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Aurialie Jublin

L'entreprise du futur - 2 - L'avènement de l'ultra client - 0 views

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    "Quelle que soit la forme qu'elle prenne, l'entreprise du futur poursuivra un objectif traditionnel : servir et satisfaire ses clients. Mais dans la réalisation de cet objectif, elle devra tenir compte d'une réalité entièrement nouvelle : les technologies dont dispose désormais le client lui confèrent des connaissances et en font une force de proposition qui imposent au vendeur de réévaluer de fond en comble la relation et le rapport de force avec ce client. Face à un consommateur qui peut se renseigner, se regrouper et donner publiquement son avis grâce aux médias électroniques et aux réseaux sociaux, le producteur de biens et services devra quitter son piédestal et entrer dans une logique de coproduction avec le client devenu pro-sommateur, c'est-à-dire un consommateur qui veut devenir de plus en plus une partie prenante influente de l'élaboration des biens et services. Qu'il s'agisse de commerce BtoC ou BtoB, la frontière entre producteur et consommateur va donc s'estomper, au profit d'une autre configuration. Des coalitions ad hoc vont se constituer et se défaire, sur le modèle du « crowd ». Elles seront composées d'entreprises et de clients dont la collaboration débouchera sur des services de plus en plus complets dans la logique d'une économie de la fonctionnalité dictée par l'usage plus que par la possession."
anonymous

Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store - 0 views

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    "Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store Growing Number of Enterprise Mobile Devices and Enterprise Adoption of MDM Will Drive Demand and Adoption of Enterprise App Stores Analysts Examine the State of the Industry at Gartner Application Architecture, Development By 2017, 25 percent of enterprises will have an enterprise app store for managing corporate-sanctioned apps on PCs and mobile devices, according to Gartner, Inc. Enterprise app stores promise greater control over the apps used by employees, greater control over software expenditures and greater negotiating leverage with app vendors, but this greater control is only possible if the enterprise app store is widely adopted.  "Apps downloaded from public app stores for mobile devices disrupt IT security, application and procurement strategies," said Ian Finley, research vice president at Gartner. "Bring your own application (BYOA) has become as important as bring your own device (BYOD) in the development of a comprehensive mobile strategy, and the trend toward BYOA has begun to affect desktop and Web applications as well. Enterprise app stores promise at least a partial solution but only if IT security, application, procurement and sourcing professionals can work together to successfully apply the app store concept to their enterprises. When successful, they can increase the value delivered by the application portfolio and reduce the associated risks, license fees and administration expenses."  Gartner has identified three key enterprise app store trends and recommendations of how organizations can benefit from them:  The increasing number of enterprise mobile devices and the adoption of mobile device management (MDM) by enterprises will drive demand and adoption of enterprise app stores. Enterprises already have numerous choices for downloading software onto PCs, but most of them don't include support for smartphones and tablets. Enterprises are beginning to f
Aurialie Jublin

Comment le client a été mis au travail - 1 views

  • Les clients actuels ne sont pas seulement des travailleurs volontaires, ils sont poussés à l’être : la file d’attente (dans les fast-foods, par exemple) les met sous pression et les oblige à agir rapidement sous peine de ressentir gêne et inconfort face aux réactions de celles et de ceux qui attendent. L’on a affaire à des quasi-employés, gratuits et peu syndiqués, qui, une fois bien socialisés, assurent le bon comportement des autres clients et des employés. Certains clients vétérans, face à l’incompréhension de clients novices perdus devant une caisse automatique, peuvent apporter leur expertise.
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    "Désormais, les clients ont été mis au travail et coproduisent les services : il faut porter son plateau, amener ses livres à la caisse, verser soi-même l'essence. Pour certaines entreprises, ce travail gratuit fut à la source de gains de productivité gigantesques, en éliminant certaines tâches et certains salariés. Aujourd'hui, les start-up peuvent être de simples interfaces électroniques qui mettent en relation, sans l'intermédiation de salariés de vente ou de contact, deux types de clientèle (par exemple pour sous-louer un logement)."
Aurialie Jublin

Des robots pour bichonner les clients à l'hôtel - Les clés de demain - 0 views

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    "Des robots pour assurer le "room service" d'un hôtel. C'est l'expérience que mène actuellement le groupe hôtelier américain Starwood dans l'un de ses établissements situé à Cupertino, en Californie. Serviette, brosse à dents, nourriture... Les deux robots, baptisés A.L.O, sont en mesure d'apporter différents produits directement à la chambre des clients grâce à une technologie Wifi. Ils disposent également d'une tablette tactile pour permettre aux clients de laisser différentes annotations. Si cette opération pilote se révèle concluante, le groupe hôtelier devrait déployer de nouveaux employés-robot dans d'autres établissements. Starwood précise que le projet ne consiste pas à remplacer des employés par des robots mais à libérer du temps pour permettre au personnel de se concentrer sur d'autres tâches plus élaborées."
Aurialie Jublin

La Louve, le premier supermarché où les clients devront travailler - 0 views

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    "Baptisé « la Louve », le projet s'inspire à la fois de la Park Slope Food Coop de New York, le plus grand supermarché coopératif et participatif américain et du modèle des crèches parentales. Le principe est simple. Les clients - qui sont actionnaires de la coopérative - travailleront bénévolement trois heures tous les mois pour faire tourner le magasin. Ils assureront la caisse, la mise en rayon, le ménage…"
Aurialie Jublin

Votre job sera "tâchifié" - Social Media... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Sur l'excellent blog (@msrsmc) de Microsoft Research consacré aux médias sociaux, la chercheuse Mary Gray, revient sur le développement de la "tâchification" du travail. Ce travail à la pièce en ligne (on parle de crowdwork, le travail par la foule pour désigner par exemple le travail découpé sous forme de micro-tâche comme le réalise le Mechanical Turk d'Amazon), qui est une des formes du digital labor (voir notamment "Qui des algorithmes ou des clients seront nos nouveaux patrons ?"), représente un changement radical dans la façon dont nous définissons l'emploi lui-même, estime Mary Gray. Ces travailleurs à la tâche ne sont ni pas des employés, mais des utilisateurs, des "clients" de ces plateformes qui proposent des tâches à prix fixe et qui lient les contractants à leurs donneurs d'ordres par des "accords d'utilisation", des conditions d'utilisation qui ressemblent plus à des licences logicielles qu'à des contrats de travail. "
Aurialie Jublin

Le Uber de la restauration débarque à Toulouse. L'indépendance, c'est l'escla... - 0 views

  • Non, Take Eat Easy ne recourt pas à des auto-entrepreneurs.ses pour contourner le droit du travail. Quelle mauvaise langue faut-il être... S’il ne salarie pas ses coursierEs, c’est simplement parce que « 70% [d’entre elleux] sont étudiants ou ont déjà un job à côté » ! Moi qui pensais que l’on pouvait avoir un contrat de travail tout en suivant des études... Mais si la start-up ne fait appel qu’à des prestataires, c’est surtout, surtout par amour de la liberté. « Les coursiers travaillent quand ils veulent, ils apprécient cette flexibilité » C’est beau, la flexibilité... Ça sonne quand-même mieux que « précarité », qui peut prétendre le contraire ? « Et en plus, ils sont payés pour faire leur passion !  » (sic).
  • Il n’est pas obligé d’observer un jour de repos par semaine, de s’ennuyer en congés payés, de cotiser à des mutuelles obligatoires… Bref, il est in-dé-pen-dant. Il s’est renseigné, il peut même crever librement ! Le journal La Tribune a posé la question au CEO. « Qu’avez-vous prévu si [l’unE de vos coursierEs] se retourne contre vous en cas d’accident ? – Nous avons étudié cette question avec nos conseillers juridiques. Normalement, les coursiers ne pourraient pas se retourner contre nous, l’assurance est à leur charge et nous vérifions qu’ils en ont une. »
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    Une autre vision des livreurs de plats, notamment sur la question l'auto-entrepreneur, un salarié déguisé : "Rien de plus simple (pour prouver le fameux lien de subordination). La jurisprudence a reconnu quelques éléments permettant de déceler les abus :   - Mise à disposition du matériel (Take Eat Easy fournit à Jordan un smartphone, une tenue estampillée du logo de l'entreprise, un sac de livraison et éventuellement un porte bagage) ;   - Instructions spécifiques pour l'exercice d'une activité (Jordan est obligé de livrer en vélo, alors qu'unE clientE ne peut exiger qu'un résultat, et non une méthode pour y parvenir) ;   - Travail au sein d'un service organisé (Jordan s'intègre à une organisation du travail entièrement pensée hors de lui) ;   - Existence d'un système de sanction (les strikes) ;   - Comptes-rendus périodiques (le tracking GPS) ;   - Le fait de n'avoir qu'un seul client ;   - Le fait pour le prestataire de n'avoir ni carte de visite ni adresse email professionnelle ;   - …"
Aurialie Jublin

Numérique et emplois, synthèse de la Fabrique de l'industrie - 0 views

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    Intéressant exemple des Cuisines Schmitt : des effectifs multipliés par trois grâce à la robotisation et à la numérisation Schmidt groupe est allé très loin dans la robotisation et la numérisation de son activité avec son projet lancé il y a dix ans : une cuisine fabriquée en un jour, livrée au bout de dix jours avec une qualité 100 %. Le vendeur crée virtuellement une cuisine avec les clients, la commande est traitée par échange de données informatiques et la fabrication est robotisée. Une commande standard peut être réalisée presque sans intervention de l'homme et les délais de fabrication sont passés de sept jours à une journée. Concrètement, l'automatisation a permis de maîtriser la qualité des produits mais aussi de réduire la pénibilité du travail et, surtout, d'éviter la délocalisation. Il est vrai que l'automatisation peut conduire à supprimer certains postes dans un premier temps. Mais Schmidt a conquis de nouveaux clients en France et en Europe, ce qui a créé des emplois malgré un recours de plus en plus important aux robots. En 60 ans, le groupe a construit quatre sites de production, le cinquième ouvrira en 2019. Il y a trois fois plus de salariés qu'avant dans l'entreprise (+ 1 500). Les anciens ouvriers ont été formés, ils se sont convertis en opérateurs et en pilotes d'installations complexes. Schmidt recrute aujourd'hui une centaine de profils qualifiés par an.
Aurialie Jublin

"Une idée, un boulot" : le garagiste qui apprend à ses clients à réparer leur... - 1 views

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    Yann Raguenes, un jeune mécanicien automobile de 27 ans, a ouvert "Un garage et vous ", à Les Sorinières, près de Nantes, où il met à la disposition de ses clients, ses conseils et son matériel.
abrugiere

Un exemple d'entreprise libérée : Sogilis | Contrepoints - 1 views

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    "Sogilis a transféré presque toutes les décisions aux cellules (ils parlent de « management cellulaire »), y compris le recrutement et la sélection des projets qu'elles accepteront ou refuseront. Les objectifs assignés à ces employés sont d'entretenir leur passion pour le métier, de rester à la pointe techniquement, d'enthousiasmer le client (s'il n'est que satisfait, c'est un échec). La cellule exerce la responsabilité de réaliser un chiffre d'affaire mensuel couvrant au moins les salaires de l'équipe et sa contribution aux frais de structure2. Malgré le succès et l'affluence des commandes, ils ont décidé de conserver une pente de croissance douce, « pour rester eux-mêmes ». Il leur faudrait d'abord comprendre en profondeur ce que cette expression signifie, afin de savoir précisément quoi défendre à tout prix à l'avenir."
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    Sogilis a transféré presque toutes les décisions aux cellules (ils parlent de « management cellulaire »), y compris le recrutement et la sélection des projets qu'elles accepteront ou refuseront. Les objectifs assignés à ces employés sont d'entretenir leur passion pour le métier, de rester à la pointe techniquement, d'enthousiasmer le client (s'il n'est que satisfait, c'est un échec). La cellule exerce la responsabilité de réaliser un chiffre d'affaire mensuel couvrant au moins les salaires de l'équipe et sa contribution aux frais de structure
Aurialie Jublin

Face à l'algorithme, l'impossible grève des livreurs à vélo - Libération - 0 views

  • Par son essence même, l’algorithme est un casseur de grève : son rôle est de répartir en temps réel la force de travail pour faire face à la demande. Qu’il pleuve et que la demande de livraisons augmente, ou qu’il y ait une grève et que l’offre de travail diminue, peu importe au fond, l’algo fera froidement son travail en faisant en sorte que les clients reçoivent au plus vite leur burger au bacon.
  • De la même manière que les plateformes nient aux livreurs le droit d’être salariés, elles les empêchent aussi de faire valoir efficacement leur droit de grève. C’est ce qui explique que le mot d’ordre des livreurs à vélo comprenne une phrase peu commune dans un mouvement social : «Nous appelons tous les clients de plateformes de livraison à ne pas commander la semaine du 8 au 15 juillet.» La grève de la livraison ne peut fonctionner que si elle est corrélée à une grève des commandes.
  • Pour ces livreurs, une grève ne s’appelle pas un «débrayage» mais plutôt une «déconnexion». Pour réussir un mouvement social dans une économie uberisée, il faut en fait une déconnexion générale. Non seulement des livreurs, mais aussi des clients et des restaurateurs, pour laisser l’algorithme mouliner dans le vide.
  • ...1 more annotation...
  • Sur Arrêt sur images, l’historienne des révolutions Mathilde Larrère avait fait un parallèle saisissant entre la révolte des livreurs et celle des canuts au début du XIXe siècle. Les tisserands lyonnais étaient des auto-entrepreneurs avant l’heure, qui réclamaient un salaire garanti pour faire face aux baisses de tarif unilatérales des négociants. Comme les livreurs à vélo, les canuts étaient propriétaires de leur outil de production mais en fait totalement dépendants des fabricants qui leur vendaient la matière première et leur rachetaient le produit fini. Ce système de fabriques indépendantes, organisé pour éviter la montée d’un syndicalisme ouvrier qui prenait de l’ampleur en Angleterre, a paradoxalement donné naissance à la première grande insurrection ouvrière française.
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    "Pas facile de débrayer quand on est aussitôt remplacé par un autre auto-entrepreneur. Le capitalisme cool de notre société ubérisée empêcherait donc la lutte sociale ?"
Aurialie Jublin

Le centre commercial du XXIe siècle, un enjeu majeur pour l'emploi - LesEchos.fr - 0 views

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    "La crise économique accélère le rythme de transformation et toutes les parties prenantes doivent s'adapter pour compenser les pertes d'emplois. Les enseignes, d'abord, qui doivent se réinventer et développer des « expériences client » toujours plus riches et singulières, et intégrer le numérique à l'intérieur même des espaces physiques. Les salariés de ces filières, aussi, qui doivent anticiper et se former, d'abord par eux-mêmes, à ces nouveaux modes de pensée. Car les emplois de demain dans les boutiques et les centres commerciaux seront à plus forte valeur ajoutée qu'aujourd'hui et constituent en soi des opportunités. Les pouvoirs publics, enfin, doivent entamer une révolution copernicienne en prenant conscience de quelques principes de réalité."
Aurialie Jublin

How Sensors and Social Data Can Improve the Office | MIT Technology Review - 2 views

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    Résumé IA : Ben Waber, auteur de "People Analytics: How Social Sensing Technology Will Transform Business", revient pour la Technology Review sur comment augmenter la réalité sociale sur nos lieux de travail. Que se passe-t-il quand l'espace de travail, les murs qui séparent les gens, voir même la machine à café sont déterminés par les données ? Il revient sur un vieux projet du MIT, Augmented Cubicle - http://fab.cba.mit.edu/classes/MIT/863.09/people/ben/project4.html - qui avait pour objet d'influencer la dynamique sociale dans le lieu de travail via une installation favorisant les échanges distants. A l'heure où les interactions sociales deviennent plus faciles à mesurer, le prochain défi est de trouver comment utiliser ce que nous apprenons des données comportementales pour influence ou améliorer les échanges entre collègues au travail. Ben Waber, à la tête de Sociometrics Solutions - http://www.sociometricsolutions.com - une spinoff du Medialab du MIT dont nous avons souvent parlé, utilise des badges pour monitorer les employés de sociétés clientes. Ces données ont ainsi montré que ceux qui mangent dans des groupes plus nombreux, ont tendance à être plus productifs. Le ton de la voix, la fluctuation de son volume, sa rapidité peut prédire combien une personne sera persuasive dans ce qu'elle dit. Sachant cela, le travail de Sociometric solutions est désormais de regarder comment peut-on indiquer à quelqu'un de moduler sa voix pour être plus persuasif ? Comment peut-on organiser des réunions afin quelles permettent de mieux mêler les gens ? Faudra-t-il imaginer demain des machine à café robot itinérantes pour permettre aux groupes de mieux se rencontrer ? Faudra-t-il imaginer demain des robots lents comme SlothBots - http://www.arch-os.com/projects/slothbots/ - qui viendront subtilement refermer une conversation d'un groupe des autres travailleurs ? Est-il éthique d'utiliser des technologies d
julien camacho

Mobilité : des défis technologiques à la mesure des enjeux business - 0 views

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    L'ère post-PC et celle de l'entreprise numérique ont largement ouvert la voie de la mobilité et du multicanal. En effet, naguère destinés à des populations bien spécifiques comme les forces de ventes ou les techniciens de maintenance, les appareils nomades équipent désormais l'ensemble des employés, mais aussi des utilisateurs extérieurs à l'entreprise - partenaires, clients ou prospects. La mobilité devient la norme et s'inscrit dans le digital. En conséquence, les applications mobiles deviennent un enjeu de fidélisation des talents, de conquête des marchés, de génération de nouveau 'business' et, donc, de développement du chiffre d'affaires. Cet enjeu, les DSI le ressentent par une pression croissante de la part des métiers - ventes, marketing, direction générale. Pour répondre à leurs demandes, les responsables IT affrontent des défis en termes de développement, de déploiement, de sécurité et d'administration.
julien camacho

Inria lance iCommunity, nouveau pont entre recherche publique et PME innovantes | Colla... - 3 views

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    Mixant galerie de services et espace communautaire, la plate-forme web iCommunity a pour vocation de favoriser la rencontre entre chercheurs et PME du numérique en vue d'accélérer le transfert, vers ces dernières, des technologies de la recherche publique. Un prototype de ce que pourrait donner une plateforme para-entrepreneuriale sur laquelle participeraient les salariés, des chercheurs, des "amateurs" / clients... une entreprise ouverte apprenante.
Aurialie Jublin

Une organisation ni People ou customer Centric mais capacitante - Bloc-Notes de Bertran... - 0 views

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    Résumé: l'entreprise de demain sera t-elle "people centric", "customer centric" ? Cette notion de centricité est une évolution majeure dans le rôle que l'entreprise accorde aux individus. Mais il est facile d'en rester au stade des bonnes intentions. Écouter, laisser une place, être attentif… et ensuite ? Pour que cette nouvelle posture ait des effets concrets il faut davantage qu'une nouvelle vision de la place et des rapports entre les uns et les autres. Il faut mettre l'individu, salarié ou client, en capacité d'agir, de faire preuve d'initiative, dans le cadre de ce nouveau contexte. Ce qui implique des changements beaucoup plus importants et profonds que la seule posture.
Aurialie Jublin

Entreprise numérique, et si nous avions tort ? - Haikusages - 0 views

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    Extrait de l'avis de l'auteur Fabien Grenet : "Je suis intimement convaincu qu'une évolution du modèle de l'entreprise que nous connaissons jusqu'à présent est indispensable, que les clients doivent être co-créateurs de valeur au coté des employés (cf Mark Tamis) et que les organisations doivent se décloisonner pour encourager les pratiques collaboratives et fluidifier leurs activités (entre autres choses). Mais je suis également intimement convaincu que cette transformation ne pourra se faire que si elle est partagée et portée par un panel équilibré d'évangélisateurs allant des directions métier aux DSI en passant par les consultants et éditeurs !"
Aurialie Jublin

Tous bureaucrates (featuring Benoit Poelvoorde) ? Un manifeste pour les middl... - 1 views

  • On s ’est donc trompés sur le management ! On cherchait des chefs guerriers en compétition, il nous faut des pairs bienveillants ayant un sens aigu de l ’intérêt général. On cherchait LA solution imaginée par nos penseurs, elle doit être ré-inventée tous les jours par nos faiseurs.  On cherchait à sanctionner les erreurs, elles sont structurelles à l ’amélioration continue et réclament le questionnement plus que l ’opprobre et le refoulement …
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    Différence de hiérarchie entre petite structure (comportement par défaut est la coopération, l'entraide, qui nécessite une hiérarchie plate / chaque contribution est décisive pour la survie du groupe) et une grande organisation (hiérarchisation forte / "les sciences de l'organisation indiquent de diviser le territoire en autant de baronnies, partiellement responsables de quelque chose. Cet empilement des territoires augmente souvent la distance des opérationnels et des responsables intermédiaires (un tous les 7 employés environ) à la réalité du client, et ce faisant les déresponsabilise") C'est la caractéristique principale d'une bureaucratie - la défense des territoires y devient un objectif plus important que l'intérêt général de l 'entreprise, sa survie + séparation penseurs/faiseurs.
Aurialie Jublin

Donnez-vous votre maximum au travail? | Métro - 0 views

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    "Le présentéisme a un impact négatif sur vous. Développez votre effort discrétionnaire. Que vous soyez employé ou travailleur autonome, vous avez le choix, chaque jour, de vous donner à fond ou d'en faire juste assez pour conserver votre emploi ou pour rester en affaires. Remarquez que, si c'est votre cas, vous n'êtes pas le seul dans cette situation. Dans le cadre d'un sondage de Leadership IQ, 72 % des répondants ont avoué qu'ils pourraient en faire plus au travail; bref, qu'ils ne contribuent pas à la hauteur de leurs capacités. Ce petit plus que certains (30 %) acceptent de faire, c'est l'effort discrétionnaire. C'est cet effort supplémentaire que vous ferez pour offrir un meilleur travail ou satisfaire un peu plus un client. (...)"
Aurialie Jublin

Ces patrons qui osent "libérer" leurs salariés - 1 views

  • L'exercice d'un contrôle autoritaire s'accompagne d'une multitude de coûts cachés qui ne pèsent pas seulement sur les bénéfices, mais sur la santé des employés [...] La grave erreur des bureaucrates est de s'imaginer que, parce qu'une chose s'appelle règle, elle est préférable à un arrangement moins formel. D'autant que la plupart de ces règles ne se bornent pas à saper le moral des salariés : elles empêchent la grande majorité d'entre eux de faire ce qui conviendrait.
  • « Lâcher prise » ? C'est la clé de ces transformations menées par ces patrons. En supprimant toute surveillance au profit de l'auto-organisation du personnel, ils ont décuplé la motivation au prix d'un intense effort sur leur rapport au pouvoir.
  • Au final, l'agilité d'une entreprise est déterminée par son leadership : « Pour atteindre la performance forte et durable qu'ils visaient, ces patrons ont renoncé à agir sur l'homme (à le contrôler, le motiver, le manager) et préféré agir sur son environnement pour que ce dernier le nourrisse », résume Isaac Getz. Mais avec deux cartes maîtresses, la transparence et la confiance, dans un jeu qui implique les salariés. Cela leur inspire une automotivation qu'aucun chèque ne produira jamais.
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    Persuadés que le meilleur moyen pour rester compétitifs est de responsabiliser leurs troupes, certains chefs d'entreprise ont fait le pari de lâcher la bride à leur personnel. Visite guidée dans ces laboratoires de ressources humaines qui affichent des performances très convaincantes. Pas d'échelon hiérarchique, ni grade; regroupement des collaborateurs par client et non pas service / organisation en mini-usine; pas d'emploi du temps; infos sur l'entreprise libres pour prendre les décisions en toute connaissance de cause; ...
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