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[pop-up] urbain

GRAND FORMAT. A bord du "Saint-Luc", le train-hôpital qui sillonne la Sibérie... - 0 views

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    "La Sibérie est un immense désert médical. Pour que ses habitants bénéficient d'un accès aux soins, cinq trains parcourent les régions les plus reculées. Emile Ducke est monté à bord du "Saint-Luc", un de ces hôpitaux sur rail."
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[PORTFOLIO] Burning Man : les moyens de transport les plus dingues - TRAX MAGAZINE - 0 views

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    "À Black Rock City, la ville éphémère du Burning Man, on se déplace avec classe dans le désert. Mieux que dix Batmobiles réunies, jetez un coup d'œil au bus-poisson ou encore au requin-vélo (ou girafe)."
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Le véhicule autonome ne peut s'envisager que partagé - 0 views

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    "Les élus sont donc confrontés à un enjeu majeur : comment réduire les fractures territoriales ? Le véhicule autonome semble être la « solution miracle »… Chacun se met à rêver de villes sans pollution, ni congestion, où la mobilité serait accessible à tous les citoyens : enfants, personnes âgées, personnes handicapées, avec ou sans permis de conduire, et ce, en toute sécurité et sans incivilité. Toutefois, il ne faudrait pas que cette innovation révolutionnaire tourne au cauchemar. En effet, si le véhicule autonome est utilisé individuellement, à nombre constant de véhicules, le trafic automobile ne cessera de croître pouvant entraîner une hausse de la congestion de l'ordre de 20 à 30 %… Pour permettre au véhicule autonome de tenir toutes ses promesses - offrir le droit à la mobilité au plus grand nombre de citoyens, réduire les fractures territoriales, améliorer la qualité de l'air -, les élus locaux ont un rôle essentiel à jouer. Il leur faut œuvrer à ce que le véhicule autonome soit partagé, et l'intégrer dans leur stratégie globale de mobilité. Par exemple, une flotte de véhicules autonomes partagés ou une navette à la demande en rabattement direct avec les lignes de transport public permettront de drainer les voyageurs vers des lignes « rapides » à la place des voitures particulières. Les collectivités locales pourront ainsi étoffer leurs offres pour les premiers et derniers kilomètres, dans les « déserts de mobilité », sur des plages horaires plus larges, ou encore pour les personnes en difficulté dans l'exercice de la mobilité, permettant de réduire la congestion en ville de plus de 20 %."
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Mobilité urbaine & déplacements en mobylette à Hanoi | Demain la Ville - 0 views

  • Comme la majorité des Hanoïens, Vinh se déplace en mobylette, ou plutôt vit en mobylette. Les urbanistes évoquent même une « population de centaures » pour parler des habitants de la capitale ! Ici, mis à part les vendeurs ambulants, rares sont ceux qui font plus de quelques mètres à pied. Dans certains marchés, on fait ses courses en scooter, parfois on fait la sieste allongé entre le guidon et le siège – preuve d’un sens de l’équilibre très abouti. Sur le bord du Lac de l’Ouest, très prisé des jeunes couples, on s’installe sur la selle pour conter fleurette, faute de bancs publics en nombre suffisant. Certains même y font leur séance d’abdominaux.
  • Ce choix de véhicule affecte le mode vestimentaire des hanoïens. Les hanoïennes conductrices en particulier sont très équipées sur leur moto: un casque la plupart du temps…ce qui n’est pas une évidence en Asie du Sud-Est ; une veste intégrale (couvre-mains, capuche) dans un matériau similaire à celui d’une couverture de survie pour ne pas avoir chaud et, surtout, ne pas bronzer ; un masque pour se protéger de la pollution directement émise par les pots d’échappement qui les entourent dans la circulation. Régulièrement assortis, ces accessoires témoignent d’une coquetterie scrupuleuse. En passagères, elles s’assoient souvent en amazone avec un équilibre déconcertant malgré les zigzags de la mobylette.
  • L’interdiction des camions au sein de l’aire urbaine d’Hanoï entre 9 et 21h facilite cela. Un autre élément très clair participe de ce phénomène, très peu de conducteurs se laissent aller à de fortes accélérations ou à des freinages brutaux. La vitesse reste assez limitée et ce quelque soit l’heure, même quand les rues sont désertes au milieu de la nuit. La moyenne se situe aux alentours de 35 km. Difficile d’être plus précis puisque la majeure partie des compteurs de vitesse gardent désespérément l’aiguille alignée sur le zéro.
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  • e klaxon
  • Les règles de circulation sont plutôt souples, donnant le sentiment d’un chaos organisé. Les feux, équipés d’un minuteur, sont plus indicatifs qu’autre chose. L’attention et la capacité d’adaptation que cela demande à chaque motard sont dès lors plus importante qu’en France. Personne n’a tort, personne n’a raison, et quand on voit sur le côté de la route un scooter remonter sur plusieurs mètres l’axe à contre-sens, on l’évite simplement, en ponctuant d’un léger coup de klaxon sans agressivité pour lui signaler notre présence. Il semblerait que de manière plutôt saine les hanoïens ne mettent pas de fierté particulière dans le fait de conduire. Ici, on ne critique jamais la conduite d’un autre motard, on s’adapte en souplesse. Le sentiment de toute-puissance qu’offre la voiture n’existe pas sur une mobylette.
  • De même, le nombre de passagers peut souvent être rocambolesque comparé aux standards occidentaux. Il n’est pas rare que la mobylette transporte toute la famille : le père conduit, avec un enfant devant lui, debout ou assis sur une chaise adaptée, la mère est assise derrière avec le petit dernier dans les bras.
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    "La première surprise que réserve Hanoï, capitale du Vietnam, concerne le mode de transport. Ici la mobylette est partout, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'elle règne en maîtresse incontestée et tyrannique ! Les tenants et aboutissants de ce choix de mode de transport sont nombreux et souvent inattendus. Quoiqu'il en soit, ils témoignent d'une capacité d'adaptation forte dans un environnement contraint."
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« Il est temps d'en finir avec les déserts de mobilité » - 0 views

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    "Un quart des Français estiment avoir des difficultés à rejoindre leur lieu de travail, selon une étude du Commissariat général au développement durable de 2010. Ne pas pouvoir sortir aisément de son lieu de résidence limite drastiquement la qualité de vie : trouver un emploi, éduquer les enfants, se divertir, se cultiver, se soigner… La capacité de se déplacer conditionne l'insertion de l'individu dans la société et constitue à ce titre un sujet majeur du débat public. Elle est un facteur clé d'intégration et le transport public joue un rôle essentiel dans l'intégration sociale et territoriale. 40 % des Français n'ont pas aujourd'hui d'accès aux transports en commun Or, 40 % des Français n'ont pas aujourd'hui d'accès aux transports en commun et, selon les régions, 10 à 20 % de la population ne quittent pas son domicile un jour donné de la semaine. Dans certaines zones peu denses notamment, souvent dans la grande périphérie des métropoles et dans l'espace rural, les solutions ont été particulièrement difficiles à mettre en place dans le pa"
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