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La croissance économique a beau ralentir, les employeurs restent confiants sur le terrain de l'emploi. Ils anticipent en effet 2,69 millions de projets d'embauche pour 2019. Un chiffre en hausse de 14,8 % par rapport à l'année précédente, ce qui correspond à près de 350.000 projets de recrutement supplémentaires, selon la nouvelle enquête annuelle sur les «Besoins en main-d'œuvre des entreprises» publiée par Pôle emploi jeudi. Attendue, cette enquête a été menée entre octobre et décembre 2018 et s'appuie sur les réponses de 436.000 entreprises.

"Le Cnam a créé le « Certificat de compétence Relations entreprises et médiation pour l'emploi ». Objectif : former des professionnels capables de dialoguer avec les entreprises, notamment TPE/PME qui n'ont pas de fonction RH en leur sein, sur leur besoin de recrutement de manière à permettre une mise en relation entre l'offre et la demande de travail."

"Depuis 2005, l'effort de formation des entreprises européennes est en croissance et les pratiques se diversifient. Les entreprises françaises, initialement parmi les plus formatrices, font preuve d'une grande stabilité dans le temps, conservant un modèle prédominant fondé sur les cours et les stages. La loi Avenir professionnel, impulsant de nouvelles pratiques d'entreprises, pourrait faciliter le maintien des compétences des salariés dans une conjoncture économique défavorable."

"Dans leur processus de formation, la plupart des grandes entreprises cherchent à mettre en œuvre des solutions optimisées et innovantes pour susciter et renouveler l'intérêt et la capacité d'apprentissage de leurs salariés. Depuis une dizaine d'années, le virtuel a fait son apparition dans le cadre des formations en entreprise."

Les métiers du domaine de la gestion et de l'administration évoluent et se spécialisent de plus en plus. En général, ils font appel à des titulaires de diplômes de niveau bac +2 a minima. Ces emplois sont présents dans tous les secteurs d'activité : de la petite entreprise au grand groupe multinational. En entreprise, on parle souvent de métiers « support » ou « transverses ». Ces métiers sont très présents en Ile-de-France et en Poitou-Charentes notamment.

"Avec 670 000 salariés en équivalent temps plein en 2011, les entreprises agroalimentaires rassemblent 5 % des salariés et réalisent 9 % du chiffre d'affaires et 12 % des exportations des entreprises françaises non financières. Les industries agroalimentaires (IAA) rassemblent 56 % des salariés, le commerce de gros de produits agroalimentaires 24 %, et l'artisanat commercial (charcuterie et boulangerie-pâtisserie) 20 %. 41 % de l'emploi des IAA se situe dans la transformation de la viande ou la fabrication de produits laitiers. Trois régions concentrent le tiers de l'emploi des établissements agroalimentaires : la Bretagne, les Pays de Loire et l'Ile de France. En Poitou-Charentes, près de trois quart des salariés travaillent dans l'IAA, le quart restant de l'effectif, dans le commerce de gros agroalimentaire."

"Après un an d'existence, l'espace internet destiné aux professionnels des services à la personne www.ressources-pro-sap.entreprises.gouv.fr a permis à 27 500 utilisateurs de trouver des ressources pratiques pour créer ou développer un organisme de services à la personne."

La branche professionnelle des magasins prestataires de services de cuisine à usage domestique a réalisé en 2015 une enquête sur les caractéristiques des entreprises et des salariés auprès d'un échantillon représentatif des établissements. Résultats.

La branche professionnelle des magasins prestataires de services de cuisine à usage domestique a réalisé en 2015 une enquête sur les caractéristiques des entreprises et des salariés auprès d'un échantillon représentatif des établissements. Résultats.

"Le concept est simple : faire se rencontrer des personnes désireuses de découvrir un métier (chercheurs d'emploi, jeunes diplômés, personnes en reconversion, simples curieux…) et des entreprises qui veulent présenter la richesse de leurs métiers. Place aux métiers permet donc de découvrir facilement les entreprises de l'intérieur et de se projeter potentiellement sur une reconversion ou sur une formation, de valider un projet professionnel ou tout simplement d'assouvir sa curiosité. La prochaine édition aura lieu du 3 au 7 décembre."

Si vous en doutiez encore, voilà qui va finir de vous convaincre : la fonction commerciale est bel et bien une fonction vitale dans une entreprise. Du moins aux yeux des dirigeants qui la considèrent comme indispensable au développement de la relation client (pour 92 %) et à la performance globale de l'entreprise (90 %). Une écrasante majorité (86 %) affirment même qu'elle occupe une place majeure dans leur entreprise. Ce sont les principaux résultats d'une étude conduite par Opinion Way et Comdata pour le compte des Dirigeants Commerciaux de France (DCF).

"La branche professionnelle des Entreprises de Services à la Personne a rendu publique, en juin 2018, une étude sur l'impact des évolutions réglementaires sur la branche, réalisé via l'Observatoire prospectif des métiers et des qualifications, accompagné par AGEFOS PME. Entre 2015 et 2016, le nombre de salariés du secteur a augmenté de 4,5%. Les prévisions pour les 5 prochaines années annoncent une hausse moyenne annuelle de chiffre d'affaires de 7%, soit de nombreux emplois à créer. Le secteur des Entreprises de services à la personne doit faire face à une demande accrue de la part des usagers en matière d'entretien de la maison, de garde d'enfants, ou encore d'assistance aux personnes âgées."

Le secteur du numérique est à la pointe du modèle innovant et émergeant d'entreprise apprenante et le CPF a permis de soutenir la croissance des formations à distances certifiantes. C'est ce qui ressort de "L'adaptation des compétences, un défi à relever pour les entreprises du numérique", le numéro 358 de Cereq bref , publiée le 15 septembre. Globalement, les entreprises du secteur forment beaucoup plus que les autres. De plus, elles font émerger un changement de culture à propos du lien formation-emploi, qui pourrait bien dessiner les contours de la formation professionnelle dans quelques années. Avec à la clé une complémentarité entre les modes de formation formels et informels.

Le coronavirus, une pandémie qui a causé plus de 1 000 000 morts dans le monde, est toujours présent dans notre société actuelle. Face à cette persistante crise sanitaire, une nouvelle profession a vu le jour dans les entreprises, notamment le réferent Covid-19. Au début, ce poste était destiné aux établissements spécialisés en BTP. Désormais, il commence à s'élargir dans de nombreux domaines. Mais qui peut jouer parfaitement ce rôle de réferent Covid-19 dans une entreprise ? Quelles sont ses missions et ses responsabilités ?

"Trouver des salariés bien formés, au bon moment, constitue l'une des sources principales de croissance pour les entreprises."

"L'enquête « Les seniors et l'accès à l'emploi » réalisée par A Compétence Egale a pour vocation à mettre en lumière les stéréotypes des trois parties prenantes du recrutement d'un senior: les candidats seniors eux-mêmes, les consultants en cabinets de recrutement et les RH en entreprises. Cette étude s'inscrit dans une démarche globale d'accompagnement par l'association; son analyse lui a en effet permis d'élaborer deux kits, accessibles gratuitement sur son site. Destinés aux seniors et aux RH en entreprises, ces nouveaux outils permettent à chacun d'entre eux de définir un plan d'actions personnalisé, accompagné de fiches pratiques d'aide à la réalisation des objectifs fixés."

Vous souhaitez être utile à la société ou à l'environnement, participer à un projet collectif d'entreprise ? Avez-vous pensé à l'économie sociale et solidaire (ESS) ? De nombreuses associations, coopératives, entreprises sociales, mutuelles et fondations recrutent actuellement des jeunes diplômés. Au programme de cette journée : atelier le matin et visite d'une entreprise l'après-midi. Lieu : CIDJ 91 quai Branly 75015 Paris (le matin), de 9h45 à 16h30.

"Un pôle interrégional d'excellence de formation aux métiers du cuir et du luxe verra le jour en 2014 en Dordogne. C'est ce qu'a annoncé, le 18 avril 2013, la Région Aquitaine dans un communiqué. Une étude préalable a permis d'analyser les problématiques majeures de 13 entreprises des trois régions concernées (Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes). Elles concernent prioritairement le recrutement de personnel, l'approvisionnement des matières premières (cuirs et textiles) et le manque de qualifications des salariés. D'où l'intérêt porté par les industriels pour le projet du Conseil régional de créer un pôle d'excellence dédié notamment à la formation de nouveaux entrants ou de salariés pour les entreprises de la filière cuir. "

"Longtemps attirés par le conseil et le management, les ingénieurs retrouvent le chemin de l'expertise. Un rééquilibrage qui s'accompagne de compétences comportementales indispensables. 0 Portrait-robot de l'ingénieur 2013 EMPLOI - Olivier Chasles, ingénieur développement chez Melexis. © Tom/Andia pour l'express Lorsque Cécile Dutertre défend auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire un dossier de mise en service d'une centrale, il faut à cette ingénieur d'EDF un sens de l'écoute et du relationnel digne d'un diplomate. Cette mission exigeait aussi "un socle technique très pointu", confie cette spécialiste des matériaux formée pendant un an par EDF sur le nucléaire. Alors que l'avenir ne se fabrique plus dans les centres de production manufacturée, mais dans les centres de R&D, l'industrie connaît un besoin croissant d'ingénieurs hyperspécialistes sur des expertises à forte valeur ajoutée technologique. "C'est ce que les grands industriels vendent. Et, pour cela, ils doivent s'entourer d'ingénieurs qui innovent et puissent déposer des brevets", confirme Nicolas Leroy, directeur chez Michael Page. "Donner une nouvelle dimension à l'ingénieur" Réputée comme une école "technologue" plus que généraliste, l'Ensam veut promouvoir une nouvelle génération d'ingénieurs capables d'innover et proches de l'univers de la recherche. Des compétences de plus en plus demandées par des industriels conscients du rôle clef de leur R & D. Et c'est via le doctorat que Laurent Carraro, directeur de l'Ensam, compte répondre à cette nouvelle attente : "Il s'agit de donner une nouvelle dimension à nos experts techniques." Le diplôme de docteur se renforce et se formalise donc autour de la capacité de monter des projets et de maîtriser les financements privés et publics. Des partenariats avec des industriels comme PSA se développent pour former leurs ingénieurs aux procédés d'innovation et de recherche technologique. L'objectif

"L'OPTL (Observatoire prospectif des métiers et qualifications dans les transports et la logistique), dans son rapport annuel, indique que 84 % des salariés ont un emploi ou sont en formation six mois après la fin de leur contrat de professionnalisation dans les entreprises de la branche conventionnelle, et jusqu'à 87 % pour les contrats de professionnalisation qui ont eu lieu dans les entreprises de transport de personnes."

"Faute de pouvoir recruter les bons profils, les entreprises du paysage sont freinées dans leur développement. Certaines s'unissent pour lancer des formations."