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Dans les dernières années, différentes technologies ont fait leur apparition et se sont développées à l'échelle planétaire, entrainant des bouleversements importants dans le monde des communications, dans les sciences, les industries, etc. Internet à lui seul apporte des changements si importants que plusieurs le comparent à l'apparition de l'imprimerie. Plusieurs secteurs de l'industrie sont touchés par ces bouleversements, notamment celui des arts et de la culture. Apparition de nouveaux acteurs, transformation de la chaine de production traditionnelle, augmentation importante des possibilités de diffusion, redéfinition de la notion de droits d'auteur ne sont que quelques-unes des questions nouvelles qu'introduit le développement des technologies numériques. Des possibilités émergent, des enjeux se dessinent et poussent les acteurs du milieu à réfléchir et à s'adapter à cette nouvelle donne. C'est dans cet ordre d'idée que le Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue (CCAT) a d'abord sondé le milieu culturel régional concernant son utilisation des technologies numériques pour ensuite colliger ces données dans un portrait. Le colloque AVANTAGE NUMÉRIQUE auquel ont participé plusieurs intervenants du secteur culturel s'est ensuite tenu le 20 février 2012.

Les robots quittent la section science-fiction des bibliothèques de Montréal pour s'installer derrière les comptoirs de prêt. D'ici trois ans, la Ville de Montréal investira près de 8 millions de dollars pour automatiser les prêts et les retours de documents dans ses 43 bibliothèques, grâce à une nouvelle technologie utilisant l'identification par radiofréquence (RFID).

We've long noted the need for data science types who can bridge between us. And now, to my utter delight, a new lab is emerging to complement our lab. The folks who are going to serve as the founding members of the new NYC lab are computer scientists, physicists, experimental economists, and data scientists. Many of them are interested in social network analysis and big data problems but - or shall I say crucially - they all see the value in collaborating with ethnographers. In other words, we're building a cross-lab team that'll create new possible interdisciplinary collaborations that make my heart go pitter patter. The new lab will become the thirteenth Microsoft Research office worldwide, but it is being heralded as a particularly significant addition, according to researchers who will work directly with the New York team. Danah Boyd, a member of Social Media Collective at Microsoft's New England site, says that new the new lab will complement the organisation's existing structure and help provide a bridge with her lab for future research:

Le salon de la plate-forme THD se tiendra les 28 et 29 janvier 2011, au Carrefour Numérique de la Cité des sciences et de l'industrie. 

La Plateforme d'expérimentation THD organise en collaboration avec Universcience, un évènement sur deux jours intitulé Internet à Très Haut Débit : une révolution des usages ? au Carrefour Numérique de la Cité des sciences et de l'industrie, les vendredi 28 janvier et samedi 29 janvier 2011.

De toutes les applications soi-disant "web 2″ ou faisant appel à l'intelligence collective, Foldit pouvait apparaître, lors de sa sortie en 2008, comme la plus prometteuse, tant elle semblait au confluent des différentes tendances actuellement en gestation : d'abord, il s'agissait d'un vrai moyen de "changer le monde par le jeu" qui abolissait la frontière entre éducation et recherche. C'était aussi la première "vraie" application de biohacking: soyons honnête, il n'est pas encore venu le temps ou chacun bricolera l'ADN dans sa cuisine. Mais agir sur des simulations informatiques d'authentiques structures biologiques (et non sur des formalisations abstraites, comme c'est le cas avec les systèmes de vie artificielle), avec la promesse d'obtenir des résultats pertinents dans le monde réel, voilà ce que permet Foldit, et c'est sans doute ce genre d'outils qu'utiliseront les "biohackers" de demain.

ThinkData est un service interactif de sensibilisation à la protection des données et à la transparence dans le cadre organisationnel. Issu d'une réflexion menée par un groupe de travail interdisciplinaire, dans le cadre d'un laboratoire d'idées sur la science des services et l'innovation (ThinkServices http://www.thinkservices.ch/ ), ThinkData permet de se familiariser avec les concepts de protection des données et de transparence au travers d'histoires courtes, mettant en situation des employés, des cadres, des responsables des ressources humaines et des systèmes d'information. Les questions traitées concernent par exemple la biométrie, la gestion du courriel, la géolocalisation, la vidéosurveillance, le vol des données, etc. Sous chaque scénario, se trouvent les principes de base qui s'appliquent, des recommandations, ainsi que des exemples réels et diverses ressources illustrant les cas.

he mission of IPTS is to provide customer-driven support to the EU policy-making process by developing science-based responses to policy challenges that have both a socio-economic as well as a scientific/technological dimension. We call this "techno-economics". Our techno-economic research is carried out by multi-disciplinary teams that bring together socio-economic and scientific/technological expertise. Their analyses are underpinned by specialised research tools, both quantitative, for example modelling, and qualitative, for example foresight.

Ce dossier coordonné par Divina Frau-Meigs (Sorbonne Nouvelle), Éric Bruillard (ENS Cachan) et Éric Delamotte (Université de Rouen), rassemblant douze contributions, prolonge celui sur l'éducation aux médias proposé par l'Ina en janvier 2011. Il répond à une attente des communautés de recherche et de pratique sur le terrain voisin de l'éducation à la culture informationnelle. À l'heure où les textes européens l'inscrivent dans le socle de base des compétences, elle semble paradoxalement stagner. La prise en compte de la culture de l'information, conçue comme un enjeu culturel, démocratique et économique majeur de l'ère numérique, revêt des sens très différents selon les disciplines mises en dialogue ici, l'informatique, la documentation, l'information-communication, avec l'appui des sciences de l'éducation. Le besoin de clarification épistémologique se fait sentir d'autant plus que les pratiques des jeunes sur les réseaux créent des confusions problématiques (liberté d'expression, propriété intellectuelle, vie privée). D'où la confrontation des définitions développées par les chercheurs des disciplines impliquées pour clarifier le périmètre du terme « information », repérer les notions-frontières et les concepts-relais, et pour établir des passerelles permettant de négocier les complémentarités entre les divers champs. À travers les nouvelles configurations des compétences et des pratiques et leurs retombées pour l'éducation, se dessine aussi une « translittératie » partagée, entre les pratiques empiriques anglophones et les recherches transdisciplinaires et didactiques qui font l'originalité de l'approche française. Alors que des approches segmentées sur l'information président à l'organisation de la recherche, ce dossier plaide pour une approche intégrée des cultures de l'information. Janvier 2012.

Le prix du Territoire Innovant (catégorie Performance & Mutualisation) a été attribué à la Communauté d'Agglomération Sophia Antipolis pour son projet "Extranet Communautaire" visant à sécuriser l'accès aux informations pour les membres du conseil communautaire grâce à une technologie d'ADN du Numérique. C'est donc tout naturellement à Michel Cosnard, Président-Directeur général d'Inria, Institut dédié aux sciences du numérique, qu'il a été demandé de remettre ce prix à Jean Leonetti, président de la CASA et ministre chargé des Affaires Européennes.

Le centre de recherche Inria Sophia Antipolis - Méditerranée est un acteur scientifique bien dans sa région. C'est aussi un acteur engagé dans le développement des sciences et technologies numériques sur tout l'arc méditerranéen

L'intelligence artificielle peut-elle nous apprendre ce que c'est qu'être humain ? C'est la question qu'a posé Brian Christian, dans son livre Le plus humain des humains, qui a obtenu de figurer dans le top des essais du New Yorker pour l'année 2011. Récemment, l'auteur (qui possède à la fois des diplômes en sciences de l'information et en poésie) a donné une conférence au Santa Fe Institute au cours de laquelle il a exposée bon nombre de ses idées.

Depuis plusieurs années les risques d'Internet, les faits divers en lien avec le réseau ont alimenté le registre des critiques du numérique. En tenant ces propos, leurs auteurs avaient une bonne intention et souhaitaient ainsi protéger la population et parfois freiner la diffusion de ces techniques. L'observation montre que si elle a réussi à freiner quelque chose c'est d'abord la possibilité de développer une véritable éducation au monde numérique, et cette responsabilité est plus lourde de conséquences qu'on ne le pense. Au lieu de cela on a vu se développer des conférences pour prévenir les dangers, des initiatives pour imaginer une vie comme avant, sans numérique… et d'autres initiatives luttant contre ce que le B2i avait au le mérite de pointer : la présence du numérique dans le quotidien implique que chacun prenne sa part à l'éducation et que chaque discipline contribue à cette démarche. Refusant de spécialiser dans une discipline le numérique, le B2i avait certes le défaut de mettre de coté les sciences du numérique. Mais à la différence d'autres apprentissages scolaires, le numérique est un fait social avant d'être un fait scolaire… Or en faire un objet uniquement scolaire aurait eu l'effet de rejet voulu par les détracteurs de ces technologies. Cela aurait eu comme effet de marginaliser les pratiques sociales au profit des pratiques « savantes » et ainsi scolarisées peu courantes dans la vie quotidienne des jeunes.

What happened to the future? Weren't things supposed to be cooler by now, smarter, safer? Raised on a steady diet of science fiction, overzealous politicians and corporate hype, Americans expected to be living in The Jetsons -- but instead find themselves stuck in a scarier version of The Waltons. The truth is that people simply aren't very good at predicting the future. It was only two centuries ago that we began to think we could do it at all, and we're still learning. Hindsight may be 20/20, but foresight remains largely blind.

The UK Royal Society is a fellowship of the world's most brilliant scientists. Founded in 1660, its members have included Sir Isaac Newton, Charles Darwin and Albert Einstein. Distinguished thinkers Richard Dawkins, Stephen Hawking and Tim Berners-Lee are current members of the society. It is arguably the most prestigious scientific community in the world. And so it is of note how strident it is about the importance of open data for the advancement of science.

But there's growing evidence that the innovation shortfall of the past decade is not only real but may also have contributed to today's financial crisis. Think back to 1998, the early days of the dot-com bubble. At the time, the news was filled with reports of startling breakthroughs in science and medicine, from new cancer treatments and gene therapies that promised to cure intractable diseases to high-speed satellite Internet, cars powered by fuel cells, micromachines on chips, and even cloning. These technologies seemed to be commercializing at "Internet speed," creating companies and drawing in enormous investments from profit-seeking venture capitalists-and ordinarily cautious corporate giants. Federal Reserve Chairman Alan Greenspan summed it up in a 2000 speech: "We appear to be in the midst of a period of rapid innovation that is bringing with it substantial and lasting benefits to our economy."

"Health care costs rise as doctors try batches of treatments that don't work in search of one that does. Meanwhile, drug companies spend billions on developing each drug and increasingly end up with nothing to show for their pains. This is the alarming state of medical science today. Shahid Shah, device developer and system integrator, sees a different paradigm emerging. In this interview at the Open Source convention, Shah talks about how technologies and new ways of working can open up medical research."

"Having worked in academia, government and industry, I've had a unique opportunity to build products in each sector. Much of this product development has been around building data products. Just as methods for general product development have steadily improved, so have the ideas for developing data products. Thanks to large investments in the general area of data science, many major innovations (e.g., Hadoop, Voldemort, Cassandra, HBase, Pig, Hive, etc.) have made data products easier to build. Nonetheless, data products are unique in that they are often extremely difficult, and seemingly intractable for small teams with limited funds. Yet, they get solved every day."

BM Research - Africa will have its first location in Nairobi, Kenya in collaboration between the Ministry of Information, Communication and Technology (ICT) through the Kenya ICT Board. It will conduct basic and applied research focused on solving problems relevant to Africa and contribute to the building of a science and technology base for the continent.   "IBM's commitment to undertake the proposed research agenda will contribute greatly to our national priorities as part of Kenya's Vision 2030," said His Excellency Honorable Mwai Kibaki, President of Kenya. "We look forward to delivering world-class research and innovation as part of IBM's Smarter Planet initiative and playing an important role as an IT leader on the African continent." 

"Au cours de mon enseignement, notamment en sciences et en géométrie dans l'espace, je me suis aperçue que pour certains élèves ces notions étaient plus qu'abstraites. Le recours à des objets réels a permis de dépasser certains obstacles mais pas dans leur globalité. Depuis toujours attirée par la réalité augmentée, je me suis penchée sur sa possible utilisation en classe pour que l'ensemble des élèves accède à la pleine compréhension des compétences à acquérir."