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hubert guillaud

Et si vous étiez votre propre Big Brother? | Slate.fr - 0 views

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    Retour sur l'expérimentation MesInfos de la Fing consistant à permettre à des gens d'accéder aux données que les entreprises détiennent sur eux. Parmi les exemples de services innovants imaginés, le relevé bancaire intelligent qui permet pour chaque opération d'accéder au site marchand ou au ticket de caisse où l'opération a été passée, le vrai coût des courtes (prenant en compte temps passé, trajet, poids porté), l'identité augmenté (permettant de commander ou vendre sans donner son nom), ou les univers produits (une application permettant de vérifier si ses achats correspondent bien à se préférences de consommation). Y'en a d'autres : http://mesinfos.fing.org/services-tout/
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MesInfos : cahier d'exploration (.pdf) - Fing - 1 views

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    La Fing publie une première synthèse de son travail sur le retour des données personnelles aux individus. Quelles formes de création de valeur partagée peut-elle produire ?
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Votre compte Facebook pourra être utilisé pour accéder aux services publics -... - 0 views

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    Le Guardian annonce que le gouvernement britannique envisage de dresser une liste de sites certifiés permettant de s'identifier aux sites du portail public, gov.uk. Pourra-t-on accéder depuis Facebook aux informations publiques ?
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Les Small Data ont-elles battues les Big Data lors des élections américaines ... - 0 views

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    Pour Tony Byrne, ce ne sont pas les Big Data qui ont permis à Obama de l'emporter, mais les Small Data. Chaque électeur contacté voyait sa fiche mise à jour de manière itérative par ceux chargés de le contacter. Les étapes de bases sur les données étaient claires : Valider, nettoyer, annoter, enrichir, régler le message et répéter l'opération. Le facteur humain a été le plus essentiel dans l'affinage de ces données. Reste que Tony Byrne en fait une leçon : la qualité et la pertinence des données sont primordiales. Si les données étaient volumineuses, il a fallu des êtres humains bien vivant pour en réaliser la valeur, un enregistrement à la fois !
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C'est pas mon idée ! - L'innovation sort de son bocal - 0 views

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    Retour sur quelques exemples de dispositifs d'innovation ouverte dans le secteur financier... Le hackathon comme modèle d'innovation ?
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Le fichier des cartes grises vendu à des sociétés privées - LeMonde.fr - 0 views

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    Une belle illustration de la manière dont on abuse de nos données personnelles aujourd'hui.
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Correlation n'est pas causalité - Slate Magazine - 0 views

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    Daniel Engber pour Slate revient sur cette phrase que l'on trouve désormais un peu partout sur l'internet. Alors que l'expression est née sous la plume d'un mathématicien de la fin du XIXe siècle, elle est devenue un slogan de notre époque contemporaine. "Si maintenant nous sommes prompts à dire que la corrélation n'est pas causalité, c'est parce que les corrélations sont tout autour de nous", estime Daniel Engber. Une manière de s'opposer aux Big Data !
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Vers une fiscalité des données - Owni.fr - 0 views

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    La mission sur la fiscalité du numérique, dont les conclusions sont attendues mi-décembre, envisage de créer une fiscalité sur les données personnelles. L'idée est simple : plus une boîte ouvre ses données aux utilisateurs, moins elle est taxée. Une taxe qui vise donc toutes les entreprises. 
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Et si la grande distribution accélérait la consommation partagée ? - OuiShare... - 0 views

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    À contre courant des clichés selon lesquels la grande distribution constituerait un frein à la consommation collaborative, Neal Gorenflo, éditeur de Shareable.net envisage un scénario où la distribution jouerait un rôle central dans le passage à l'échelle de l'économie du partage. Pourquoi, parce que les distributeurs expérimentent et prennent la consommation collaborative au sérieux, même si leurs initiatives sont encore timides, notamment parce que leurs modèles économiques ne leur permet pas de mutation rapide. "Imaginez que lorsque vous réalisez un achat, votre article soit automatiquement enregistré dans un inventaire sécurisé, qui recense en un lieu unique l'ensemble des achats que vous avez réalisés, quel que soit le magasin. À chaque article inventorié serait attaché l'ensemble des informations le concernant (date d'achat, valeur, mode d'emploi), ainsi qu'une référence unique permettant de l'identifier et un lien vers des forums utilisateurs. Imaginez maintenant que vous puissiez en seul clicc partager n'importe lequel des articles de votre inventaire sur une place de marché en ligne. Dans mon scénario idéal, chaque article recensé dans mon inventaire personnel pourrait être connecté à une place de marché en ligne, administrée par une coalition de distributeurs - intégrant des distributeurs locaux, des indépendants -. Cette place de marché me permettrait bien sûr de publier la liste des articles que je souhaite vendre, louer ou échanger. De cette manière, j'aurais un contrôle total de la gestion de mes biens. Et je payerais volontiers une petite commission sur chaque transaction pour ce service…"
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Rapport sur la fiscalité du secteur numérique | Ministère du redressement pro... - 0 views

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    Publication en ligne du rapport Colin et Collin sur la fiscalité numérique.
hubert guillaud

De l'économie des données personnelles - error 404 - 0 views

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    Julien Breitfeld revient sur le projet de taxe des données personnelles à laquelle travaille la mission Colin et Collin pour le gouvernement. La vente des données personnelles n'est pas nouvelle, rappelle Breitfeld, mais l'essentiel des services qui les utilisent sont produits à l'étranger. Peut-on taxer les données personnelles comme si elles étaient un produit ? Le risque, estime Breitfeld, c'est de reconnaître une existence juridique propre à ces données, et de reconnaître à la fois un droit de propriété et des droits d'exploitations sur celles-ci. "reconnaître un droit de propriété sur ces données, c'est permettre d'appliquer les règles d'usus, abusus et fructus sur ces propriétés, c'est transformer le contrat d'usage général d'un service web par un internaute en contrat intuitu personae, piste qu'explore déjà la Commission européenne. Est-ce à dire que des agences de gestion de propriété intellectuelle vont voir le jour ? Les données numériques d'un citoyen sont-elles partout égales ? Vont-elles être indexer sur un Klout like qui sera différent selon le service qu'on utilise ? Pourra-t-on modifier la nationalité de nos données pour mieux les exploiter ? L'exploitation de la donnée personnelle aujourd'hui recouvre tous les secteurs, mais Google commercialise une propriété qu'il ne détient pas. La taxation des données personnelle est-elle un premier pas vers la marchandisation de l'être humain ?  
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Fiscalité du numérique : vers une taxation des données - LesEchos.fr - 0 views

  • La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, «  de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles «  sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont «  la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs.
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    Les Echos reviennent sur le rapport Colin et Collin de proposition pour une réforme de la fiscalité numérique mandaté par Bercy. "La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, « de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles « sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont « la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs." Dès lors, les auteurs proposent d'agir à deux niveaux : à l'échelon international en incluant dans la notion d'établissement stable de l'OCDE, sur laquelle se fonde la fiscalité des entreprises de l'OCDE, le "travail gratuit" des utilisateurs qui fournissent des données. Au niveau national, en proposant une fiscalité fondée sur la collecte et l'exploitation des données. Une fiscalité incitative pour moduler l'impôt et inciter les entreprises à la transparence et à la vertu. Mais l'administration a-t-elle les outils adaptés pour contrôler les données taxées ?
hubert guillaud

Repenser les données personnelles - World Economic Forum - 0 views

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    Le forum économique mondial vient de publier (avec le Boston Consulting Group) un rapport pour "déverrouiller la valeur des données personnelles" qui examine de nouvelles approches politiques pour rendre les données personnelles plus flexibles et adaptables. Le rapport souligne la nécessité de passer à des cadres politiques axées sur l'utilisation des données et leur circulation.
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Les prêteurs se tournent vers les médias sociaux pour évaluer les emprunteurs... - 0 views

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    Les contacts professionnels qu'on peut avoir sur les réseaux sociaux seraient révélateurs de notre capacité à rembourser un crédit, estiment les entrepreneurs de la startup-up de crédit participatif Neo : http://myneoloan.com. La banque en ligne Movenbank - http://movenbank.com - va elle utiliser les données de Facebook pour ajuster les taux d'intérêts des emprunteurs. Lenddo - https://www.lenddo.com - demande aux demandeurs de crédits que leurs amis sur Facebook se portent garants d'eux... Face à ces nombreuses innovations, les banques demeurent prudentes : Schufa, un bureau de crédit allemand, a abandonné un programme d'extraction de données depuis Facebook, Twitter et LinkedIn, suite à une réaction négative du public. L'usage des sites sociaux pour enquêter sur les emprunteurs semble pour l'instant se faire au détriment de toute confidentialité et de tout respect de la vie privée. Or nos données révèlent bien plus que ce que l'on pense et la simple analyse de nos relations sociales, de la façon dont on utilise l'internet, peut dire beaucoup de nos comportements... 
hubert guillaud

Des données de soi à la servitude des données - Peasant Muse - 0 views

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    Pour Jeremy Antley, nous ne sommes pas citoyens de Facebook. Nous sommes devenus des serfs au milieu des champs de données cultivés. Pourtant nul n'a encore articulé notre relation de servage aux plates-formes de données ? Comment échapper à cette servitude ? En faisant construire par les utilisateurs eux-mêmes les règles de confidentialité des données !
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MyData Initiatives | The White House - 0 views

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    La politique américaine d'"accès des citoyens à leurs propres données" a désormais un nom : MyData. Après les trois "boutons" sectoriels (vert : énergie, bleu : santé, rouge : éducation), l'initiative vise à s'étendre à toutes sortes d'autres domaines. Le but est clair : "aider les gens à utiliser leurs propres données à leur propre bénéfice."
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Tout ce que nous savons à propos des courtiers de données qui savent tout sur... - 0 views

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    ProPublica livre une bonne synthèse sur ce que savent les courtiers de données sur nous, comment ils l'apprennent, à quels limites sont-ils soumis... 
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Tout ce que nous savons que les courtiers de données savent de vous - ProPublica - 0 views

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    Lois Beckett pour ProPublica détaille ce que les sociétés de données savent à propos de nous.
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Il n'y a pas de données brutes: recension d'ouvrage - Cartonomics: Space, Web... - 0 views

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    Jean-Christophe Plantin revient sur le livre "Raw data is an oxymoron" de Lisa Gitelman qui montre que la donnée n'est jamais donnée, mais toujours une construction. Et rappelle que Johanna Drucker a proposé de remplacer le terme de data par celui de "capta" pour souligner l'effort de captation de la construction inhérente de la donnée : http://www.digitalhumanities.org/dhq/vol/5/1/000091/000091.html. Publier les données ne suffit pas, rappelle Plantin, il faut aussi expliciter la manière dont elles ont été construites.
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Economie collaborative et Intelligence collective, et si l'Ordre Marchand reprenait la ... - 0 views

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    Gabriel Plassat évoque dans son blog le fait que l'économie collaborative et l'intelligence collective puissent être la promesse d'un nouvel équilibre qui n'est pas garantie. Ces promesses résisteront-elles à la reprise en main de l'Ordre Marchand ? Si ce n'est pas le cas, quelles seront les conséquences pour les gens ? Le citoyens acceptera-t-il alors de ne pas donner ses traces numériques à la puissance publique pour qu'elle construise ses politiques publiques dessus ?
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