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Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ». Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse. C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire. Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu

"La pandémie du Covid-19, un appel à promouvoir la synodalité comme un chemin pour la mise en œuvre de Laudato Si "

"Le 1er dimanche de l'Avent marque traditionnellement le début de l'Année pastorale. Mgr Kalist revient sur l'Année Laudato Si et le synode sur la synodalité. "Vivre un chemin synodal c'est mettre en oeuvre toutes nos capacités de dialogue, toutes nos capacités de partage, de nos intuitions, de nos idées, de nos talents de telle manière que la vie de l'Église ne soit pas déterminée seulement par quelques uns [...] mais qu'elle soit vraiment le fruit de toute une réflexion du Peuple de Dieu." Mgr Kalist"

"Pendant les trois premières demi-journées de leur assemblée plénière du printemps, les évêques de France réfléchissent à l'écologie intégrale, et notamment cette année, à l'empreinte laissée par l'homme sur Terre. Depuis novembre 2019, ils ont choisi de se pencher sur cette question de l'écologie, accompagnés chacun par deux personnes de leur diocèse, pour plus de synodalité. Pascal Balmand, chargé de projet "transition écologique et écologie intégrale" à la CEF, revient sur leurs discussions et sur la prise de conscience des évêques et des fidèles catholiques sur ce sujet."

"À l'occasion de son retour de son retour de l'Assemblée Plénière des Evêque de France, Mgr Thierry Brac de la Perrière a tenu une conférence mercredi dernier à la Maison du Diocèse de Nevers. Cette conférence avait pour objectif de permettre aux diocésains de mieux appréhender les principales résolutions votées par les évêques concernant le dossier CIASE, mais aussi de revenir sur l'ensemble des questions et échanges évoqués au sein de l'Assemblée Plénière lors de cette semaine (Synodalité,  "Clameur de la Terre" ou encore "Clameur des pauvres")."

"La Commission écologie intégrale du diocèse organise un Forum ouvert au Centre Saint-Jean (rue Barra). Dans un esprit de synodalité, il s'agit désormais de décider ensemble de la vision que nous souhaitons donner à notre diocèse en matière d'engagement écologique ! Pour cela, nous nous retrouvons le 12 mars pour un "forum ouvert", un espace d'expressions et de rencontres afin d'avancer vers des décisions concrètes ! On vous y attend !

"Depuis de longs mois, la crise sanitaire nous éprouve : elle nous fait traverser une sorte de désert. Ce livre écrit par cinq xavières voudrait offrir une forme d'oasis. Qu'il soit un « lieu-texte » pour nous arrêter, regarder ce que ce nous vivons, et esquisser des pistes pour l'avenir comme on contemple le chemin parcouru et l'horizon… ! C'est maintenant, le temps favorable - cinq regards de femmes sur la crise est un livre en cinq chapitres : > Geneviève Comeau explore cette interrogation qui nous bouscule : « Où est Dieu dans cette crise ? » > Odile Hardy nous invite à voir la crise comme un possible « temps favorable », un « kairos » où se font toutes choses nouvelles. > Agata Zielinski conjugue ensemble vulnérabilité, complexité et liberté : une nouvelle devise pour temps de crise ? > Noëlie Djimadoumbaye met en lumière les résonances entre la crise du covid 19 et la crise écologique. > Nathalie Becquart entend dans cette crise une invitation à aller plus loin dans la mise en œuvre d'une Église synodale."

Tous serviteurs pour mettre en œuvre les objectifs de l'année pastorale. Le diocèse compte s'appuyer sur les atouts, les qualités et le potentiel dont dispose l'Église de Meuse. Ces qualités sont parlantes pour l'ensemble des Meusiens puisqu'elles sont une partie de leur identité. Des personnes motivées, la solidarité, la richesse de l'environnement naturel et rural sont des opportunités et des ressources précieuses pour porter ces deux objectifs et trois points d'attention ci-dessous cités : Deux objectifs : A Poursuivre notre réflexion sur l'avenir de notre Église diocésaine : « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » B Vivre une année Laudato Si' « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » Nous entrons dans la deuxième étape, celle des préconisations pastorales. Cette réflexion ecclésiale est l'effort de tout le Peuple de Dieu et de chaque membre de ce peuple. Cet effort de transformation ecclésiale devra conduire chacune et chacun à dépasser ses intérêts propres, ses besoins particuliers pour PENSER ÉGLISE. Je voudrais insister pour dire que ce changement ne pourra s'accomplir sans une conversion personnelle et communautaire qui nous permettra d'avancer au cœur même de nos engagements. Une année « Laudato Si' », du 24 mai 2020 au 24 mai 2021. Une année pour apporter quelques réponses à la pandémie et nous projeter dans l'après-pandémie : « J'invite toutes les personnes de bonne volonté à y adhérer, à prendre soin de notre Maison commune et de nos frères et sœurs les plus fragiles » (Pape François). Plus que jamais il y a urgence pour notre Terre. Chacun de nous porte la responsabilité d'être artisan d'humanité et porte également la responsabilité d'être artisan de l'avenir de notre Église diocésaine, Corps du Christ.

"Comme dans de nombreux pays touchés par la pandémie de coronavirus, la Conférence des évêques de Colombie s'apprête s'ouvrir lundi 6 juillet sous le signe d'une nouvelle «normalité»."

"« Avec vous je souhaite réfléchir à des initiatives missionnaires, qui portent la bonne nouvelle du salut là où sont les personnes et les groupes, en écoutant l'Esprit Saint ». C'est par ces mots que Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, a invité 32 personnes à constituer autour de lui le Conseil Missionnaire diocésain. Les personnes appelées n'ont pas pour vocation à être des porte-paroles de zones, de groupes ou de services mais des chrétiens qui acceptent de s'interroger ensemble sur la mission dans notre Église diocésaine. Le Conseil Missionnaire diocésain s'est réuni pour la première fois le 6 décembre 2019."

"La première rentrée pastorale de Mgr Dominique Blanchet dans le diocèse de Créteil. Joie des événements diocésains vécus durant l'été : Août Secours Alimentaire et le rassemblement diocésain Arc Ensemble. Les principaux axes pastoraux de la rentrée : -Démarche synodale en lien avec l'Eglise universelle à la demande du pape François -Année Famille Amoris laetitia dans le diocèse -La conversion écologique avec une proposition diocésaine pour conclure le mois du Temps de la Création. Notre évêque invite largement chacun à participer à une assemblée paroissiale près de son lieu de résidence pour un temps d'échange et aider à trouver de 1 à 3 projets prioritaires pour les 2 années à venir. "

"Pour cette rencontre du mois de novembre, Mgr Souchu revient sur l'Assemblée plénière des évêques à Lourdes, et plus particulièrement sur les décisions prises suite à la publication du rapport de la CIASE, le 05 octobre 2021." - Résolution, geste mémoriel, reconnaissance de la responsabilité : jusqu'à 5'40 - Clameur de la terre, clameur des pauvres : 5'40 - 7' - Démarche synodale diocésaine et synode 2023 : 7'- 9'30 - Nouvelle traduction du missel : 9'30-fin

"Au terme d'une séquence de travail sur l'écologie intégrale entamée en novembre 2019, les évêques de France, réunis à Lourdes, ont affirmé solennellement, mercredi 6 avril, leur engagement pour la protection de la planète."

"Communiqué de la Secrétairerie générale"

Ce samedi 8 octobre 2022, veille du 56e anniversaire de la création du diocèse, je promulgue les décrets de notre 4e synode « Église de Dieu qui est en Essonne, évangélise en prenant soin ». (…) Il n'est pas étonnant que les suggestions, les débats, les propositions des sessions de l'Assemblée synodale concernent trois grands services, trois grandes charges que nous devons retrouver dans toutes les réalités de la vie et la mission de l'Église et de nos différentes communautés. Ces trois services ne sont pas au choix, même si nous n'y sommes pas tous engagés de la même manière. S'il en manque un, notre vie sera bancale. Nous tenons plus facilement avec trois points d'appui qu'avec un ou deux. Notre baptême a fait retentir l'invitation à être Prophète, Roi et Prêtre. Invitation à vivre le service de l'annonce et du témoignage (marturia), le service de la charité (diaconia), le service de la louange et de la grâce de Dieu (liturgia)

Chers frères et sœurs, le Christ est descendu, il s'est fait pauvre et serviteur par amour, jusqu'à tout donner en mourant sur la croix pour nous. Il n'y a pas d'autre chemin pour nous que celui de cet amourlà pour suivre Jésus dans sa Résurrection, pour vivre en chrétiens. Aimer comme Jésus, c'est difficile. Pierre, le chef des apôtres en a fait la douloureuse expérience (Mt 26, 75). Nous-mêmes aujourd'hui, nous nous croyons forts et nous nous découvrons fragiles, faibles, bien imparfaits. Alors que faire ? Nous décourager ? Ou demander au Seigneur son propre Amour, l'Esprit Saint, le premier acteur de la vie de l'Eglise ? Demandons-le à Dieu notre Père, au nom de Jésus. Il ne nous le refusera pas. A nous d'être persévérants dans cette prière. Faisons-la ensemble, chaque fois que c'est possible, en famille, en petite fraternité, en communauté, dans toutes nos rencontres. A ses apôtres déboussolés de son départ, Jésus disait : « je vous enverrai l'Esprit Saint. » (Jn 15, 26) L'Esprit a agi puissamment dans l'histoire il veut agir encore aujourd'hui en nous, dans son Eglise, dans notre diocèse d'Orléans.