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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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La Fing - L'agenda pour un futur numérique et écologique - 0 views

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    "La transition écologique est l'horizon indispensable de nos sociétés, la transition numérique la grande force transformatrice de notre époque. La première connaît sa destination mais peine à dessiner son chemin ; la seconde est notre quotidien, une force permanente de changement mais qui ne poursuit pas d'objectif collectif particulier. L'une a le but, l'autre le chemin : chacune des deux transitions a besoin de l'autre !" Lancé en 2015, Transitions est un projet collectif qui vise à "mettre le numérique au service de la transition écologique". Porté par la Fing avec l'ADEME, l'Iddri, Inria, GreenIT.fr, le Conseil National du Numérique, Explor'ables et d'autres, il a pour ambition : - d'explorer les pistes nouvelles qu'ouvre la convergence entre numérique et écologie - sans en occulter les risques ; - de donner un sens à la transition numérique, en la confrontant aux défis écologiques ; - de décloisonner les communautés d'acteurs issus respectivement de l'écologie et du numérique et d'engager des actions concrètes qui les rapprochent. La présente publication "L'agenda pour un futur numérique et écologique" rassemble et synthétise la richesse de 3 ans de travaux : en livrant des clefs de lecture de la contribution actuelle du numérique au service de la transition écologique, en rassemblant les initiatives les plus emblématiques et en proposant des pistes fertiles pour le futur.
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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The Shift Project - Résumé - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    Nous sommes heureux de partager avec vous le troisième volet de nos travaux sur l'impact environnemental du numérique : « Déployer la sobriété numérique ». Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats ainsi établis ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Ce troisième rapport vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé.
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The Shift Project - Rapport complet - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    Nous sommes heureux de partager avec vous le troisième volet de nos travaux sur l'impact environnemental du numérique : « Déployer la sobriété numérique ». Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats ainsi établis ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Ce troisième rapport vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé.
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Terra Nova - Smart city : Quelles relations public-privé pour rendre la ville... - 0 views

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    La smart city est une réponse, fondée sur les technologies numériques et la donnée, aux défis auxquels sont confrontés les territoires urbains : sécurité, pollution, gaspillage énergétique, changement climatique, urbanisation galopante, inégalités et exclusion sociale… Elle poursuit un objectif essentiel : améliorer la qualité de vie des citoyens. Si elle est portée par une dynamique indéniable, la ville intelligente fait cependant face à un double risque : d'une part, rester à l'état d'outil marketing, passant à côté des potentialités du numérique pour les territoires, et, d'autre part, échapper aux collectivités publiques, au profit des plateformes numériques et plus généralement des opérateurs privés. Dans ce contexte, le rôle des collectivités publiques doit être réaffirmé. Mais la transformation numérique des territoires ne peut se faire contre les acteurs privés de la ville ni sans eux. Les relations public-privé doivent ainsi être mieux organisées pour favoriser l'émergence de villes intelligentes en France. En particulier dans trois domaines : la réalisation des investissements nécessaires, le renforcement de la « transversalité » de la ville et la complémentarité entre services publics et privés. Ce sont ces trois enjeux que présente ce rapport de Terra Nova.
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Ademe - [ADEME&VOUS] Le #numérique : fléau ou aubaine ? - 0 views

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    "En forte croissance, l'usage du numérique n'est pas sans conséquences sur l'environnement. La fabrication des équipements nécessite en effet de puiser dans nos ressources naturelles, tandis que son fonctionnement consomme de l'énergie et génère des émissions de gaz à effet de serre et des déchets encore relativement peu recyclés. Conscients de ces impacts, les acteurs du secteur et leurs entreprises clientes cherchent à développer des solutions moins énergivores et plus favorables à l'allongement de la durée de vie des matériels, tout en informant mieux les consommateurs. Une démarche d'autant plus nécessaire que le numérique peut s'avérer être un outil facilitant la transition écologique. Retrouvez ce mois-ci l'ADEME&VOUS avec un dossier sur le numérique."
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The Conversation - Débat : Les circuits courts peuvent-ils tenir leurs promes... - 0 views

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    "Scandales alimentaires, sensibilité du consommateur aux questions environnementales, rejet de la grande distribution, volonté de soutenir les agriculteurs et la ruralité… Les circuits alimentaires de proximité - dénommés plus largement « circuits courts » - ont le vent en poupe et apparaissent comme une réponse à toutes ces préoccupations. La proximité relationnelle (moins d'intermédiaires entre producteurs et consommateurs) et géographique (ils délivrent normalement des produits « locaux ») qu'ils revendiquent apparaît comme le gage d'une rémunération plus juste des agriculteurs et la possibilité de réduire les émissions polluantes. On a ainsi vu fleurir nombre de start-up mettant en relation via des plates-formes producteurs et consommateurs (La Ruche qui dit oui !, Locavor, kelbongoo ou Okadran), que nous appelons ici « intermédiaires numériques ». Ces circuits fonctionnent à peu près tous de manière identique : le consommateur s'inscrit sur le site Internet de l'intermédiaire numérique. Il commande et paye en ligne (à l'intermédiaire numérique), selon le catalogue proposé, jusqu'à 48 heures environ avant la distribution (en général les jeudis ou vendredis en fin de journée, dans un hall de gare, une place, etc.). Les producteurs concernés par cette commande la réceptionnent numériquement et la préparent. Le jour J, les producteurs rejoignent la ville pour la distribution."
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Usbek & Rica - Trois scénarios pour un numérique plus vert - 0 views

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    "Vivons-nous sans vouloir tout à fait se l'admettre une véritable marée noire numérique ? Cela ne fait désormais plus aucun doute. Mais quant à savoir qui va réussir à inverser la vapeur et imposer des modèles collectifs plus vertueux, la question reste entière. Voici trois scénarios pour un numérique plus vert."
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The Conversation - L'inquiétante trajectoire de la consommation énergétique d... - 0 views

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    "Le Conseil général de l'économie, de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGEIET) a publié en novembre un rapport sur la consommation d'énergie du numérique en France. L'étude recense le parc, liste les consommations et en déduit leur montant global. Les résultants sont plutôt rassurants, au premier abord. Par rapport à 2008, ce nouveau document note que la consommation numérique semble stabilisée, au niveau français, tout comme l'emploi et la valeur ajoutée du secteur. Les transformations massives en cours (croissance des usages vidéo, « numérisation de l'économie », « plate-formisation », etc.) ne semblent pas se traduire dans l'énergie dépensée. Un constat qui s'expliquerait par les gains en efficacité énergétique, et par le fait que la progression de la consommation des smartphones et centres de données a été compensée par le déclin des télévisions et des PC. Ces conclusions optimistes méritent toutefois un examen plus approfondi."
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BVA - Analyse - Numérique et environnement : menace ou opportunité, qu'en pen... - 0 views

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    Une préoccupation importante à l'égard de l'environnement Le numérique : un levier pour l'environnement ? L'impact du numérique sur l'environnement est davantage perçu à propos des équipements que des usages Des solutions connues mais un passage à l'acte encore difficile
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BVA - Résultats - Numérique et environnement : menace ou opportunité, qu'en p... - 0 views

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    Une préoccupation importante à l'égard de l'environnement Le numérique : un levier pour l'environnement ? L'impact du numérique sur l'environnement est davantage perçu à propos des équipements que des usages Des solutions connues mais un passage à l'acte encore difficile
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The Conversation - Numérique, ville et nature : reconnecter les citadins à le... - 0 views

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    "L'espace urbain est devenu le milieu dominant des êtres humains, et sa progression questionne aujourd'hui l'habitabilité des villes. L'imperméabilisation, la densité des constructions et des flux liés au modèle de la ville fonctionnelle contribuent à la perte de biodiversité, à la création d'îlots de chaleurs et à la pollution. Le bien-être et la santé sont également mis à mal dans un contexte générateur d'anxiété. En bref, l'urbanisation des modes de vie favorise une déconnexion à la nature et à ses bienfaits multiples. En parallèle, le développement du numérique et la vitesse de son déploiement dans la plupart des sociétés traduisent un désir de connexion qui interroge moins qu'il attire. Si la déconnexion à la nature semble évoluer de pair avec la connexion numérique, une réflexion sur les implications psychologiques, sociales et urbaines s'impose pour mesurer les enjeux de cette évolution."
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Le Figaro - Les extraits exclusifs du livre de Guillaume Pitron sur «l'enfer ... - 0 views

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    "L'Enfer numérique - Voyage au bout d'un like (Éditions Les Liens qui Libèrent) révèle le coût environnemental exorbitant de la révolution numérique, pourtant présentée comme écologique, faisant apparaître les impostures de la transition écologique et les ambivalences de la «génération climat». Le Figaro publie en exclusivité de larges extraits de ce livre appelé à faire date."
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Médiaterre - Il nous faut une conscience écologique en matière digitale - 0 views

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    "La pollition numérique n'est pas la conscience la plus partager dans le monde. Malgré la renaissance de la contribution de l'action humaine sur la déterioration environnementale, beaucoup n'ont pas encore plus la conscience de la pollution digitale ou numérique. La globalisation digitale, impacte le monde avec 3,5% de pollution globale. Ce qui semble être plus inquiétant, ce chiffre pourrait atteindre 14% d'ici 2040. Selon, Robert GODES fondateur et président chef technologique de brillouin Energy Corporation, la digitarisation de notre culture est en train d'incendier la nature par une demande élevée d'énergie et la production de produits toxiques. Chaque jour que nous ordinateur ou notre smartphone celà joue considerablement sur l'équilibre écologique et l'avenir de la planète. Le secteur de communication globale sur internet produit le dioxyde de carbone équivalent à une industrie d'aviation. Ce qui est plus alarmant est que celà va en augmentant dans les jours à venir."
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France Stratégie - Smart Cities : « il faut partir des besoins et des usages ... - 0 views

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    "Il ne suffit pas de connecter une ville pour la rendre intelligente. Entre enjeux environnementaux et citoyens, exigences de rentabilité et cyber risques, la Smart City se cherche. En 2050, deux tiers de la population mondiale vivra en ville. C'est dire tout l'intérêt qu'il y a à rendre la ville « intelligente ». Un enjeu qui explique que France Stratégie ait consacré à la Smart City un cycle entier d'ateliers-débats, bientôt enrichi d'un rapport. Passée de l'utopie urbaine à une réalité rendue possible par la révolution numérique et les progrès de l'intelligence artificielle, la ville intelligente s'installe dans notre quotidien citadin, à bas bruit. De quoi relève-t-elle exactement et quel est son horizon ? Réponses avec Christine Raynard, experte mobilité et transport au département Développement durable et numérique de France Stratégie."
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Fondation pour la recherche stratégique - Transition énergétique et numérique... - 0 views

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    Dans son rapport Digitalization & Energy , l'Agence internationale de l'énergie met en avant les transformations qui se produisent, de manière croisée, entre les deux univers de l'énergie et des technologies de l'information et de la communication (TIC). Suivant la prise de conscience écologique entamée au début des années 1990 et accélérée à la fin des années 2000, de nombreux pays, avancés ou émergents, ont fait le choix d'inscrire des transitions énergétiques au sein de leur programme de développement économique. Au-delà de celles-ci, se produisent en parallèle des transitions numériques, suivant le développement continu - et même accéléré - des usages du cyberespace. À l'extension géographique de l'utilisation du Net, s'ajoute maintenant l'explosion du nombre d'objets connectés personnels ou professionnels. Ces deux transitions qui se complètent en un continuum cyber-énergie, sont à la base des transformations des sociétés occidentales comme émergentes. Toutefois elles ne peuvent se concevoir sans un recours extensif aux solutions d'efficacité énergétique, au sein desquelles le stockage d'électricité est appelé à prendre une place prépondérante.
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