Skip to main content

Home/ Codifad/ Group items tagged formative

Rss Feed Group items tagged

carineg75

ID and Other Reflections: From Courses to Micro-Learning - 0 views

  • And here are some examples of micro-learning forms:
  •  
    Exemples de formes de micro-learning
Bertin TOE

Calenda - Questionner les mises en forme ludiques du web : gamification, ludi... - 0 views

shared by Bertin TOE on 23 Mar 14 - No Cached
  •  
    Elodie Faath s'interroge sur la gamification du web. pour elle le jeu du numérique est en train de contaminer tous les domaines. cependant ces différentes mises en formes ludiques ont - elles des buts pédagogiques? elle pointe du doigt les usages mercantiles
anonymous

Participant ou concepteur de MOOC, mooc.fr devient un site pour partager votr... - 3 views

  • issions mieux comprendre ensemble ce qui fait sens, ce qu’il faut retenir de ces nouvelles formes de cours.
  •  
    Mooc.fr se propose d'accueillir dès aujourd'hui vos retours d'expérience, que ce soit en tant que participant, ou en tant que concepteur, animateur de MOOC. L'idée est donner à voir ce qui se passe vraiment sur le terrain, dans les MOOC pour qu'ensemble nous puissions mieux comprendre ensemble ce qui fait sens, ce qu'il faut retenir de ces nouvelles formes de cours.
Elizabeth Chosson

Des dispositifs en ligne pour personnaliser l'apprentissage tout au long de l... - 4 views

  • dispositifs en ligne
  • Afin de diversifier et d’adapter les ressources d’apprentissage aux besoins de chacun, leur conception exige une fragmentation du contenu jusqu’à sa plus petite composante (grain de connaissance), soit l’équivalent d’un paragraphe de texte, d’un tableau ou d’une figure. Ses fragments ou grains de connaissances peuvent être réutilisés sous leur forme initiale ou adaptée (au contexte du travail ou à la situation personnelle) pour répondre aux besoins de chaque apprenant dans un dispositif personnalisé. Une fois ces fragments construits, ils sont organisés en ressources d’apprentissage d’une durée limitée (entre 15 et 20 minutes) qui visent l’acquisition d’un élément de compétence ou l’atteinte d’un objectif spécifique. Ces composantes ou ces ressources seront regroupées selon l’approche pédagogique ou le scénario pédagogique en fonction des publics cibles et selon les visées de formation. Selon Bouillier (2013), granularité et scénarisation sont les deux exigences indispensables pour rendre les contenus appropriables et adaptables.
  • Le dispositif doit offrir une navigation aisée et doit répondre à certaines conditions. En tout temps, les personnes doivent avoir accès aux différents contenus du dispositif par l’affichage sur toutes les pages web d’onglets, de menu ou de sous-menus de navigation. Il est pertinent de développer un guide d’utilisation qui explique le fonctionnement du dispositif sous deux formes : textuelle et animée (vidéo de démonstration).
  •  
    Personnaliser l'apprentissage tout au long de la vie, ce n'est pas juste offrir aux apprenants une panoplie de ressources d'apprentissage et de technologies de communication et de travail collaboratif dans un environnement plus ou moins structuré. C'est d'abord s'interroger sur la notion même de la personnalisation de l'apprentissage et en dégager des principes directeurs. Ensuite, c'est opérationnaliser ces principes et les expérimenter dans des dispositifs d'apprentissage dans un contexte d'apprentissage personnalisé tout au long de la vie (formel et non formel)...
  •  
    Pour tous ceux qui s'intéressent à la personnalisation de l'apprentissage et à la conception de dispositif en ligne (enfin nous quoi ;-))
e-amanda

"PLE" : forme avancée du Blended Learning - 3 views

  •  
    Qu'appelle-t-on un Personal Learning Environment ? Hubert van Cappel : Un PLE ou Personal Learning Environment (Environnement d'Apprentissage Personnel) est un écosystème de formation qui va aider les collaborateurs à construire et organiser eux-mêmes leur propre apprentissage. Le concept n'est pas nouveau.
Pierre Curchod

Choisir ses stratégies d'évaluation | Pédagogie universitaire - Enseigner et ... - 2 views

  • , un document de synthèse (PDF – 292Ko)
  • plusieurs liens utiles à propos d’évaluation
  •  
    Ce document pose quelques généralités sur l'évaluation. Il me paraît intéressant et nécessaire de se poser quelques questions sur l'évaluation afin de situer la pertinence d'une forme particulière comme l'évaluation par les pairs.
carineg75

Moteur des ressources pédagogiques numériques - France Université Numérique -... - 1 views

  •  
    Ouvert à tous, gratuitement, ce moteur permet d'accéder à un ensemble de plus de 31 000 ressources pédagogiques numériques (cours, exercices, listes de références, études de cas, démonstrations, guides, tutoriels, leçons interactives, conférences, etc.), sous forme de textes, vidéos, webdocumentaires, logiciels ou sites internet.
Marc Yves Heitz

Micro-Learning as a Workplace Learning Strategy - e-Learning Feeds - 1 views

  •  
    Le micro-learning : une stratégie pour déployer un environnement d'apprentissage en entreprise. Différentes formes de micro-learning possibles.
fmoncorps

Jeu sérieux, maintenant - 2 views

  • une forme de légèreté amusée, quasi incompatible avec toute attitude sérieuse. L’attention n’est plus
    • fmoncorps
       
      jeu sérieux
  • ’une pratique, on trouve une forme de légèreté amusée, quasi incompatible avec toute atti
fmoncorps

Créer de la présence à distance en e-learning | Cairn.info - 1 views

  • Créer de la présence à distance en e-learning
  • « d’utiliser des technologies multimédias et l’Internet, pour améliorer la qualité de l’apprentissage en facilitant l’accès à des ressources et des services, ainsi que les échanges et la collaboration à distance » (Commission Européenne, 2000).
    • fmoncorps
       
      Définit l'objectif du e learning selon la commission européenne
  • 000)
    • fmoncorps
       
      Pose ici que les recherches nord américaines en sciences de l'éducation portent sur comment créer « une présence à distance » afin de favoriser les apprentissages? Mais pour l'auteur, il existe un biais à ces recherche car celles ci ne prennent pas en compte la réalité virtuelle qui permet de donner corps à un intervenant. Cette évolution technologique devient alors proche de ce que l'on retrouve dans le présentiel classique.
  • ...79 more annotations...
  • isée
    • fmoncorps
       
      La recherche de l'auteure prend cependant également en compte le cas le plus classiquement rencontré en e learning: une communication verbale en ligne en asynchrone ou synchrone.
  • pour caractériser ces interactions sociales et modéliser la notion de présence en e-learning.
    • fmoncorps
       
      Buts de cet article et de sa recherche
  • ent
    • fmoncorps
       
      Explique en quoi sa définition des interactions dans le cadre du e learning entre apprenants et/ou entre apprenants et formateur diffère du modèle nord américain. Ainsi, elle a mobilisé les travaux de Dewey et Bentley (1949) sur le pragmatisme et ceux du socio constructivisme selon Piaget
  • community of inquiry
    • fmoncorps
       
      La communauté d'enquête , abrégée en CoI [1], est un concept introduit par les premiers philosophes pragmatistes CSPeirce et John Dewey , concernant la nature de la formation des connaissances et le processus de la recherche scientifique. La communauté d'enquête est généralement définie comme tout groupe d'individus impliqués dans un processus d' enquête empirique ou conceptuelle dans des situations problématiques. Ce concept était nouveau en ce qu'il mettait l'accent sur la qualité sociale et la contingence de la formation des connaissances dans les sciences, contrairement au modèle cartésien de la science, qui suppose une réalité fixe et immuable objectivement connaissable par les observateurs rationnels. La communauté d'enquête souligne que la connaissance est nécessairement ancrée dans un contexte social et, par conséquent, nécessite un accord intersubjectif entre ceux qui sont impliqués dans le processus d'enquête pour la légitimité. WIKIPEDIA
  • nc
    • fmoncorps
       
      Explique son angle de recherche: développer les définitions des nord américains concernant les dimensions cognitive, sociale et éducative de la présence en e learning et en proposer une modélisation .
    • fmoncorps
       
      Explique ce qui manque selon elle au modèle théorique nord américain concernant une community of inquiry.
  • La présence en e-learning résulte de certaines formes d’interactions sociales entre les apprenants, entre le formateur et les apprenants lorsque ces derniers sont engagés dans une démarche de collaboration à distance au sein d’un espace numérique de communication. Ces interactions sociales sont à la fois : des transactions entre les apprenants, c’est-à-dire des interactions sociales de confrontation de leurs points de vue, d’ajustements mutuels, de négociations et de délibérations pour résoudre de façon commune et conjointe une situation problématique ; des interactions qui permettent de créer un climat socio-affectif favorable aux transactions entre les apprenants, c’est-à-dire des interactions sociales basées sur la symétrie de la relation et sur l’aménité ; des interactions que le formateur entretient à distance avec les apprenants pour soutenir les transactions entre les apprenants tout en contribuant à un climat socio-affectif favorable.
    • fmoncorps
       
      Définition de l'auteure quant à la présence en e learning
  • D’une manière générale, la collaboration se caractérise par l’égalité des statuts des membres du groupe et leur participation aux interactions sociales, ainsi que par le fait qu’ils mènent conjointement des activités définies ensemble pour résoudre un problème partagé (Dillenbourg, Poirier et Carles, 2003 ; Henri et Lundgren-Cayrol, 2003 ; Daele et Charlier, 2006 ; Jézégou, 2010). De plus, les membres du groupe s’y engagent activement et ont accès à des ressources partagées tout en assurant la réciprocité des informations, des soutiens et des services (Preece et Maloney -Krichmar, 2003). Une telle logique de collaboration diffère de celle de la coopération. En effet, la coopération s’appuie, quant à elle, sur une structuration de l’activité en parties, sur une division des tâches à réaliser et des responsabilités au sein du groupe (Dillengourg, Poirier et Carles, 2003 ; Henri et Ludgren - Cayrol, 2003).
    • fmoncorps
       
      Définitions distinctes entre collaboration et coopération .
  • La conception de la collaboration « contradictoire » insiste sur le rôle positif joué ici par l’expression des divergences et la confrontation des points de vue dans les apprentissages. Cette conception est soutenue par la théorie du conflit socio-cognitif issue de l’approche européenne du socio-constructivisme. Il existe une autre conception de la collaboration : la collaboration qualifiée par Damon et Phelps (1989) de « constructive ». Cette conception est défendue par le courant socio-constructiviste initié par Vigostski et promue par la psychologie anglophone nord américaine. Elle estime que c’est essentiellement par le dialogue entre les membres du groupe et le partage de leurs savoirs mais aussi par la coordination de leurs actions qu’ils parviennent à résoudre un problème partagé et à construire de nouvelles connaissances.
    • fmoncorps
       
      Permet de faire un lien avec le socioconstructivisme
  • Ainsi, selon Dewey (1938), la pratique d’enquête (practical inquiry) est la meilleure façon de clarifier une telle situation, de la résoudre et de justifier des solutions apportées. L’enquête peut être assimilée à une démarche scientifique dont les résultats sont conçus de manière « expérimentale », comme des hypothèses révisables à la lumière de l’expérience et de la délibération. Elle mobilise des transactions entre les acteurs ou les « enquêteurs ». Selon le pragmatisme, les transactions sont des interactions sociales de confrontations et de croisements de points de vue, d’ajustements mutuels, de négociations et de délibérations (Dewey et Bentley, 1949, Lipman, 1995; Renault, 2008). Enfin, selon cette perspective, de telles transactions génèrent une activité intellectuelle complexe dont un des effets est, selon Dewey et Bentley (1949), de construire des savoirs.
    • fmoncorps
       
      Pour soutenir l'idée de l'intérêt de mettre l'évaluation de cette UE sous forme collaborative avec un article par groupe de 5 étudiants, ces 5 étudiants ne seraient pas choisis au hasard mais les groupes seraient construits en mixant les compétences informatiques ou d'habilité à utiliser internet, ceux qui font preuve de rigueur dans leur écrit
  • Ainsi, cette théorie permet d’expliquer en partie les effets de la collaboration contradictoire sur la construction individuelle de connaissances.
  • Ainsi, ces deux référents épistémologiques soutiennent ensemble la conception selon laquelle les interactions sociales de confit, de négociation et de délibération - en d’autres termes les transactions entre les membres d’un groupe pour résoudre de façon commune et conjointe une situation problématique - jouent un rôle essentiel dans la construction individuelle et collective de connaissances.
    • fmoncorps
       
      Définit l'apport des interactions sociales dans l'apprentissage individuel et collectif, en développant l'idée que le conflit socio cognitif et l'enquête menée par le groupe pour résoudre la situation problème favorisent cette co construction des connaissances.
  • ette présence pédagogique renvoie au rôle joué par le formateur dans les interactions sociales qu’il entretient à distance avec les apprenants pour soutenir la présence cognitive et la présence socio-affective.
  • Les transactions entre les apprenants du groupe se manifestent dans les activités menées conjointement et de façon commune lors de la pratique d’enquête
    • fmoncorps
       
      Définit ce qu'est une transaction.
  • ituation « indéterminée », c’est-à-dire confuse, inattendue ou encore inédite.
  • statut générique
    • fmoncorps
       
      Autre intérêt de la pratique d'enquête, elle peut s'adresser à tout groupe de personnes.
  • quatre étapes distinctes (Dewey, 1938) : la définition du problème (1), la détermination d’une hypothèse de résolution du problème (2), l’expérimentation de cette hypothèse (3), la conclusion (4)
    • fmoncorps
       
      Cite les 4 étapes d'une démarche d'enquête.
  • Cette démarche de résolution peut consister à lever un doute sur un sujet donné, à réagir à un évènement inattendu, à mener à bien une action ou un projet, à trouver une réponse à un problème.
    • fmoncorps
       
      Énumère les différentes types de situations problèmes servant de support à la démarche d'enquête.
  • débute par un travail de définition du problème posé
  • d’observer et d’analyser la situation, d’en extraire et de délimiter le problème
  • en saisir le caractère spécifique ou encore de mettre en évidence les causes de ce problème
  • seconde étape
  • formuler des hypothèses d’actions pour résoudre le problème.
  • déterminer celle qui peut donner la solution la plus satisfaisante au problème posé tout en tenant compte de la situation dans lequel il s’inscrit
  • comparant ces hypothèses,
  • l’expérimentation de l’hypothèse retenue.
  • troisième étape
  • mettre cette hypothèse à l’épreuve du terrain et de vérifier si elle offre une solution pour résoudre efficacement la situation problématique
  • présence cognitive a, selon nous, d’autant plus d’impact sur les apprentissages qu’elle résulte de transactions véhiculées par la communication verbale asynchrone.
  • quatrième et dernière étape
  • évaluer les conséquences pratiques de l’expérimentation ou les résultats obtenus, à mener une analyse critique sur les trois étapes antérieures de l’enquête. Elle consiste aussi à redéfinir la situation ou encore à communiquer de façon commune et transparente sur l’enquête réalisée.
  • transactions
  • exprimer leurs divergences et leurs convergences, confronter leurs points de vue, s’ajuster mutuellement, négocier et délibérer entre eux pour définir le problème, formuler des hypothèses de résolution et en choisir une, l’expérimenter et conclure sur les résultats de cette expérimentation.
  • engagés dans une collaboration contradictoire
  • e-learning, elles génèrent
  • présence cognitive au sein de l’espace numérique de communication.
  • la présence cognitive en e-learning résulte des transactions existantes entre les apprenants pour résoudre de façon conjointe et commune une situation problématique. Les transactions sont des interactions sociales de confrontations de points de vue, d’ajustements mutuels, de négociations et de délibérations qui témoignent d’une collaboration à distance entre les apprenants au sein d’un espace numérique de communication.
  • conclusion
  • asynchronisme lors d’une situation de collaboration à distance offre de nombreux avantages par rapport au caractère éphémère de la communication en temps réel.
  • communication en différé peut être mise en mémoire et donc consultable à tout moment par les apprenants
  • asynchronisme
  • créer des conditions temporelles favorables à la réflexivité.
  • donne la possibilité à chacun des apprenants du groupe d’identifier, de clarifier, d’ordonnancer préalablement ses connaissances et de les expliciter par écrit afin de les rendre accessibles aux autres.
  • donne du temps pour se décentrer d’un point de vue cognitif, c’est-à-dire prendre conscience que sa position et ses raisonnements ne sont pas les seuls possibles, reconsidérer ses propres représentations et schèmes d’action pour construire de nouvelles connaissances.
  • respect mutuel nécessaire à la confrontation des divers points de vue, à la négociation et à la délibération pour concevoir et mener ensemble la démarche de résolution d’une situation problématique
  • décentration cognitive est facilitée lorsque les apprenants perçoivent la confrontation de leurs points de vue comme constructive pour eux-mêmes et pour les autres tandis qu’elle est difficile lorsqu’ils vivent leurs désaccords comme des attaques personnelles.
  • symétrie de la relation sociale et l’aménité
    • fmoncorps
       
      Aménité:Amabilité pleine de charme.
  • e degré de symétrie de la relation sociale est principalement lié à une différence de statut socio-professionnel, d’âge ou de degré d’expertise (Bourgeois et Nizet, 1997)
  • Cette différence
  • peut être objective mais aussi subjective,
  • liée à la représentation que chacun se fait de l’autre
  • relation fortement asymétrique a tendance à enclencher une résolution sociale et non cognitive du conflit, soit par complaisance (un point de vue est retenu au profit d’un autre), soit par juxtaposition (chacun conserve son point de vue).
    • fmoncorps
       
      Ceci pose la question de la composition des groupes d'apprenants, afin de limiter ce phénomène et de les orienter le plus possible vers une résolution cognitive et non sociale.
  • aménité
  • Etre attentif à l’autre, exprimer un désaccord avec le point de vue d’autrui sans agressivité, être empathique à l’égard de l’autre, s’encourager mutuellement et s’entraider
  • Ces aspects socio-affectifs s’avèrent par ailleurs importants lorsque l’on sait que le sentiment d’isolement dû au manque d’attention de la part du formateur et des pairs constitue un des principaux motifs d’abandon en formation à distance
  • définissons la présence socio-affective de la manière suivante : la présence socio-affective en e-learning permet de soutenir la présence cognitive qui résulte des transactions en jeu entre les apprenants pour résoudre une situation problématique. Elle est générée par des interactions sociales qui contribuent à établir la symétrie de la relation et l’aménité entre les apprenants en créant ainsi un climat socio-affectif favorable aux transactions au sein d’un espace numérique de communication.
  • Si le climat lié à la présence socio-affective est une condition propice à la présence cognitive, il n’est pas évident pour les apprenants et le formateur, sans s’être rencontrés physiquement, de créer à distance des relations symétriques et stables basées sur une aménité ressentie par chacun. Cette situation est d’autant plus délicate que, dans les environnements actuels de e-learning, les outils de communication intégrés aux plateformes permettent rarement de mettre en jeu le langage du corps ; ce dernier étant alors peu perceptible par des interlocuteurs distants. Or il constitue un puissant vecteur d’affectivité dans la communication humaine.
    • fmoncorps
       
      L'impact de l'absence de "corps" des différents interlocuteurs en e learning ne facilite pas la présence socio affective, alors que le langage corporel de l'autre est un vecteur d'affectivité dans la communication humaine.
  • Un des défis du e-learning est de créer une présence nourrie par les transactions et des interactions socio-affectives que les apprenants entretiennent entre eux lorsqu’ils sont engagés dans une démarche de collaboration à distance. Un défi délicat et d’autant plus difficile à relever pour certains apprenants lorsque la collaboration n’est pas pour eux un processus naturel et automatique. Dès lors, ils peuvent avoir une attitude négative à l’égard de la collaboration et manifester une résistance à s’y engager (Derycke et D’Halluin, 1995 ; Bourgeois et Nizet, 1997 ; Arnaud, 2003). Cette résistance peut par ailleurs être renforcée lorsque la collaboration ne relève pas de leur propre initiative mais leur est proposée par le formateur
    • fmoncorps
       
      Pose ici les limites de l'interaction. En effet, celle ci nécessite que les différents apprenants est une appétence à la collaboration ou ne s'y oppose pas. De plus, le fait que cette interaction collaborative soit proposée donc imposée par le formateur peut augmenter les phénomènes de résistance.
  • « savoir collaborer » implique un apprentissage pour acquérir des habilités cognitives et méta-cognitives ainsi que des compétences sociales nécessaires à la collaboration
  • formateur
  • rôle de « facilitateur » à travers les interactions qu’il entretient à distance avec les apprenants
    • fmoncorps
       
      Rôle du formateur dans la manière dont va prendre entre les apprenants l'interaction collaborative.
  • coordination, la modération et l’animation sont trois fonctions que le « formateur - facilitateur »
    • fmoncorps
       
      Définit les fonctions du formateur facilitateur de d'interaction collaborative
  • la modération consiste pour le formateur à porter son attention et à réguler, si besoin, la façon dont les apprenants communiquent à distance. En tant qu’animateur, il encourage les transactions entre les apprenants tout en contribuant à créer un climat socio-affectif favorable à ces transactions. Lorsqu’il est coordinateur, son rôle est d’aider le groupe d’apprenants à concevoir et à faire vivre le cadre de travail dans lequel se déroule la collaboration à distance.
    • fmoncorps
       
      Définit ici chacune des 3 fonctions. Peut être utilisé pour définir des critères d'évaluation d'une activité en e learning.
  • n tant que coordinateur, le formateur peut conseiller le groupe pour qu’il définisse, malgré l’éloignement géographique des apprenants, un cadre commun de travail, organise les activités à mener tout en favorisant les échanges entre les apprenants du groupe. En même temps, dans cette fonction de coordination, il doit veiller à ne pas impulser des règles trop formelles ou encore veiller à ce que le groupe ne s’impose pas lui-même des règles de fonctionnement trop rigides (Jézégou, 2008).
  • uatre stratégies intéressantes d’intervention pour dépasser l’inégalité objective ou subjective des statuts entre les apprenants
    • fmoncorps
       
      Définit ici 4 stratégies que peut adopter le formateur facilitateur pour limiter les asymétries sociales au sein des groupes d'apprenants en e learning.
  • première
  • inviter les apprenants du groupe à une meilleure connaissance mutuelle, à une expression et à une prise en compte des singularités de chacun
  • deuxième
  • mettre en évidence auprès du groupe la diversité des compétences requises pour la résolution de la situation problématique
  • identifier et de valoriser publiquement les compétences et les contributions propres à chacun
  • troisième
  • quatrième
  • prévoir des moments d’échanges avec les apprenants pour identifier et réguler avec eux les perceptions qu’ils ont les uns des autres de leurs différences.
  • cinquièm
  • réduire lui-même le degré de symétrie dans sa relation avec les apprenants.
  • modérateur en régulant certains échanges
  • tempérer les jugements de valeur des uns et les réactions trop ardentes des autres
    • fmoncorps
       
      Définit ici le rôle de modérateur du formateur.
  • Le but de cette modération est d’éviter les tensions pour que le climat soit convivial et constructif. Toutefois ces tensions font, dans une certaine mesure, partie de la collaboration. Leur évitement systématique, du fait de la modération du formateur, peut empêcher tout débat de naître et, d’une manière générale, rendre difficile les transactions entre les apprenants.
    • fmoncorps
       
      Indique ici que le but n'est pas d'éviter toute tension car celle ci est nécessaire au conflit socio cognitif. Il faut donc être modéré dans sa modération!
  • présence pédagogique de la manière suivante : la présence pédagogique en e-learning résulte des interactions sociales que le formateur entretient à distance avec les apprenants pour soutenir les présences cognitive et socio-affective. Ces interactions consistent à favoriser les transactions entre les apprenants tout en contribuant à un climat socio-affectif basé sur la symétrie de la relation sociale et sur l’aménité, au sein d’un espace numérique de communication.
    • fmoncorps
       
      Définit la présence pédagogique en e learning.
mickael76

Storytelling : faut-il raconter des histoires en elearning ? - 1 views

  • Pour assurer l’efficacité d’un processus d’apprentissage, il est important d’expliquer les concepts sous forme d’histoires auxquelles les apprenants peuvent s’identifier.
  • Le storytelling ou l’art de raconter une histoire peut ne pas convenir à toutes les situations de e-learning
  • L’histoire a le pouvoir de convaincre l’apprenant de s’investir dans la formation et, en définitive, d’adopter les comportements désirés.
  •  
    Storytelling : à double tranchant ?
  •  
    Malcolm Knowles, John Keller et d'autres théoriciens de l'apprentissage nous rappellent que les apprenants adultes ont besoin de pertinence pour apprendre. Pour assurer l'efficacité d'un processus d'apprentissage, il est important d'expliquer les concepts sous forme d'histoires auxquelles les apprenants peuvent s'identifier.
  •  
    Les éléments fondamentaux du storytelling : - cadre/intrigue - personnages - évènement - déroulement - pt culminant - dénouement
karenne Burel

CES 2017 : SimforHealth forme les étudiants en médecine aux urgences - 5 views

  •  
    SimforHealth est une société française qui a son stand au salon CES 2017. L'entreprise bordelaise présente une application en réalité virtuelle destinée à former les étudiants en médecine aux principales urgences médicales qu'ils pourraient être amenés à rencontrer durant leur carrière.
mn-desoeuvre

Web 2.0 - Wikipédia - 5 views

  • ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages
  • contribuer à l'échange d'informations et interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois au niveau du contenu et de la structure des pages, et d'autre part entre eux, créant notamment le Web social
  • en 2003 par Dale Dougherty, un cadre de la société O'Reilly Media, et diffusée par Tim O'Reilly en 2004 puis consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »[3] s'est imposée à partir de 2007
  • ...4 more annotations...
  • cercle vertueux
  • terme de Web 2.0 pour désigner l'arrivée massive des sites internet qui interagissait (parfois avec outrance, on a parlé du piège du Web 2.0) avec l'utilisateur sans avoir besoin de recharger ses pages
  • O’Reilly et Battelle résument[4] comme-suit les principes-clés des applications Web 2.0 : le Web comme plate-forme ; les données comme « connaissances implicites » ; les effets de réseau entraînés par une « architecture de participation », l'innovation comme l’assemblage de systèmes et de sites distribués et indépendants ; des modèles d’entreprise poids plume grâce à la syndication de contenu et de services ; la fin du cycle d’adoption des logiciels (« la version bêta perpétuelle »). O'Reilly cite également les propriétés suivantes caractérisant le web 2.0 : " The service automatically gets better the more people use it" i.e. "Plus le nombre d'utilisateurs d'un service augmente, plus le service s'améliore, automatiquement" (acquiert de la valeur). "Users add value" : "De la valeur est générée par les utilisateurs". Enfin il considère que "with many areas of Web 2.0,[...] the "2.0-ness" is not something new, but rather a fuller realization of the true potential of the web platform" i.e. "dans beaucoup de domaines du web 2.0, la qualité "2.0" n'est pas quelque chose de nouveau, mais plutôt une pleine réalisation du véritable potentiel de la plateforme que constitue le web".
  • L’infrastructure du web 2.0 est par nature complexe et changeante, mais elle inclut toujours: des logiciels de serveur, la syndication de contenu, des protocoles de messagerie, des standards de navigation, des applications clientes diverses (les plugins, ou greffons, non-standards sont généralement évités). Ces approches complémentaires fournissent au web 2.0 des capacités de stockage, de création et de diffusion, ainsi que de sérendipité très supérieures à ce qui était précédemment attendu des sites web. Un site pourrait être considéré comme relevant d'une approche web 2.0 s'il utilise de manière privilégiée les techniques suivantes : CSS, balisage XHTML sémantiquement valide et des microformats ; techniques d’applications riches telles qu’Ajax ; syndication et agrégation de contenu RSS/Atom ; catégorisation par étiquetage ; utilisation appropriée des URL ; architecture REST ou services web XML.
Sandrine Syrykh

L'environnement d'apprentissage personnel : l'avenir de la formation?: Servic... - 3 views

  • Dans sa forme la plus simple, l’EAP se présente comme un système qui encourage l’étudiante ou l’étudiant à prendre le contrôle et à gérer son propre apprentissage. Ce système va donc l’appuyer dans la définition d’objectifs d’apprentissage par la gestion des contenus et des processus la soutenant, ainsi que les communications avec autrui tout au long de sa démarche
    • Sandrine Syrykh
       
      Qu'en pensez-vous ?
anonymous

"QUEL EST L'INTERET D'UN OUTIL D'EVALUATION PAR LES PAIRS DU TRAVAIL DE GROUPE ?" - 3 views

  •  
    Résumé : aujourd'hui, nombreux sont les gens qui mènent des projets par équipe. Dans le cadre des études menées au sein de l'INSA, nous sommes formés à ce type d'exercice. Dans cette optique, un outil a été mis en place pour que chacun puisse avoir un retour sur son implication. Cet outil se présente sous la forme d'un questionnaire que chaque membre rempli pour ses collègues. Cet outil est désigné comme une évaluation par les pairs.
Dalila Ouali

Rapid Learning, où en est-on ? - 1 views

  •  
    « [...] les logiciels de Rapid Learning présentent éventuellement un avantage : celui de faire l'économie du poste de médiatiseur des contenus, puisque cette médiatisation peut être réalisée (à moindres frais et moindres effets) par le concepteur de contenu. Mais ils présentent un risque très élevé, qui se transforme bien souvent en réalité : ils incitent à faire l'économie de la scénarisation pédagogique, depuis l'identification des objectifs jusqu'au choix des formes d'évaluation les mieux adaptées à l'apprentissage visé, en passant par les choix d'activités et des modalités d'interaction et d'interactivité [...] ».
Sémia JRIDI

Le livre blanc du Mobile learning - 1 views

  •  
    Le mobile learning est l'ensemble des dispositifs de formation adaptés aux smartphones et tablettes, tant sur le fond, la forme, la technologie et surtout la pédagogie et les modalités d'apprentissage.
sophievdh

Présentation du guide du FFFOD "LMS : comment choisir sa plateforme ?" - 1 views

  •  
    Il faut s'enregistrer pour télécharger ce guide... J'ai toujours une méfiance sur cette méthode qui ramène souvent pas mal de SPAM. Je fais cependant confiance à FFFOD. Merci Sémia. Notamment de continuer à partager dans le groupe CODIFAD ;o)
ELISABETH SANTELLI

E-LEARNING-INFOS : Article/Dépêche - Formation-minute : le micro learning… - 2 views

  • la formation va de plus en plus vite, elle fait de plus en plus court, répondant aux nouvelles attentes des apprenants et à l'impatience des temps…
  • Plastique - il peut prendre la forme d'un mail, podcast, SMS, flux RSS
  • le micro learning peut s'intégrer dans le Blended Learning
  • ...3 more annotations...
  • le micro learning pourra convenir à l'utilisateur qui a simplement oublié une fonctionnalité particulière
  • Répondant juste à temps à un besoin de formation ponctuel, le micro learning rencontre l'objectif de productivité assigné aux dispositifs de formation et le souhait des salariés d'une formation plus courte, allant à l'essentiel, productrice d'informations / connaissances directement utiles en situation de travail.
  • Le micro learning ressemble à l'aboutissement d'une tendance qui voit la durée des stages de formation baisser depuis 30 ans
  •  
    le micro learning, une réponse supplémentaire ou intermédiaire aux apprentissages, qui semble répondre à la contrainte et à l'impatience des temps... 
1 - 20 of 26 Next ›
Showing 20 items per page