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hubert guillaud

Interview de Simon Chignard : « la question de la valeur des données est cent... - 0 views

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    "Lorsque je poste un tweet par exemple, ce sont près de 50 données aditionnelles qui sont produites et stockées, ce qu'on appelle les métadonnées (les données sur les données)", ou l'ombre portée dans laquelle le plus souvent repose la valeur. Beaucoup de gens réfléchissent aux données aujourd'hui mais toujours de façon focalisée et segmentée, les données ouvertes d'un côté, les données personnelles de l'autre. Nous avons besoin d'un questionnement transverse et commun", assure Simon Chignard. Même si les poser de façon commune ne signifie pas que les réponses doivent être identiques. Avant de distinguer 4 modèles de gouvernance des données : la boîte noire, les API, l'OpenData et la restitution des données personnelles. On a une vraie difficulté à identifier la valeur des données car elle ne provient souvent pas de l'usage initial, mais de leur réutilisation. Et tant qu'on ne progresse pas sur la valeur des données, on ne pourra pas régler la question du partage. Et pour cela, il nous faut expérimenter !
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Le facteur d'effroi - O'Reilly Radar - 0 views

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    Tim O'Reilly revient sur l'interview par Alexis Madrigal de Gibu Thomas de Walmart : http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2014/03/get-ready-to-roboshop/357569/ qui parlait de "facteur d'effroi" quand les utilisateurs prenaient peur par rapport aux données accumulées sur eux que leur révélaient leur usage des systèmes techniques par des commerçants comme Walmart. Pour O'Reilly, ce facteur d'effroi est central dans les réflexions sur l'avenir de la réglementation de la vie privée. Lorsque les entreprises utilisent nos données à notre bénéfice, nous en sommes reconnaissant. Nous donnons volontiers nos données de géolocalisation à Google pour qu'il puisse nous guider, à Yelp pour qu'il nous aide à trouver le meilleur restaurant où manger... Nous n'avons pas à l'esprit qu'ils gardent ces données et cela ne nous parait pas si important si cela nous apporte une meilleure recommandation. Mais des entreprises les utilisent aussi contre nous. Quand un crédit vous est refusé non pas du fait de votre capacité à payer, mais parce que vous n'habitez pas au bon endroit ou que vous n'avez pas la bonne couleur de peau, les données génèrent alors une discrimination. The Atlantic parle du franchissement des lignes rouges (Redlining) : http://www.theatlantic.com/business/archive/2014/03/redlining-for-the-21st-century/284235/ pour évoquer le risque que nos données soient utilisées d'une façon qui ne nous plairait guère. Aujourd'hui, des assureurs comme State Farm utilisent les données kilométriques des véhicules pour moduler leurs tarifs. Pour l'instant, ils ne s'intéressent qu'au nombre de kilomètres que vous parcourez. Mais demain, ils pourraient être intéressés par les routes que vous utilisez (parcourez vous des routes où les accidents sont fréquents ?). Comment savoir quand nos données personnelles sont utilisées contre nous ? Pour O'Reilly, il ne faut pas interdire la collecte, mais interdire son utilisation abusive. En fait, nou
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De l'économie des données personnelles - error 404 - 0 views

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    Julien Breitfeld revient sur le projet de taxe des données personnelles à laquelle travaille la mission Colin et Collin pour le gouvernement. La vente des données personnelles n'est pas nouvelle, rappelle Breitfeld, mais l'essentiel des services qui les utilisent sont produits à l'étranger. Peut-on taxer les données personnelles comme si elles étaient un produit ? Le risque, estime Breitfeld, c'est de reconnaître une existence juridique propre à ces données, et de reconnaître à la fois un droit de propriété et des droits d'exploitations sur celles-ci. "reconnaître un droit de propriété sur ces données, c'est permettre d'appliquer les règles d'usus, abusus et fructus sur ces propriétés, c'est transformer le contrat d'usage général d'un service web par un internaute en contrat intuitu personae, piste qu'explore déjà la Commission européenne. Est-ce à dire que des agences de gestion de propriété intellectuelle vont voir le jour ? Les données numériques d'un citoyen sont-elles partout égales ? Vont-elles être indexer sur un Klout like qui sera différent selon le service qu'on utilise ? Pourra-t-on modifier la nationalité de nos données pour mieux les exploiter ? L'exploitation de la donnée personnelle aujourd'hui recouvre tous les secteurs, mais Google commercialise une propriété qu'il ne détient pas. La taxation des données personnelle est-elle un premier pas vers la marchandisation de l'être humain ?  
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L'équilibre entre la vie privée et l'innovation dans la santé reposera sur le... - 0 views

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    Alex Howard pour O'Reilly Radar interviewe Deven McGraw - @HealthPrivacy -, le directeur du projet de protection des renseignements personnels de la santé au Centre pour la Démocratie et la Technologie (CDT). Pour ce dernier, préserver la confidentialité des données de santé est primordial. Nul ne doit pouvoir obtenir et utiliser des données de santé qui puisse lui permettre de porter atteintes aux personnes auxquelles les données font référence. L'important est de bâtir un écosystème de confiance autour des données de santé et assurer aux gens qu'aucune donnée ne sera transmise à ceux qui n'ont pas besoin de les connaître. Or, nous en sommes loin. Les données de santé sont des données sensibles et toute la chaîne qui souhaite les utiliser doit en être conscient. Idéalement, pour que les gens soient informés, vous leur donnez une somme exhaustive d'information, mais ce n'est pas une solution. La recherche doit certes pouvoir accéder aux données, mais il faut que cela se fasse via des infrastructures fiables, transparentes, ouvertes, où la vie privée est respectée. Le débat ne doit pas être entre plus ou moins de vie privée, mais doit apporter un écosystème dans lequel les gens ont confiance. Les gens sont capables d'être à l'aise avec les nombreuses utilisations de leurs données (même s'ils seraient parfois surpris aujourd'hui), même vis-à-vis de l'utilisation de certaines d'entres elles qui ne leur sont pas nécessairement directement utiles à eux. Les êtres humains sont le plus souvent assez généreux, ce qu'ils n'aiment pas s'est être surpris par des usages inattendus.
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Méditer sur le Quantified Self - Cyborgology - 0 views

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    Whitney Erin Boesel était à la 2nde édition de la conférence Quantified Self qui se tenait récemment en Californie. Alors que l'année dernière la question était surtout de savoir que faire des données personnelles collectées, cette année, selon elle, la question était plutôt de savoir quelle information compte. Larry Smarr qui a découvert sa maladie de Crohn avant ses médecins affirme qu'il ne faut croire ni les livres, ni les docteurs, ni même nos sentiments, mais seulement ce que l'on mesure. Pour lui, les docteurs ne devraient pas nous demander comment l'on se sent, mais nous demander nos données ! Un autre thème de cette édition était la méditation, c'est-à-dire le fait qu'on devienne attentif à soi, comme un bénéfice encore plus important que les données recueillies. Yuri van Geeest posait également une autre question intéressante en évoquant l'ajout de GPS à nos sens : "si nous externalisons notre attention dans la techno, risque-t-on de perdre notre intuition ?" Pas nécessairement. Une femme a même expliqué qu'elle était plus sensible à sa période d'ovulation depuis qu'elle suivait un accompagnement médical pour avoir un enfant. Pire, raconte-t-elle, elle est plus consciente de cette période que les outils techniques sensés les prédire. Pour elle, la technologie n'a pas diminué son intuition, mais est venu interféré dans ses relations avec le corps médical : ceux-ci faisant plus confiance à la technologie qu'à l'intuition de leur patiente ! Pour Kevin Kelly, seule l'information qui peut être quantifiée peut-être partagée avec les autres. Mais c'est oublier que les données qualitatives et les observations peuvent l'être également. "La facilité ou la difficulté à partager des données avec d'autres personnes n'est pas une propriété inhérentes aux types de données, c'est une fonction sociale et culturelle sur les types d'information qu'on juge utile ou digne de foi". La difficulté à partager nos donnÃ
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Acxiom, le calme géant des bases de données de consommateurs - NYTimes.com - 0 views

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    Cartographier et partager le génome du consommateur, tel est le travail d'Axciom - http://www.acxiom.com, la société qui scrute plus profondément dans la vie américaine que le FBI, explique Natasha Singer pour le NYTimes. Si vous êtes un américain adultes, il y a de fortes chances pour que la société connaisse votre âge, votre race, votre sexe, votre taille, votre état matrimonial, votre niveau d'éducation, votre orientation politique, vos habitudes d'achats, vos rêves de vacances... Avec ses 23 000 serveurs, Axciom est l'un des leaders "tranquille" du marketing de données. La firme a cumulé 77 millions de dollars de résultat l'année dernière pour 1,13 milliards de dollars de CA. Reste que les sociétés comme Axciom commencent à attirer l'attention des juges de la Fédération du commerce américaine. Axciom développe de nouvelles techniques pour dresser le profil des consommateurs, baptisée "vue à 360°", visant à créer des portraits complets, intégrant tant les données mobiles qu'en ligne et hors ligne, ou son système de classification PersonicX, qui classifie les consommateurs selon 70 profils types. Le Big Brother de l'Arkansas n'a pas que des amis. Beaucoup dénonce ses méthodes intrusives et manipulatrices. Pour Pam Dixon, directeur du World Privacy Forum, les algorithmes d'Acxiom sont autant dangereux pour ceux dont les critères sont retenus par le système que pour ceux qui en sont exclus. Pour l'instant, la loi n'oblige pas des sociétés comme Acxiom à montrer aux utilisateurs les données qu'ils possèdent sur eux. Mais la FTC a publié un récent rapport - http://www.nytimes.com/2012/03/27/business/ftc-seeks-privacy-legislation.html?pagewanted=all - appelant à davantage de transparence pour les courtiers en données. Leur catalogue de produits montre qu'ils proposent parfois des données sensibles à leurs clients (sur la confession, le poids, les jeux d'argents, les fumeurs, les demandeurs d'argents...). Reste que la comm
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Les données des élèves sont le nouveau pétrole des systèmes d'apprentissage -... - 1 views

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    Dans une présentation pour l'université de Columbia, Audrey Watters d'HackEducation est revenue sur les données des élèves et comment les nouveaux systèmes d'apprentissage les utilisent pour rendre leur systèmes apprenants. Knewton - http://www.knewton.com - une société spécialisée dans les tests de niveaux, se sert des immenses données récoltées sur les élèves pour identifier leurs forces et faiblesses et proposer des apprentissages adaptés. Ces données ne sont pas seulement des notes, elles concernent aussi la participation, le temps passé... Mais les écoles et universités disposent de bien plus de données encore : les passages que les élèvent anottent dans leurs manuels électroniques, les mails qu'ils envoient ou recoivent sur leurs boites mails universitaires, leur activité en ligne... Autant de données qui permettent de porter un nouveau regard sur l'étude de la manière dont les étudiants apprennent. Mais si ces données sont de la valeur, comment faire en sorte que les technologies de l'éducation ne se résument pas seulement à extraire de la valeur, mais également à en apporter ? Qui protégera les données des élèves ? Eux-mêmes seront-ils conscients de la manière dont leurs données seront utilisées ? Les élèves sont déjà le produit du système éducatif... Si nous considérons les élèves comme du pétrole, qui va les exploiter ? Qui va en profiter, en bénéficier ? Et surtout qui va en pâtir ?
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DataCulture et ApiCulture - Christian Fauré - 0 views

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    Vaut-il mieux ouvrir ses données ou ouvrir ses API ? "Les faits ont tranché : il y a un phénomène massif d'OpenAPI, là où l'OpenData n'a qu'un succès d'estime." Les deux ne sont pas antinomiques, rappelle Christian Fauré et la finalité reste la même (publier ses données), mais via les API, l'emphase est mise sur leur interface et donc sur les manières de communiquer et d'interagir avec les données... La catalogage des requêtes devient plus important que le catalogage des données. En fait, estime Christian Fauré, les organisations qui ont du mal à se représenter les types de requêtes qui seront faites sur leurs corpus de données privilégieront l'accès aux données, les autres donneront la priorité aux actions que l'on peut faire avec les données tout en souhaitant garder la maîtrise de celles-ci. Enfin, si les données changent souvent, on a tendance à privilégier l'OpenAPI.
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Acxiom : en révéler un peu pour en cacher beaucoup - Culture Digitally - 1 views

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    Matthew Crain revient sur le lancement par Acxiom, le spécialiste en données marketing des consommateurs, de AboutTheData.com... un site de communication pour expliquer ce qu'Acxiom fait des données. Le site permet à tout utilisateur d'entrer les 4 derniers chiffres de son numéro de sécurité social pour accéder à son profil marketing, de le modifier et d'interdire l'utilisation de certaines données à des fins marketing... Pour Matthew Crain nous sommes surtout là face à la scolarisation du consommateur pour le maintien de leur profils marketing : Acxiom a orienté son portail pour que les gens modifient leurs données afin de recevoir plus de publicité pertinentes... En 2013, Acxiom a révélé détenir des informations marketing sur 700 millions d'individus avec une moyenne de 3000 points de données par personne... Le site d'Acxiom vise à influencer l'opinion et repousser les tentatives de réglementation de son activité. L'asymétrie ici demeure totale. Sur son site, Acxiom présente des informations de bases recueillies depuis diverses sources, mais bien peu de données dérivées, c'est-à-dire les interprétation algorithmiques des données de bases. Quant à la proposition d'opt-out offerte au consommateur, elle est complexe et si alambiquée que bien peu iront au bout... Une belle illustration du cynisme des courtiers de données !
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San Francisco souhaite entrer dans l'économie des données ouvertes - O'Reilly... - 0 views

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    Depuis 2009, San Francisco s'est lancé dans la réutilisation des données ouvertes en décidant de devenir une ville plateforme de données. La ville a réviser sa législation sur l'open data pour accélérer le développement économique, notamment en créant un responsable des données pour coordonner l'ouverture de données avec les responsables de chaque départements de la ville et faire le lien avec le public. Les données ont donné naissances à de nombreuses applications. Leur but désormais est de travailler avec d'autres villes pour créer des modèles fédérales et ouverts, des applications plus génériques permettant d'augmenter le nombre d'utilisateurs en étant plus facilement utilisables et de mieux utiliser les données en interne pour identifier les problèmes, les prédire et les résoudre. 
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La bulle des données de l'utilisateur : BatesHook - 0 views

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    Uwe Hook s'énerve, légitimement, contre la manière qu'ont, bien des services du web 2.0, de nous voler nos données. Le crash des années 2000 n'avait rien à voir avec la technologie, rappelle-t-il, mais avec le modèle d'affaire utilisé pour payer la technologie. Ne sommes-nous pas à nouveau dans une bulle spéculative autour de la valorisation des données personnelles de l'utilisateur ? Beaucoup d'entreprises ne savent pas quoi faire de ces données, autre que d'imaginer des annonces personnalisées. Mais cette personnalisation n'est-elle pas un modèle simpliste qui risque de ne pas rapporter autant qu'on en attend ? Les hommes d'affaires ne croient-ils pas un peu naïvement en notre rationnalité en pensant que nos décisions sont fondées uniquement sur des données ? Nos dépenses de 2010 ont-elles quelque à voir avec nos dépenses de 2011 ? Sommes-nous seulement des êtres rationnels dénués d'émotion dans nos choix de consommation ? Contrairement à ce qu'avance le New York Times dans "Comment les sociétés apprennent de nos secrets ?" - http://www.nytimes.com/2012/02/19/magazine/shopping-habits.html?_r=1&pagewanted=all - il n'est pas sûr que les données seront la poule aux oeufs d'or que beaucoup espèrent, comme le dit Dave Winer en dénonçant la bulle des données : http://scripting.com/stories/2012/02/15/iphonesAndUnprotectedSex.html Peut-être qu'après l'explosion de cette bulle pourrons-nous à nouveau discuter sereinement et construire des modèles d'affaires réalistes qui donneront peut-être enfin le contrôle de leurs données aux utilisateurs. 
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Quelle mesure pour les données publiques ? - Henri Verdier - 1 views

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    Le directeur d'Etalab défend sa politique. Mais comment la mesurer ? Le seul nombre de données libérées est-il un indicateur suffisant ? Pas vraiment, car tous les jeux de données ne se valent pas et que le nombre de fichiers peut aussi être l'indicateur d'un émiettement (alors que les ensembles sériés, complets et cohérents peuvent être beaucoup plus riches) : "les données prennent de plus en plus de sens et de valeur à mesure qu'on les agrège". Peut-on définir une métrique permettant de mesurer l'intensité d'une politique d'ouverture ? Ni le nombre de fichiers, ni le nombre de séries ne suffisent. Elle dépend plutôt de l'organisation du recueil des données, alors même que celles-ci peuvent décrire des faits d'ordres très différents. Peut-être faudrait-il se tourner du côté de l'entropie de Shannon, qui définit la capacité de la chaine d'information à transporter des données comme la résultante du rapport signal/bruit sur la bande passante disponible pour imaginer un nouvel indicateur ? Faut-il mesurer les connaissances produites plus que les données (mais comment mesurer alors le niveau de détail des connaissances ?) ? A moins que la portée d'un dispositif de diffusion des données publiques ne se mesure aux qualités du dispositif lui-même ? En quoi l'open data permet de déplacer la manière d'exercer le pouvoir ? Mais surtout, la valeur de l'information c'est la valeur d'utilisation...
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Charte éthique & Big Data - 1 views

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    La charte Ethique & Big Data est une co-construction dans le cadre d'un groupe de travail mixte piloté par l'APROGED et de CAP DIGITAL et réunissant des partenaires académiques et industriels. Son objectif est de fournir des garanties concernant la maintenabilité des données, leur traçabilité, leur qualité, l'impact sur l'emploi, réduire le risque juridique. "La création, la maintenance, la diffusion et l'utilisation de données de toutes sortes est un enjeu économique majeur. Qu'il s'agisse de données démographiques, personnelles, de relevés de capteurs, de documents, thésaurus, ontologies. Ces bases de données sont essentielles à la création et la maintenance de nouveaux services. L'apparition du Cloud computing, de l'Open Data et du Big Data rendent ces questions particulièrement sensibles. Cependant, l'utilisation ou la réutilisation des données se heurtent trop souvent à des freins qui en empêchent l'exploitation optimale : provenance parfois opaque (en particulier dans les cas de « crowdsourcing »), traçabilité inexistante, protection intellectuelle incertaine, une qualité difficile à évaluer a priori. Dès lors, sécuriser la création de données est un facteur de compétitivité. Cette charte vise à harmoniser les rapports entre producteurs, fournisseurs et utilisateurs de données sur le plan du respect des lois, de celui de l'éthique, et garantir la confiance dans les rapports entre l'ensemble des acteurs impliqués."
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Pourquoi devient-il urgent que l'ESS s'approprie le mouvement Open data ? - L... - 1 views

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    "L'économie sociale et solidaire (ESS) française se démarque par sa timidité d'initiatives, aussi bien de publications de données que de réutilisation de données publiques pour alimenter ses activités", estime Claire Gallon de LiberTIC. "Du fait de son cœur d'activité et de son rôle d'intermédiaire avec le grand public, l'ESS est pourtant directement concernée par les données publiées dans les domaines de la santé, l'éducation, l'environnement ou encore la mobilité ; les valeurs d'ouverture et de coproduction des données ouvertes, font écho aux valeurs intrinsèques de l'ESS. C'est un enjeu démocratique que les acteurs de l'ESS s'approprient et diffusent les données qui concernent au premier chef la citoyenneté et l'engagement." Le transfert d'information représente un transfert de pouvoir, estime Claire Gallon. A l'étranger, rappelle-t-elle les initiatives se multiplient : publication de leurs financements en format ouvert, mais aussi initiatives d'utilisation de données et création de données avec leurs membres ou les citoyens.
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Fiscalité du numérique : vers une taxation des données - LesEchos.fr - 0 views

  • La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, «  de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt Â», juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles «  sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux Â». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces Â» qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont «  la ressource essentielle de l'économie numérique Â» et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs.
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    Les Echos reviennent sur le rapport Colin et Collin de proposition pour une réforme de la fiscalité numérique mandaté par Bercy. "La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, « de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles « sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont « la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs." Dès lors, les auteurs proposent d'agir à deux niveaux : à l'échelon international en incluant dans la notion d'établissement stable de l'OCDE, sur laquelle se fonde la fiscalité des entreprises de l'OCDE, le "travail gratuit" des utilisateurs qui fournissent des données. Au niveau national, en proposant une fiscalité fondée sur la collecte et l'exploitation des données. Une fiscalité incitative pour moduler l'impôt et inciter les entreprises à la transparence et à la vertu. Mais l'administration a-t-elle les outils adaptés pour contrôler les données taxées ?
hubert guillaud

Vos données sont votre interface - Pandodaily - 0 views

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    Nous voyons tous le monde différemment et le décrivons selon nos propres termes, exprimant par là notre unicité, explique Jarno Mikael Koponen pour Pandodaily. Mais sur Amazon, Facebook, Youtube et autres, nos interprétations et nos descriptions uniques du monde sont piégées dans des boîtes séparées. Les choses que j'aime sur un service ne s'appliquent pas à la prochaine application que je télécharge. En isolant mes contributions uniques, ces services rendent mes données personnelles petites plutôt que grosses... Pourtant proposer moins de données conduit à une expérience utilisateur de qualité inférieure. Et en même temps, à chaque fois que je créé un nouveau profil, je dois tout recommencer, pour passer d'un stéréotype à un utilisateur plus complexe et un service plus personnalisé. Mes interfaces d'information ne sont pas optimisées pour moi, estime le designer, qui souhaiterait que ses données sous réunies dans sa propre interface personnelle. Avant de résoudre les Big Data, nous devons comprendre les Small data. Les algorithmes seuls ne peuvent me rassembler. Chaque service a besoin de mes contributions pour comprendre ce que je veux. Demain, nos données circuleront toujours plus librement entre les services pour nous inciter à contribuer davantage et surtout améliorer notre expérience utilisateurs sur tous les services. Demain, nous aurons besoin de services pour répondre aux API, pour capturer et contextualiser mes données, rassembler mes contributions personnelles. Nous faudra-t-il des interfaces adaptatives qui nous fourniront des pages en fonction de notre empreinte unique ? Demain, mes données seront mon interface, et je serais à nouveau entier, à la fois numérique et réel.
hubert guillaud

Aller au-delà de la protection des données - Consumer Focus - 0 views

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    Liz Coll pour Consumer Focus, il y a un fort contraste entre l'importance qu'on accorde aux données de consommation et celle que leur attribue les consommateurs eux-mêmes. Comment transformer cette différence d'appréciation en un bénéfice mutuel ? La plupart des consommateurs aimeraient avoir plus de contrôle sur leurs données, mais quand c'est le cas, bien peu les utilisent. Pour dépasser cet écueil, il faut aller au-delà de la protection des données et notamment, pour les associations de consommateurs, construire une compréhension plus critique des données. Mieux informer les consommateurs de ce qu'ils échangent en échange d'un service ou produit gratuit, mieux montrer comment leurs données sont utilisées, aider les individus à mieux protéger et gérer leurs données en développant des systèmes de gestion de leur information personnelle.
hubert guillaud

Ma triste réalité tech : vous ne pouvez faire confiance à personne - The Regi... - 0 views

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    Pour Trevor Pott, tout les outils sur lesquels nous travaillons chaque jour sont construits par quelqu'un d'autre. Ce qui nécessite d'avoir confiance dans les instruments que nous utilisons quotidiennement. Prenons l'exemple des mots de passe pour s'authentifier sur un service. Nous savons tous qu'ils craignent. Nous continuons à utiliser des mots de passe facile à se remémorer et donc facile à craquer, même si on nous a 1000 fois répéter le contraire. L'usage du double facteur d'identification est certes à la hausse, mais il pose un vrai problème d'arbitrage entre la sécurité et l'usabilité. Chaque jour nous ouvrons des centaines de sessions, nous connectons à nombre de réseaux, plusieurs fois, ce qui nécessite d'entrer et reentrer des dizaines de fois nos mots de passe. Si nous devions passer à l'authentification à double facteur cela nous prendrait deux fois plus de temps. Cela s'annonce insoutenable. L'autre alternative est donc un gestionnaire de mots de passe.  Il en existe de deux types : ceux qui sont installés sur votre système local et ceux qui stockent vos données sur un système distant. Mais nous avons désormais plusieurs machines, ce qui rend obsolète le gestionnaire local. La seule solution est donc dans le système distant. Je peux donc utiliser un service dans les nuages comme LastPass - https://lastpass.com : il vous suffit alors de vous souvenir d'un seul mot de passe (celui de lastpass) pour que vos outils accèdent à tous vos services. La seconde option consiste à créer un lastpass que vous hébergez sur un serveur qui vous appartient, mais aucun logiciel qui permette cela n'est au niveau, notamment en terme de facilité d'utilisation. Ces 2 options posent chacune un problème. Le magasin central des mots de passe de LastPass doit être particulièrement protégé, même s'il utilise une technologie de cryptage efficace. Ce que montre le cas de l'affaire Prism de la NSA c'est que le gouvernement pourrait avoir accè
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Qui suis-je réellement ? - We the Data - 0 views

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    Pour Peter Vander Auwera, tout le monde veut remplacer notre Moi par Mes Données. A l'heure où notre corps et notre esprit est augmenté et complété par des outils, par l'écologie des machines, les réseaux et les algorithmes, qui sommes-nous devenus ? Il est temps d'inventer un mot nouveau pour "cet environnement de soi", ce "Dysical" (contraction de digital et physical). Notre soi-dysical est également de plus en plus défini par le contexte et la réputation que nous avons dans cette économie de donnée en P2P chère à Michael Bauwens. Mon identité est de plus en plus corrélée à mes relations aux autres. La confiance se définit de plus en plus par le niveau de relation plus que par le niveau d'identité, qui pause avec de plus en plus d'acuité la question de l'usage des données. Nous avons besoin de contrats clairs, de règles du jeu très explicites. Et demain, avec des milliards d'objets interconnectés, les objets ne seront plus le contexte, mais les données d'objets seront l'interface. "Nous sommes les données" et pour exister nous avons besoin de sortir le monde des données de leurs silos propriétaires.
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La hausse des coûts de l'incompréhension des Big Data - ReadWrite - 2 views

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    Comme le soulignait Bill Wise, PDG de MediaOcean - http://allthingsd.com/20130423/big-datas-usability-problem/ - le coût des erreurs liées au Big Data augmente à mesure que notre dépendance à l'égard des données augmente. Et Matt Asay pour le ReadWrite de prendre l'exemple de l'erreur d'écriture du nom du suspect dans les attentats de Boston et ses conséquences dans les bases de données du FBI. Plus les données sont importantes et plus la façon dont on les interroge ou dont on les gère est importante. Comme le dit Wise : l'erreur autour des données et de jeux de données va devenir de plus en plus critique. Comme le disait déjà Nate Silver - http://readwrite.com/2013/03/29/nate-silver-gets-real-about-big-data - les données sont corrompues par nos préjugés et le bruit augmente plus rapidement que le signal. Pour Matt Asay, cela signifie qu'il faut plus que jamais regarder dans nos organisations le fonctionnement de celles-ci et des process qui les agrègent. 
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