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[pop-up] urbain

Sao Paulo : la grève du métro suspendue au moins jusqu'à la veille du Mondial - 0 views

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    "Les grévistes du métro de Sao Paulo ont suspendu leur grève, lundi 9 juin dans la soirée, tout en menaçant de la reprendre le jour du coup d'envoi de la Coupe du monde de football si leurs collègues licenciés ne sont pas réintégrés. Si elle reprend, cette grève, à l'origine d'embouteillages monstres, menace de provoquer jeudi une belle pagaille dans la mégapole de 20 millions d'habitants pour le match d'ouverture Brésil-Croatie, alors que les yeux du monde entier sont braqués sur le Brésil. « Mercredi 11 juin, nous tiendrons une nouvelle assemblée générale pour décider si nous faisons grève jeudi. Cela dépendra de la réintégration des 42 travailleurs » licenciés lundi par la direction, a déclaré le président du syndicat des employés du métro, Altino Melo dos Prazeres « C'est notre principale revendication », a-t-il ajouté à l'issue d'un vote serré entre partisans de l'arrêt du mouvement et jusqu'au-boutistes au terme de cinq jours d'arrêt de travail. Une façon d'admettre implicitement que le syndicat se pliait à l'augmentation salariale offerte par la direction, bien qu'inférieure aux attentes des employés."
[pop-up] urbain

L'industrie du taxi à la frontière de l'innovation | L'Âge de la multitude - 0 views

  • Jacques Rosselin avait publié l’information il y a quelques jours, mais un éditorial du 11 avril dernier écrit par Jean-Christophe Tortora, président-directeur général de La Tribune, lui a donné beaucoup plus d’ampleur : suite à une plainte contre X déposée par Nicolas Rousselet, PDG du groupe G7, Jean-Christophe Tortora et moi-même sommes mis en examen pour diffamation. L’origine de cette plainte est un texte intitulé « Les fossoyeurs de l’innovation », publié le 15 octobre 2013 sur le blog de L’Âge de la multitude et reproduit le même jour sur le site de La Tribune à la demande d’Eric Walther, directeur de la rédaction. Ce texte, qui discute la vision de l’innovation de Nicolas Rousselet, a été écrit dans le contexte de la préparation du fameux décret dit des « 15 minutes », dont il était l’un des défenseurs les plus visibles. L’annonce de cette mise en examen a déclenché un débat de fond autour de la question de l’innovation – tant la surprise a été grande à l’idée qu’une prise de position sur cette question cruciale pour l’avenir de la Nation puisse donner lieu à un procès pénal. Une multitude de personnes, connues ou inconnues, m’ont exprimé des marques de soutien, et je les en remercie chaleureusement. Un #hashtag a même pris son envol. Des arbitres se sont curieusement interposés pour essayer de renvoyer les protagonistes dos à dos. Quant à moi, je voudrais saisir cette occasion pour refaire le point sur la question de l’innovation.
  • Lorsque nous avons entrepris d’écrire L’Âge de la multitude, Henri Verdier et moi-même avions l’ambition, immodeste, d’expliquer la révolution numérique et ses conséquences aux décideurs de notre pays. Notre objectif était de démontrer que l’économie numérique n’est pas un phénomène marginal indigne d’intérêt pour nos responsables politiques et nos capitaines d’industrie, mais au contraire une économie en plein essor dominée par quelques grandes entreprises américaines, géants industriels qui jouent plusieurs coups à l’avance sur le grand échiquier de l’économie globale. Bref, une question très sérieuse qui mérite l’attention prioritaire de nos dirigeants au plus haut niveau. Pour l’instant, le numérique dévore le monde exclusivement depuis les Etats-Unis. Mais d’autres pays peuvent désormais prendre leur part de cette voracité, pourvu que la compréhension de l’économie numérique soit partagée par leurs élites – c’est à cet effort de compréhension qu’Henri et moi avons souhaité contribuer avec L’Âge de la multitude.
  • Ce qui est en jeu, dans l’économie numérique, c’est l’avenir de notre pays : notre croissance, nos emplois, nos services publics, notre protection sociale. Si nous réussissons la transition numérique de l’économie française, alors nous resterons l’un des pays les plus développés du monde ; si, au contraire, nous échouons, nous devrons renoncer à notre modèle social et deviendrons progressivement pour les Etats-Unis ce que les anciennes colonies françaises ont été pour la France prospère des Trente glorieuses : une source de matière première (dans l’économie numérique = de la R&D et des données) et un simple marché de débouchés où plus aucune entreprise ne paiera d’impôts – les entreprises étrangères parce qu’elles n’auront même pas besoin de s’établir sur notre territoire pour y faire des affaires ; les entreprises françaises parce que leurs marges seront anéanties par de vains efforts de compétitivité.
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  • Pour réussir la transition numérique de notre économie, la première étape consiste à réaliser que celle-ci est parvenue à la frontière de l’innovation. Cette frontière est le stade du développement économique où le rattrapage des économies les plus avancées est achevé et où seule l’innovation peut générer de nouveaux gains de productivité. Tous les indicateurs de notre économie révèlent notre échec à nous développer à la frontière de l’innovation : la croissance est faible ; les entreprises ne parviennent pas à reconstituer leurs marges ; le développement économique (c’est-à-dire l’augmentation du revenu par tête) est comme interrompu : comme le montre le graphique ci-dessus, nous avons depuis vingt ans été dépassés ou rattrapés par le Royaume-Uni, l’Allemagne et Israël. Depuis plusieurs décennies, la France s’est plus ou moins arrêtée d’innover et a choisi d’opter pour des efforts de développement centrés sur les débouchés à l’export (= la mondialisation), l’optimisation des chaînes de production (= le restructuring, le downsizing, le reengineering, etc.), la sophistication de la finance (= la crise de 2008) et finalement la baisse du coût du travail (= le pacte de responsabilité).
[pop-up] urbain

Le Shinkansen, train à grande vitesse japonais | HORIZONS DU JAPON - 0 views

  • À l’intérieur, le bruit constant est celui du vent qui vient s’écraser douloureusement sur la coque de l’engin le transperçant avec insolence. La vendeuse de Bento (panier-repas) passe en s’annonçant. Une petite musique prévient une nouvelle annonce du speaker. Un tableau digital passe en boucle les dernières informations. Tout le monde est respectueux des autres et personne n’engage une longue et bruyante conversation téléphonique sur son fauteuil. Et pour les plus en mal de calme, il existe un wagon totalement silencieux, sans speaker, musique, ou discussion entre amis
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    "Ligne souple telle un avion, l'intérieur et l'extérieur des différents Shinkansen semblent provenir de la technologie aéronautique et non pas du chemin de fer. Les matériaux et le design rappellent l'avion ainsi que la tenue des pilotes. Képi et gants blancs sont de rigueur. Tout est impeccable. Jamais un Shinkansen n'entre en gare remplie de poussière. La rouille n'est jamais apparente. Il faut entretenir l'image. Valoriser un objet augmente son appréciation. Et la Japan Railway, ou JR a réussi son coup. Les Japonais adorent le Shinkansen. Il y a carrément des fanatiques. Beaucoup de photographes et vidéastes alimentent des blogs de fans sur le sujet. Les enfants ne jouent pas avec des petites voitures mais avec des Shinkansen miniatures qu'ils font rouler avec leurs mains ou électriquement. Dans certains parcs pour enfants, on aperçoit des reproductions du fameux train. L'engin est starisé au possible. Les cérémonies regroupent à chaque fois des centaines de personnes venues accueillir un nouveau modèle ou saluer un ancien en fin de service."
[pop-up] urbain

Tourist Experience Challenge - SNCF Challenge Open Innovation - 0 views

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    "Ces flux touristiques croissants posent de nombreux défis aux transports publics : accessibilité d'une des infrastructures les plus étendues au monde, navigation fluide malgré les différences culturelles ou linguistiques, gestion de pics de fréquentation autour de grands événements (EURO2016). Avec 381 gares et un maillage sur tout le territoire, le réseau SNCF Transilien dessert, sous le pilotage du STIF qui organise et finance les transports en Ile-de-France, les points d'intérêts parmi les plus visités : L'aéroport de Roissy Charles de Gaulle, le Château de Versailles, La Tour Eiffel, Le Musée d'Orsay, ou encore le Stade de France. L'usage intensif du réseau par les touristes (¾ d'entre eux) offre une opportunité inédite pour lancer des collaborations internationales entre jeunes acteurs innovants et SNCF Transilien. A la clé, la possibilité d'expérimenter puis de déployer des services et technologies qui répondront aux besoins spécifiques des touristes."
[pop-up] urbain

«La meilleure solution pour la mobilité de demain, c'est le train» - Le Parisien - 0 views

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    "Vous prenez exemple sur l'Asie où le taux de ponctualité est de 99,9 %… Comment font-ils ? Ils ont des infrastructures et du matériel récent, moderne, très automatisé. Mais c'est aussi grâce à une organisation intégrée - l'une des solutions que je propose - qui permet de gérer, dans la même main, la voie et le train. C'est-à-dire ? A Tokyo, dans une même salle, on trouve des gens qui gèrent la maintenance des voies et des trains, l'aiguillage, l'information voyageur, les conducteurs, la sûreté, l'électricité. Bref, tout le monde est là et peut se parler. Ce n'est pas vraiment ce que vers quoi tend la mise en concurrence française... En effet, on va tendre plutôt à séparer le réseau (les voies et leur gestion, NDLR) de l'opérateur. Le risque est de créer une muraille de Chine entre les deux. Si l'on veut que ça marche en zone dense, il ne faut pas séparer les deux. Le plus efficace reste de limiter le nombre d'acteurs. On est moins efficace s'il faut coordonner la personne qui gère la voie, la gare et le train, par rapport à une personne unique. Quelles sont les autres solutions pour améliorer le train ? Il faut aussi se recentrer sur les voyageurs. Toujours en Asie, la régularité passe par le fait de réussir à faire monter et descendre les voyageurs dans le temps imparti. Il faut encourager les bons comportements. C'est ce que nous essayons de faire avec le « nudge » (« coup de pouce », en français. C'est une méthode non contraignante pour encourager à adopter un bon comportement, NDLR). Ainsi, sur les portes du RER E, nous avons apposé des dents de requins pour décourager les gens d'entrer quand les portes se ferment. Sur certains quais, des autocollants indiquent la place pour les trains ou courts. Nous allons essayer d'industrialiser ces pratiques."
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