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Bioéthique et avancées scientifiques : le point de vue du père Saintôt - 0 views

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    "La science est légitimement en quête d'efficacité, d'amélioration des techniques et de compréhension des causes des maladies et des handicaps pour les guérir. Les espoirs soulevés par des découvertes récentes semblent pousser la société à vouloir aller vers un contrôle systématique de la naissance, de la maladie et de la mort, vers la perfectibilité de l'être humain. Où se trouve la frontière entre ce que l'on peut faire et ce que l'on pourrait être capable de faire ? Quelle est celle à ne pas franchir au-delà de laquelle on porte atteint à l'être humain ? Il ne s'agit pas de remettre en cause les recherches scientifiques, mais d'en maîtriser l'usage. Aucune science ne trouve en elle-même sa pleine signification. Elle doit se confronter à d'autres pour aborder la question de leur sens et des conséquences des progrès scientifiques pour l'avenir. L'Église a fait de nombreuses déclarations sur le sujet. Comment la théologie peut-elle contribuer à développer les capacités de réflexion, d'argumentation et d'action des chrétiens confrontés aux difficiles questions de bioéthique ? Le jésuite Bruno Saintôt collabore au Département d'Ethique Biomédicale du Centre Sèvres à Paris. Il est interrogé par Thomas Chabolle RealAudioMP3 "Je pourrais dire qu'à la lumière de ce nouveau pontificat, le Pape veut remettre au centre l'Évangile et peut-être pas d'abord l'interdit. Mais il n'a rien changé, je pense qu'il ne va rien changer sur à la fois la doctrine sociale mais aussi les grandes références anthropologiques et éthiques de ces prédécesseurs Benoît XVI, Jean-Paul II, Jean-Paul VI, Jean XXIII. Il ne va rien changer sur la doctrine fondamentale. Par contre on pourrait dire, qu'il remet au centre l'Évangile : la Bonne Nouvelle, l'accueil fondamental de l'autre et aussi le pouvoir que l'homme a de faire le bien. Il faut toujours commencer par révéler aux hommes le pouvoir qu'ils ont de faire l
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Sénat - Synthèse du rapport de la commission des affaires sociales - Proposit... - 0 views

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    Cette proposition de loi a été déposée au Sénat par Alain MILON et plusieurs de ses collègues, le 5 février 2018. Les progrès de la génétique permettent d'analyser la transmission des caractères héréditaires prédisposant à la survenue de pathologies, notamment de cancers. Les médecins onco-généticiens essayent de préciser au mieux les risques d'un patient mais également des membres de sa famille pour préconiser la solution la plus adaptée : surveillance et/ou prévention. Parfois, il est nécessaire de remonter l'histoire familiale de cancers afin de conseiller les apparentés vivants, ce qui nécessite le recours à des analyses sur des personnes décédées afin d'obtenir des informations pouvant être utiles à la famille. Depuis plusieurs années, les analyses sont faites par prise de sang chez des patients ayant un risque élevé d'être porteurs d'une anomalie prédisposante. Ces prélèvements sont conservés longtemps, même si le patient est décédé. Les techniques permettent d'analyser du tissu conservé en laboratoire et qui avait été prélevé plusieurs années auparavant. Les évolutions technologiques et les progrès scientifiques nécessitent une évolution législative afin de mettre en adéquation ces progrès et la réglementation. La loi actuelle prévoit le consentement du patient ; or, en l'espèce, celui-ci est par définition impossible à obtenir. Cette proposition de loi prévoit de permettre à une personne décédée avant de connaitre le résultat du diagnostic génétique, ou en l'absence d'un tel diagnostic, de protéger ses descendants grâce à un dépistage précoce. La Conférence des Présidents du Sénat a décidé que ce texte sera examiné conformément à la procédure de législation en commission selon laquelle le droit d'amendement des sénateurs et du Gouvernement s'exerce en commission
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Sénat - Rapport de la commission des affaires sociales - Proposition de loi a... - 0 views

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    Cette proposition de loi a été déposée au Sénat par Alain MILON et plusieurs de ses collègues, le 5 février 2018. Les progrès de la génétique permettent d'analyser la transmission des caractères héréditaires prédisposant à la survenue de pathologies, notamment de cancers. Les médecins onco-généticiens essayent de préciser au mieux les risques d'un patient mais également des membres de sa famille pour préconiser la solution la plus adaptée : surveillance et/ou prévention. Parfois, il est nécessaire de remonter l'histoire familiale de cancers afin de conseiller les apparentés vivants, ce qui nécessite le recours à des analyses sur des personnes décédées afin d'obtenir des informations pouvant être utiles à la famille. Depuis plusieurs années, les analyses sont faites par prise de sang chez des patients ayant un risque élevé d'être porteurs d'une anomalie prédisposante. Ces prélèvements sont conservés longtemps, même si le patient est décédé. Les techniques permettent d'analyser du tissu conservé en laboratoire et qui avait été prélevé plusieurs années auparavant. Les évolutions technologiques et les progrès scientifiques nécessitent une évolution législative afin de mettre en adéquation ces progrès et la réglementation. La loi actuelle prévoit le consentement du patient ; or, en l'espèce, celui-ci est par définition impossible à obtenir. Cette proposition de loi prévoit de permettre à une personne décédée avant de connaitre le résultat du diagnostic génétique, ou en l'absence d'un tel diagnostic, de protéger ses descendants grâce à un dépistage précoce. La Conférence des Présidents du Sénat a décidé que ce texte sera examiné conformément à la procédure de législation en commission selon laquelle le droit d'amendement des sénateurs et du Gouvernement s'exerce en commission
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Bioéthique, transhumanisme ou humanisme ? Quelle politique pour la France ? B... - 1 views

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    "A l'occasion de l'élection présidentielle, la Fondation publie un document de référence « Bioéthique, quelle politique pour la France ? », pour : - INFORMER des mesures bioéthiques observées depuis 2012 sur des thèmes qui ont marqué l'actualité : avortement, procréation médicalement assistée, euthanasie, recherche sur l'embryon, GPA, don d'organes, eugénisme et trisomie 21. - DÉCRYPTER ces enjeux par des experts. - FAIRE DES RECOMMANDATIONS pour les prochains responsables politiques. La révision de la loi de bioéthique sera l'occasion de concrétiser ces recommandations. La lecture de ce bilan fait apparaître : - UNE ACCÉLÉRATION DES RÉFORMES dites « sociétales » qui vont dans le sens du transhumanisme c'est-à-dire de la priorité donnée à la technique et au marché sur l'éthique, sans le moindre souci clairement exprimé des finalités poursuivies. - UNE PULVÉRISATION DE LA NOTION DE LIMITE au profit de celle de progrès infini. Dans une vision à la fois libérale et libertaire, tout ce qui peut être fait doit être mis à disposition de tous. Est juste ce qui va dans le sens du progrès, est injuste ce qui s'y oppose. - UNE REDUCTIO AD BARBARUM DE L'ADVERSAIRE. Le barbare était hier celui qui n'entendait pas le grec, il est aujourd'hui celui qui n'entend pas le progrès (au sens où l'entendent les usurpateurs). Il importe donc de le neutraliser : censure d'un film défendant les enfants trisomiques, délit d'entrave à l'information sur l'avortement, pétition de chercheurs sur l'embryon et d'eugénistes contre ceux qui font respecter la loi, etc. Une dernière chose doit être précisée. Le bilan présenté est celui d'une parenthèse de cinq ans. Mais il s'inscrit dans un temps beaucoup plus long : celui des lois de bioéthique de 1994, 2004, et 2011 qui ont préparé et rendu possibles les transgressions concentrées du quinquennat sans qu'aucune régulation n'ait jamais ét
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Conférence : Le transhumanisme, espoir ou folie ? - Diocèse de La Réunion - 0 views

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    "Le transhumanisme sera le thème d'une série de deux conférences données en janvier 2017 par le Dr Roger Gaud, dans le cadre du Sedifop. À Saint-Denis, Maison diocésaine, rue de Paris. En pleine expansion aux USA et en Chine depuis les années 1980, le transhumanisme est un courant de pensée qui prétend utiliser les progrès de la science et de la technologie pour transformer l'homme. Son but est de lui permettre de dépasser ses limites biologiques jusqu'à aboutir à un « homme augmenté » qui ne connaitrait plus ni la souffrance, ni même la mort, l'accession à l'immortalité étant un des buts affichés de ce mouvement. Loin de s'appuyer sur des savants extravagants épris de science fiction, la recherche transhumaniste est le fait de scientifiques hyper‑diplômés sortis d'universités prestigieuses. Cette recherche dispose de moyens financiers considérables, grâce, en particulier à la société Google. Et elle bénéficie de moyens technologiques solides, vu les progrès impressionnants faits depuis vingt ou trente ans par les nanotechnologies, les biotechnologies, les sciences de l'informatique et les recherches sur le cerveau humain. Un tel mouvement ne peut que susciter des interrogations, des espoirs et des inquiétudes. Notre exposé comprendra une première partie qui nous permettra de brosser un rapide panorama de l'état des recherches, actuelles et à venir, du transhumanisme. Et dans une seconde partie nous nous pencherons sur des questions d'ordre pratique, puis d'ordre philosophique et éthique, et enfin d'ordre spirituel que suscite ce mouvement."
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Recherche sur l'embryon humain : craignant une réglementation trop stricte, l... - 0 views

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    "La Société Internationale de recherche sur les cellules souches (ISSCR)[1] a mis à jour ses recommandations face à l'actualité, notamment concernant la manipulation génétique d'embryons humains. Les auteurs espèrent ainsi « apaiser » les tensions éthiques, et « éviter la nécessité d'une réglementation stricte du gouvernement qui pourraient entraver les progrès de la science ». « L'autorégulation est la meilleure forme de réglementation», a déclaré Charles Murry, membre de l'ISSCR, et bio-ingénieur à l'Université de Washington à Seattle, expliquant avec assurance que «la communauté scientifique est la mieux placée pour trouver le juste équilibre entre les progrès rapides et une pratique de la recherche sûre et éthique »."
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Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé - Rapport Franc... - 0 views

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    Le séquençage du génome humain permettra dans les années à venir l'amélioration des diagnostics, et donc des soins dispensés aux patients sur l'ensemble du territoire. Dans cette perspective, Manuel Valls avait confié en avril 2015 à Yves Lévy, président de l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan), la mission de faire entrer la France dans l'ère de la médecine génomique. Nous avons rencontré le président-directeur général de l'Inserm à l'issue de la remise de son rapport au Premier ministre, le 22 juin 2016. Il revient sur les enjeux de la médecine génomique et les grands objectifs du plan proposé. TweeterPartagerEnvoyer "La médecine génomique c'est la capacité, avec la technologie actuelle, d'avoir une séquence de l'ensemble de notre génome et donc d'identifier des gènes de susceptibilité, des gènes anormaux, mais aussi des facteurs de prédiction, de réponse aux traitements, et des maladies peut-être dans le futur", explique Yves Lévy. "En France, nous avons dans certains domaines fait des progrès considérables, grâce à des plans gouvernementaux, notamment dans le domaine du cancer", domaine dans lequel "tous les patients aujourd'hui ont un accès à ces diagnostics pour avoir un traitement ciblé." "Mais on a aussi un retard technologique dans la mise en place de ces approches sur l'ensemble du génome, pas simplement sur des petites parties du génome, pour l'ensemble des autres pathologies", constate-t-il. Le rapport remis au Premier ministre le 22 juin 2016 identifie donc plusieurs enjeux. Tout d'abord, un enjeu de santé publique. "Il faut que les maladies rares, les déficits intellectuels par exemple chez les enfants, ou même les maladies communes puissent avoir accès" aux progrès réalisés dans le domaine du cancer. Un enjeu économique ensuite, "considérable". Enfin, un enjeu de compétition internationale, sur le plan de la recherche et du soin. Yves Lévy détaille ens
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Quel avenir du système de santé ? Le probable et le possible. - Attac France - 0 views

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    "La réponse à la question concernant l'avenir du système de santé peut se faire selon deux approches : l'approche futuriste scientiste qui voit loin et l'approche pragmatique à portée plus limitée. La première fait rêver (ou cauchemarder), spéculant sur les progrès technologiques de la génétique, de l'immunologie, des nanotechnologies, de l'informatique, de la robotique, de l'intelligence artificielle… censés permettre de tout prévenir et/ou de tout réparer et/ou de tout remplacer. Le médecin sera devenu un informaticien et/ou un ingénieur. Le patient « hyper-connecté » gérera ses consultations et ses traitements grâce aux NTIC. Les seules questions qui vaillent seront d'ordre éthique et financier : faudra-t-il remplacer le vieil homme par « l'homme augmenté », version biologique de feu « l'homme nouveau » [1] [2] ? L'accès à ces progrès sera-t-il généralisé ou devra-t-il être réservé à ceux qui pourront se les payer ?"
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Vers un eugénisme éthique ? La problématique de la recherche sur l'embryon, p... - 0 views

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    "Au terme d'une année de travail de notre groupe de réflexion (l'espace local de réflexion éthique du centre hospitalier Poissy-Saint-Germain-en-Laye, ndlr) sur le thème de « l'évolution et le progrès », un des chercheurs du centre de procréation médicalement assistée (PMA) nous a soumis cette question : « Peut-on envisager un eugénisme éthique ? » Cette réflexion personnelle, en tant que médecin protestant, sera reprise avec le service intéressé. « Nous vivons dans un monde où les moyens sont de plus en plus perfectionnés, et les fins de plus en plus incertaines… ». Cette inquiétude d'Einstein exprime tout à la fois la responsabilité éthique des équipes de chercheurs, mais aussi de la société, interpellées par une découverte, un savoir nouveau : il nous faut réfléchir au souhaitable et au non-souhaitable, au possible et au non-acceptable. Or la société n'est pas monolithique, y compris au sein des divers courants philosophiques ou religieux, et le débat se heurte vite à des positions assez tranchées, la tradition d'une part, pouvant donner une définition assez figée de la nature et de l'homme, entravant toute évolution ou changement ; la modernité d'autre part, moins hostile au « progrès », cherchant une norme collective, argumentée, évolutive, mais pouvant évoquer une éthique de type utilitariste… Il nous faut donc analyser les enjeux technologiques, éthiques et spirituels pour tenter une réponse à cette question."
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De la dignité | Le Petitchose - 0 views

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    "Je descendrai dans la rue le jour où se posera la question de mettre dans une loi « Mr/Mme … peut, sous les conditions … , tuer/aider à mourir Mr/Mme… » (remplir les « … » par ce que vous voulez et rayer la mention inutile, ils pourront toujours être changés une fois écrit). Même si ma grand-mère déteste que je manifeste. Dans la société dans laquelle je vais devenir grand-mère, je veux que le personnel médical soit payé pour faire attention à ma personne et pas seulement à ma maladie. Accès aux toilettes compris. Dans la société dans laquelle je risque de finir vieille, je veux que les progrès techniques soient corrélés avec des progrès en lien humain."
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Transhumanisme : quand Google, Apple et Facebook veulent changer l'homme - Bi... - 0 views

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    "On souriait jadis en écoutant des scientifiques ou des philosophes rêver d'immortalité. Aujourd'hui le rêve rejoint la réalité. Le transhumanisme est là, issu des progrès des biotechnologies, des sciences cognitives, des nanotechnologies et de l'intelligence artificielle. Facebook et Apple proposent à leurs salariées de congeler leurs ovocytes pour que la maternité n'entrave pas leur carrière. Google a embauché Ray Kurzweil, l'un des grands papes du transhumanisme. L'interrogation et l'inquiétude montent. Réflexions et formations deviennent indispensables pour encadrer ces progrès fulgurants, en saisir le meilleur et éviter le pire."
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Vie publique - Ethique et neurosciences - 0 views

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    "Le défi des neurosciences consiste à expliquer le fonctionnement du cerveau humain. A ce premier objectif qui intéresse la recherche fondamentale, s'ajoute un intérêt thérapeutique : mieux comprendre le cerveau pour mieux soigner les maladies qui l'affectent. Les progrès réalisés par les neurosciences suscitent des espoirs mais leur usage dans des domaines autres que la médecine est controversé et soulève des questions éthiques. Quelles limites fixer à l'intervention médicale et technologique sur le vivant alors que les progrès de la science sont fulgurants ?"
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The Conversation - Nous nous approchons des limites biologiques de l'espèce h... - 0 views

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    "Demain, serons-nous plus grands ? plus puissants ? plus durables ? Le débat sur nos capacités est passionné et ses enjeux sont considérables. L'être humain continue-t-il de progresser, repoussant sans cesse ses limites, ou les a-t-il déjà en grande partie atteintes ? Deux conceptions s'affrontent : la première s'ancre dans le XIXe siècle et ses promesses d'éternel progrès, dont la quête de l'« homme "augmenté » prolonge la tradition. Elle imagine l'humain s'affranchissant de toutes ses limites, dépassant sa propre définition, voire se recréant ex nihilo. La seconde s'appuie sur les données établies, biologiques, physiques et environnementales, et suggère un progrès désormais restreint. Elle démontre à nouveau qu'une croissance ne peut être infinie."
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CCNE - Texte de l'avis - Avis 133 "Modifications du génome" - 0 views

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    Nos connaissances sur les génomes ont remarquablement progressé, particulièrement grâce aux progrès des technologies de l'ingénierie génomique. De nombreuses applications ont vu le jour, et d'autres sont espérées, tant pour la santé de l'homme, que dans les domaines végétal et animal. Face aux craintes et légitimes questionnements aujourd'hui posés par ces développements, le CCNE a décidé de porter un regard éthique sur les modifications ciblées du génome rendues possibles par ces technologies. Il rend public aujourd'hui son Avis 133[1] qui représente le premier exercice de réflexion éthique sur ces modifications dans l'ensemble du vivant, humain et non humain. S'il lui parait important de continuer à soutenir la recherche fondamentale - source de connaissances -, le CCNE appelle à la vigilance et à la surveillance, dans un cadre réglementaire éventuellement renforcé, pour toute application de ces progrès concernant les espèces animales et les plantes. Chez l'homme, l'ampleur des incertitudes en cas de transmission des modifications génétiques à la descendance impose de recourir, dans un contexte où un certain nombre de pays ne disposent pas d'un encadrement législatif suffisant, à un moratoire international. Le CCNE estime essentielle l'organisation de réflexions éthiques sans attendre que l'avancée des sciences permette d'éventuellement apporter un « soin génétique individuel ». Au même moment, les Comités d'éthique français, anglais et allemand publient dans Nature une déclaration commune sur l'enjeu éthique des modifications ciblées du génome humain.
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CCNE - Communiqué de presse - Ethique et modification ciblée du génome humain... - 0 views

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    Déclaration commune du CCNE, du Comité d'éthique allemand et du Comité d'éthique anglais Nos connaissances sur les génomes ont remarquablement progressé, particulièrement grâce aux progrès des technologies de l'ingénierie génomique. De nombreuses applications ont vu le jour, et d'autres sont espérées, tant pour la santé de l'homme, que dans les domaines végétal et animal. Face aux craintes et légitimes questionnements aujourd'hui posés par ces développements, le CCNE a décidé de porter un regard éthique sur les modifications ciblées du génome rendues possibles par ces technologies. Il rend public aujourd'hui son Avis 133[1] qui représente le premier exercice de réflexion éthique sur ces modifications dans l'ensemble du vivant, humain et non humain. S'il lui parait important de continuer à soutenir la recherche fondamentale - source de connaissances -, le CCNE appelle à la vigilance et à la surveillance, dans un cadre réglementaire éventuellement renforcé, pour toute application de ces progrès concernant les espèces animales et les plantes. Chez l'homme, l'ampleur des incertitudes en cas de transmission des modifications génétiques à la descendance impose de recourir, dans un contexte où un certain nombre de pays ne disposent pas d'un encadrement législatif suffisant, à un moratoire international. Le CCNE estime essentielle l'organisation de réflexions éthiques sans attendre que l'avancée des sciences permette d'éventuellement apporter un « soin génétique individuel ». Au même moment, les Comités d'éthique français, anglais et allemand publient dans Nature une déclaration commune sur l'enjeu éthique des modifications ciblées du génome humain.
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CCNE - Déclaration commune - Ethique et modification ciblée du génome humain ... - 0 views

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    Déclaration commune du CCNE, du Comité d'éthique allemand et du Comité d'éthique anglais Nos connaissances sur les génomes ont remarquablement progressé, particulièrement grâce aux progrès des technologies de l'ingénierie génomique. De nombreuses applications ont vu le jour, et d'autres sont espérées, tant pour la santé de l'homme, que dans les domaines végétal et animal. Face aux craintes et légitimes questionnements aujourd'hui posés par ces développements, le CCNE a décidé de porter un regard éthique sur les modifications ciblées du génome rendues possibles par ces technologies. Il rend public aujourd'hui son Avis 133[1] qui représente le premier exercice de réflexion éthique sur ces modifications dans l'ensemble du vivant, humain et non humain. S'il lui parait important de continuer à soutenir la recherche fondamentale - source de connaissances -, le CCNE appelle à la vigilance et à la surveillance, dans un cadre réglementaire éventuellement renforcé, pour toute application de ces progrès concernant les espèces animales et les plantes. Chez l'homme, l'ampleur des incertitudes en cas de transmission des modifications génétiques à la descendance impose de recourir, dans un contexte où un certain nombre de pays ne disposent pas d'un encadrement législatif suffisant, à un moratoire international. Le CCNE estime essentielle l'organisation de réflexions éthiques sans attendre que l'avancée des sciences permette d'éventuellement apporter un « soin génétique individuel ». Au même moment, les Comités d'éthique français, anglais et allemand publient dans Nature une déclaration commune sur l'enjeu éthique des modifications ciblées du génome humain.
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CCNE - Communiqué de presse - Avis 133 "Modifications du génome" - 1 views

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    Nos connaissances sur les génomes ont remarquablement progressé, particulièrement grâce aux progrès des technologies de l'ingénierie génomique. De nombreuses applications ont vu le jour, et d'autres sont espérées, tant pour la santé de l'homme, que dans les domaines végétal et animal. Face aux craintes et légitimes questionnements aujourd'hui posés par ces développements, le CCNE a décidé de porter un regard éthique sur les modifications ciblées du génome rendues possibles par ces technologies. Il rend public aujourd'hui son Avis 133[1] qui représente le premier exercice de réflexion éthique sur ces modifications dans l'ensemble du vivant, humain et non humain. S'il lui parait important de continuer à soutenir la recherche fondamentale - source de connaissances -, le CCNE appelle à la vigilance et à la surveillance, dans un cadre réglementaire éventuellement renforcé, pour toute application de ces progrès concernant les espèces animales et les plantes. Chez l'homme, l'ampleur des incertitudes en cas de transmission des modifications génétiques à la descendance impose de recourir, dans un contexte où un certain nombre de pays ne disposent pas d'un encadrement législatif suffisant, à un moratoire international. Le CCNE estime essentielle l'organisation de réflexions éthiques sans attendre que l'avancée des sciences permette d'éventuellement apporter un « soin génétique individuel ». Au même moment, les Comités d'éthique français, anglais et allemand publient dans Nature une déclaration commune sur l'enjeu éthique des modifications ciblées du génome humain.
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The Conversation - Et si les machines pouvaient nous rendre plus humains ? - 0 views

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    "En termes de calcul, les ordinateurs ont atteint des capacités bien supérieures aux nôtres depuis longtemps. Cela leur permet aujourd'hui de résoudre un certain nombre de tâches dans des domaines aussi variés que la reconnaissance d'image, le traitement automatique de la langue telle que nous la parlons (langue naturelle), la détection de fraude ou le ciblage marketing. Ces progrès ont été rendus possibles en particulier grâce aux progrès de l'intelligence artificielle, qui nécessitent à la fois beaucoup de données et une grande puissance de calcul. Pour autant, l'intelligence se résume-t-elle à une capacité de calcul ? Aujourd'hui, des robots et personnages virtuels apparaissent dans notre environnement en incarnant de plus en plus souvent des rôles sociaux particuliers : tuteur virtuel, conseiller, compagnon, coach, etc.. Dans ces contextes d'usages, les machines doivent être dotées d'une certaine forme d'intelligence sociale et émotionnelle pour être capable de coopérer et de s'engager dans une interaction sociale avec l'utilisateur. L'intelligence sociale se définit comme la capacité de reconnaître et d'exprimer des comportements sociaux, tels que la politesse ou la dominance, et la capacité de gérer ces comportements pour construire une relation sociale avec un autre individu et l'amener à coopérer. L'intelligence émotionnelle se définit quant à elle comme la capacité de reconnaître, exprimer et gérer ses propres émotions et celles d'autrui."
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Aix & Arles - Bioéthique : le réveil des consciences ? - 0 views

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    "Le 27 juillet prochain, le projet de loi relatif à la bioéthique sera présenté en 2ème lecture à l'Assemblée Nationale. Les députés portent une immense responsabilité devant les générations à venir que les jugeront. Voteront-ils selon leur conscience ou selon les lobbies idéologiques du moment ?  Le débat au parlement touche ici à la valeur sans prix de l'être humain et de l'enfant. Nous voyons aujourd'hui la question écologique réveiller les consciences et interroger le progrès tel qu'il a été conçu depuis deux siècles. Ce progrès a fait mal à la terre et à la vie sur la terre, il a abîmé notre maison commune. La bioéthique n'est pas étrangère au virage écologique de ces derniers mois. Saura-t-elle, elle aussi, prendre ce virage ? L'enfant qui naît aujourd'hui jugera demain les lois qui auront brouillé sa filiation. Priver un enfant de père ne respecte pas ses droits et ne peut pas être pour lui un bien."
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Fin de vie, le progrès médical engendre de nouveaux dilemmes | La-Croix.com - 0 views

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    Presse La croix Fin de vie, le progrès médical engendre de nouveaux dilemmes ACY - vu le 15/10/2012
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