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Au 31 décembre 2016, le secteur du commerce (commerce et réparation d'automobiles et de motocycles, commerce de gros, commerce de détail) compte 840 900 entreprises et emploie 3 552 000 personnes pour un chiffre d'affaires de 1 420,6 milliards d'euros. 42,8 % des établissements du commerce de détail en magasin n'ont pas de salarié. La publication fournit les chiffres clés du commerce dans son ensemble (répartition par secteur, statuts juridiques, répartition des établissements selon leur surface de vente, actifs du secteur) ; chiffres détaillés sur les secteurs du commerce de détail en magasin (nombre d'établissements selon le nombre de salariés, actifs par sexe et âge, CSP des salariés, contrats de travail, création d'établissements, effectifs salariés, chiffre d'affaires, implantation départementale).

"L'e-commerce est un secteur qui recrute selon le bilan du Contrat d'études prospectif (CEP) sur les métiers spécifiques du e-commerce signé par la DGEFP, le Forco et son Observatoire prospectif du Commerce, le Syndicat national de la Vente à distance (SNVAD) et la Fédération e-commerce et vente à distance (FEVAD) et réalisé par le Cabinet Geste et le Credoc. Le bilan constate que trois familles de métiers concentrent 60 % des effectifs. Il montre en effet qu'1 emploi sur 4 s'exerce dans les métiers de la logistique/supply chain, 1 sur 5 dans le commerce et de la relation client et 1 sur 6 dans la production et de la gestion de contenu. Les principaux métiers spécifiques du e-commerce sont décrits de maniére détaillée en annexe du document. Selon le bilan, 3 recrutements sur 4 réalisés en 2012 répondent à une création ou un accroissement d'activité. Parmi les recrutements réalisés en 2012, les 2/3 concernent une personne de niveau Bac+2 et plus, avec une exigence forte en matière d'expérience professionnelle. Au total, l'embauche dans les entreprises du e-commerce a augmenté de 22 % par an en moyenne, entre 2006 et 2010."

"L'e-commerce est un secteur qui recrute selon le bilan du Contrat d'études prospectif (CEP) sur les métiers spécifiques du e-commerce signé par la DGEFP, le Forco et son Observatoire prospectif du Commerce, le Syndicat national de la Vente à distance (SNVAD) et la Fédération e-commerce et vente à distance (FEVAD) et réalisé par le Cabinet Geste et le Credoc. Le rapport final est structuré autour de trois chapitres : Panorama actuel du secteur professionnel du commerce électronique ; Prospective des emplois et des métiers du commerce électronique à l'horizon 2015 ; Préconisations. "

Dans un contexte économique moribond où les mauvaises nouvelles se succèdent, un pan tout entier de l'économie garde la tête hors de l'eau, et arbore fièrement une croissance à deux chiffres. Le commerce électronique a le vent en poupe et il n'entend pas s'arrêter en si bon chemin. Ce boom économique fait les affaires du marché de l'emploi avec une croissance des effectifs du secteur de plus de 13 % en 2014, selon la Fédération E-commerce et Vente à Distance (Fevad). Et à l'approche des fêtes de fin d'année, c'est tout un secteur qui se sent pousser des ailes. Re.sources analyse la révolution e-commerce.

Sept entreprises du e-commerce sur 10 prévoient de recruter cette année, selon une étude du site Emploi e-commerce. Les postes les plus demandés sont principalement en webmarketing et en développement web, mais le secteur recherche aussi des chefs de projets, des commerciaux, des designers et des webmasters. De nouveaux métiers se créent, notamment ceux liés aux big data ou à l'expérience utilisateur, d'autres se transforment, comme les métiers de la logistique. Autant d'opportunités à saisir, notamment pour les diplômés de bac + 2 à bac + 5.

En bonne santé, l'e-commerce affiche une hausse de 14 % de son chiffre d'affaires entre 2014 et 2015, quand d'autres secteurs subissent encore la crise. En Ile-de-France, la densité du commerce et la forte proportion d'internautes dynamisent l'activité

Le Forco publie un contrat d'étude prospective des métiers du e-commerce. Au cours des prochaines années, les intentions de recrutement dans les métiers du e-commerce proviennent principalement des «Pure Players" (entreprise dont l'activité est présente uniquement sur internet) et des "Click & Mortar" (entreprise dont l'activité a pignon sur rue ainsi que sur internet). Les métiers qui arrivent en tête des intentions de recrutement (en % des entreprises qui envisagent de recruter) sont les suivants : Chargé de clientèle 39% ; Trafic manager 29% ; Community manager 26% ; Rédacteur web 26% ; Chef de projet / analyste fonctionnel 26% ; Animateur des ventes en ligne 25%.

Sélectivité en hausse, préparation au management international, spécialités en lien étroit avec les besoins des entreprises... Les écoles de commerce postbac installent leurs formations dans le paysage de l'enseignement supérieur français. Le point à l'occasion de la publication du deuxième palmarès personnalisé des écoles de commerce de l'Etudiant, mardi 14 octobre 2014.

Le Forco est l'Organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) du commerce et de la distribution et regroupe 14 branches professionnelles. Le site aide notamment les salariés du secteur à s'informer sur les dispositifs de la formation professionnelle. Il met en ligne également des données de l'Observatoire prospectif du commerce, dont des diagnostics territoriaux. Les 14 branches adhérentes du Forco sont : - l'import-export - les succursalistes de la chaussure - les succursalistes de l'habillement - l'horlogerie de gros - l'optique - lunetterie de détail - l'horlogerie-bijouterie de détail - les commerces de détail non alimentaires (CDNA) - le commerce des articles de sports et d'équipements de loisirs - les magasins de bricolage - le négoce et services médico-techniques - les grands magasins et magasins populaires - la photographie - les entreprises de vente à distance - le commerce à prédominance alimentaire > > http://www.forco.org/

"* Permettre aux salariés préparant l'un des trois CQP de la branche du commerce de détail de l'horlogerie-bijouterie d'obtenir un titre préparé par Negoventis, le réseau des CCI spécialisé dans le commerce et la vente, correspondant à un niveau équivalent identifié, * Proposer un CQP horlogerie-bijouterie aux alternants de Negoventis, Tel est l'objet de la convention de « double-diplôme » signée pour trois ans par CCI France pour Negoventis et la branche du commerce de détail de l'horlogerie-bijouterie. Ce partenariat a été rendu public le 12/12/2018."

"Comment évoluent les emplois et les métiers de la vente et du commerce ciblés par les bacs pros "Vente" et "Commerce" ? Et quelles perspectives en tirer pour ces deux diplômes, en tenant compte de leur situation actuelle ? En termes de contenus, les commerciaux itinérants ont une activité de plus en plus "technicisée", pilotée, "orientée clients" et connectée aux organisations du travail. Les vendeurs en magasin tendent pour leur part à se recentrer sur leur coeur de métier, à savoir la relation client, mais le plus souvent sur fond d'intensification du travail et de centralisation accrue des fonctions d'animation et de gestion des commandes et des stocks, en particulier au sein des grandes enseignes et des réseaux de magasins."

Le classement des écoles de commerce est un palmarès de référence qui hiérarchise les écoles de commerce visées délivrant le grade de master.

Commerces alimentaires, magasins spécialisés, artisanat commercial, distribution de gros… Tous ces domaines d'activité forme le secteur du commerce. Un secteur qui recrute en permanence, mais avec des particularités selon les régions.

Découvrez notre palmarès général des écoles de commerce postbac 2016-2017. Si vous souhaitez faire votre propre palmarès en choisissant les critères qui vous sont les plus importants, sélectionnez un profil ci-dessous !

"En bonne santé, l'e-commerce affiche une hausse de 14 % de son chiffre d'affaires entre 2014 et 2015, quand d'autres secteurs subissent encore la crise. En Ile-de-France, la densité du commerce et la forte proportion d'internautes dynamisent l'activité."

"Malgré une conjoncture économique maussade, les opportunités de recrutements restent d'actualité dans le commerce et les enseignes.Pour faire face au turnover, traditionnellement élevé dans la profession (15 à 20 %), toutes les enseignes vont continuer à recruter de nombreux collaborateurs pour leurs points de vente. Contrairement aux hypermarchés en perte de vitesse, les magasins de proximité ont le vent en poupe et génèrent de plus en plus de postes. Les candidats auront tout intérêt à cibler ces commerces «à taille humaine». Ce que confirme la dernière étude «Besoins en main-d'œuvre» de Pôle emploi, qui fait apparaître une progression de 33 % des intentions d'embauche dans les supermarchés.Les profils les plus recherchés? Des managers de terrain comme des chefs de rayon ou des responsables de département produits. Inutile de se leurrer: ces difficultés à trouver des encadrants en magasin s'explique aussi par le manque d'attractivité du secteur. Pourtant, les possibilités d'évoluer rapidement dans la hiérarchie des points de vente sont réelles. Avec un BTS (bac + 2), un jeune peut débuter chef de rayon puis prendre en main un secteur entier avant de diriger un magasin à 30 ans."

Environ 100 000 emplois sont à pourvoir chaque année dans le secteur du commerce interentreprises qui peine à pourvoir tous ses postes. Des opportunités pour les commerciaux, les technico-commerciaux, les techniciens qualité ou les logisticiens.

L'Observatoire prospectif du commerce propose une nouvelle collection d'études sur l'emploi et la formation intitulée « Portrait de Région » sous forme de 13 fiches synthétiques. Zoom sur la fiche francilienne.

Avec plus de 20 000 salariés répartis dans la France entière, le secteur du commerce et de la réparation des véhicules industriels doit faire face à un renouvellement de ses effectifs suite à de nombreux départs à la retraite.

Avec plus de 20 000 salariés répartis dans la France entière, le secteur du commerce et de la réparation des véhicules industriels doit faire face à un renouvellement de ses effectifs suite à de nombreux départs à la retraite.

Selon une étude de l'Insee, l'emploi salarié dans le commerce a continué de se contracter en 2014 bien que l'activité soit repartie légèrement à la hausse.