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hubert guillaud

L'âge de l'infopolitique - NYTimes.com - 1 views

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    Pour le philosophe Colin Koopman, la confusion dans laquelle nous plonge la surveillance informationnelle est le signe que nous avons besoin d'une nouvelle façon de penser notre rapport au milieu informationnel. Nous avons besoin d'un nouveau concept pour comprendre le lien toujours plus dense entre politique et information. Et le philosophe de proposer le concept d'infopolitique pour englober à la fois la surveillance, l'analyse des données, les mouvements pour les droits numériques, les litiges autour de la propriété numérique... Ces litiges sont tous reliés à nos "personnes informationnelles". Politiquement et culturellement, nous sommes de plus en plus définis par un ensemble d'environnement de données, une architecture d'information qui nous définissent... Nous sommes devenus des "personnes numériques", comme le dit Daniel Solove. Nous sommes désormais soumis à l'informatique de domination de Donna Haraway, le datapolitik du théoricien politique David Panagia ou le data power du philosophe Grégoire Chamayou. Nos personnes informationnelles sont nées avec l'anthropométrie du XIXe siècle et n'ont cessé de se développer par devers nous. Pourtant, nous nous pensons toujours différemment de ces informations. Nous, nous sommes réels. Mais que serait notre réalité si nous enlevions tout ces numéros, comptes, profils, dossiers et prothèses qui nous caractérisent ? A force de ne pas vouloir voir que nous sommes aussi des bits et des octets, nous laissons d'autres le faire pour nous, les laissant produire sans cesse de nouvelles images, de nouvelles représentations de nous. Nous avons besoin du concept d'infopolitique parce que nous sommes devenus des personnes informationnelles. Et c'est seulement en reconnaissant ce nouveau visages à nos individualités que nous comprendront l'importance des réformes de la surveillance ou des transgressions des hacktivistes, dont l'éthique rappelle l'importance de l'anonymat et de la non-traçabilité.
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Big Data et procédure équitable - SSRN - 2 views

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    La chercheuse Kate Crawford et le chercheur Jason Schultz proposent dans le dernier numéro de la "Boston College Law Review" une nouvelle forme de régulation pour les citoyens à l'heure du Big Data. Ils partent du constat qu') l'heure du ciblage comportemental, les informations personnelles permettant l'identification ont explosé. L'approche Big Data est en dehors des cadres de protection actuels de la vie privée et a pour conséquence de marginaliser le schéma réglementaire existant et ce d'autant qu'il fait peser sur chacun de nouveaux risques, comme le "préjudice prédictif", qui consiste en notre catégorisation sans notre connaissance ni notre consentement. Les systèmes de protection des données sont devenus insuffisants pour répondre au défi des Big Data. Et les chercheurs de proposer une nouvelle approche pour atténuer les méfaits du préjudice prédictif. Celle d'un droit à une procédure équitable. Les personnes jugées par les Big data devraient avoir des droits similaires à ceux des personnes jugées par un tribunal, et notamment un droit d'accès et de rectification...
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Big data, asymétrie et affaires - Ideas Bazaar - 0 views

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    Pour l'anthropologue Simon Roberts de retour d'Epic 2013 qui se tenait à Londres la semaine dernière, les Big data étaient tapies dans toutes les conversations à la manière de la musique incidieuse de John Williams dans "les dents de la mer", comme une menace que nous serions incapables de surmonter. Mais les discussions sur le sujet l'on déçues. Simplistes, manichéennes... Elles semblaient toutes oublier les relations de pouvoir que les Big Data impliquent. Et Robert Simon de prendre un exemple. ll habitde dans le sud de Londres et, du fait de son code postal, son assurance automobile était très chère. Pour la faire diminuer, il a été contraint d'y placer un dispositif de suivi, acceptant par la même que sa conduite (ainsi que celle de sa femme et de la jeune fille au pair suédoise qu'ils embauchent et accueillent). Quelle va être les implications de cette surveillance sur leur conduite ? Comment le système va-t-il faire la différence entre la conduite encore hésitante d'une jeune femme, et celle plus assurée de gens qui conduisent depuis 20 ans ? Désormais, les limitations de vitesses sont devenues une obligation. Pour l'instant, le système les catégorise comme "bons" conducteurs. Mais les chercheurs devraient porter attention à l'ambiguïté de nos réponses à ce type de services. Quelle ligne de démarcation devons-nous tracer entre la surveillance et la quantification de soi ? Surtout, nous sommes enfermés dans une asymétrie d'échange. Pourquoi nos cartes de fidélités nous proposent-elles certains produits, certaines promotions plutôt que d'autres ? "Quand mes données commencent à vivre dans une chaîne de valeur complexe qui n'est ni visible ni explicable, l'asymétrie d'échange est évidente". C'est comme aller faire le marché avec un bandeau sur les yeux. La rétroaction que nous recevons de ces services est souvent bien faible. Nous devons nous connecter aux sites pour obtenir des informations, pas de rappels, d'alertes
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Pour les ressources humaines, le Big Data pourrait ne pas être un tel Big dea... - 0 views

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    Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce qui fonctionne chez
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Les Big Data ne sont pas assez grandes- PBS - 0 views

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    Pour la sociologue Jen Schradie, les Big Data sont trop petites pour combler la fracture numérique. Les personnes à faible niveau de revenu et d'éducation n'ont ni le même accès, ni la même capacité à créer des contenus que les autres. Cela signifie que si on s'appuie sur les Big Data pour ordonner le monde, ce sera sans le point de vue de toute une part de la population. La capacité de Google à prédire la grippe exclue ceux qui y sont les plus vulnérables. Jen étudie les mouvements sociaux. Sur les 35 organisations politiques et sociales des Etats du Sud de l'Amérique qu'elle observe, 3 des groupes les plus actifs n'ont pratiquement aucune présence en ligne. Ainsi, lorsque nous étudions les révolutions Twitter et Facebook, tout l'enjeu est de se demander qui ignorons-nous ? Nous devons trouver des façons d'utiliser les informations numérique d'une manière méthodologique qui permette de représenter l'ensemble de le société, et pas seulement ceux qui sont connectés...
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Le Pakistan utilise les smartphones pour traquer l'épidémie de dengue - Techn... - 0 views

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    L'an dernier, la ville de Lahore, au Pakistan, a été frappée par la pire épidémie de fièvre de dengue dans son histoire. La maladie transmise par des moustiques a infecté quelque 16 000 personnes et tué 352 vies. Cette année, la dengue n'a affecté que 234 personnes et n'a fait aucun mort. La raison ? Un système de détection précoce de l'épidémie basée sur l'outil de prédiction de la dengue de Google http://www.google.org/denguetrends/ Grâce à une flotte de smartphone, les lieux à risques ont été marqués et traités dans les délais. 
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Utilisation de Tor et de mails cryptés pourrait augmenter vos chances que la ... - 0 views

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    Selon le dernier scoop du Guardian, une personne dont l'emplacement physique est inconnu - via l'utilisation de Tor - sera traitée comme une personne ne vivant pas aux USA.
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La fouille de données pour comprendre l'émergence des théories conspirationni... - 0 views

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    Après étude d'un million de personnes ayant échangé de l'information politique sur Facebook à propos des élections italiennes de 2013, des chercheurs se sont intéressés à comment les gens réagissaient à de fausses informations.... Les gens ont tendance à échanger des idées sur les pages d'information grand public, sur des pages d'informations alternatives et sur celles de commentateurs politique exactement sur la même durée, suggérant que l'engagement demeure, quel que soit le contenu. Mais ils ont constaté que certaines personnes sont plus sensibles aux faux contenus que d'autres, notamment ceux qui préfèrent les pages alternatives. Les gens qui tentent d'éviter la manipulation des médias de masse sont en fait plus sensibles aux fausses informations que les autres.
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Les petites entreprises aussi auront besoin du Big Data - Harvard Business Review - 0 views

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    Les dirigeants de petites entreprises ne ressentent pas le besoin d'investir dans les données de leurs clients, alors que leurs concurrents, eux, le font. Or, les petites entreprises pourraient tout autant que les grosses bénéficier des données, estiment deux chercheurs. Leur problème demeure de ne pas avoir les ressources et l'expertise pour traiter les données. Une agence régionale du gouvernement britannique a offert à 7 entreprises, qui fournissent des produits à Tesco, des informations provenant des cartes de fidélité de Tesco, le géant des supermarchés. Des données qui leur ont permis de voir les magasins où ils vendaient le mieux leur produit, leur saisonnalité, ce que les gens qui achetaient leurs produits achetaient également, etc. Des ateliers et des données qui leur ont permis de mieux comprendre la concurrence, d'envisager des innovations, de mieux comprendre leurs clients. Un producteur de yahourt s'est ainsi rendu compte que les personnes âgées étaient le marché clé de ses produits et a changé sa stratégie commerciale pour cibler les plus âgés plutôt que les plus jeunes, ce qui a amélioré la productivité de ses événements. "Les Big Data menacent de créer un profond fossé entre ceux qui disposent des données et les autres", c'est aux gouvernements et aux universités de jouer un rôle pour réduire la fracture de la connaissance et de l'expertise. Voir l'étude : http://isb.sagepub.com/content/early/2013/09/29/0266242613502691.full.pdf+html
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Les conflits liés aux données "fermées" se multiplient | données ouvertes - 0 views

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    La multiplication des services en ligne permet à tout le monde de construire un service et augmente la demande des données et ce alors même que le travail de collecte de données est facilité, estime Simon Chignard. Face à cela, la réutilisation non autorisée est également plus facile : la collecte de données non autorisée est devenue plus facile. Beaucoup des développeurs pris sur le fait, interpellent alors les pouvoirs publics et lancent le débat... Le contrôle de données a tendance à encourager le piratage, estime Simon Chignard. Mais personne n'a intérêt à la réutilisation non autorisée... Ce qui est sûr, c'est qu'il faut activement réfléchir à sa stratégie open data, que vos données soient libérées ou pas !
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L'univers numérique en 2020: Big Data- EMC - 0 views

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    La firme IDC, mandatée par EMC (spécialiste des logiciels et systèmes de stockage), a réalisé une étude interactive sur la prolifération des données. En 2011, 5 exaoctets de données étaient générés tous les deux jours. Seules 0,5% de ces données sont analysées. Il n'y avait que 130 exaoctets de données dans l'univers numérique en 2005. Il devrait y en avoir plus de 40 000 à l'horizon 2020. En 2020, les données représenteront l'équivalent de plus de 5 000 GO par personne. En 2012, 35% de ces informations nécessiterait une protection, mais ce n'est le cas que pour 20% d'entre elles...
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Aimer les frites ne veut pas dire que vous êtes intelligent : lorsque les don... - 0 views

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    Une étude récente montrait qu'aimer les fritiques sur Facebook était corrélée avec une grande intelligence. Mais la corrélation ne fait pas démonstration, rappelle Derrick Harris pour GigaOm. Peut-on prendre des décisions graves d'impact - sur la santé des personnes, sur leur capacités financières - en nous fondant sur des corrélations simples ? Le darwinisme des données que dénonçait Om Malik ne cesse de s'étendre : http://gigaom.com/2013/03/17/uber-data-darwinism-and-the-future-of-work/ . Mais les corrélations ne sont pas bonnes, on ne construira pas un bon produit.
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Nous avons besoin d'une démocratie des données, pas d'une dictature - GigaOm - 0 views

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    Pour Derrick Harris, construire une démocratie durable de données signifie vraiment donner le pouvoir au peuple, pas de transférer le pouvoir des analystes aux applications. Car, de plus en plus, le problème, est que nous sommes obligés de compter sur des personnes, des fonctions ou des applications pour comprendre comment les données affectent nos vies quotidiennes. "Dans une vraie démocratie de données, les citoyens doivent être habilités à faire usage de leurs données comme ils l'entendent". Certes, Derrick Harris souligne que cela progresse. Certaines entreprise proposent des outils pour rendre la science des données plus accessible aux utilisateurs, comme 0xdata, Procog, BigML, ou Sisense, Platfora, Clearstory, Statwing, Infogram, Datahero... ou encore Tableau : http://www.tableausoftware.com
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L'inévitable montée de la guerre des données - O'Reilly Radar - 0 views

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    Dans le cas du spam, explique Alistair Croll pour O'Reilly Radar, la guerre des données et des algorithmes est réel. A l'heure du cloud computing, de nouvelles guerres contre nos données arrivent, comme la détérioration des données d'un concurrent. Mais la guerre contre les données va se développer. Elle ne concernera pas seulement le spam dans nos boîtes de réception, mais nos vies en ligne et hors ligne. Demains, les attaques contre les données seront atteintes aux personnes !
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L'ethnographie des technologues - Ethnography Matters - 0 views

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    Nick Seaver, ethnologue chez Intel, explore la façon dont les gens imaginent et négocient la relation entre les domaines culturels et techniques. Dans ce cadre, il s'est particulièrement intéressé aux développeurs, et notamment à ceux qui construisent des systèmes de recommandation musicales, comme Pandora, Spotify, Songza ou Beats Music. Comment les développeurs suggèrent des matériaux d'écoute aux utilisateurs en utilisant données, algorithmes et recommandations humaines. Si l'ethnographie est un excellent outil pour montrer combien les utilisateurs sont plus compliqués qu'on pourrait le penser, il est également un outil utile pour comprendre les processus par lesquels la technologie se construit et mieux comprendre les algorithmes ou les Big Data se construisent. Et Nick Seaver d'observer comment ces entreprises catégorisent les utilisateurs, selon une typologie populaire, celle de David Jennings, qui distingue les utilisateurs en savants (7%), enthousiastes (21%), occasionnels (32%) et indifférents (40%). Cette distinction pose un problème de fond, car bien souvent, les développeurs qui travaillent dans ces sociétés sont surtout un public de spécialistes de la musique, alors que les utilisateurs sont principalement occasionnels ou indifférents et donc abordent la musique d'une manière forcément très différente des experts. Le risque, bien sûr, est que les savants construisent des systèmes qui répondent à leur propres intérêts et à leurs propres idées sur la musique, négligeant les autres types d'utilisateurs. Le regard ethnographique pourrait permettre de construire des expériences qui aillent au-delà de variables trop simplistes comme : quel prix payer ? Combien de clics avant d'arriver au morceau que je souhaite écouter ?... Quelles sont les idées préconçues sur la culture des développeurs ? Quelles expériences veulent-ils créer dans les systèmes qu'ils construisent ? L'ethnographie des technologues permet de const
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Acxiom : en révéler un peu pour en cacher beaucoup - Culture Digitally - 1 views

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    Matthew Crain revient sur le lancement par Acxiom, le spécialiste en données marketing des consommateurs, de AboutTheData.com... un site de communication pour expliquer ce qu'Acxiom fait des données. Le site permet à tout utilisateur d'entrer les 4 derniers chiffres de son numéro de sécurité social pour accéder à son profil marketing, de le modifier et d'interdire l'utilisation de certaines données à des fins marketing... Pour Matthew Crain nous sommes surtout là face à la scolarisation du consommateur pour le maintien de leur profils marketing : Acxiom a orienté son portail pour que les gens modifient leurs données afin de recevoir plus de publicité pertinentes... En 2013, Acxiom a révélé détenir des informations marketing sur 700 millions d'individus avec une moyenne de 3000 points de données par personne... Le site d'Acxiom vise à influencer l'opinion et repousser les tentatives de réglementation de son activité. L'asymétrie ici demeure totale. Sur son site, Acxiom présente des informations de bases recueillies depuis diverses sources, mais bien peu de données dérivées, c'est-à-dire les interprétation algorithmiques des données de bases. Quant à la proposition d'opt-out offerte au consommateur, elle est complexe et si alambiquée que bien peu iront au bout... Une belle illustration du cynisme des courtiers de données !
hubert guillaud

L'équilibre entre la vie privée et l'innovation dans la santé reposera sur le... - 0 views

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    Alex Howard pour O'Reilly Radar interviewe Deven McGraw - @HealthPrivacy -, le directeur du projet de protection des renseignements personnels de la santé au Centre pour la Démocratie et la Technologie (CDT). Pour ce dernier, préserver la confidentialité des données de santé est primordial. Nul ne doit pouvoir obtenir et utiliser des données de santé qui puisse lui permettre de porter atteintes aux personnes auxquelles les données font référence. L'important est de bâtir un écosystème de confiance autour des données de santé et assurer aux gens qu'aucune donnée ne sera transmise à ceux qui n'ont pas besoin de les connaître. Or, nous en sommes loin. Les données de santé sont des données sensibles et toute la chaîne qui souhaite les utiliser doit en être conscient. Idéalement, pour que les gens soient informés, vous leur donnez une somme exhaustive d'information, mais ce n'est pas une solution. La recherche doit certes pouvoir accéder aux données, mais il faut que cela se fasse via des infrastructures fiables, transparentes, ouvertes, où la vie privée est respectée. Le débat ne doit pas être entre plus ou moins de vie privée, mais doit apporter un écosystème dans lequel les gens ont confiance. Les gens sont capables d'être à l'aise avec les nombreuses utilisations de leurs données (même s'ils seraient parfois surpris aujourd'hui), même vis-à-vis de l'utilisation de certaines d'entres elles qui ne leur sont pas nécessairement directement utiles à eux. Les êtres humains sont le plus souvent assez généreux, ce qu'ils n'aiment pas s'est être surpris par des usages inattendus.
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Acxiom prévoit de révéler les données qu'il détient sur vous - The Verge - 1 views

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    L'un des plus gros collecteur de données, la société de marketing Acxiom, s'apprête à ouvrir ses données au public. Si Acxiom permet aux individus d'avoir accès à leurs données, pas plus de 16 personnes en ont fait la demande.
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A Wider Circle - Neighbor-to-Neighbor Program - 0 views

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    L'association A Wider Circle s'appuie sur une cartographie collaborative pour mettre en relation des personnes nécessiteuses et des gens qui souhaitent donner ou se débarrasser d'objets devenus inutiles.
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20 Millions de cartes de crédits volées en Corée du Sud - The Hacker News - 0 views

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    Après Target aux US, c'est en Corée du Sud qu'une fuite massive d'information bancaires a eut lieu... Avant la prochaine. Et personne ne se pose de question pour arrêter la prolifération de trop grosses bases de données de ce type ?
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