuent de travailler à Paris mais s'en éloignent pour un logement plus grand. Pour les habitants de l'agglomération parisienne, le même mouvement est à l'œuvre : qu'ils demeurent dans la région ou qu'ils habitent à sa périphérie, ils sont très nombreux à y travailler. À l'échelle de la région, les arrivées d'actifs sont presque aussi nombreuses que les départs."
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The Conversation - Un commerce plus équitable pour accompagner la transition ... - 0 views

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    "Le commerce conventionnel, notamment au niveau international, est régulièrement accusé d'accroître les inégalités. Il est souvent source d'injustices envers les travailleurs, qu'ils soient hommes, femmes ou enfants, mais également d'injustices à l'égard (ou de dégradations) de la nature. Les revenus des petits producteurs et productrices sont très faibles. Max Havelaar France On peut prendre l'exemple du marché du cacao, sur lequel les producteurs vivent souvent malgré leur travail dans une pauvreté extrême. Le travail des enfants y est d'ailleurs très fréquent. Plus précisément, les producteurs ne perçoivent en moyenne que 4 % du prix de vente d'une tablette de chocolat. Le cacao n'est évidemment pas le seul produit concerné. Récemment, des dizaines de grandes marques mondiales de vêtements ont été accusées par une coalition de 180 groupes de défense des droits humains de commercialiser des produits liés au travail forcé des musulmans ouïghours victimes d'une répression de masse en Chine. Un vêtement en coton sur cinq vendu dans le monde contiendrait du coton ou du fil provenant du Xinjiang, où vivent majoritairement les Ouïghours. A contrario, le commerce équitable nous rappelle que l'échange, et l'économie plus généralement, peuvent être justes et que ce goût pour la justice existe toujours chez les agents économiques. Alors que la pandémie de coronavirus constitue une occasion supplémentaire pour questionner nos manières de produire et de consommer, le commerce équitable sous toutes ses formes apparaît comme un modèle alternatif pertinent pour faire face aux réalités socio-économiques et environnementales."
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La Fabrique Ecologique - Les monnaies complémentaires au service de la transi... - 0 views

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    Le groupe de travail, présidé par Thomas Binet, publiait en fin d'année la version provisoire de la note « les monnaies complémentaires au service de la transition écologique ». Après un premier Atelier Co-Ecologique à Paris en octobre 2017, c'est à Bordeaux en mars 2018 que nous avons poursuivi le débat autour de cette note. Cette période de d'échanges collaboratifs avec les citoyens, les décideurs et la presse a été passionnante. Nous remercions l'ensemble des contributeurs qui ont permis d'enrichir ce travail et cette réflexion. Nous sommes heureux de vous présenter la version définitive de la note. Elle propose de développer les monnaies complémentaires environnementales, véritables outils au service de la transition écologique et énergétique. Le groupe de travail a avancé trois propositions dans ce but : accroître la confiance dans les monnaies complémentaires environnementales, construire de nouvelles boucles d'échanges sur le territoire intégrant une grande diversité d'acteurs et de prestataires et inciter les collectivités locales à contribuer au développement de ces monnaies par la mobilisation de divers leviers.
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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Angoulême - Parole à notre évêque du 27 mars 2021 - 1 views

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    "Du 23 au 26 mars 2021, les évêques de France étaient réunis en assemblée plénière pour une session de travail et de réflexion commune. Les archevêques étaient réunis à Lourdes et les évêques et leurs invités diocésains en visio. Mardi le travail sur le cycle écologie intégrale entamé en novembre 2019 s'est poursuivi. La réflexion avait pour thème « Produire et créer : quelle empreinte ? » Pour le diocèse d'Angoulême Mgr Hervé Gosselin avait demandé à Claire et Jean-Emmanuel Poumailloux agriculteurs installés à Hiesse « Les jardins de la Roussie ». Le père Gosselin et Jean-Emmanuel reviennent sur ce travail."
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Amiens - Conférence des évêques sur l'« écologie intégrale » - 0 views

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    "Depuis Novembre 2019, les évêques de France travaillent sur la thématique de l'écologie intégrale à la suite de l'encyclique du pape François : Laudato Si'. Lors de la dernière assemblée plénière à Lourdes du 4 au 8 avril 2022, les évêques et leurs invités diocésains se sont retrouvés pour finaliser ce travail. Une belle expérience de rencontre, de dialogue, de prière, de découverte, d'amitié, d'Église ! La session avait pour nom « des fruits et des graines », et a eu pour objectif de recueillir les points essentiels du travail sur la thématique de l'écologie intégrale, et de faire des propositions concrètes pour que chaque diocèse puisse avancer dans sa conversion écologique (spirituelle, pratique, individuelle, collective…). Ceci a été fait de manière synodale, avec la participation de tous et le résultat nous sera bientôt disponible. Vous pourrez y puiser des idées et des contacts ! "
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Dicastère pour le service du développement humain intégral - L'impact de la c... - 0 views

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    "Lorsque des dangers soudains ou des catastrophes à évolution lente frappent une région, le marché du travail de cette région est également touché. Aujourd'hui, aucune région n'est épargnée par les risques environnementaux. Inondations extrêmes, feux de forêt et sécheresses, les différents effets du changement climatique exposent les individus à des atteintes à leur dignité et à leurs droits, avec des conséquences dévastatrices également sur le travail et l'économie. Face aux effets de la crise climatique sur les moyens de subsistance, un nombre croissant de personnes migrent, à la recherche d'emplois plus stables. Les premières tentatives se caractérisent par une migration interne, les gens se déplaçant vers les centres urbains, où les emplois sont moins influencés par la nature et le changement climatique. Mais ces transitions ne se déroulent pas toujours sans difficultés pour les travailleurs. Ils peuvent manquer de liens sociaux ou de compétences, voire se retrouver sur un marché du travail sursaturé, sans perspective ou sans possibilité de mener une vie digne."
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Écologie, travail et emploi: un même objectif - 0 views

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    "a transition énergétique peut créer des centaines de milliers d'emplois. Couplée à une réduction de la durée du travail, elle pourrait permettre de sortir le pays de la récession où il est englué. "
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