L’infrastructure du web 2.0 est par nature complexe et changeante, mais elle inclut toujours:
des logiciels de serveur,
la syndication de contenu,
des protocoles de messagerie,
des standards de navigation,
des applications clientes diverses (les plugins, ou greffons, non-standards sont généralement évités).
Ces approches complémentaires fournissent au web 2.0 des capacités de stockage, de création et de diffusion, ainsi que de sérendipité très supérieures à ce qui était précédemment attendu des sites web.
Un site pourrait être considéré comme relevant d'une approche web 2.0 s'il utilise de manière privilégiée les techniques suivantes :
CSS, balisage XHTML sémantiquement valide et des microformats ;
techniques d’applications riches telles qu’Ajax ;
syndication et agrégation de contenu RSS/Atom ;
catégorisation par étiquetage ;
utilisation appropriée des URL ;
architecture REST ou services web XML.