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[pop-up] urbain

En Suède, des élus dénoncent un déneigement sexiste - 0 views

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    "Lorsque deux passions suédoises se rencontrent, cela donne une drôle d'affaire. D'un côté, la neige. Blanche, féerique, poudrée - et, somme toute, assez peu sujette à controverse. De l'autre, l'égalité des sexes, préoccupation majeure des gouvernements successifs du pays. Mélangez, et vous ­obtiendrez le jämställd snöröjning, ou « déneigement favorisant l'égalité ». Soit une politique adoptée en 2015, à Stockholm, par la majorité municipale rouge, vert et rose, composée des sociaux-démocrates, des écolos et des féministes. Les élus sont partis du constat que les femmes utilisent davantage les trottoirs et les pistes cyclables (car elles manient des poussettes), tandis que les hommes, eux, circulent sur les grandes avenues (car ils conduisent des voitures). La nouvelle politique de déneigement consiste donc à déblayer d'abord les trottoirs et à terminer par les routes."
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NO ΛΟΓΟΣ » Le vélo - 0 views

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    "Je me déplace à vélo. Dans la région où j'habite, ça paraît le choix le plus raisonnable : le relief est inexistant, il fait plutôt beau, il y a des équipements cyclables décents. Je prends donc mon vélo pour faire les courses, aller travailler, et amener mes enfants à la crèche et à l'école - qu'il pleuve, neige ou vente, puisque je n'ai pas de voiture."
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La fenêtre, nouvelle frontière d'innovation dans les transports ? - La Fabriq... - 0 views

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    "La fonction traditionnellement dévolue aux fenêtres et vitrages est de protéger du froid et des intempéries tout en permettant de jouir de la lumière naturelle et du paysage. Toutefois les dernières innovations technologiques ouvrent le champ des fonctions possibles. Et si demain la fenêtre produisait de l'électricité ? Fournissait de l'information contextualisée et en temps réel à la demande ? Etait plus facile à entretenir en réduisant l'adhésion de la glace et de la neige, une propriété bien pratique dans les environnements au climat rigoureux ? Ces vitrages innovants sont d'ores et déjà en déploiement ou à l'essai dans des applications tertiaires et pourraient par capillarité venir moderniser nos moyens de transport à brève échéance."
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Une brève histoire de l'apéro dans les trains russes | MUNCHIES - 0 views

  • Dehors, il neige et la température atteint les -10 °C. Dans ce petit wagon bar, l’ambiance est tropicale. Les gens sortent dans l’espace interwagon pour prendre l’air, fumer et soulager leur vessie. En fait, tout le monde devrait venir visiter le Kazakhstan. Ne serait-ce que pour l’expérience incroyable de ses wagons bar – c’est une expérience incroyable. Si seulement tout le reste de l’ancien Empire Soviétique pouvait ressembler à ça. Mais un grand malheur s’est récemment abattu sur toute la Russie – cette terre infusée de vodka, la mère de Staline, de Catherine et d’Ivan le Terrible, ma muse lors de mes délires alcooliques : la vodka est désormais interdite dans les trains.
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    "Le meilleur bar de tout le Kazakhstan roule à 100 km/h. Il s'agit du troisième wagon en partant de l'arrière du train 003XA qui va d'Almaty à Astana. C'est ici que les passagers - en majorité des hommes - se donnent rendez-vous pour picoler de la vodka et de la bière bon marché. L'occasion de faire connaissance, de partager un casse-dalle, de s'assurer que son verre ne reste jamais vide trop longtemps et surtout, de passer un bon moment de convivialité. "
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Walkable Winter Cities | PlaceMakers - 0 views

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    "Coming in from my slow run on this morning's packed snow, I am grateful again for my old, walkable neighbourhood that tempts me out of doors, even in the cold weather. And that's saying a lot, since I live in Winnipeg, Manitoba, one of the three coldest cities on earth of a population of 600,000 or higher. Walkability mitigates the most extreme climates by providing interesting places to warm up, linger, and connect. And plenty of options about how and where to turn around and circle back."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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GRAND FORMAT. A bord du "Saint-Luc", le train-hôpital qui sillonne la Sibérie... - 0 views

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    "La Sibérie est un immense désert médical. Pour que ses habitants bénéficient d'un accès aux soins, cinq trains parcourent les régions les plus reculées. Emile Ducke est monté à bord du "Saint-Luc", un de ces hôpitaux sur rail."
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