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julien camacho

Les DSI sous pression | Le nouvel Economiste - 0 views

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    La déferlante du digital dans les entreprises oblige les services informatiques et leur direction à changer de paradigme
julien camacho

Mobilité : des défis technologiques à la mesure des enjeux business - 0 views

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    L'ère post-PC et celle de l'entreprise numérique ont largement ouvert la voie de la mobilité et du multicanal. En effet, naguère destinés à des populations bien spécifiques comme les forces de ventes ou les techniciens de maintenance, les appareils nomades équipent désormais l'ensemble des employés, mais aussi des utilisateurs extérieurs à l'entreprise - partenaires, clients ou prospects. La mobilité devient la norme et s'inscrit dans le digital. En conséquence, les applications mobiles deviennent un enjeu de fidélisation des talents, de conquête des marchés, de génération de nouveau 'business' et, donc, de développement du chiffre d'affaires. Cet enjeu, les DSI le ressentent par une pression croissante de la part des métiers - ventes, marketing, direction générale. Pour répondre à leurs demandes, les responsables IT affrontent des défis en termes de développement, de déploiement, de sécurité et d'administration.
julien camacho

RSE : 1 - l'effet consumérisation de l'IT explique-t-il tout ? - 0 views

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    L'informatique professionnelle connait un changement massif sous l'influence de ce que les éditeurs appellent aujourd'hui la « consumérisation de l'IT ». Si la définition de cette tendance est claire (les usages professionnels sont issus des usages privés grand public) son appréhension par les DSI et ses conséquences ont été dans un premier temps mal perçues, voire sous-évaluées.
Aurialie Jublin

Entreprise numérique, et si nous avions tort ? - Haikusages - 0 views

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    Extrait de l'avis de l'auteur Fabien Grenet : "Je suis intimement convaincu qu'une évolution du modèle de l'entreprise que nous connaissons jusqu'à présent est indispensable, que les clients doivent être co-créateurs de valeur au coté des employés (cf Mark Tamis) et que les organisations doivent se décloisonner pour encourager les pratiques collaboratives et fluidifier leurs activités (entre autres choses). Mais je suis également intimement convaincu que cette transformation ne pourra se faire que si elle est partagée et portée par un panel équilibré d'évangélisateurs allant des directions métier aux DSI en passant par les consultants et éditeurs !"
Aurialie Jublin

BYOD : pourquoi apportons-nous notre propre équipement ? - 1 views

  • Une étude iPass sur 1 100 salariés mobiles conclue notre propos: « Les employés qui utilisent un équipement mobile à la fois pour le travail et la vie personnelle travaillent 240 heures de plus que les autres. »
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    Strategy Analytics a récemment révélé que les employés achètent quatre tablettes sur dix à leurs propres frais... pour les utiliser au travail. Cette statistique vient confirmer le phénomène de consumérisation rapide de l'informatique d'entreprise. Elle suggère également que la tendance Bring Your Own Device (BYOD) repose sur des motivations très fortes. Mots clés : autonomie personnelle sur le lieu de travail ; amélioration de la satisfaction au travail ; réduction des coûts pour les entreprises
abrugiere

Bring Your Own Cloud : un nouveau challenge pour la DSI | E-media, the Econocom blog - 0 views

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    Le BYOC (Bring Your Own Cloud) est presque une suite logique au phénomène BYOD et pose les mêmes problématiques pour les responsables IT et sécurité des organisations. un des effets de la mobilité et de la consumérisation IT
Aurialie Jublin

Le travail à vide | RH info - 0 views

  • Au-delà des formes diverses et universelles de travail à vide, l’auteur montre la diversité des causes et des contextes. Il y avait traditionnellement deux manières d’aborder la question qui expliquaient sans doute le non-dit. D’un côté les moralistes considéraient que les personnes étaient (naturellement ou non) paresseuses et qu’elles préféraient gagner de l’argent à ne rien faire plutôt qu’en travaillant. Le travail était cette torture dont il fallait échapper. La paresse étant mère de tous les vices, elle devenait moralement inacceptable et, selon les époques il fallait soit l’extirper, soit la taire pour ne pas stigmatiser les personnes. A l’opposé figuraient les tenants de la résistance : ne pas travailler au travail représentait un acte de résistance des salariés contre les conditions de travail qui leur étaient faites, les organisations qui bridaient leur autonomie et leur humanité, les entreprises et propriétaires qui volaient le fruit de leur travail.
  • Paulsen nous avoue qu’il penchait plutôt de ce côté résistant en commençant de travailler sur la question. Le terrain lui a montré que la réalité était bien différente et nuancée et que les causes et contextes du travail à vide étaient tout aussi multiples que leurs formes. Il s’est aperçu que ne rien faire au travail n’avait pas toujours un impact sur le résultat car l’efficacité d’un travail ne dépend pas toujours du temps investi. Il s’est également aperçu que les organisations ne maîtrisaient pas toujours très bien le temps nécessaire à certaines opérations et qu’il était moins évident dans le travail aujourd’hui que sur la chaîne de montage taylorienne d’hier, de mesurer les temps et d’optimiser les chaînes d’opérations. Il a dû reconnaître que le non-travail est aussi parfois nécessaire pour récupérer et se ressourcer dans des situations difficiles, voire même qu’il était une sorte de soupape de sécurité lorsque les rythmes sont trop violents. Il s’est aussi aperçu que les paresseux et les tire-au-flanc existent bien, au point que certains se fatigueraient même de ne pas suffisamment travailler, sans pour autant faire l’effort de commencer.
  • Deuxièmement, la recherche de Paulsen met l’accent une fois de plus sur le fait que le travail s’impose moins à la personne que celle-ci ne l’investit. Plutôt que de s’occuper du travail, on ferait bien de porter de l’intérêt à la personne. S’il paraît banal qu’elle se projette dans son expérience sportive ou quelques autres hobbies qui deviennent des lieux de son expression, l’approche du travail ressortit trop souvent à une approche de la domination qui sous-estime la possibilité de l’acteur de jouer avec ce qui lui serait imposé. 
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  • Troisièmement, l’étude de Paulsen devrait interroger les entreprises. Elles ne peuvent se satisfaire de vagues convictions sur le bien-être au travail ou sur la perfection technocratique de leurs organisations pour soumettre les personnes au travail. Elles devraient se demander comment chacun peut trouver de la perspective et un sens dans son travail. Mais encore faudrait-il que l’entreprise ait un sens et une vision, que ses dirigeants l’incarnent et que l’institution permette une expérience de travail valorisante.
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    "Beaucoup d'entreprises constatent que les sites les plus consultés par leurs salariés durant les heures de travail concernent la vente de particulier à particulier, le commerce en ligne, les sites de voyage, sachant le plus scabreux de l'offre internet a souvent été bloquée par la DSI. Ce n'est qu'une des formes, modernes, de ce que Paulsen[1] appelle l'empty work, c'est-à-dire tout ce que l'on fait au travail et qui ne relève pas de son travail normal. Selon certaines études citées par l'auteur, cela représenterait entre 1,5 et 3 heures par jour, c'est-à-dire près de 30% d'un horaire de travail normal pour un salarié à temps plein !"
Chamila Puylaurent

Les atouts d'une organisation autour du télétravail, du coworking et du cloud - 0 views

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    "Xavier de Mazenod, spécialiste du télétravail et du e-learning, montre les avantages que l'entreprise et ses collaborateurs peuvent tirer d'une nouvelle organisation autour du télétravail et du cloud. Recommandations aux managers, DSI et responsables télécoms."
Aurialie Jublin

Guide à l'attention du DSI pour affronter le travail de demain - 0 views

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     L'environnement de travail numérique d'aujourd'hui est constamment inondé de nouvelles applications et de nouveaux appareils, tandis que l'investissement technologique se décentralise. Les principaux responsables technologiques cherchent une voie méthodique vers l'amélioration, mais l'avenir reste plus tumultueux que jamais. Heureusement, des perspectives peuvent éclaircir l'horizon.
Chamila Puylaurent

Les nouveaux modes de travail à l'ère du digital - 5 views

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    "Orange Business Services et le cabinet de conseil Sia Partners publient une étude qui explore comment la « vague digitale » transforme les modes de travail des salariés et offre de nouvelles opportunités à l'entreprise dans sa relation avec ses clients et partenaires. Ce document repose notamment sur une étude menée en partenariat avec Sia Partners et Harris Interactive auprès de plus de 1 800 dirigeants d'entreprises dont des DSI et directeurs métier dans 5 pays européens. "
Aurialie Jublin

Skynote, le naufrage de la transformation numérique de GDF Suez - 1 views

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    Extrait:  La DSI reconnait désormais qu'il y a une méconnaissance de la virtualisation » explique une source syndicale. « En fait, le POC (ndlr. Proof Of Concept) ne fonctionnait que sur les outils bureautiques ». Bilan, de nombreux progiciels ne tournent pas sur les instances virtualisées. « Ce sont les outils de facturation et de gestion qui posent le plus de problème » détaille un autre syndicaliste. « Dans l'élaboration du projet, et dans la migration, ils n'avaient pas été prévus ». Les outils de trading, ceux de gestion RH, ne supportent pas non plus à l'heure actuelle la virtualisation. Conséquence tout à fait compréhensible de cette situation, le département RH refuse à ce jour la migration. Ce sont donc les directions métiers qui freinent des quatre fers pour entrer dans la danse. La branche « Energie Europe », qui représente la moitié du parc, doit encore être persuadée de passer à la virtualisation.
Aurialie Jublin

Chronobiologie - interview de Yvan Touitou (pdf) - 1 views

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    Tenir compte, dans le monde de l'éducation, du sport, du travail, de la typologie et du tempérament de chacun n'est évidemment pas possible face aux contraintes imposées dans ces différents champs par la société. Mais ne peut-on éviter quelques grossières erreurs, c'est le sens de la réflexion dans laquelle nous entraîne le professeur Touitou.
Aurialie Jublin

Les salariés connectés: une menace sous-estimée pour l'entreprise ? - Maddyness - 0 views

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    "En France un employé sur trois envisagerait de quitter son travail si l'usage de ses propres appareils mobiles lui était refusé. Une étude européenne menée par Vanson Bourne pour la société VMware met en évidence les pressions auxquelles les entreprises européennes sont soumises concernant l'utilisation d'appareils et d'applications mobiles sur le lieu de travail."
Chamila Puylaurent

Réinventer le travail : comment saisir les opportunités de l'ère digitale ? - 2 views

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    "Dans le cadre du Think Tank RH animé par Roland Berger Strategy Consultants, quinze directions des ressources humaines de grandes entreprises ont partagé leur expérience sur les nouveaux modes de travail induits par la transformation digitale : quelles réalités concrètes dans les entreprises ? Quels freins ? Quels objectifs visés ?"
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    Un document de 20 pages qui fait le point sur le lien entre le digital et les nouveaux modes de travail qui est de plus en plus au cœur de la compétitivité de l'entreprise. La transformation digitale devient alors un vrai défi pour ces différentes fonctions de l'entreprise (RH, DSI....) et les collaborateurs.
Aurialie Jublin

En France, 3 millions d'ouvriers sont passés au numérique - Le Journal du Net... - 0 views

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    Sur 4 335 000 cols bleus en France, 70% ont déjà recours à des solutions professionnelles de productivité. Dixit une étude d'IDC publiée lors des TechDays.
Thierry Nabeth

Enquête sur les dérives du lean management -- les Echos - 0 views

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    Le Prix du meilleur ouvrage sur le monde du travail, organisé par le Toit Citoyen, a été remis à Marie-Anne Dujarier pour « Le management désincarné  » qui décrit les dérives des « planneurs », ces faiseurs de dispositifs qui opèrent sans scrupules loin du terrain. Chargés d'optimiser la performance d'une entité, de faire baisser les coûts (masse salariale, turn-over, absentéisme, risques, etc.), d'augmenter la valeur dégagée par l'entreprise (rendement, productivité, taux d'occupation, etc.), leur réussite (aux « planneurs ») se mesure à leur capacité à implémenter des dispositifs standardisés (ERP, lean, kaizen…) et à forcer le changement. Au service de la massification et de la standardisation, ces « planneurs», contrairement aux cadres de proximité, opèrent dans des bureaux éloignés des opérations concrètes et du terrain. Qui sont-ils ? Ni experts d'un métier ou d'un secteur, ni entrepreneurs, ni propriétaires, ni chercheurs, il sont intermédiaires financiers, auditeurs, ingénieurs méthodes, contrôleurs de gestion ou encore consultants, et rendent compte à des donneurs d'ordre (DRH, DSI, directeurs financiers et juridiques, associés de cabinet de conseil ou de fusions-acquisitions, etc.)
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