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julien camacho

Royaume-Uni : toujours plus de flexibilité - 0 views

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    Sous la contrainte de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI), les pays d'Europe du Sud flexibilisent tour à tour leur marché du travail. Les rigidités accumulées y seraient un obstacle décisif à la création d'emplois. Dans ce contexte, il est instructif d'observer ce qui se passe à l'autre extrémité du spectre. Le gouvernement britannique se félicite du fait que tous les classements placent le Royaume-Uni en tête des pays européens quant à la flexibilité de son marché du travail.
hubert guillaud

Flexibilité: ce rapport de l'OCDE qu'ils ne voulaient pas lire - SarkoFrance - 1 views

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    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
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    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
Aurialie Jublin

Contrats de travail : les cadres veulent conserver leurs acquis - Creation-Entreprise.fr - 1 views

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    "Les travailleurs cadres sont conscients des bienfaits qu'une plus grande flexibilité du contrat de travail présenterait en matière d'emplois. Mais seuls 35% de disent prêts à revoir les conditions de leur CDI, indique le dernier baromètre Ifop-Cadremploi."
Chamila Puylaurent

La flexibilité du travail menace-t-elle la culture d'entreprise ? | L'Atelier... - 0 views

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    "Télétravailleurs, freelancers, travailleurs nomades… Le marché du travail semble aujourd'hui gagner en flexibilité. Comment la culture d'entreprise, étroitement liée au succès de l'organisation, peut-elle être préservée quand la plupart des employés sont des travailleurs temporaires et mobiles ?"
Aurialie Jublin

Le Nouveau Monde du Travail (NMT) par Kluwer Formations - 2 views

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    "Si je vous dit « Nouveau Monde du Travail ». A quoi pensez-vous ? Flexibilité, nomadisme, plus de productivité ? Vous voyez juste. Mais où en sommes-nous ? Assez loin, selon l'enquête annuelle de Kluwer Formations (le 3ème di genre) même si on assiste à quelques frémissements et qu'on se fait de plus en plus à l'idée qu'il est possible et intéressant de travailler en dehors du bureau. Les mentalités évoluent, doucement mais sûrement. Plus de 6000 professionnels des RH, des collaborateurs et des supérieurs hiérarchiques (en Belgique ?) ont été interrogés, ce qui donne un bon panel."
Chamila Puylaurent

Groupement d'employeurs : les entreprises optent pour le partage des salariés - 0 views

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    "5.200 groupements d'employeurs émaillent le territoire. Le secteur répond au besoin de flexibilité des entreprises et à leurs difficultés de recrutement. "
Aurialie Jublin

Freelance : Les Barbares de la loi du travail - jeChercheUnDev.fr ❤ - Medium - 1 views

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    Avis d'un freelance sur les transformations du travail, suite à la proposition de loi El Khomri "La Loi du travail El Khomri soulève les coeurs. Pendant ce temps là, les freelances ont compris que le marché du travail a besoin de flexibilité et hackent le marché du travail. À la clef : plus de profit."
Aurialie Jublin

Le Uber de la restauration débarque à Toulouse. L'indépendance, c'est l'escla... - 0 views

  • Non, Take Eat Easy ne recourt pas à des auto-entrepreneurs.ses pour contourner le droit du travail. Quelle mauvaise langue faut-il être... S’il ne salarie pas ses coursierEs, c’est simplement parce que « 70% [d’entre elleux] sont étudiants ou ont déjà un job à côté » ! Moi qui pensais que l’on pouvait avoir un contrat de travail tout en suivant des études... Mais si la start-up ne fait appel qu’à des prestataires, c’est surtout, surtout par amour de la liberté. « Les coursiers travaillent quand ils veulent, ils apprécient cette flexibilité » C’est beau, la flexibilité... Ça sonne quand-même mieux que « précarité », qui peut prétendre le contraire ? « Et en plus, ils sont payés pour faire leur passion !  » (sic).
  • Il n’est pas obligé d’observer un jour de repos par semaine, de s’ennuyer en congés payés, de cotiser à des mutuelles obligatoires… Bref, il est in-dé-pen-dant. Il s’est renseigné, il peut même crever librement ! Le journal La Tribune a posé la question au CEO. « Qu’avez-vous prévu si [l’unE de vos coursierEs] se retourne contre vous en cas d’accident ? – Nous avons étudié cette question avec nos conseillers juridiques. Normalement, les coursiers ne pourraient pas se retourner contre nous, l’assurance est à leur charge et nous vérifions qu’ils en ont une. »
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    Une autre vision des livreurs de plats, notamment sur la question l'auto-entrepreneur, un salarié déguisé : "Rien de plus simple (pour prouver le fameux lien de subordination). La jurisprudence a reconnu quelques éléments permettant de déceler les abus :   - Mise à disposition du matériel (Take Eat Easy fournit à Jordan un smartphone, une tenue estampillée du logo de l'entreprise, un sac de livraison et éventuellement un porte bagage) ;   - Instructions spécifiques pour l'exercice d'une activité (Jordan est obligé de livrer en vélo, alors qu'unE clientE ne peut exiger qu'un résultat, et non une méthode pour y parvenir) ;   - Travail au sein d'un service organisé (Jordan s'intègre à une organisation du travail entièrement pensée hors de lui) ;   - Existence d'un système de sanction (les strikes) ;   - Comptes-rendus périodiques (le tracking GPS) ;   - Le fait de n'avoir qu'un seul client ;   - Le fait pour le prestataire de n'avoir ni carte de visite ni adresse email professionnelle ;   - …"
Aurialie Jublin

«Payer pour travailler», le nouveau paradigme du boulot sans limites | Slate.fr - 1 views

  • C'est que certains situations se sont banalisées: payer sa formation et sa qualification pour voler sous les couleurs de Ryanair; payer pour accéder à un stage de reconversion auprès d’une association après un licenciement; payer pour acquérir une franchise et rebondir lorsqu’on est un cadre au chômage. Mais aussi payer de sa personne en se déqualifiant lorsqu’on est jeune diplômé en additionnant les stages à des fractions de Smic pour être moins cher que son voisin et espérer pouvoir revendiquer un début d’expérience professionnelle sur son CV. Payer en acceptant aussi des rémunérations qui, dans les services d’aide à la personne, ne couvrent que 70% du travail effectif. Payer aussi, sur son temps, comme cadre en travaillant sans limite dans le système des forfaits jours et en accumulant les heures gratuites jusqu’au burn-out pour atteindre ses objectifs. Ou payer lorsqu’on est auto-entrepreneur et corvéable à merci, en faisant l’impasse sur la rentabilité pour obtenir des missions à un coût moins élevé qu’un salarié…
  • Et si l’accumulation de ces désillusions qui prennent leurs racines dans le travail low cost et la régression des droits fondamentaux liés au travail, alimentait l’effritement de notre capacité actuelle à vivre ensemble en minant «notre contrat social», s’interroge Valérie Segond ? La réponse est dans la question. Le problème posé par le low cost dans le travail va bien au-delà d’une simple réduction des coûts.
  • La journaliste a pris le temps d’analyser le mode de calcul du coût du travail établi par l’Insee… pour découvrir que les petites entreprises de moins de dix salariés où les salaires sont plus bas ne sont pas pris en compte à travers la méthodologie, que le coût de la main d’œuvre des travailleurs indépendants comme les auto-entrepreneurs n’étaient pas pris en compte dans ce coût… et bien d’autres aberrations parce que «les nouvelles formes d’emploi sont trop hétérogènes pour qu’on les comprenne dans le coût du travail», reconnait-on à l’institut.
  • ...2 more annotations...
  • Même chose pour le temps de travail. Que veut dire aujourd’hui le procès fait aux 35 heures lorsque des fonctions autrefois dévolues à des salariés sont externalisées auprès de consultant hors de l’entreprises ou à des auto-entrepreneurs, hors de toute réglementation sociale pour s’affranchir de la durée légale du travail?
  • Le découpage des métiers en microtâches associé à la flexibilité permet aux employeurs de ne payer que les temps les plus productifs du travail, et d’employer gratuitement le salarié pour le reste du temps qui lui est néanmoins nécessaire pour accomplir l’ensemble de sa tâche, démontre Valérie Segond.
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    "Dans son livre «Va-t-on payer pour travailler?», la journaliste Valérie Segond enquête sur des dérives du travail low cost et de la flexibilité qui se généralisent."
Aurialie Jublin

Agilité au travail : lapin ou éléphant ? Xavier de La Porte - 1 views

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    Chronique de X. de La Porte sur l'agilitié vs flexibilité au travail
Aurialie Jublin

Les mobilités des salariés, rapport de Mathilde Lemoine et Étienne Wasmer - 0 views

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    Rapport de 256 pages sur les mobilités des salariés pour "Rompre avec la logique d'une flexibilité inégalitaire ; permettre à chacun de construire ses parcours professionnels en toute sécurité et en toute liberté" + des propositions pour réduire le stress des salariés, des incitations fortes à former et se former, des droits renforcés pour les salariés précarisés
julien camacho

Spécial Cloud: 1- Quel est l'intérêt des architectures Cloud ouvertes? - 1 views

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    Entre un large accès à des solutions innovantes, une plus large ouverture des données, une accélération de la consommation et une meilleure maîtrise des dépenses IT, le Cloud Computing se fait une place au soleil et, telle une vague de fond, vient modifier la façon de délivrer les services informatiques et leurs contenus. Grâce aux technologies et aux services de Cloud Computing, les entreprises souhaitent gagner en flexibilité et en coûts opérationnels. Quelles soient actrices de ce marché ou consommatrices des services dans le nuage, elles souhaitent établir un rapport plus souple et moins contraignant, dans un environnement ou écosystème moins propriétaire.
abrugiere

Le pari de Porsche pour attirer des talents - Automobile - 1 views

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    baisse du tempsde travail - maintien des salaires - mais augmentation de la flexibilité  = objectifs attirer des talents (manque de main d'oeuvre)
abrugiere

Les makers seront-ils les prochains maîtres du monde ? | Knowtex Blog - 0 views

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    La relance de l'industrie par les FabLabs : la flexibilité du numérique permet de dépasser l'opposition entre délocalisation en Asie et relocalisation de la production un « designed by » au détriment du « made in ». L'automatisation des tâches rendant chaque jour la part du travail moins manuel, le coût humain d'un produit tend à être marginalisé dans le prix de vente final. Les machines étant les mêmes d'un pays à l'autre, il devient possible de les rassembler localement dans des plates-formes polyvalentes, qui ne sont plus attachées à une marque particulière. La démocratisation des outils est pensée comme allant de soi, l'auteur revenant lourdement sur le fait que « n'importe qui » peut désormais faire de chez lui « n'importe quoi », avec juste un ordinateur et quelques milliers de dollars. Ce volontarisme fait l'impasse sur le réalisme d'un monde où le pouvoir de l'usager est une question, et non une évidence.
julien camacho

Grand résumé de Ce que travailler veut dire. Une sociologie des capacités et ... - 2 views

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    Alors que la flexibilité transforme le travail en profondeur, les réformes sur la « flexicurité », tout en s'employant à redéfinir le compromis entre travail et capital au fondement de l'État social, restent essentiellement centrées sur l'emploi, laissant le travail à leurs marges. Faire de la sécurisation des parcours professionnels par l'employabilité la nouvelle pierre de touche de l'État social revient pourtant à lier, au moins pour partie, la sécurité des salariés aux possibilités de développement professionnel qu'ils peuvent trouver dans le travail et l'entreprise. Or, étonnement, le rôle de l'entreprise en la matière n'est guère interrogé par ces réformes qui imputent au travailleur la responsabilité de son employabilité, mais laissent en suspens une question décisive : le salarié a-t-il accès aux moyens pour exercer une telle responsabilité et où peut-il les trouver ?
Aurialie Jublin

Google concilie travail et intérêts personnels - 1 views

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    "Exit l'emploi du temps rigide. De plus en plus de jeunes diplômés plébiscitent en effet les entreprises où ils peuvent jongler entre leur travail et leur vie privée sans que cela soit mal vu. Google, Ubisoft, Canal+ et Electronic Arts les font rêver." Raison : possibilité d'intégrer intérêts personnels dans son emploi du temps grâce à la flexibilité, entreprises associées à la festivité et à la détente (Pernod Ricard, Heineken) Chez Google, 20% de temps dispo sur un projet personnel + repas gratuits, jeu, sport, ... Chez Décathlon a attiré les jeunes en développant récemment des "business games" pour se faire connaître des futurs diplômés. Ces jeux, qui consistent à mettre en compétition des équipes étudiantes autour d'une mission professionnelle fictive, semblent avoir atteint leur objectif.
Aurialie Jublin

Belgique * Non, la flexibilité ne favorise pas l'emploi | Courrier international - 0 views

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    "Quand on postule, faut-il "se montrer flexible sur le salaire, le contenu du poste et la proximité du lieu de travail avec son domicile ? En fait, il est peu probable que cela augmente vos chances de trouver un emploi. Au contraire même", écrit le quotidien néerlandophone. Le titre s'appuie sur les conclusions de la thèse de doctorat d'une universitaire de Louvain. Les principales explications : "Les demandeurs d'emploi qui se montrent flexibles sont généralement moins sûrs d'eux, ont une vision moins claire de leur plan de carrière et, par définition, une expérience moins pertinente à faire valoir.""
abrugiere

Le monde du travail évolue : flexibilté, partage, mobilité... - 1 views

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    Le monde du travail en train d'évoluer, écrit Jacob Morgan dans un article paru sur Forbes. Au sein des entreprises, on observe de nouveaux comportements et de nouvelles technologies font leur apparition. Ce qui n'est pas sans conséquences comme le montre l'infographie ci-dessous  Structure hiérarchique >> Structure plate Heures fixes >> Flexibilité Concentration de l'information >> Partage de l'information Leadership fondé sur la peur >> Autorisation et inspiration On-premise >> Le cloud Le mail comme 1ère forme de communication >> Le mail comme 2e forme de communication Gravir les échelons de l'entreprise >> Créer l'échelle pour les grimper Organisation en silos >> Décloisonnement Travailler au bureau >> Travailler partout
Aurialie Jublin

TaskRabbit ou l'emploi à la demande : les promesses (déçues) du futur du trav... - 1 views

  • Si TaskRabbit se présente comme le site de l’économie à la demande de demain, il suscite néanmoins de nombreuses critiques, parfois virulentes, s’attachant le plus souvent à la précarisation de l’emploi, à la baisse générale des salaires observable sur le site ou encore à la corvéabilité à merci des postulants. Consommation collaborative ou économie du petit boulot (gig economy), les ambigüités des promesses de TaskRabbit rejoignent les grandes interrogations liées à la dite « économie du partage ». Cependant, TaskRabbit pourrait bel et bien être un signe avant-coureur des structures du nouveau monde du travail, tel qu’il tendrait à l’être dans les années à venir, alors que l’emploi salarié devient minoritaire.
  • Dans un monde du travail qui n’a jamais autant fait place aux freelances, missions ponctuelles, et autres contributions irrégulières à des projets contributifs ou d’intérêts généraux, une régulation et une sécurisation des parcours seront néanmoins nécessaires pour éviter une trop importante atomisation de l’emploi fragilisant les individus. Reste à se tourner vers la protection, non plus d’emplois, mais bien de personnes, aux carrières plus mouvantes que jamais.
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    "Face à ce modèle attractif, mêlant promesses de désintermédiation, de matching (adéquation offre/demande) et d'hyper-flexibilité, beaucoup de postulants se trouvent néanmoins dans une situation délicate : la compétition accrue constatée sur ce site, notamment due au nombre d'offres postées largement inférieur au nombre d'inscrits, condamne certains d'entre eux à passer la majeure partie de leur temps les yeux rivés sur l'écran de leur smartphone, à la recherche de l'offre idéale. Une forme de précarisation qu'ils considèrent néanmoins parfois comme davantage enviable que l'inactivité."
Aurialie Jublin

Homejoy, premier échec majeur de « l'Uber-économie » | Silicon 2.0 - 0 views

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    La chute de Homejoy a été précipitée par quatre actions en justice. Comme Uber, l'entreprise s'est construite sur le recours à des travailleurs indépendants, ce qui lui permet de fortement limiter ses coûts (pas de salaire fixe, pas de charges sociales...) et de gagner en flexibilité. Les plaintes déposées contre Homejoy réclamaient la reclassification de ces travailleurs indépendants, pour leur accorder le statut de salariés. Une perspective qui aurait totalement bouleversé le modèle économique de l'entreprise.
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