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IPSOS - La place de la relition et de la laïcité dans l'élection présidentielle - 1 views

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    Ipsos / Sopra Steria se sont intéressés, pour France Télévisions et Radio France, aux rapports des Français à la place de la religion et la laïcité dans la campagne Présidentielle. UN SUJET QUI PREND TROP DE PLACE DANS LE DÉBAT PUBLIC Seuls 14% des Français estiment que la place des religions en France et la laïcité doivent occuper une place prioritaire dans la campagne électorale, quand 40% pensent que ce sujet doit être secondaire (pour rappel, la semaine dernière, ces chiffres étaient respectivement de 37% et 5% pour la protection sociale). Une partie des Français semblent en effet réservée quand est évoquée la présence de ces enjeux dans le débat public : les trois quarts d'entre eux (77%) pensent que l'on parle trop de religion, et 72% estiment que les élus ne devraient pas évoquer leurs croyances religieuses. PRÉSERVER UNE LAÏCITÉ... DONT LES FRANÇAIS SE FONT DES IDÉES TRÈS DIFFÉRENTES Une très large majorité des Français (90%) estime que la laïcité est une valeur essentielle de la République, et dans le même temps, 74% pensent qu'elle est aujourd'hui menacée (dont 92% des électeurs de Marine Le Pen). Ce très vif attachement à la laïcité ne doit pas faire oublier qu'elle recouvre des acceptions très différentes : pour les électeurs potentiels de M Le Pen, elle signifie avant tout « la préservation de l'identité traditionnelle de la France » (46%), alors que les soutiens d'Emmanuel Macron et Benoît Hamon y voient avant tout « la liberté de pratiquer la religion que l'on souhaite » (46% et 57%) ou « la possibilité pour des gens de convictions différentes de vivre ensemble » (51% et 50%). Enfin, les électeurs de Jean-Luc Mélenchon se montrent attachés à une laïcité de combat, 45% y voyant avant tout « la séparation des religions et de l'Etat ». DES TENSIONS QUI RESTENT VIVES, NOTAMMENT VIS-À-VIS DE L'ISLAM Une majorité des Français (60%) juge que la cohabitation en
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Le Point - Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel - 1 views

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    "La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l'exposition sur l'art des santonniers organisée à l'hôtel de région en 2017. Par Marc Leplongeon Publié le 06/09/2021 à 14h00 - Modifié le 07/09/2021 à 08h52 Les crèches de Noël dans les lieux publics sont en décembre ce que la rentrée scolaire est en septembre : un joli marronnier journalistique qui promet toujours une belle polémique. Chaque année, les élus locaux de droite s'offrent un débat dans la presse locale et régionale : ont-ils le droit d'installer une crèche de Noël dans les hôtels de ville, malgré le devoir de neutralité qui s'impose à eux ? En décembre 2017, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes donne ainsi son autorisation pour une exposition sur l'art populaire des santonniers (le santon est une figurine en argile peinte représentant des personnages de la Nativité). Plusieurs œuvres représentent des crèches et sont installées dans les locaux du conseil régional. La Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen décide d'attaquer en justice la décision de Laurent Wauquiez. L'article 28 de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État est, en effet, clair : « Il est interdit, à l'avenir, d'élever ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics. » L'objectif est limpide : il s'agit d'empêcher les personnalités publiques de manifester la reconnaissance d'un culte ou de marquer une préférence religieuse. PUBLICITÉ Aucun prosélytisme, pour la cour d'appel Il existe néanmoins une exception, dans laquelle Laurent Wauquiez semble s'être engouffré : la possibilité d'installer des crèches dans le cadre d'une manifestation culturelle, une exposition, par exemple. Pour les juges de la cour d'appel de Lyon, confirmant le jugement de première instance, la Ligue de défense des droits de
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IFOP - les Français et la laïcité - Sondage - Résultats - 0 views

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    Plus au fait des règles régissant les relations entre l'Etat et les Eglises que par le passé, les Français se révèlent aujourd'hui encore plus attachés au principe de laïcité. Dans cette enquête Ifop pour le Comité national d'action laïque (CNAL), réalisée à la veille des attentats du 13 novembre, l'opinion se révélait déjà particulièrement exigeante en la matière. ainsi, pour 32% des Français, la laïcité consiste avant tout à séparer les religions et la politique. Pour 27%, il s'agit d'assurer la liberté de conscience et pour 19% de mettre toutes les religions sur un pied d'égalité - un score en recul de 13 points par rapport à 2005. 17% des interviewés estiment quant à eux que le principe de laïcité consiste avant tout à faire reculer l'influence des religions dans notre société, une proportion en hausse de 8 points. Importante pour une immense majorité des Français, aussi bien à l'école (87%) que pour l'identité de la France (84%), la laïcité apparaît aujourd'hui comme beaucoup plus en danger qu'il y a dix ans : quatre Français sur cinq (81%) font cet amer constat. Ils n'étaient "que" 58% en 2005. Ce danger est principalement imputé au fait que de plus en plus de personnes portent des signes religieux ostensibles (43%), parce que les religions se font de plus en plus entendre sur les sujets de société (36%) et parce que certains veulent que l'Etat subventionne la construction de mosquées (34%, +13 points depuis 2005). Dans le même temps, les craintes pour le recul de la laïcité à cause du manque de mixité des communautés culturelles et religieuses ont tendance à baisser (22%, -13), signe d'un raidissement de l'opinion. En réponse à cette inquiétude, on observe une adhésion de plus en plus massive à la loi interdisant le port de signes religieux ostensibles à l'école : elle s'élève aujourd'hui à 85%. De même, les mesures contribuant à exclure le religieux de la sphère publique se révèlent
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IFOP - Les Français et la laïcité - Sondage - Annexe - 1 views

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    Plus au fait des règles régissant les relations entre l'Etat et les Eglises que par le passé, les Français se révèlent aujourd'hui encore plus attachés au principe de laïcité. Dans cette enquête Ifop pour le Comité national d'action laïque (CNAL), réalisée à la veille des attentats du 13 novembre, l'opinion se révélait déjà particulièrement exigeante en la matière. ainsi, pour 32% des Français, la laïcité consiste avant tout à séparer les religions et la politique. Pour 27%, il s'agit d'assurer la liberté de conscience et pour 19% de mettre toutes les religions sur un pied d'égalité - un score en recul de 13 points par rapport à 2005. 17% des interviewés estiment quant à eux que le principe de laïcité consiste avant tout à faire reculer l'influence des religions dans notre société, une proportion en hausse de 8 points. Importante pour une immense majorité des Français, aussi bien à l'école (87%) que pour l'identité de la France (84%), la laïcité apparaît aujourd'hui comme beaucoup plus en danger qu'il y a dix ans : quatre Français sur cinq (81%) font cet amer constat. Ils n'étaient "que" 58% en 2005. Ce danger est principalement imputé au fait que de plus en plus de personnes portent des signes religieux ostensibles (43%), parce que les religions se font de plus en plus entendre sur les sujets de société (36%) et parce que certains veulent que l'Etat subventionne la construction de mosquées (34%, +13 points depuis 2005). Dans le même temps, les craintes pour le recul de la laïcité à cause du manque de mixité des communautés culturelles et religieuses ont tendance à baisser (22%, -13), signe d'un raidissement de l'opinion. En réponse à cette inquiétude, on observe une adhésion de plus en plus massive à la loi interdisant le port de signes religieux ostensibles à l'école : elle s'élève aujourd'hui à 85%. De même, les mesures contribuant à exclure le religieux de la sphère publique se révèlent
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BVA - Le fait religieux en entreprise - 0 views

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    La place de la religion dans l'entreprise s'est inscrite dans le débat public. L'enquête réalisée par BVA pour mediarh.com fait le point sur le ressenti des salariés à l'égard du fait religieux dans leur entreprise. La progression du fait religieux en entreprise : un faux débat ? La question de la progression du fait religieux dans l'entreprise ne semble pas d'actualité pour nombre de salariés : plus des ¾ d'entre eux (77%) estiment que les pratiques religieuses dans leur entreprise ne sont ni plus, ni moins visibles qu'il y a quelques années. L'expression du fait religieux dans l'entreprise que ce soit à travers le port de la croix catholique, du voile, de la kippa ou la prière suscite aujourd'hui le malaise d'un peu plus d'un quart des salariés (28%), le plus souvent de manière ponctuelle ou occasionnelle. S'ils ne sont pas vraiment mal à l'aise par l'expression actuelle du fait religieux dans l'entreprise, les salariés sont toutefois opposés à sa reconnaissance formelle Si les salariés qui expriment une opinion sont plutôt opposés à une demande de congés pour une fête religieuse (41% opposés vs 28% favorables et 31% sont indifférents) ou à l'instauration de menus spéciaux dans le restaurant d'entreprise (49% opposés vs 21% favorables et 30% indifférents), l'opposition est beaucoup plus nette à l'égard de demandes d'aménagement du temps de travail pour des raisons religieuses (71% y sont opposés) ou de ports de signes religieux visibles (67% sont contre). Des dispositions destinées à encadrer le fait religieux dans l'entreprise qui ne sont pas jugées indispensables Pour 15% des salariés, leur entreprise a mis en place des dispositions particulières concernant le fait religieux, beaucoup plus souvent pour le limiter que pour l'encadrer (13% vs 2%). Le principe de telles dispositions est jugé plutôt important (38%) voire indispensable (16%) plutôt que pas important (44%).
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Diocèse de Gap et d'Embrun Diocèse de Gap et d'Embrun - La chronique de Mgr J... - 0 views

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    "Alors si vous avez pris le temps d'observer vous aurez compris que la crèche c'est ce rassemblement de tous, de tous ceux qui composent notre société. C'est le rassemblement de toutes nos différences, de toutes nos opinions, de toutes nos croyances. La crèche c'est l'image d'une société presque toujours utopique où tous se rassemblent autour pour la paix, pour l'amour, pour la liberté, pour l'égalité et la fraternité. Alors, si vous trouvez un autre symbole que la crèche pour incarner, en cette période de Noël, ces valeurs, prévenez-moi pour que je le mette dans mon hall d'entrée."
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IFOP - Balises d'opinion #125 - 0 views

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    (1ere moitié sur la vaccination puis :) Dans un autre registre, l'actualité de ces derniers jours a été rythmée par le début des débats à l'Assemblée nationale sur le projet de loi contre le séparatisme. Si la question est présentée comme centrale par le gouvernement, 34% des Français interrogés partagent cette position et jugent le projet de loi « tout à fait prioritaire ». Ce positionnement est plus marqué à la droite de l'échiquier politique (58% des sympathisants Les Républicains et 50% de ceux du Rassemblement National) quand les partisans du parti présidentiel sont 37% à partager cette opinion. Dans le détail, les principales mesures du projet de loi semblent récolter globalement de l'adhésion : 88% des Français sont pour le principe de neutralité religieuse des agents chargés d'une mission de service public, 86% pour le renforcement de la transparence financière et comptable des lieux de cultes musulmans, 83% pour la signature obligatoire d'un contrat d'engagement républicain pour bénéficier des subventions publiques, et 63% pour la fin de l'instruction à domicile. La question de la lutte contre le séparatisme revêt un enjeu politique, et c'est Marine Le Pen qui inspire le plus confiance pour mener à bien ce projet (46%). Vient ensuite le chef de l'Etat (43%) puis Xavier Bertrand (38%). Alors que le ministre de l'Intérieur tente de se positionner en « référent » de la question des séparatismes, seulement 35% des Français lui font confiance. La gauche ne semble pas incarner ce sujet puisque Jean-Luc Mélenchon ne récolte que 22% de confiance pour lutter contre le séparatisme.
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IFOP - Résultats - L'adhésion des Français à des mesures du projet de loi de ... - 0 views

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    Le 9 décembre prochain sera présenté au conseil des ministres le projet de loi pour lutter contre les séparatismes. Alors que ce dernier suscite de nombreuses réactions, le gouvernement décidait cette semaine de retirer le mot « séparatisme » du titre de la loi pour le remplacer par le concept de « défense de la laïcité ». Si ce changement remarqué revêt un enjeu politique certain, le sondage Ifop-Fiducial pour CNews et Sud Radio montre également que cela produit un effet sur la perception des citoyens du projet de loi. En effet, les Français ont été amenés à se positionner sur la priorisation entre deux items : « la lutte contre les séparatismes, notamment le séparatisme islamiste » et « la défense de la laïcité ». Ils sont 54% à juger le premier « tout à fait prioritaire », contre 50% pour le second. Cette écart de 4 points illustrent d'une différenciation de la perception de l'enjeu selon le libellé. La semaine dernière, Emmanuel Macron présentait aux Français les principaux axes de ce projet de loi, un discours remarqué et commenté. Mais que pensent les Français des mesures présentées ? La majorité d'entre eux (89%) se positionnent en faveur de la mise en place d'un contrôle renforcé sur le financement étranger des lieux de culte et l'obligation, pour les associations, de signer un contrat de respect des valeurs de la République. L'interdiction de l'école à domicile, sauf pour motif de santé, rencontre elle une adhésion plus mitigée puisque 66% des Français se disent pour, de même que l'enseignement de l'arabe et des langues maternelles dans l'école publique (31% des personnes interrogées y sont favorables). L'adhésion à cette dernière mesure semble particulièrement marquée par la proximité politiques déclarée des Français. En effet, 56% des sympathisants de la France Insoumise s'y déclarent favorables contre seulement 7% des sympathisants du Rassembleme
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Un Français sur deux contre toute expression d'appartenance religieuse en ent... - 0 views

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    "Près d'un Français sur deux (48 %) plaide pour interdire toute expression d'appartenance religieuse en entreprise, selon un sondage publié le 18 mai. L'enquête, réalisée par Odoxa pour l'association Cercle d'éthique des affaires, montre que 48 % des personnes interrogées sont « pour interdire toute expression d'appartenance religieuse parce qu'il n'y a pas de place dans l'entreprise pour la religion ». Cependant, 28 % plaident pour « permettre au cas par cas cette expression en veillant à ce qu'elle soit modérée, discrète et respectueuse des autres », et 23 % pour faire en sorte que « les entreprises définissent des règles internes précises sur ce sujet » (1 % des personnes interrogées sont indécises)."
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Déclaration commune:Il ne faut pas toucher à la loi de 1905 !Il faut défendre... - 0 views

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    "La laïcité, qui est le libre exercice de sa conscience, est garantie par la loi de Séparation des Églises et de l'État de 1905. Elle est aujourd'hui menacée par ceux qui veulent en faire un instrument contre une certaine catégorie de la population : les citoyens d'origine arabo-musulmane. Ainsi, on entend interdire les repas de substitution dans les cantines des collectivités publiques pour les végétariens et les personnes ne voulant pas, pour des raisons diverses, manger du porc. Imposer une nourriture contraire aux convictions personnelles, ne relève pas de la laïcité, mais de la xénophobie. S'il est juste d'un point de vue laïque de refuser de diffuser dans les collectivités publiques les produits casher et hallal, imposer des repas avec de la viande de porc relève de la discrimination. Ainsi, on entend réclamer l'interdiction du voile dit « islamique » à l'Université. Rappelons qu'il existe, dans les facultés, les franchises universitaires qui sont des libertés arrachées au pouvoir et aux clergés. Remettre en cause les libertés universitaires ne relève pas de la laïcité, mais d'une remise en cause de la démocratie. Ainsi une proposition de loi qui doit être examinée en mai prévoit la modification du Code du Travail ; on veut y intégrer des dispositions relevant de la sphère publique et de la nécessaire neutralité des agents des Fonctions publiques. Le Code du Travail régit les rapports entre les dirigeants d'entreprise et les salariés. Au sein des entreprises, la liberté de conscience est régie par l'Article 10 de la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. » On veut étendre à l'infini la sphère publique et imposer la nécessaire neutralité des agents des services publics à tous les salariés dans tous les se
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Blois - Homélie de la messe de l'Épiphanie et Voeux aux responsables politiques - 0 views

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    "L'Évangile de cette fête est vraiment celui de l'amour universel de Dieu. C'est pourquoi l'Épiphanie est une petite Pentecôte : elle est à la fête de Noël ce que la Pentecôte est à la fête de Pâques. Sans la Pentecôte, l'événement de Pâques ne serait pas devenu une bonne nouvelle pour toutes les nations. Sans l'Épiphanie et la visite des mages, l'événement de Noël n'aurait pas atteint ces mêmes nations pour lesquelles le Roi des Juifs est né à Bethléem. Ces nations, c'est-à-dire nous tous, qui vivons plus de deux millénaires après l'événement de la naissance du Fils de Dieu.       La fête de l'Épiphanie est à la fois la fête de la dispersion et la fête du rassemblement. La Bonne Nouvelle du salut est annoncée aux quatre vents, et les mages de tous les temps vont la porter dans leurs différents pays. Mais cette Bonne Nouvelle, au lieu de diviser, rassemble, et c'est à cela qu'elle est reconnue authentique.         Il y a une expression qu'utilisent beaucoup de personnalités lorsqu'elles m'envoient leurs vœux et qui m'amuse toujours. Cette expression, c'est « tous mes vœux à la communauté catholique ». L'expression m'amuse, car le mot « catholique » signifie « universel ». C'est donc comme si on écrivait : « tous mes vœux à la communauté universelle ». Dans notre langage courant, une communauté ne peut pas être universelle, et notre époque se méfie à juste titre du communautarisme ; mais réciproquement, l'universel est abstrait, il est incapable d'engendrer la communauté et moins encore la communion. Ce que le Christ nous promet, c'est une communauté universelle qui reste pourtant une vraie communauté parce qu'elle est le laboratoire de la fraternité. Chers frères et sœurs qui exercez des responsabilités dans la vie publique, vous pouvez être assurés de notre reconnaissance pour votre dévouement et de l'engagement de notre fr
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Bayonne - Lettre aux diocésains de Bayonne, Lescar et Oloron sur l'importance... - 0 views

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    Lettre de Monseigneur Aillet. Extraits: "Il ne s'agit pas pour moi de nier la particulière contagiosité de ce virus, ni de minimiser les risques que cette épidémie fait courir, en particulier aux plus âgés et aux plus fragiles, encore moins d'ignorer le risque d'engorgement de nos services de réanimation, mettant à mal un personnel soignant épuisé et insuffisant, pour cause de politiques de santé déficientes et imprévoyantes depuis des années. Il reste qu'une telle restriction imposée aux cultes m'apparaît disproportionnée par rapport au risque sanitaire, quand écoles, collèges, lycées, grandes surfaces, pas seulement alimentaires, services publics, transports en communs restent ouverts. D'ailleurs, aucun « cluster » n'est jamais né dans nos assemblées liturgiques et pour cause : nous participons à l'effort national depuis des mois, par une application loyale des précautions sanitaires, nos assemblées sont disciplinées et, hélas en bien des endroits, pas assez nombreuses pour empêcher la distanciation physique requise. C'est donc la liberté de culte qui me semble une fois encore attentée. La décision du Conseil d'Etat du 18 mai 2020 pourrait ainsi faire jurisprudence. (...) En attendant, cela nous amène à reconsidérer la place que nous accordons à l'Eucharistie dans notre vie chrétienne. Dans un passé encore récent, on a eu tendance à opposer de manière spécieuse l'engagement social et caritatif au culte, réduit souvent à une compréhension très extérieure du terme. Sous prétexte d'une pratique sacramentelle, dont on a dénoncé hâtivement le caractère légaliste ou pharisaïque, on a fini par se convaincre que la pratique de la charité envers autrui valait largement la fidélité à la messe dominicale. (...) Je voudrais donc vous proposer de faire une neuvaine au Bienheureux Carlo Acutis, pour lui demander de faire grandir en nous le sens et la ferveur eucharistiques et pour obtenir au pl
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Paris Spi - La tentation moralisante du politique - 0 views

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    "La République n'est pas un système religieux mais un système politique. Nul n'en doute. Elle organise la vie du corps social et n'a pas d'autorité pour statuer sur la destinée ultime des citoyens. Elle peut ainsi rassembler « ceux qui croient au ciel et ceux qui n'y croient pas ». Mais en réalité, c'est une perception athée du réel qui, sous couvert de laïcité, préside à la vie politique. Elle a pour corollaire de facto une prise de position également politique : l'éviction de toute considération pour la dimension spirituelle de la nature humaine. Il s'en suit que la société politique est maintenant traversée par des convulsions sinon religieuses du moins très moralisantes, révélant la tentation de combler par la morale le manque créé par le refus de réflexions anthropologiques et philosophiques. L'exercice politique implique pourtant d'avoir conçu une certaine idée de l'homme et de sa destinée. Comment en effet organiser une société digne de l'homme sans une idée claire des conditions requises pour que ses membres puissent s'accomplir ? Mais qu'est-ce que l'accomplissement de la personne ? Ainsi l'abandon par la classe politique de la question anthropologique, où l'homme ne serait ni animal, ni une machine, porte atteinte à sa capacité d'organisation d'une société à la mesure de sa dignité. Préférant esquiver l'énigme de la nature humaine, les responsables politiques se réfugient dans des postures d'autorité. Ils ont, en réalité, perdu la conscience de ce qui spécifie la personne humaine : sa finalité. La connaissance de l'humain dans sa nature spirituelle est une nécessité minimale pour conserver le respect de l'humain dans la société. Il est urgent de le rappeler, alors que hélas, la vie politique contemporaine est portée par une vision toute matérialiste de l'homme et promeut une religion de l'homme sans finalité. Un parallélisme des formes entre p
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Aix & Arles - "Ne nous laissons pas détourner de l'essentiel" : le message de... - 0 views

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    "Ne nous laissons pas détourner de l'essentiel dans notre marche vers la fête de la Nativité. Le Seigneur a pitié de nous qui sommes si petits, si fragiles, si vulnérables dans notre pauvre condition humaine. Il porte son regard sur nous, Il vient à nous et Il nous sauve. En ce temps de l'Avent, l'éternel Amour frappe à notre porte, ouvrons-lui notre cœur, préparons-nous à le recevoir avec une âme plus belle. Préparons nos familles et nos communautés, le Seigneur veut y mettre sa joie, sa paix et sa tendresse. C'est le projet de Dieu dans notre histoire : remplir l'humanité de tout son amour. Ce projet, Il l'a réalisé en Jésus, une fois pour toutes. À nous aujourd'hui de l'aider pour qu'Il trouve toute sa place. Que faire ? Les églises s'ouvrent à nouveau au culte, allez-y, les prêtres vous y attendent ce dimanche et ils ne laisseront personne à la porte, j'en assume la pleine et entière responsabilité. Certes la limite des 30 personnes nous est demandée, mais c'est une norme impossible. Respectez scrupuleusement les mesures sanitaires pour éviter la propagation de l'épidémie. Pour ceux et celles qui ne pourraient ou ne voudraient pas venir à la messe, je suggère de la vivre devant votre écran et de prier en communion avec toute l'Eglise ; pour ces personnes j'ai invité les prêtres à se rendre disponibles pour donner individuellement la communion."
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La Rochelle - Mgr Colomb salue la manifestation à Saintes pour la liberté de ... - 0 views

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    "« Chers Amis de l'Association des familles catholiques de Saintonge, Je suis en union de prière avec vous ce dimanche. Vous respectez la loi et participez à l'effort de lutte contre la pandémie et vous avez raison. En vous rassemblant ce matin en respectant les règles sanitaires, vous priez par l'intercession de la très Sainte Vierge Marie pour les soignants, les forces de l'ordre et nos compatriotes éprouvés par la pandémie, plus particulièrement pour les personnes âgées. Vous rappelez à tous que dans l'Eglise catholique, la messe est la source et le sommet de la vie ! Chaque religion a son culte, la France est la fille ainée de l'Eglise, pays de vieille tradition catholique. Pour nous, le mot « ecclesia » veut dire assemblée. L'Eglise est le corps mystique du Christ, ce qui veut dire que la messe est indispensable pour vivre notre foi ! Ce rassemblement n'est pas une provocation mais simplement l'expression de votre prière pour tous ceux qui vous sont chers et ceux qui nous gouvernent. »"
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Communiqué: Quelle laicité voulons-nous pour demain? | L'Aide à l'Eglise en D... - 0 views

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    "L'Aide à l'Église en Détresse organise son prochain colloque le vendredi 6 novembre sur le thème : Quelle laïcité voulons-nous pour demain? + 20% de profanations de lieux de culte entre 2012 et 2014; + 84% d'actes antisémites après les attentats de Charlie Hebdo ; « un réfugié chrétien sinon rien » réclame un élu face à l'affût de migrants ; …en France, l'actualité semble se heurter à un principe de laïcité en mal de définition et de plus en plus clivant. Forte de son expertise dans 150 pays et de son rapport bisannuel sur la liberté religieuse dans le monde, l'AED considère qu'une réflexion sur la laïcité est primordiale pour la France. « Il y a urgence à réfléchir sur le sujet d'autant que la tentation existe pour la République de nier ou totalement privatiser le fait religieux pour échapper à cette crispation. » selon Marc Fromager, son directeur."
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Quelle laicité voulons-nous pour demain ? - France Catholique - 0 views

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    "L'Aide à l'Église en Détresse organise son prochain colloque le vendredi 6 novembre sur le thème : Quelle laïcité voulons-nous pour demain ? + 20% de profanations de lieux de culte entre 2012 et 2014 ; + 84% d'actes antisémites après les attentats de Charlie Hebdo ; « un réfugié chrétien sinon rien » réclame un élu face à l'affût de migrants ; …en France, l'actualité semble se heurter à un principe de laïcité en mal de définition et de plus en plus clivant. Forte de son expertise dans 150 pays et de son rapport bisannuel sur la liberté religieuse dans le monde, l'AED considère qu'une réflexion sur la laïcité est primordiale pour la France. « Il y a urgence à réfléchir sur le sujet d'autant que la tentation existe pour la République de nier ou totalement privatiser le fait religieux pour échapper à cette crispation. » selon Marc Fromager, son directeur."
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Mgr Gallagher : l'intolérance monte même en EuropeRadio Vatican - 0 views

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    "« Ces derniers temps, sur une échelle mondiale et sans exception pour le continent européen, nous sommes témoin du non-respect pour les libertés religieuses compromise pour une série de cause. Nous assistons aussi à une inquiétante détérioration des conditions d'une telle liberté fondamentale, qui, dans certains cas, a rejoint le niveau d'une persécution ouverte, dont les chrétiens sont les premières victimes, même si ce ne sont pas les seules. » Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les Rapports avec les États du Saint-Siège, intervenait lundi 12 octobre à Rome, à la conférence annuelle de l'Académie internationale pour le développement économique et social intitulée « Liberté religieuse, sécurité et développement en Europe »."
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Noël pour tous - Editorial - Actualité - Liberté Politique - 1 views

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    "Noël pour tous ? Pour les préfets de la République, c'est plutôt Noël pour personne. Ou plutôt Noël chacun pour soi. Quand verra-t-on, après les Femen, des compagnies de CRS disperser des santons sur la place publique ?"
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Noël : où crèche la laïcité? | Causeur - 0 views

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    "« Le temps critique, pour une religion, est celui où elle subit l'action de la société civile plutôt qu'elle ne l'inspire », écrivait le sociologue Gabriel Lebras en 1956[1. Gabriel Lebras. « Sociologie religieuse et science des religions». Archives de la Sociologie des Religions. n°1. Janvier-Juin 1956. p. 16]. Les temps semblent à nouveau devenus critiques pour les catholiques. Le Pape François se fait enguirlander dans l'esprit de Noël par Jean-Luc Mélenchon, on se dépoitraille plus facilement dans les églises qu'au Cap d'Agde et quand les Femen s'amusent à sonner les vénérables cloches de Notre-Dame de Paris à coups de bâton, on les récompense en collant leur bobine sur les timbres afin que les catholiques indignés soient obligés de mettre un coup de léchouille à Inna Shevchenko à chaque fois qu'ils envoient une lettre de protestation. De manière générale, depuis que les catholiques se sont permis de descendre dans la rue pour manifester au lieu de rester tranquillement dire le bénédicité devant le poulet du dimanche, le « A bas la calotte » semble être revenu en force chez tous les défenseurs de la liberté de la fermer pour tous, surtout pour ceux qui ne pensent pas comme il faut."
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