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Home/ Environnement & Ecologie/ Group items tagged Fin de vie

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Terra Nova - Comment financer la lutte contre le changement climatique ? De nouveaux ou... - 0 views

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    Pour tenir les engagements pris au sommet de Paris lors de la Cop 21 en 2015 et limiter le réchauffement global de notre planète, nous devons investir massivement dans la transition de notre économie et de nos modes de vie. Pourtant, nous ne mobilisons pour le moment qu'une faible partie des sommes nécessaires pour financer la transition énergétique et permettre aux pays en développement de s'adapter au changement climatique. Comment faire mieux et accélérer les décisions alors que nous avons déjà pris du retard dans le calendrier visant à ne pas dépasser 2 °C de réchauffement à la fin du siècle ? Il faut concevoir et lancer de nouveaux outils financiers permettant de diriger des capitaux vers des programmes de transition et les actions d'adaptation dans les pays les plus fragiles. Nous proposons ici la transformation d'une partie de la dette des pays en développement en dette verte. Il s'agit de programmes innovants permettant d'annuler des dettes de pays à mesure que des actions pour la transition ou l'adaptation sont menées. Ils apparaissent particulièrement adaptés pour des pays très endettés et fragiles financièrement. Ces mécanismes permettent en effet de concilier la nécessaire lutte contre le réchauffement et les actions d'adaptation et le non moins nécessaire développement économique. La conditionnalité des remises de dette permet de vérifier l'engagement effectif des pays dans leurs programmes de lutte contre le réchauffement, sans risquer de conforter la mauvaise gouvernance par des allègements de dette confortant des pouvoirs en place indépendamment de leurs efforts réels pour l'avenir de leur population. Mais cet outil adapté aux pays endettés ne doit pas être perçu comme un effort unilatéral des pays en développement. C'est pourquoi, il serait opportun de favoriser en parallèle un outil s'adressant à tous les pays, y compris les pays industrialisés : les obligations à impact environnemental. C
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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Cese - Résolution - La valeur de la matière première secondaire : l'exemple d... - 0 views

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    C'est dans le contexte imposé par les pollutions des sols et des océans et l'urgence climatique liées à l'omniprésence de l'usage du plastique issu du pétrole que le projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » a été présenté en juillet en Conseil des ministres, en vue d'une adoption annoncée pour mars 2020. Parmi les principales mesures, le texte réintroduit la consigne avec pour objectif d'améliorer la collecte séparée de produits à des fins de réemploi ou de recyclage. Longtemps pratiquée en France pour les emballages de boissons en verre, la consigne a peu à peu disparu dans les années 1980 avec le développement des emballages à usage unique et la mise en place du tri sélectif. Pourtant, parce qu'elle donne une « valeur » aux emballages, la consigne est un outil de la REP (responsabilité élargie du producteur) qui peut favoriser un changement de comportement chez les consommateurs. Au cœur d'un vif débat entre d'un côté le Sénat, les collectivités et les recycleurs qui s'opposent à la consigne pour recyclage et le gouvernement et les industriels qui la souhaitent, le CESE propose une troisième voie pour encadrer le principe de retour de la matière plastique pour recyclage et prioriser le financement des dispositifs de réemploi (verre). En effet, la seule mise en place de la consigne pour recyclage risque de maintenir le modèle actuel d'utilisation des contenants plastique à usage unique ; c'est pourquoi il s'agit de coupler le cadrage de la consigne pour recyclage et la mise en place systématique de la consigne pour réemploi. Concernant les flux financiers impactant les collectivités et les consommateurs, le CESE recommande la réalisation d'une étude d'impact afin, entre autres, d'estimer les conséquences de la mise en place du retour matière ou de la consigne pour recyclage plastique pour les collectivités, d'estimer et compenser les sommes de la déconsi
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Sénat - Délégation à prospective - Rapport d'information sur les mobilités da... - 0 views

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    À l'issue du rapport de la délégation à la prospective du Sénat de novembre 2018, et après le vote de la LOM, il a paru nécessaire d'approfondir la question de l'avenir des mobilités dans les espaces peu denses3(*), qui sont marquées à la fois par de multiples initiatives et innovations, mais aussi par la difficulté à pérenniser les expériences, à monter en puissance et faire changer les habitudes profondément ancrées d'utilisation quasi-exclusive de la voiture pour tous les déplacements individuels. Ce mode de transport s'avère en effet le plus souple et le plus efficace dans ces espaces, à condition bien entendu d'en avoir les moyens. Ayons cependant à l'esprit que le modèle automobile dans tous les types de territoires sera nécessairement appelé à évoluer avec la perspective d'ici 2040 de la fin des moteurs thermiques, en application de l'objectif de décarbonation des déplacements, ainsi qu'une révolution technologique liée à l'automatisation et à la diffusion de véhicules autonomes. À plus court terme, le passage de la vitesse maximale autorisée de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires contribue à changer le rapport à la route. Les nouveaux travaux menés par la délégation à la prospective sur la question des mobilités ont visé à imaginer la transformation des modes de déplacement dans les zones peu denses à l'horizon 2040. Ces territoires sont de plus en plus prisés en raison des faibles prix du foncier et pour la recherche d'une meilleure qualité de vie que dans les villes denses. L'expérience du confinement du printemps 2020 a probablement renforcé l'attrait pour les campagnes. Pour autant, l'absence de solutions de mobilités adaptées constitue encore un obstacle et un frein dans la vie quotidienne qu'il convient d'examiner avec attention. Cela apparaît comme une nécessité sociale et écologique, mais également de cohésion territoriale dans la République.
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Decere - Sortir de la sidération - Retrouver l'énergie de la décision et des ... - 2 views

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    Saisir ce temps d'épreuve pour faire des choix Le 27 mars, devant une place St Pierre, vide et rendue luisante par la pluie, le pape François faisait face à Rome et priait pour le monde : La pandémie « démasque notre vulnérabilité », a-t'il dit en ajoutant : « nous ne nous sommes pas réveillés face à des guerres et des injustices planétaires, nous n'avons pas écouté le cri des pauvres et de notre planète gravement malade ». Selon le pape, nous avons poursuivi notre chemin comme si de rien n'était et il invitait alors à « saisir ce temps d'épreuve comme un temps de choix ». Le moment que nous vivons a des aspects dramatiques, mais sans céder trop vite au pessimisme ni au catastrophisme comme y invitent, par exemple, Giorgio Agamben et André Comte-Sponville dans des textes récents, il est très salutaire d'entendre le pape François s'adresser à cette dimension qui révèle autant la noblesse que le mystère et la fragilité humaines: la capacité de choisir. Message exigeant, appel confiant, profession d'espérance. Voici, dit le pape, « le temps de choisir ce qui importe et ce qui passe, de séparer ce qui est nécessaire de ce qui ne l'est pas ». En cette semaine des fêtes de Pessah et de Pâques, alors qu'approche le Ramadan (23 avril), de nombreux croyants avec leurs contemporains qui prient, méditent et cherchent la vérité selon diverses voies, continuent d'ouvrir leur cœur à cette exigence : choisir ce qui importe. Continuons de marcher, sans céder à la peur ou à la sidération, sans cesser de raisonner en vue d'accomplir ce qui est juste, et en cultivant pour nous-mêmes et pour les autres la vertu irremplaçable de l'espérance. Au fil des articles qui paraissent, parfois sous la plume de conférenciers invités par DECERE, nous aimerions attirer l'attention sur certains sujets qui vont requérir notre réflexion et appeler, sans doute un approfondissement, voire des choix de notre part à tous. Il est impossible d'être
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Le Monde - « En ville, le glanage soulève la question des alternatives au sys... - 0 views

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    "elon une étude de l'Observatoire des pratiques de consommation émergentes (Obsoco) parue il y a quelques années, le glanage concernerait plus de 20 % des Français. Aux Etats-Unis, près de 500 espèces de fruits, noix, baies et feuilles sont régulièrement consommées par les habitants de Seattle qui pratiquent la cueillette tandis qu'à San Francisco, des « guerillas grafters » greffent illégalement des tiges d'arbres fruitiers dans les quartiers populaires avec l'objectif d'offrir des fruits gratuitement aux citadins. Certains adeptes du « freeganisme », une idéologie anticapitaliste qui se traduit notamment par la volonté de réduire de manière drastique ses déchets et de minimiser son empreinte écologique, ne se nourrissent quasiment plus que d'aliments de « récup'». A l'origine, le glanage consiste à ramasser dans un champ la partie de la récolte qui n'a pas été collectée et qui reste à même le sol, comme les pommes de terre ou les céréales. Aujourd'hui, le terme est aussi utilisé pour désigner la récupération de la nourriture abandonnée à la fin des marchés, dans les poubelles ou les conteneurs des supermarchés. On parle de grappillage lorsqu'il s'agit de ramasser ce qui reste sur les arbres fruitiers ou les ceps de vigne, et de cueillette pour la récolte de champignons ou de plantes. Autant de pratiques de l'espace discrètes voire dissimulées, dont on sait finalement peu de choses : comment rendre compte de ces gestes furtifs accomplis le plus souvent dans les interstices de nos villes ?"
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Terra Nova - Politique du logement : comment concilier la mobilité professio... - 0 views

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    Les transformations de la vie économique exigent souvent une plus grande mobilité de la part des ménages. Si elle n'est pas boudée par les Français, cette mobilité est cependant souvent redoutée en pratique pour les coûts qu'elle entraîne. Des coûts sociaux bien sûr (perte des réseaux locaux d'entraide, des liens amicaux, etc.), mais aussi des coûts économiques. Parmi eux, les facteurs liés au logement peuvent être dissuasifs : frais de transaction, risques de moins-value, risque de loyer plus élevé, etc. De fait, de nombreux Français se retrouvent coincés entre un marché du travail qui exige toujours plus de flexibilité et de souplesse, et un marché du logement qui se révèle souvent rigide. Cette situation est de nature à rendre plus difficiles les appariements sur le marché du travail et à accroître le chômage. Si l'on veut faciliter la mobilité des ménages, il est donc opportun de réviser une partie des politiques du logement. Nos propositions dans ce sens se structurent autour des statuts d'occupation. En effet, selon que l'on est propriétaire de sa résidence principale, locataire du parc privé ou locataire du parc social, la propension à la mobilité n'est pas la même. Elle est notamment plus faible chez les propriétaires et les locataires du parc social. C'est pourquoi nous proposons d'expérimenter un mécanisme de droits de mutation déductibles ainsi qu'un dispositif pour réduire les risques de perte en capital pour les propriétaires. Concernant les locataires, nous proposons de réviser les aides à l'investissement dans le domaine du locatif intermédiaire privé dans les zones en développement, et d'achever le transfert aux intercommunalités des attributions relatives à l'urbanisme et au logement de manière à dynamiser l'offre de logements sociaux. Nous proposons également d'accroître la rotation dans le parc social en se dotant de dispositions règlementaires permettant de mettre fin au maintien dans le
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The Conversation - Le monde d'après Hiroshima : comment le nucléaire est entr... - 0 views

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    "Le 8 août 1945, soit deux jours après qu'un avion B-29 américain Enola Gay ait largué la première bombe atomique sur Hiroshima, Albert Camus écrivait dans l'éditorial du journal Combat : « la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques. » Il n'était pas le seul à être terrifié par le pouvoir d'anéantissement de cette arme nouvelle. Bien d'autres intellectuels français ou étrangers - François Mauriac, Bernard Charbonneau, Lewis Mumford, Gunther Anders ou Michel Serres - ont pensé Hiroshima comme un événement qui marque non seulement la fin de la Seconde Guerre mondiale mais aussi comme un tournant historique tel que le monde d'après ne pourrait plus ressembler au monde d'avant. Et pourtant le nucléaire militaire et civil s'est installé durablement dans nos sociétés, dans les pays vaincus comme chez les vainqueurs. Le Japon qui a éprouvé la violence soudaine de l'explosion atomique et la violence rampante, sourde et insidieuse, des effets des radiations sur des centaines de milliers de victimes, n'a pas hésité à s'équiper de centrales nucléaires dès les années 1950, résolu à jouir du confort moderne en consommant biens et produits. Et le programme nucléaire national a été soutenu par une grande partie de la population japonaise, y compris parmi les victimes d'Hiroshima et Nagasaki. Comment comprendre un tel choix technologique quand on a été témoin et victime du potentiel destructeur de l'atome, quand l'électricité abondante et gratuite n'était qu'une promesse alors que les souffrances des victimes des deux bombes étaient une réalité quotidienne ? En 2011, l'accident de Fukushima venait rappeler la violence des réactions atomiques. Mais cette catastrophe, comme les précédents accidents de
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Ethique et Pandémie - Par-delà l'urgence sanitaire, construire un sens partag... - 1 views

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    "Le confinement, les restrictions apportées à la liberté d'aller et venir en particulier, et les mesures répressives qui l'ont accompagné, sont des décisions qui relèvent d'une situation exceptionnelle, qui ne doit compromettre ni le fonctionnement démocratique, ni la confiance que nous plaçons dans nos institutions. Elles ne sont pas la norme et doivent interroger à la fois sur l'anticipation commune de la survenance de tels phénomènes, prédis déjà par B. Obama, et sur la proportion des mesures prises au but recherché qui était à l'origine de protéger contre la propagation du virus et d'assurer un niveau de soins. Nous devons impérativement veiller au respect des libertés individuelles et des droits fondamentaux et ne pas nous accommoder d'une installation sur le temps long de mesures qui juridiquement et humainement heurtent au plus profond. Pour penser l'après, il est essentiel à la fois de faire émerger les principales valeurs qui nous tiennent ensemble, qui font société, à partir du terrain et de la réalité de ce qui a été vécu dans les choix et les arbitrages quotidiens, et de désegmenter les publics et les actions pour ouvrir nos réflexions au-delà de la question sanitaire. Ce qui s'est produit, et est encore à l'œuvre dans de nombreux endroits malgré la mobilisation, provoque une violence dans les esprits non seulement sur les libertés, mais aussi sur les fondements de ce qui fait notre humanité et notre cohésion sociale, c'est-à-dire nos valeurs et le fonctionnement concret, cohérent et en responsabilité de nos institutions. La réelle prise en compte des besoins, des attentes, et de la proximité avec les plus fragiles, dont chacun a désormais compris qu'il peut s'agir de lui demain, est fondamentale. L'accompagnement, dans et après le confinement, dans les situations de vulnérabilité les plus importantes, dans la fin de vie et le décès, aussi." Anne Caron-Déglise
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AgriDées - Comment circulerons-nous demain ? - 0 views

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    "Parmi les questions qui se poseront au sortir du confinement, celle des règles de circulation des hommes doit être instruite rapidement si l'on veut éviter que les bénéfices des mesures de confinement ne soient remises en cause par une nouvelle explosion de la pandémie.   En matière de santé animale et végétale, les contrôles sanitaires et phytosanitaires exercés nationalement, avec s'il y a lieu une vigilance locale, permettent non seulement de lutter efficacement contre la propagation des dommages des bio-agresseurs de toute nature, virus, bactéries et champignons, sans compter les insectes qui en sont les vecteurs, ou eux-mêmes bio-agresseurs.   Au plan des relations internationales, des accords multilatéraux ou bilatéraux prévoient la mise en oeuvre des dispositions, qui d'une part stipulent les conditions d'équivalence des systèmes nationaux, et qui d'autre part peuvent restreindre les échanges internationaux pour limiter les conditions de propagation des maladies des plantes comme des épizooties. Ainsi les certificats sanitaires ou phytosanitaires accompagnent-ils obligatoirement les mouvements de marchandises du commerce mondial. Et comme dernier recours, en cas de doute, le pays importateur peut procéder à des analyses complémentaires et à la mise  éventuelle en quarantaine des produits.   Pour la circulation des hommes, le problème est autrement compliqué. A l'intérieur d'un espace national aux frontières strictement fermées, quels seront les éléments individuels de garantie sanitaire permettant de mettre fin au confinement ? Puis entre les états, comment contrôler les mouvements de population rendus nécessaires pour la reprise de l'activité économique ?"
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Ademe - Crise sanitaire : vers des modes de vie plus écologiques ? - ADEME Pr... - 0 views

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    Quelques semaines après la fin du confinement mis en place dans le cadre de l'épidémie mondiale de COVID-19, l'ADEME présente différentes études qui éclairent sur les modes de vie et les aspirations des Français suite à cette crise sanitaire et qui s'inscrivent dans le cycle « Diagnostic commun » lancé par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Elle révèle ainsi ce jour son étude « Le télétravail et les modes de vie en lien avec le confinement de 2020 » qui rend compte des impacts du télétravail sur le quotidien des Français en matière de consommation et de mobilité notamment.
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Aire & Dax - La pandémie actuelle : miroir de notre humanité - 0 views

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    "Nous vivons une situation inédite. À l'heure de l'hyper mobilité, nous voici confinés. Aux déplacements en tous genres, aux évasions de voyages, c'est un quotidien du surplace qui s'impose à nos vies. Au moment où les technologies nous promettent un homme augmenté, un intrus microscopique déstabilise le fonctionnement de notre planète. Des femmes et des hommes ne peuvent plus travailler, des insécurités sociales et alimentaires se font jour. Pire : en ces temps de confinement, les violences domestiques se déchaînent. Et puis, plus ou moins loin de nous, des vies sont emportées. Des familles ne peuvent pas se réunir pour les accompagner vers leurs sépultures. Des personnels exposés s'angoissent à l'idée de risquer leur vie ou de transmettre la mort à leurs proches. Il y a, ici, quelque chose de l'apocalypse. Dire ceci ne vise pas à ajouter des parfums de fin du monde à cette situation pénible que nous traversons. Nous ne voulons pas ajouter de l'effroi à cette situation qui, à raison, inquiète ! Pas plus qu'en convoquant ce terme, nous ne voudrions voir là la colère d'un Créateur renvoyant ses créatures à leur déraison. Pure idiotie que cette lecture. L'apocalypse, n'est rien d'autre que le mot grec du dévoilement. Ce dévoilement qui révèle la pleine réalité du monde. Or, c'est bien à cela qu'il semble que nous assistions en ce moment. Cette crise met bien à la lumière les dérives, politiques, économiques, sociales, géopolitiques et environnementales de notre chère planète. Mais elle dévoile aussi ce que l'humanité abrite de meilleur. Dans ce moment de dérives, il nous reste bien des rives pour nous accrocher.  "
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We Demain - Coronavirus : l'épidémie va-t-elle provoquer un exode des citadin... - 0 views

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    "L'épidémie de Covid-19 a fait fuir de nombreux citadins vers les zones rurales, notamment des Parisiens. Prémisses d'un exode urbain plus massif ? Fin de règne des métropoles ? Entre ville et campagne, une troisième voie existe peut-être…. Marie et Pablo, réfugiés dans une maison du Perche, font partie des Parisiens qui s'accommodent assez bien du confinement. "Ici, nos deux enfants peuvent jouer dehors, ils sont heureux… et moins sur notre dos !" Leurs rêves de campagne ont même été confortés par la crise. "Cela fait réfléchir pour la suite…"   Comme eux, 17 %, des habitants de la capitale ont fui la ville dès le début du confinement, et plus d'un million de personnes avaient quitté l'Ile-de-France à la fin du mois de mars. Dans le même temps, les professionnels de l'immobilier observent une hausse des demandes de maison de campagne : 60 % des recherches sur seloger.com concernent des demeures avec jardin. Tandis que celles d'appartements parisiens ont baissé de 20 % depuis le confinement...  Rêves passagers liés à la crise sanitaire ou début d'un véritable "exode urbain" ? Le XXIe siècle verra-t-il un retour à la campagne, une sorte de "contre-urbanisation" ? "
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BSI Economics - Le réemploi et la réutilisation solidaire - 0 views

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    Utilité de l'article : Dans cet article, nous cherchons à identifier les acteurs du réemploi et de la réutilisation solidaire, leur rôle pour le développement d'une économie circulaire et leur modèle économique. Nous tentons de décrypter les enjeux actuels pour le développement de leur activité : la concurrence avec les marchés de l'occasion, le développement des partenariats avec les acteurs publics et privés, et la nouvelle loi économie circulaire. Résumé Les principaux acteurs du réemploi solidaire identifiés dans cet article sont : Emmaüs, les ressourceries et les recycleries, les diverses structures d'insertion œuvrant pour le réemploi et la réutilisation, et certaines œuvres caritatives comme la Croix Rouge ; Ces acteurs ont des modèles économiques variés, mais tous sont dépendants d'un accès aux gisements de marchandises pour leur projet social et environnemental ; Sur cet accès, les structures de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS) peuvent se retrouver en concurrence entre elles, mais surtout avec les marchés de l'occasion, dont les plateformes internet, qui peuvent capter les biens de meilleure qualité ; Néanmoins, les acteurs de l'ESS peuvent bénéficier de partenariats importants : les éco-organismes et les pouvoirs publics, dont les collectivités territoriales ; La nouvelle loi économie circulaire du gouvernement contient des mesures qui pourraient augmenter l'approvisionnement potentiel de ces structures de l'ESS ; via un accès aux déchèteries et en interdisant la destruction des produits neufs. Enfin, une mesure inscrit le réemploi solidaire au cœur de la responsabilité élargie des producteurs, ce qui pourrait conduire à un soutien du réemploi/réutilisation solidaire par des acteurs privés responsables de la gestion de leurs produits en fin de vie.
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Credoc - Sensibilité à l'environnement, relance verte et consentement à l'imp... - 0 views

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    "Cette note de synthèse présente les résultats des questions insérées par l'ADEME dans le dispositif d'enquête « Conditions de vie et aspirations » du CREDOC. Deux vagues ont été menées en 2020. La première, comme chaque année entre décembre et janvier et une deuxième vague exceptionnelle, pendant le confinement et la crise sanitaire, entre fin avril et début mai 2020. En résumé, l'expérience du confinement et de la crise sanitaire consolide un socle consensuel autour de la question environnementale. Sensibilité et préoccupations pour l'environnement restent au niveau le plus haut jamais enregistré, et le désir que les pouvoirs publics s'engagent dans la voie d'une relance écologique et sociale est largement partagé. Un des résultats forts est sans doute la remise en question de la soutenabilité de notre économie : une nette majorité de nos concitoyens plaide pour une réorientation vers des activités qui préservent l'environnement et la cohésion sociale, même si cela implique de renoncer au paradigme classique de la croissance. Parallèlement, le consentement à des mesures fiscales en faveur de l'environnement se renforce. Près d'un tiers des Français se déclarent prêt à payer une taxe spécifiquement dédiée à l'environnement (+6 points par rapport à janvier 2020). Au total, 60% de la population soutiendrait la mise en place d'une taxe carbone sous certaines conditions, comme l'affectation des recettes à la transition écologique, la baisse d'autres impôts et cotisations, ou une meilleure redistribution des recettes fiscales au profit des catégories modestes et moyennes. "
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Le Havre - Faisons sonner les cloches de toutes nos églises ! - 0 views

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    "Nous célébrons durant cette semaine, le 5ème anniversaire de l'encyclique Laudato si' du pape François. Cette célébration tombe dans une période de crise que personne n'avait imaginée. Des voix s'élèvent pour appeler à reconstruire nos sociétés sur de nouvelles bases. L'encyclique sur l'écologie nous offre des perspectives qui allient respect de la Création, attention aux plus pauvres, recherche de nouveaux modes de vie et de développement, plus sobres et plus justes. Disciples du Christ, nous sommes appelés à nous engager dans cette recherche avec tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté. Notre apport spécifique de chrétiens à cette réflexion et à l'effort de conversion, s'appuie sur l'Évangile et sur l'encyclique Laudato si'. Je relaie volontiers auprès de vous, à la demande du Saint-Père et de la Conférence des évêques de France, l'initiative proposée pour marquer la fin de la semaine Laudato si' : Ce Dimanche 24 mai 2020 à 20h00, faisons sonner les cloches de toutes nos églises.   Ces sonneries marqueront notre engagement pour dire notre désir de changer en profondeur au sortir de la crise sanitaire."
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[Diocèse de Nanterre] - Repères et perspectives : COP21 - 0 views

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    "Repères et perspectives est une initiative du doyenné de Boulogne-Billancourt. Le temps d'une soirée, comprendre et débattre pour agir autour de thèmes sociétaux : le travail, l'écologie, les sciences… En présence d'universitaires, de professionnels passionnés et de témoins, ouvrir des perspectives, devancer l'avenir tout en replaçant l'homme au cœur de toutes ces questions. Ce cycle de conférences aborde, à la fois des questions qui touchent très directement la vie personnelle de chacun, comme le travail, l'éducation ou la fin de vie, et des questions qui concernent la société de manière globale, telles que l'évolution du climat ou l'avenir de la construction européenne. La 2ème conférence autour de l'actualité COP 21 aura lieu mardi 8 décembre 2015, à 20h30, à l'amphithéâtre de l'Espace Landowski."
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Alliance Vita - Résultat de l'enquête de rue "Qu'aimeriez-vous faire avant de... - 1 views

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    Les résultats de cette enquête mettent en valeur un paradoxe : si la mort reste un sujet difficile à aborder, échanger sur cette question permet de dialoguer en profondeur sur le sens de l'humanité et les liens qui unissent les êtres humains. Cette étude révèle qu'il est possible de dépasser le tabou de la mort et d'en parler de façon humanisante. Plus précisément, les résultats font ressortir les aspects suivants : * Paradoxalement, évoquer ce sujet « tabou » avec un inconnu crée de l'empathie ; parler de la mort permet de libérer des énergies positives : une complicité naturelle apparait entre les personnes. * Parler de la mort offre l'occasion de préciser ce qui est considéré comme un meilleur accomplissement, comme si penser sa mort provoquait le désir de vivre pleinement * Parler de la mort c'est à la fois penser aux éléments les plus concrets qui s'imposent à la fin de vie, (confort médical, sécurité matérielle des proches) et se soucier des questions spirituelles (trouver la paix, demander pardon, vivre sa religion…).
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Centre d'observation de la société - Habitat pavillonnaire : le début de la f... - 0 views

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    "Plafonnement ou crise de croissance ? Depuis 2008, la part de logements individuels parmi l'ensemble des résidences principales stagne autour de 56,6 % selon les données de l'Insee. D'un côté, le coût du foncier progressent : entre 2006 à 2015, le prix moyen du m2 de terrain à bâtir quasiment été multiplié par deux, de 46 à 89 euros le m2, selon les données du ministère de la transition écologique. De l'autre, la crise économique a pesé sur les revenu des couches moyennes et rendu plus difficile l'accès à la propriété des catégories moins favorisées. Le nombre de nouveaux logements individuels construits chaque année est passé de 200 000 à 100 000 entre le début et la fin des années 2000."
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