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De quels métiers les entreprises auront-elles besoin demain ? Et quels sont les professions plus « traditionnelles » qui sont de moins en moins recherchés ? WiserSKILLS, entreprise spécialisée dans l'aide au développement de l'employabilité des collaborateurs, propose un focus intéressant sur les postes « In » et « Out » de cette fin d'année 2016. Une analyse à prendre avec des pincettes toutefois puisque l'heure n'est pas encore au tout automatisé et les entreprises continuent d'avoir de forts besoins sur certains postes comme vendeurs et comptables. Disons que certains métiers vont être amenés à subir des transformations pour s'adapter aux nouveaux besoins des entreprises et aux nouveaux modes de consommation…

Un forum se tient mercredi à Paris sur les débouchés de ce secteur économique, dans lequel 10 000 emplois sont à pourvoir.

Une nouvelle école d'art va être inaugurée à Paris : La Fabrique, issue de la fusion de quatre formations existantes. Répondant à une demande des entreprises du luxe, elle délivrera des diplômes allant du CAP au bac+5, dans les domaines de la mode et de la décoration.

Créer une entreprise, que ce soit en franchise ou en solo entraîne des coûts. Dans le cadre de la franchise, aux frais inhérents à la création d'une entreprise classique, l'entrepreneur doit également ajouter différentes dépenses spécifiques à ce mode d'entrepreneuriat. Il s'agit essentiellement du droit d'entrée, exigé à la signature du contrat de franchise, et des redevances ou royalties collectées, quant à elles, durant toute la durée du contrat de franchise. Un surcoût qui se justifie.

"Phénomène de mode ou évolution technologique profonde ? Le Big Data est devenu en quelques mois une préoccupation majeure dans de nombreuses entreprises. Face à la profusion de données numériques produites à travers le monde, les besoins en compétences sont nombreux. Ils concernent la gestion de ces données, mais aussi l'analyse et la communication de ces informations. Autant de fonctions qui devraient largement recruter."

Phénomène de mode ou évolution technologique profonde ? Le Big Data est devenu en quelques mois une préoccupation majeure dans de nombreuses entreprises. Face à la profusion de données numériques produites à travers le monde, les besoins en compétences sont nombreux. Ils concernent la gestion de ces données, mais aussi l'analyse et la communication de ces informations. Autant de fonctions qui devraient largement recruter.

La restauration collective représente 300 000 salariés (tous segments et tous modes de gestion) dont 56 000 cuisiniers et 16 000 à recruter d'ici 2 ans (sources : Restau'co).

La restauration collective représente 300 000 salariés (tous segments et tous modes de gestion) dont 56 000 cuisiniers et 16 000 à recruter d'ici 2 ans (sources : Restau'co). Le cuisinier en collectivité s'occupe de la restauration et de l'alimentation en grande quantité ou pour des publlics particuliers (enfants, personnes âgées). Les horaires flexibles peuvent être un avantage.

Impacté, d'une part, par les facteurs économiques, sociaux et conjoncturels, comme l'évolution des modes de consommation, et d'autre part, par des facteurs internes, dont l'accroissement de la concurrence, le secteur du négoce de l'ameublement voit ses contours se redessiner, l'obligeant à préciser ses orientations stratégiques.

"Impacté, d'une part, par les facteurs économiques, sociaux et conjoncturels, comme l'évolution des modes de consommation, et d'autre part, par des facteurs internes, dont l'accroissement de la concurrence, le secteur du négoce de l'ameublement voit ses contours se redessiner, l'obligeant à préciser ses orientations stratégiques. Ainsi, la dernière étude de l'Observatoire prospectif des métiers et des qualifications du secteur a mis en lumière trois nouvelles tendances au sein du secteur : le développement du e-commerce et du e-marketing, celui du numérique et de l'informatisation ainsi que le renforcement des exigences de la clientèle. "

A chaque époque ses métiers qui font rêver. Il n'est pas obligatoire de se les interdire, à condition de bien faire le distinguo entre la réalité d'une nouvelle vie et le mirage à la mode.

Savoir pour faire, la première campagne nationale pour mettre en lumière les métiers techniques de la filière Mode & Luxe

"Proposés aujourd'hui par les universités les plus prestigieuses, les Mooc ("massive open on-line courses"), plates-formes collaboratives de cours gratuits en ligne, offrent aux candidats à la recherche de formations des ressources considérables tout en bouleversant les apprentissages."

"Les Français consacrant une plage horaire toujours plus réduite à leur déjeuner, les entreprises positionnées sur le secteur de la restauration rapide se sont adaptées à ces changements de mode de consommation."

Emission à réécouter sur le site d'Europe 1. Les invités : Sophie DE TARLE, journaliste L'Etudiant et Jean-Pierre MOCHO, Président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin.

Si la crise touche de nombreux secteurs de l'économie, d'autres émergent et dégagent une croissance attractive, parfois à deux chiffres. Surfant sur les bouleversements des modes de consommation, les nouvelles législations ou les progrès technologiques, des marchés dynamiques, portés par une demande forte attendent une offre pour y répondre.Voici une sélection de 15 secteurs dynamiques où créer sa boîte.

"Phénomène de mode ou évolution technologique profonde ? Le Big Data (gestion de données très volumineuses) est devenu en quelques mois une préoccupation majeure dans des nombreuses entreprises."

Dans le palmarès, réalisé par le magazine américain CEO World, le Royaume-Uni et les États-Unis sont les pays les mieux représentés, tandis que l'Hexagone n'a que 5 écoles dans le classement.

Mardi, l'IFM et l'École de la chambre syndicale de la couture parisienne annonçaient leur rapprochement pour devenir une seule et même institution, croisant les expertises au plus haut niveau dans le domaine de la création, du savoir-faire et du management.

Plus de 500 nouvelles certifications ont été introduites dans la sixième version de la LNI (liste nationale des certifications éligibles au CPF) validée successivement par le Copanef puis le Cnefop, mardi 5 juillet 2016. Cette liste est en cours de saisie dans le SI-CPF. Les certifications entrant dans la LNI sont majoritairement issues de deux sources : le traitement du dernier "métier support" identifié par les partenaires sociaux (l'informatique) et les certifications proposées par les CPNE de branches. Par ailleurs, cette V6 marque la première entrée de certifications de l'enseignement supérieur issues du mode opératoire défini conjointement par le Copanef et la CPU. en octobre 2015. Comme pour les précédentes versions de la LNI, une demi-douzaine de certifications inscrites à l'Inventaire sont intégrées. Ce sont maintenant 95,2 % des salariés qui ont accès au CPF selon le Copanef.

Apparue il y a quelques années, la tendance de la coiffure nomade se confirme, en réponse aux nouveaux modes de vie des consommateurs, très connectés aux réseaux sociaux. Que ce soit en truck, van, cyclopousse ou triporteur, les professionnels interviennent au pied des immeubles de bureaux, lors d'évènements spécifiques publics (festivals, etc.) ou privés (mariages, enterrements de vie de jeune fille...), et également sur des services de barbier. Ces services peuvent être assurés par des professionnels freelance, ou être rattachés à des salons "en dur".

"Aujourd'hui différents modes d'innovations pédagogiques en formation existent et amènent les organismes de formation à réfléchir au développement d'outils numériques pour mieux répondre aux attentes des stagiaires : Web documentaire, Scoop it !, applications smartphone, plateformes de formation, tablettes..."

"Le recours aux serious games est de plus en plus fréquent en formation. Un MOOC de Fun propose de découvrir ce mode d'apprentissage."