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hubert guillaud

Le don et le gratuit sont indispensables à l'entreprise | Zevillage : télétra... - 0 views

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    La financiarisation des entreprises à conduit à multiplier les contrôles, les prescriptions, l'organisation du travail... ce qui a conduit à beaucoup de désengagement des employés. Qu'ont-ils fait en réponse ? Dans la sphère privée, ils se sont mis à aller sur le net pour y travailler gratuitement." Pierre-Yves Gomez, auteur du "Travail invisible : enquête sur une disparition".
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Panique sur Instagram - L'Atelier des icônes - 0 views

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    Instagram va-t-il vendre les photos de ses utilisateurs ? En fait, le rachat d'Instagram par Facebook a engendré une récente modification des Conditions générales d'utilisation et c'est ce qui a lancé l'alerte et la panique. Or, cette modification n'a pour but que d'harmoniser les CGU d'Instagram et de Facebook. Car rappelons le, la licence, le contrat, ne peut annuler la loi, et toutes les CGU du monde ne peuvent nous retirer la propriété de nos productions publiques. L'enjeu ici n'est pas que les agences de publicités utilisent les photos de monsieur tout le monde pour créer des messages gratuitement, mais que vos images puissent circuler dans l'espace publicitaire personnalisable de Facebook et des réseaux sociaux. Le fondateur d'Instagram s'est déjà excusé pour cette mécompréhension qui risquait de faire fuir nombre d'utilisateur. Quand c'est gratuit, c'est aussi l'utilisateur qui commande !
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Réparateur, un métier d'avenir | Courrier international - 0 views

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    Au Pays-bas, dans les 20 "cafés réparation" du pays - http://repaircafe.nl -, des bénévoles donnent une nouvelle vie aux appareils en panne, gratuitement. En Espagne, la communauté urbaine de Barcelonne a mis en place en 2010 le service "Réparé c'est mieux que neuf" dans le but de limiter la production de déchets, permettant de venir faire réparer gratuitement ses objets : http://reparatmillorquenou.blogspot.fr/
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Comment le client a été mis au travail - LeMonde.fr - 0 views

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    Depuis les années 70, les clients ont été mis au travail par les entreprises, rappelle le sociologue Baptiste Coulmont - http://coulmont.com/blog - : il se sert son essence à la pompe, il apporte ses livres à la caisse, il porte son plateau en magasin. Pour nombre d'entreprises, ce travail gratuit a été la source de gains de productivité gigantesques, tant et si bien que les nouvelles entreprises ne sont que de simples interfaces numériques, à l'image d'AirBnb. Les clients sont-ils devenus des employés gratuits, peu syndiqués, dociles ? Tant et si bien que désormais, les entreprises trouvent les moyens d'intensifier la mise au travail des clients, comme le font les hôtesses de caisses devant les caisses automatiques... A partir de quel moment cela devient-il du travail dissimulé, comme l'a reconnu un récent jugement à l'encontre de clients qui venaient laver leur verre au bar ? Faudra-t-il salarier les clients ?
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James Surowiecki : évaluer l'économie numérique - The New Yorker - 0 views

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    La récente introduction en bourse de Twitter a permis de mettre nos chiffres sur l'entreprise à jour. Fort de 230 millions d'utilisateurs actifs, l'entreprise génère 500 millions de revenu, alors qu'elle a été valorisée 24 milliards. Les utilisateurs ont envoyé plus de 300 milliards de tweets, sans avoir déboursé le moindre centime. Depuis que Netscape a offert son navigateur, la gratuité a été la règle sur le net, rappelle James Surowiecki. D'où peut-être la difficulté à apprécier leur impact économique. Si Wikipedia, Twitter, Google Maps et d'autres sont précieux, leur poids dans le PIB est très faible. Pour Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee qui s'apprêtent à publier un nouveau livre "Le deuxième âge des machines", nous sous-estimons la valeur de l'économie gratuite. Or la grande majorité des sites web sont désormais construits avec de l'open source, Skype réduit le montant de ce que les gens dépensent en appel téléphonique. Les Google Maps et Apple Maps ont remplacé les GPS de voitures sans frais et ils sont certainement mieux équipés qu'avant. Une grande partie de ce que le numérique produit ne se mesure pas dans le PIB, ce qui accroit le fossé entre ce que mesurent les statistiques et ce qu'il se passe réellement. Selon Brynjolfsson, la valeur du gratuit sur l'internet serait de centaines de milliards de dollars et augmenterait de quelques 40 milliards de dollars par an.
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Les applications payantes, c'est fini - à quelques exceptions près - TechCrunch - 0 views

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    Les applications payantes, c'est fini. Notamment du fait que les magasins d'applications se remplissent d'assez bonnes solutions de rechanges aux applications payantes, même s'il reste des domaines où il est encore possible de développer des applications payantes - à tout le moins pour l'instant, estime Sarah Perez pour Techcrunch. Selon le dernier rapport de Flurry de juillet dernier, les applications gratuites sur l'App Store sont passées de 80% en 2010 à 90% au début 2013 et 6% des applications payantes sont sous les 0,99 cents. Si les applications utilitaristes arrivent encore à tirer quelques revenus, ce n'est plus le cas des applications sociales ou des jeux. Mais entrer dans le top des téléchargements s'avère plus difficile pour les app. gratuites, puisqu'il faut entrer dans le club des 70 000 téléchargements (contre 4000 pour les payantes). Dans le million d'application disponible, qui peut se permettre d'acheter une nouveauté quotidienne ?
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L'Open Data payant s'ouvre à la gratuité des débats - Owni.fr - 0 views

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    Alors que le débat sur la monétisation des données publiques a été récemment réouvert, Owni.fr en rappelle les principes. Le Tout gratuit est impossible, rappelle Simon Chignard, les modèles économiques ne pourront être à l'avenir que mixtes. Pour l'instant, ils demeurent partout rares et peu rémunérateurs dans l'ensemble. L'essentiel repose plutôt dans la transparence et l'accès démocratique aux données. Mais comme le sujet n'est pas vraiment porté par le gouvernement, toute remise en cause est possible.
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Transports : la gratuité est un mauvais tour de passe-passe - Rue89 Planète - 0 views

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    La gratuité des transports publics ne vise pas la réduction des déplacements motorisés, rappelle Bruno Marzloff.
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Duolingo: un service de traduction participatif pour apprendre les langues - Technology... - 0 views

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    Depuis juin 2012, Duolingo propose des cours d'anglais pour les locuteurs espagnols et portugais et des cours d'espagnol, d'allemand, de français et de portugais pour les anglophones. Près de 300.000 personnes l'utilisent chaque semaine. Ses cours sont gratuits car la société se finance autrement, en exploitant les traductions réalisées par ses élèves en comparant les versions pour produire une version finale la plus juste possible. Son fondateur, Luis von Ahn voudrait utiliser l'apprentissage des langages informatiques proposés par CodeAcademy pour imaginer un service similaire autour de la programmation, afin de débuger des logiciels par exemple.
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Deconstruire Pandora, Spotify, le piratage et faire que les artistes soient p... - 0 views

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    Chris Ruen, l'auteur de "Freeloading : comment notre insatiable appétit pour les contenus gratuits a tué la créativité" constate que le revenus générés par les plateformes d'abonnements (tels Spotify) ne paient pas les artistes... Il faut 47 000 écoutes pour toucher l'équivalent du revenu d'un album. Et l'artiste d'en appeler à réagir et faire notamment que les contenus pirates soient moins facilement accessibles sur le net... La régulation par les moteurs ?
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Le SMS a 20 ans - PC INpact - 0 views

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    "Il y a tout juste 20 ans, le premier SMS était échangé entre deux ingénieurs télécoms. Aujourd'hui, le tout-puissant service de messagerie connaît un léger déclin, menacé sur son trône par des applications gratuites et offrant bien plus de possibilités."
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L'avenir du numérique - Business Insider - 0 views

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    Business Insider a récemment mis en ligne un diaporama intitulé "The Future of Digital" plein d'enseignements et bourré de graphiques évocateurs, explique Jean-Michel Salaun : http://blogues.ebsi.umontreal.ca/jms/index.php/post/2012/11/30/Le-num%C3%A9rique-partag%C3%A9-entre-quatre-%C3%A9crans. Il s'agit du point de vue d'économistes libéraux qui vise à répondre à la question : où peut-on faire de l'argent aujourd'hui et surtout demain avec le numérique ? Voici les principales leçons que j'en ai tirées : - Seulement 1/3 de la population mondiale est connectée à Internet, mais il s'agit de la partie la plus riche et donc de la plus solvable. - Depuis l'année dernière, les ventes de smartphones ont dépassé celle des ordinateurs et les tablettes font la croissance du marché des ventes d'ordinateurs, tandis que la vente d'ordinateurs personnels stagne. - Le marché US de smartphone est arrivée à maturité, les gains sont à aller chercher sur le marché chinois encore dans l'enfance. - La vente de contenu numérique est en train d'exploser, portée par Itunes, Netflix, Kindle et Zynga. - La télévision fait encore le principal du marché publicitaire (42%), le numérique vient juste derrière (37% dont 23 pour le seul Google). - Les revenus de la pub, numérique compris, dans les journaux américains se sont effondrés et sont maintenant équivalents à ceux des années 50 si l'on tient compte de l'inflation. - Les revenus publicitaires de la TV sont encore en croissance et la pub y est plus présente, mais les comportement des téléspectateurs changent. Et les revenus de la vidéo en ligne décollent. - Facebook n'arrivera probablement pas à concurrencer Google sur la pub, car faire de la pub sur Google, c'est comme faire de la pub dans un magasin, tandis que faire de la pub sur FB c'est comme faire de la pub dans une fête. - L'usage du mobile s'est installé dans la vie quotidienne. Il reprend tous les usages anciens de l'internet plus quel
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Les acteurs locaux peuvent-ils remplacer l'Etat - Futuribles - 1 views

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    Le lancement de la Big Society de James Cameron, premier ministre britannique, a consisté à créer un fonds public pour soutenir la création de start-up et de projets locaux pour compenser les coupes budgétaires et la fermeture de services publics. Une centaine d'écoles publiques gratuites ont ainsi été ouvertes avec forces critiques. Une centaine de bibliothèques bénévoles ont également été ouvertes alors que plus de 200 ont fermé. 3 municipalités ont mis en place en 2011 des programmes de services publics partagés... Celan n'empêche pas le bilan de la Big Society d'être décevant, selon une évaluation, la Big Society manque de stratégie. 7000 associations ont fermé dans le pays du fait des baisses de financement., particulièrement dans les quartiers les plus pauvres. La ville de Liverpool, pilote, a quitté le programme en 2011 pour protester contre la diminution des subventions. Reste que le programme a montré que dans un contexte budgétaire tendu, des initiatives innovantes peuvent voir le jour. Même s'il est difficile de faire toujours plus avec toujours moins de moyens.
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Peut-on laisser les informaticiens jouer seuls avec le numérique ? | L'Innova... - 0 views

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    A l'occasion d'un concours (de plus) lancé par une agence de com pour CitizenCar, Aurélie Barbaux a jeté un oeil sur les lots proposés aux gagnants... Bien maigres alors que la créativité des internautes est censée imaginer les usages de demain du partage de véhicule... "Le travail gratuit est-il encore valorisant ? Voire admissible ?"
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Fiscalité du numérique : vers une taxation des données - LesEchos.fr - 0 views

  • La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, «  de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles «  sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont «  la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs.
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    Les Echos reviennent sur le rapport Colin et Collin de proposition pour une réforme de la fiscalité numérique mandaté par Bercy. "La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, « de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles « sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont « la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs." Dès lors, les auteurs proposent d'agir à deux niveaux : à l'échelon international en incluant dans la notion d'établissement stable de l'OCDE, sur laquelle se fonde la fiscalité des entreprises de l'OCDE, le "travail gratuit" des utilisateurs qui fournissent des données. Au niveau national, en proposant une fiscalité fondée sur la collecte et l'exploitation des données. Une fiscalité incitative pour moduler l'impôt et inciter les entreprises à la transparence et à la vertu. Mais l'administration a-t-elle les outils adaptés pour contrôler les données taxées ?
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Les bénéfices du Net - The Economist - 0 views

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    Comment mesurer ce que nous a apporter l'internet ?, s'interroge The Economist. Il est plus facile de mesurer les pertes que Wikipédia a infligé aux éditeurs que de mesurer les avantages économiques (et culturels et sociaux) que nous a apporté le réseau. Shae Greenstein et Ryan McDevitt ont tenté de calculé le surplus généré par la généralisation de l'accès à haut débit : http://www.nber.org/papers/w14758 . McKinsey a demandé à 3360 consommateurs ce qu'ils paieraient pour plusieurs services internet aujourd'hui gratuits : 38 euros par mois en moyenne : http://www.iabeurope.eu/media/95855/white_paper_consumers_driving_the_digital_uptake.pdf L'équipe d'Hal Varian a tenté de mesurer le temps gagné à utiliser l'internet par rapport à ceux qui ne l'utilisent pas, soit 22 $ de l'heure pour environ 150 $ milliards à l'année à l'échelle américaine : http://cdn.oreillystatic.com/en/assets/1/event/57/The%20Economic%20Impact%20of%20Google%20Presentation.pdf Une belle revue d'études dont il semble difficile de tirer une valeur moyenne.
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Servicialisation - Service Design Programme - 0 views

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    La servicialisation, c'est la tendance à développer des services (le plus souvent gratuits) pour les clients, permettant de créer de nouvelles façons d'interagir avec le client. Pour le design de service, c'est un moyen d'apporter de la créativité et de la radicalité dans la proposition de nouveaux services par des entreprises traditionnelles, estime Paul Thurston. Le Conseil de recherche économique et social britannique dans un récent rapport "Re-igniting Growth" - http://www.esrc.ac.uk/publications/esrc-research-publications/reigniting-growth.aspx - publié sous la houlette du professeur Andy Neely estime que la servicialisation est un élément clé de la croissance économique futur du Royaume-Uni que seulement 40 % des entreprises britanniques utilisent (contre 60 % aux Etats-Unis et 20 % en Chine). Pour lui, l'avenir n'est pas de faire baisser les coûts de la fabrication, mais de développer la servicialisation, estime John Kirkley pour le Digital Manufacturing Report : http://www.digitalmanufacturingreport.com/dmr/2013-02-07/what_is_servitization_and_why_should_you_care_.html . Le défi pour les fabricants britanniques est de capturer une part importante de la servicialisation à haute valeur marchande. Ce qui nécessite d'investir dans l'infrastructure technologique pour fournir des services avec les produits, par exemple, en intégrant des capteurs dans les produits pour comprendre leur utilisation et développer des services pour anticiper les besoins liés à leur utilisation.
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Innovation collaborative: à qui profite vraiment la création "low cost"? - La... - 0 views

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    De plus en plus d'entreprises ont recours à la co-création, la participation collective à la réalisation d'un projet, d'un service ou d'un produit. Mais, si pour les entreprises, c'est un moyen d'expérimenter de nouvelles idées en dépensant peu, reste que pour les participants l'exploitation gratuite n'est pas loin. Si certains experts semblent affirmer sans rougir qu'innover c'est donner une part de soi-même, les gens qui concourent, eux, restent tiraillés entre l'exploitation et la recherche d'une opportunité voir d'un emploi.
hubert guillaud

Du chauffage gratuit grâce aux ordinateurs - 20minutes.fr - 0 views

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    Qarnot Computing - http://qarnot-computing.com - propose de disséminer les datas centers chez les particuliers afin que ceux-ci puissent bénéficier de la chaleur qui s'en dégage. Transporter des données pour transporter de la chaleur, en proposant des microprocesseurs montés sur un radiateur... Cela pourrait concerner 20 000 logement d'ici 5 ans, estime la start-up, qui chauffe déjà ses 300 m² de bureaux à Montrouge ainsi. Mais l'article ne dit pas grand chose de ce qu'il se passe en été, quand les radiateurs continuent de chauffer (l'échange de données ne s'arrête pas quand il faut chaud). Visiblement, on l'utilisateur peut couper le chauffage et le régler comme bon lui semble.
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Si c'est gratuit, c'est vous le produit ! - Là-bas si j'y suis > France Inter - 0 views

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    Là-bas si j'y suis s'intéresse aux Big Data et nous amène chez les géants de la publicité ciblée, Acxiom et Criteo. 
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