Skip to main content

Home/ Environnement & Ecologie/ Group items tagged Consommation

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

Credoc - Consommer plus sobre: une tendance que la crise de la Covid-19 pourrait amplifier - 0 views

  •  
    "Huit semaines de confinement, plus d'un tiers de l'économie à l'arrêt et beaucoup de réflexions sur ce qui est jugé important dans la vie. La crise de la Covid-19 a conduit à se concentrer sur les besoins vitaux : manger, dormir, prendre soin de soi. Le fait d'avoir consommé moins pendant cette période conduira-t-il les Français à une certaine frugalité ? En 2013 déjà, des travaux du CRÉDOC montraient l'évolution vers une limitation volontaire de la consommation en lien avec la montée des valeurs liées au développement durable et avec la crise financière de 2008. En 2018, d'autres enquêtes confirmaient la diffusion d'une prise de conscience écologique et d'une envie de mieux consommer, en particulier chez les plus diplômés. Ces éléments questionnent le postulat selon lequel la consommation et le bonheur seraient en partie liés. Comment évolue le désir de consommer des Français ? La sobriété dans la consommation n'est-elle pas un nouveau luxe ? L'enquête du CRÉDOC Tendances de consommation analyse le phénomène de simplicité volontaire et les représentations du bonheur. Les résultats montrent que si le bonheur est toujours très lié à l'aisance financière, il est aujourd'hui moins centré sur la possession, la consommation et beaucoup plus sur la façon d'être. Les conceptions associées à l'épanouissement personnel, à l'émotion et à la relation aux autres progressent et engendrent, avec la Covid-19, une envie de consommer moins et mieux." A télécharger
Veille & Documentation

Harris interactive - Synthèse - Responsabilité et éthique dans la consommation - 0 views

  •  
    "Après avoir exploré en 2017 les grands thèmes de l'habitat, de la santé et du sport, la première vague des zooms 2018 porte sur la consommation et les achats. Objet de nombreux débats, la société de consommation incarne-t-elle aujourd'hui seulement un désir d'acquérir qui ne prendrait pas en compte ses impacts ? Et justement, que reste-t-il du plaisir d'acheter, à l'heure de la responsabilité ? Comment anticiper et adopter les nouvelles formes de consommation ? Quelles en sont les tendances profondes et quels en seront les porte-paroles ? Après avoir exploré les dynamiques qui sous-tendent l'acte d'achat (plaisir, facteurs de décision, etc.), la seconde vague d'étude se concentre sur l'enjeu particulier de la consommation responsable ou consommation durable : quelle(s) réalité(s) ce concept recouvre-t-il pour les Français ? Est-ce devenu un critère qui compte dans leurs achats ? Quels sont les acteurs en qui ils ont confiance pour développer ce type de consommation ?"
Veille & Documentation

BVA Fonciascope pour l'habitat: La rénovation énergétique - 0 views

  •  
    Des Français attentifs à leurs consommations d'énergie, tout autant par souci d'économie que par une prise de conscience des enjeux environnementaux * 91% des Français déclarent faire attention à leurs consommations d'énergie dont 39% de façon systématique. Pour les seniors (50 ans et plus), il s'agit davantage d'un réflexe (49% y font systématiquement attention) à la différence des jeunes, moins préoccupés par ces questions (seuls 24% des 18-34 ans y font systématiquement attention). * Les motivations poussant les Français à faire attention à leurs consommations tiennent tant à une volonté de préserver l'environnement (pour 26%, surveiller ses consommations d'énergie est d'abord un acte responsable et pour 16%, c'est une priorité) qu'à des raisons financières (45% estiment que c'est un bon moyen pour faire des économies d'argent). Dans ce contexte de vigilance à l'égard de ses consommations d'énergie, la performance énergétique d'un logement constitue un élément important dans le choix d'un futur bien immobilier à acheter ou à louer * 9 Français sur 10 affirment que la performance énergétique d'un logement serait un critère de choix important s'ils devaient acheter un logement (89%) ou s'ils devaient louer un logement pour y vivre (90%) et plus d'un tiers d'entre eux considère même que ce serait un critère de choix très important (35% dans le cadre d'un achat et 36% dans le cadre d'une location). Le diagnostic de performance énergétique (DPE) : un moyen d'anticiper ses futures dépenses énergétiques et de sensibiliser le grand public sur les conséquences sur l'environnement d'une consommation excessive d'énergie * Pour 82% des Français, le DPE aide l'occupant d'un logement à anticiper ses futures consommations d'énergie et pour 79% d'entre eux, il a vocation à sensibiliser le grand public aux conséquences d'une surconsommation dâ€
Veille & Documentation

Harris interactive - Résultats - Responsabilité et éthique dans la consommation - 0 views

  •  
    Après avoir exploré en 2017 les grands thèmes de l'habitat, de la santé et du sport, la première vague des zooms 2018 porte sur la consommation et les achats. Objet de nombreux débats, la société de consommation incarne-t-elle aujourd'hui seulement un désir d'acquérir qui ne prendrait pas en compte ses impacts ? Et justement, que reste-t-il du plaisir d'acheter, à l'heure de la responsabilité ? Comment anticiper et adopter les nouvelles formes de consommation ? Quelles en sont les tendances profondes et quels en seront les porte-paroles ? Après avoir exploré les dynamiques qui sous-tendent l'acte d'achat (plaisir, facteurs de décision, etc.), la seconde vague d'étude se concentre sur l'enjeu particulier de la consommation responsable ou consommation durable : quelle(s) réalité(s) ce concept recouvre-t-il pour les Français ? Est-ce devenu un critère qui compte dans leurs achats ? Quels sont les acteurs en qui ils ont confiance pour développer ce type de consommation ?
Veille & Documentation

IFOP - [#1 PODCAST- COVID-19] La société de l'après : quelles mutations antic... - 0 views

  •  
    "Dans ce #1 Podcast COVID-19 - La société de l'après : quelles mutations anticiper ? Politique, sociologie, consommation, nous vous proposons de découvrir le point de vue de 3 experts Ifop :   Le Politique avec Frédéric Dabi, Directeur Général Adjoint Ifop : quels regards portés sur la gestion de la crise par l'exécutif ? Quels éléments de rupture ou de continuité avec les crises passées ? Quelles marges de manœuvre pour l'exécutif pour passer l'épreuve de l'après 11 mai ? Le Sociétal avec Jérôme Fourquet, Directeur du pôle Opinion Ifop : au-delà de l'urgence sanitaire, quelles sont les grandes inquiétudes économiques et sociales qu'il faudra relever , quelles seront les nouvelles urgences pour recréer le lien en entreprise, dans les cités, quelle sera la place de la transition écologique ? La consommation avec Rémy Oudghiri, Directeur Général de Sociovision - Groupe Ifop : quel sera l'impact du confinement sur les modes de consommation, quelles tendances vont s'accélérer, et quid de l'avenir de la consommation responsable face à la pression sur le pouvoir d'achat ?"
Veille & Documentation

Consommation collaborative : les meilleurs sites de partage - 0 views

  •  
    "Sous l'effet de la crise, nos comportements de consommation changent. D'après une étude réalisée en novembre 2012 par l'Observatoire société et consommation, 52 % des Français veulent consommer mieux et 83% préfèrent accéder à l'usage d'un produit plutôt que de le posséder. Parmi les modes de consommation alternatifs les plus en vogue on remarque l'achat d'occasion, l'emprunt entre proches, l'achat groupé et la récup' d'objets abandonnés dans la rue. Cette économie en réseau intéresse également 52 % des Européens tentés par le recours à l'entraide, l'échange de produits, les coups de main, comme l'explique une autre étude publiée en février 2013 par L'Observatoire Cetelem."
Veille & Documentation

Les compteurs communicants mis au service des ménages Un vecteur de la transi... - 0 views

  •  
    "La transition énergétique entre dans une nouvelle phase avec des mesures destinées à dynamiser la croissance verte. Parmi celles-ci figure l'équipement des foyers en compteurs des consommations d'électricité et de gaz dits « communicants ». Pour l'électricité, le modèle approuvé par la Commission de Régulation de l'Énergie, baptisé « Linky », devrait commencer à équiper les foyers à partir de l'automne 2015. À l'horizon 2020, c'est la totalité des 35 millions de compteurs électriques qui devraient être remplacés. Linky permettra de moderniser la gestion du réseau par ce nouveau lien (link en anglais) capable de renseigner en temps réel les consommations d'énergie dans les logements. Une telle innovation suscite autant d'intérêt que de questions. La plus importante a trait à la possibilité qu'auront ou non les Français de maîtriser en retour leurs consommations. Dans le cadre de la loi relative à « la transition énergétique pour la croissance verte », les parlementaires ont entériné l'obligation, pour les gestionnaires, de mettre à disposition de leurs clients les données de comptage des consommations. Les études du CRÉDOC sur les comportements des ménages établissent que la possibilité de contrôler chez soi sa consommation est une étape décisive pour faire des Français des acteurs de la transition énergétique. Encore faut-il que des dispositifs gérés collectivement favorisent la maîtrise des informations communiquées en les rendant à la fois lisibles et incitatives."
Veille & Documentation

IDDRI - Redéfinir la consommation. Première partie : éléments de définition - 0 views

  •  
    "eaucoup est reproché à la consommation dans nos sociétés développées : culture de l'instant et du plaisir immédiat au détriment d'un épanouissement plus durable ; vecteur d'inégalités et de frustration ; incitation à l'endettement ; modes de vie affectés par la surconsommation, etc. Et si l'on connait les impacts écologiques majeurs de notre consommation, elle peut aussi être vue comme un obstacle à la transition, comme observé lors du premier weekend de la Convention citoyenne sur le climat : « le blocage, c'est qu'aujourd'hui la culture de la consommation domine toujours notre mode de vie individuel»1. Alors, faudrait-il sortir de la consommation, comme certains l'expriment ? La réinventer ?"
Veille & Documentation

Elabe - Les préoccupations environnementales des Français - 0 views

  •  
    Elabe a réalisé pour Enedis un sondage sur les préoccupations environnementales des Français. En voici les principaux enseignements : En pleine crise sanitaire et économique, la situation de l'environnement reste une préoccupation majeure. Elle se traduit par la conviction qu'il est urgent d'agir et de changer nos habitudes pour un mode de vie plus sobre. Plus d'1 Français sur 2 a le sentiment qu'il pourrait en faire davantage pour protéger l'environnement. Réduction de la consommation d'énergie des particuliers, production locale d'énergie renouvelable, mode de chauffage moins polluant et accès aux données de consommation d'électricité pour maîtriser sa consommation sont jugés (très) utiles pour agir sur la situation de l'environnement. Réduire sa consommation d'électricité permet de répondre à un double objectif : réduire ses dépenses et faire un geste pour la planète. L'accès à des informations précises pourrait inciter 8 Français sur 10 à mieux suivre leur consommation et à changer leurs habitudes. Pour produire leur propre énergie, 3 Français sur 4 de disent prêts à installer à leur domicile un dispositif de production d'énergie.
Veille & Documentation

The Conversation - L'inquiétante trajectoire de la consommation énergétique d... - 0 views

  •  
    "Le Conseil général de l'économie, de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGEIET) a publié en novembre un rapport sur la consommation d'énergie du numérique en France. L'étude recense le parc, liste les consommations et en déduit leur montant global. Les résultants sont plutôt rassurants, au premier abord. Par rapport à 2008, ce nouveau document note que la consommation numérique semble stabilisée, au niveau français, tout comme l'emploi et la valeur ajoutée du secteur. Les transformations massives en cours (croissance des usages vidéo, « numérisation de l'économie », « plate-formisation », etc.) ne semblent pas se traduire dans l'énergie dépensée. Un constat qui s'expliquerait par les gains en efficacité énergétique, et par le fait que la progression de la consommation des smartphones et centres de données a été compensée par le déclin des télévisions et des PC. Ces conclusions optimistes méritent toutefois un examen plus approfondi."
Veille & Documentation

L'Obsoco - La consommation et l'achat au temps du coronavirus…et après - 0 views

  •  
    "Les limites à la mobilité des citoyens pendant la phase de confinement, auxquelles se sont ajoutées les fermetures de nombreux magasins, de restaurants et de cafés, ont influencé considérablement les choix de consommation et d'achat. En outre, l'arrêt généralisé du travail, malgré l'extension du chômage partiel, a réduit les revenus de nombreux salariés qui ont dû faire face aussi à des dépenses non prévues pour l'achat de dispositifs de protection sanitaire (masques, gants, gel, etc.). Enfin le climat d'inquiétude - déclenché par la crise sanitaire -,   le nombre élevé de décès et les difficultés des hôpitaux, ont généré des peurs, voire des angoisses.    Tous ces facteurs ont débouché sur une baisse de la consommation globale. La chute du premier trimestre a été de 6% selon la Banque de France, et celle du deuxième trimestre serait encore plus importante (-20% en avril, selon l'Insee). Toutefois, il convient d'observer que l'évolution des différentes catégories de produits n'a pas été homogène.  La course au stockage a favorisé les produits alimentaires basiques (œufs, lait, fromages, pâtes, boîtes de conserve et café) qui ont augmenté dans des pourcentages très importants (entre 20 à 40%). Il en est de même pour les sources de protéines à longue conservation (légumes, conserves de poisson et de viandes) qui ont enregistré de fortes hausses.  L'orientation vers une alimentation plus saine, privilégiant les produits frais et naturels, a ainsi connu un arrêt, voire une régression, à l'exception des produits bio, dont les ventes se sont maintenues.  Mais la nécessité de prendre tous les repas en famille a favorisé la préparation de plats à la maison (tartes, pizza, pâtes), a augmenté la consommation domestique d'aliments autoproduits (biscuits, pains, jus de fruits, confitures, yaourts) et accru, entre autres, la demande de farine et de levure. "
Veille & Documentation

Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

  •  
    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
Veille & Documentation

Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

  •  
    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
Veille & Documentation

BVA - Sondages : Les Français et le commerce équitable - 0 views

  •  
    "Les Français et le commerce équitable : une démarche qu'ils jugent unanimement positive et qu'ils ont intégrée dans leurs habitudes d'achat Les Français sont unanimes à considérer que le commerce équitable est une démarche positive (88%). Près de 3 Français sur 10 (28%) achètent mensuellement des produits issus du commerce équitable. Les Français et le commerce équitable : leviers et freins à l'achat Les Français qui achètent des produits issus du commerce équitable ont pour principaux objectifs l'amélioration des conditions de vie des petits producteurs (76%), faire un geste citoyen et solidaire (44%), soutenir le développement durable (37%), faire évoluer les règles du commerce mondial (31%). Selon les Français, c'est principalement le prix qui freine à ne pas acheter davantage de produits issus du commerce équitable (50%). Ils sont 41% à ne pas être convaincus que le commerce équitable profite réellement aux petits producteurs et 38% jugent que la préférence pour des produits français peut constituer un frein à acheter des produits issus du commerce équitable. Les Français et la consommation responsable Les Français sont 61% à juger qu'on a recours à la consommation responsable pour garantir des conditions de travail décentes mais également, dans une même mesure, pour protéger l'environnement (61%). Pour les Français, « consommer responsable » passe par une consommation de produits alimentaires issus d'une production locale (91%), de circuits courts (87%), made in France (80%), ou issus du commerce équitable (58%)."
Veille & Documentation

Dieu se rit de ceux qui maudissent les conséquences des causes qu'ils chériss... - 0 views

  •  
    "Cette citation de Bossuet me semble s'appliquer parfaitement à tous ceux qui fustigent la société de consommation et le règne de l'argent tout en refusant de prendre les moyens concrets d'en sortir. Ils s'accordent sur l'idée qu'il faut changer de mode de vie parce que le modèle de la société de consommation est un modèle non-viable, déshumanisant et déstructurant parce que destructeur. C'est pourquoi il est étonnant de constater que, parmi les contempteurs de la société de consommation, on trouve autant d'hostilité à l'idée de sortir du nucléaire. Position intenable consistant à être d'accord sur le principe mais pas d'accord pour appliquer ce même principe. Car sortir du nucléaire c'est le moyen le plus concret et le plus immédiat pour sortir de la société de consommation."
Veille & Documentation

Harris Interactive - Marques, éthique, prescripteurs : des consommateurs sous... - 0 views

  •  
    "Après avoir exploré en 2017 les grands thèmes de l'habitat, de la santé et du sport, la première vague des zooms 2018 porte sur la consommation et les achats. Objet de nombreux débats, la société de consommation incarne-t-elle aujourd'hui seulement un désir d'acquérir qui ne prendrait pas en compte ses impacts ? Et justement, que reste-t-il du plaisir d'acheter, à l'heure de la responsabilité ? Comment anticiper et adopter les nouvelles formes de consommation ? Quelles en sont les tendances profondes et quels en seront les porte-paroles ? Afin de poser les bases de cet examen, ce premier sondage explore la question de l'acte même de la consommation, des désirs et des réflexions qui la sous-tendent, de la capacité à faire des choix et des arbitrages, notamment dans un contexte de digitalisation du parcours d'achat."
Veille & Documentation

The Conversation - Pourquoi les consommateurs aiment le bio mais en achètent ... - 0 views

  •  
    "Pourtant le bio ne représente que 4,4 % de la consommation générale de produits alimentaires en 2017 et la fréquence de consommation demeure faible. Seuls 14 % des Français consommeraient bio quotidiennement et 25 % auraient une consommation diversifiée, c'est-à-dire régulière et variée de produits biologiques, selon l'étude INCA 3 de 2017. Comment expliquer un tel écart entre des croyances positives à l'égard du bio et une consommation quotidienne assez faible ?"
Veille & Documentation

Boursorama - De l'alimentation au e-commerce, l'épidémie de Covid a boulevers... - 0 views

  •  
    Entre confinements et couvre-feux, les Français ont pris de nouvelles habitudes de consommation. Retour sur une année hors normes. L'épidémie de Covid-19 et ses conséquences sanitaires ont eu des effets immédiats sur les achats des Français et leurs modes de consommation. En même temps, certaines tendances se sont accélérées et devraient durablement s'ancrer après cette crise. Retour sur une année hors-norme également en termes de consommation.
Veille & Documentation

France TV - Soldes : "Le désir de consommer n'est plus là", selon l'Observato... - 0 views

  •  
    "Alors que les soldes ont démarré mercredi 15 juillet, l'Observatoire Société et Consommation relève une baisse du désir de consommation. Selon lui, le modèle même des soldes est remis en cause."
Veille & Documentation

The Conversation - Pour être énergétiquement performant, l'habitat doit tenir... - 0 views

  •  
    "Le secteur du bâtiment résidentiel est le second secteur consommateur d'énergie finale en France (derrière celui du transport), avec environ 50 % d'énergie carbonée. Pour l'accompagner dans sa mutation, l'État français a mis en place une réglementation, la RT 2012, qui fixe un seuil maximal de consommation d'énergie pour les bâtiments neufs, et des crédits d'impôt pour la rénovation énergétique des particuliers. En parallèle de ces mesures, on assiste à l'émergence d'habitats énergétiquement performants : habitats passifs (supposés avoir une consommation d'énergie extrêmement faible, voire nulle) et autres bâtiments à énergie positive (qui produisent plus d'énergie qu'ils n'en consomment). Les technologies numériques font également leur apparition dans nos habitats, pour nous assister dans la maîtrise de notre consommation d'énergie (affichage de la consommation en direct, relevés détaillés en ligne, applications, etc.). Si cette réponse technique semble être cohérente, il est légitime, avec l'arrivée prochaine de la nouvelle norme RE 2020 qui remplacera la RT 2012, de se poser la question de l'efficacité de cette réponse : la technique garantit-elle la performance énergétique du bâtiment résidentiel ?"
1 - 20 of 671 Next › Last »
Showing 20 items per page