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IFOP - Les Français et la transformation en mosquée d'églises vides ou abandonnées - 0 views

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    Une large majorité de Français (67%) est opposée à la proposition avancée par le président du Conseil Français du Culte Musulman, Dalil Boubakeur de recourir aux églises vides ou abandonnées pour accueillir les fidèles musulmans. L'opposition est à la fois large et déterminée puisque presque une personne sur deux (47%) se dit tout à fait opposée. Si les sympathisants du PS se montrent les plus ouverts (42% de favorables, une majorité de l'électorat socialiste étant néanmoins opposée), c'est dans les rangs des Républicains (19%) et du FN (17%) que l'opposition est la plus forte. On note également sur cette question un clivage générationnel, les moins de 35 ans, ayant grandi dans une France déjà très déchristianisée, sont plus nombreux à être favorables (41%), que les 35-50 ans (34%) et que les 65 ans et plus (27%), qui même s'ils ne sont plus très pratiquants sont davantage attachés à la culture catholique et au symbole que représentent les églises.
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Sondage IFOP - Les Français et la polémique des crèches de Noël dans les sièges des collectivités locales - 0 views

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    Suite à la décision du tribunal administratif de Nantes ordonnant au Conseil général de Vendée de retirer la crèche de Noël installée comme chaque année dans son hall d'entrée, un débat s'est ouvert sur ce sujet sensible. Ce débat a été alimenté par l'annonce de Robert Ménard, maire de Béziers, de son intention de vouloir également installer une crèche de Noël dans sa mairie. Interrogés par l'Ifop pour Dimanche Ouest-France, les Français émettent un jugement massif et sans appel. 71% d'entre eux se déclarent plutôt favorables à la présence de crèches dans les bâtiments publics car « cela constitue plus un élément de tradition culturelle qu'un symbole chrétien », contre seulement 18% qui y sont plutôt opposés car « il s'agit d'un symbole religieux incompatible avec les principes de neutralité et de laïcité du service public ». Les personnes partageant la ligne du tribunal administratif sont donc très nettement minoritaires dans le Grand ouest, de tradition catholique (19%) comme dans les autres régions (18%). Si les réponses varient également peu selon les classes d'âge, les moins de 35 ans s'avérant aussi favorables que les 65 ans et plus (67% contre 69%), l'attachement aux crèches se transmettant donc génération après génération, des clivages se font jour, de manière assez logique, selon la religion mais aussi et surtout selon la proximité partisane.
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Sondage IFOP - Les Français et la laïcité - 0 views

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    Face à la brutalité des attentats de Charlie Hebdo, de Montrouge et de la porte de Vincennes, l'opinion a vivement réagi en brandissant comme un talisman le concept de laïcité face au fondamentalisme islamique. Interrogés sur les dimensions républicaines perçues comme les plus importantes, les Français placent en effet aujourd'hui très largement en tête cette notion de laïcité (46%), loin devant le suffrage universel (36%), la liberté d'association (8%) ou la libre constitution des partis politiques ou la liberté syndicale (5% chacune). Par rapport à mars 2008, date à laquelle avait pourtant eu lieu le débat sur la « laïcité positive », la hiérarchie des réponses s'est inversée. A l'époque, le suffrage universel s'imposait avec 41%, soit 5 points de plus qu'aujourd'hui devant la laïcité à 30% seulement, mais qui était déjà en légère progression par rapport à 2003 (+5 points). Ce dernier item a donc fait un bond de 16 points par rapport à 2008 et ce mouvement d'opinion spectaculaire est bien sûr à mettre en lien avec les attentats. Cette progression est particulièrement marquée dans l'électorat UMP (+21 points), qui place désormais cette notion devant le suffrage universel (47% contre 40%) alors qu'en 2008 cet item surclassait très largement la laïcité dans l'électorat de droite (53% contre 26%). Le vif regain d'intérêt porté à la laïcité s'exprime avec moins de force dans l'électorat socialiste (+9 points) mais ce dernier s'affichait déjà à l'époque comme plus attaché à cette valeur que l'électorat UMP (36% contre 26%). Si la laïcité est donc fortement plébiscitée dans le Panthéon des valeurs républicaines, à quoi renvoie-t-elle pour les Français ? Pour 51% des personnes interrogées (-5 points par rapport à une enquête de septembre 2008), elle est d'abord conçue comme « la possibilité laissée à chaque citoyen de pratiquer sa religion ». Pour 25% (+1 po
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IFOP - L'adhésion à différentes propositions sur la place de l'Islam en France - 0 views

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    La proposition de la secrétaire d'Etat chargée des Droits des femmes Pascale Boistard d'interdire le port du voile à l'Université, mais aussi le souhait du Président de l'UMP Nicolas Sarkozy d'interdire les repas de substitution dans les cantines scolaires, ont relancé le débat sur la place de l'Islam dans les milieux scolaires et universitaires. Interrogées à ce sujet, les Français sont majoritairement favorables à la modération des signes ostentatoires religieux dans ces environnements. L'opposition au port du voile ou du foulard islamique dans les salles de cours des universités paraît assez marquée au sein de la population française. 72% des personnes interrogées sont favorables à son interdiction, contre 18% y étant opposées. Il en est de même s'agissant du port du voile ou du foulard islamique par une personne accompagnant des enfants lors d'une sortie scolaire, que 68% des Français voudraient voir interdits. L'introduction de plats de substitution halal dans les cantines scolaires fait davantage débat : L'adhésion à sa suppression concerne plus d'une personne interrogée sur deux (55%). Les milieux scolaires et universitaires apparaissent ainsi comme des lieux sacrés où la religion ne doit pas faire son entrée. Pour autant se fait jour des différences d'appréciation en fonction de deux critères principaux, l'âge et la sensibilité politique. Les jeunes se montrent ainsi moins hostiles au port du voile dans les salles de cours des universités ou par les accompagnants des sorties scolaires, ou à l'introduction de repas de substitution dans les cantines scolaires. De la même manière, les sympathisants du Front National se veulent les plus radicaux vis-à-vis des comportements liés à la religion musulmane, tandis que les positions deviennent moins dures plus on avance sur la gauche de l'échiquier politique.
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IFOP - Les enseignants et la laïcité - 0 views

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    L'Ifop a mené pour le Comité National d'Action Laïque du 8 au 11 janvier 2018, une enquête auprès de 650 enseignants du public exerçant du primaire au lycée, sur leur rapport à la laïcité. Il ressort d'abord que les enseignants interrogés s'accordent pour dire qu'il existe une définition commune de la laïcité au sein de leur établissement (89% des personnes interrogées), même si des nuances apparaissent entre les enseignants en REP et leurs collègues en non REP à ce sujet (69% contre 94%). Concernant précisément la loi de 2004 encadrant le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics, seul un gros tiers (38%) des enseignants mentionnent des contestations venant de certains élèves. Les contestations du principe de laïcité se produisent également dans 35% des cas lors d'enseignements d'histoire-géographie, dans 33% à l'occasion des moments de recueillements après les attentats de 2015. Afin d'éviter de possibles incidents provoqués par certains élèves, un bon tiers des enseignants, 37% reconnaissent s'être déjà autocensurés. La laïcité est un élément jugé important pour l'identité de la France par plus de 9 enseignants sur 10 (93%), voire essentiel (45%, soit un score équivalent à celui mesuré en parallèle dans un enquête auprès du grand public, 42%), les enseignants interrogés semblent un peu moins inquiets que l'ensemble de leurs concitoyens sur le fait qu'elle soit en danger en France (59% vs 72%).
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IFOP - Analyse - Les macronistes et la laïcité - 0 views

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    Le débat d'idées organisé sur la laïcité à la République en Marche (20 mars) a soulevé la question du poids, dans l'opinion en général et dans l'électorat Macron en particulier, des positions d'Aurélien Taché et de ses amis qui défendent, depuis l'Assemblée Nationale (Fiona Lazaar, Laetitia Avia, Sacha Houllié) et le gouvernement (Roxana Maracineau) en passant par l'Observatoire de laïcité (Jean-Louis Bianco) ou l'EPHE (Jean Baubérot), une « laïcité ouverte » et « libérale » inspirée du modèle anglo-saxon. Si elle s'inscrit dans une longue suite de polémiques ayant émaillé le débat public, depuis l'affaire de Creil en 1989 aux arrêtés anti-burkini de 2016 en passant par la loi de 2004 sur les signes religieux à l'École, l'affaire du hijab de course vendu par Décathlon a en effet réveillé au sein de la majorité des fractures déjà apparues au grand jour lors de la polémique autour d'une porte-parole voilée de l'UNEF (Maryam Pougetoux) ou des signes religieux autorisés aux parents lors des sorties scolaires. Or, dans la mesure où la République en Marche n'a jamais eu de position clairement définie sur ces sujets, la question se pose de savoir si le « progressisme » sociétal du Président se retrouve dans son électorat par une adhésion à une vision « inclusive » de la laïcité dans laquelle celle-ci est à la fois réduite au principe de stricte neutralité de l'État et étroitement associée à une grande tolérance à l'égard des manifestations de religiosité dans l'espace public. Pour y répondre, la Fondation Jean Jaurès a fait réaliser une enquête auprès d'un échantillon national de 2500 personnes - dont environ 500 électeurs macronistes - qui montre que les parlementaires et autres personnalités défendant une vision « libérale » de la laïcité sont en porte à faux aussi bien avec l'ensemble des Français qu'avec les électeurs LREM.
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IFOP - Ce que veulent les Français - Volet 1 - 0 views

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    Le sondage se divise en plusieurs sections dont certaines peuvent nous intéresser à différents titres QUESTIONS DE SOCIETE dont : - Ouverture des magasins le dimanche - Ouverture de la PMA au couples de femmes homosexuelles - Ouverture du recours aux mères porteuses - Autorisation de l'euthanasie - Enterrement / Crématisation - Jugement sur l'état de la laïcité en France ECOLE, EDUCATION, UNIVERSITE dont : - Missions attendues de l'école - Retour à la semaine de quatre jours - Port du voile et du foulard à l'université - La Mise à disposition de menus de substitution dans les cantines IMMIGRATION dans son ensemble SECURITE dont : - Adhésion à la restriction des libertés afin de mieux lutter contre le terrorisme - Rétablissement de la peine de mort
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IFOP - Les Français et la laïcité - 0 views

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    Une courte majorité de Français (53%) interrogés par l'Ifop pour le Printemps Républicain considère que la laïcité n'est pas respectée aujourd'hui en France. Parallèlement, 68% des interviewés appellent de leurs vœux un durcissement de la Loi de 1905, notamment les sympathisants LREM, LR et FN. Bénéficiant d'une confiance ténue en matière de défense de la laïcité (52% vs 63% pour les associations laïques), Emmanuel Macron reçoit pour autant un fort soutien des Français (79%) après ses propos rappelant que le voile est "contraire à la civilité française".
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IFOP - Les Français et le port du voile - 0 views

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    Récemment apparue voilée lors d'interviews télévisées, la présidente de la section de l'UNEF de Paris la Sorbonne, Maryam Pougetoux, a suscité une vive polémique dans les médias et parmi les intellectuels. Comment les Français se positionnent-ils sur cette question et plus généralement sur celle du port du voile à l'Université ? Une large majorité de Français (71%) se déclare opposée au port du voile ou du foulard islamique à l'université, même si cette proportion connaît un léger recul par rapport aux dernières mesures (-4 points par rapport à décembre 2017, -7 par rapport à août 2013). A l'inverse, seuls 29% des personnes interrogées se déclarent favorables (7%) ou indifférentes (22%) au port du voile dans l'enceinte de l'université. Mais cette moyenne dissimule de fortes disparités selon la proximité politique : alors que les sympathisants de La France Insoumise sont 48% à y être favorables (22%) ou indifférents (26%), ceux de La République en Marche, des Républicains et du Front National sont respectivement 24% (dont 3% de favorables), 13% (dont 2% de favorables) et 11% (dont 6% de favorables) à partager cet avis. Concernant l'apparition publique de la représentante de l'UNEF avec un voile, plus de trois Français sur quatre (77%) estiment que « les critiques à l'égard de Maryam Pougetoux sont justifiées car un représentant politique ou syndical n'a pas à afficher publiquement ses convictions religieuses ». Certes majoritaire chez les sympathisants de tous bords, cette opinion devient quasi unanime chez les proches de LREM (85%), de LR (85%) et du FN (89%).
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IFOP - Résultats - Les Français, l'affaire Mila et le droit au blasphème - 0 views

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    Cette affaire, qui a soulevé la question du droit au blasphème posé depuis plusieurs années par Chalie Hebdo, montre en revanche que l'opinion publique est très clivée sur ce droit pourtant acquis depuis la loi de juillet 1881 sur la liberté de la presse : 50% des Français se disent favorables à ce droit de critiquer, même de manière outrageante, une croyance, un symbole ou d'un dogme religieux, contre 50% qui y sont opposés. Dans le détail des résultats, il est intéressant de noter que les Français les moins favorables au droit au blasphème sont, après les musulmans (34%) et les protestants (32%), les jeunes de moins de 25 ans (41%), les personnes ayant un faible capital social et culturel ainsi que les sympathisants des Républicains (39%).
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IFOP - Synthèse - Les Français, l'affaire Mila et le droit au blasphème - 0 views

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    "Cette affaire, qui a soulevé la question du droit au blasphème posé depuis plusieurs années par Chalie Hebdo, montre en revanche que l'opinion publique est très clivée sur ce droit pourtant acquis depuis la loi de juillet 1881 sur la liberté de la presse : 50% des Français se disent favorables à ce droit de critiquer, même de manière outrageante, une croyance, un symbole ou d'un dogme religieux, contre 50% qui y sont opposés. Dans le détail des résultats, il est intéressant de noter que les Français les moins favorables au droit au blasphème sont, après les musulmans (34%) et les protestants (32%), les jeunes de moins de 25 ans (41%), les personnes ayant un faible capital social et culturel ainsi que les sympathisants des Républicains (39%)."
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IFOP - Les Français et les propositions de JM. Blanquer pour l'école - 0 views

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    Les Français se montrent largement favorables aux dernières propositions du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer. Ainsi, plus de neuf personnes sur dix (94%) se déclarent favorables à l'interdiction des téléphones portables dans les salles de classe en primaire et au collège, quand la possibilité de recourir davantage au redoublement trouve écho auprès de 83% des interviewés. Aussi, près de trois quarts des Français (77%) se positionnent contre le port de voile chez les parents d'élèves encadrant les sorties scolaires. Au regard de la proximité politique, les sympathisants des Républicains et du Front National se montrent particulièrement favorables à cette dernière proposition (à respectivement 91% et 96% d'adhésion).
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La Croix - Laïcité, le fossé générationnel se creuse - 0 views

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    "Analyse Selon un nouveau sondage Ifop pour la Licra, un lycéen sur deux se déclare favorable au port de signes religieux à l'école. Les élèves de confession musulmane manifestent une très forte défiance face à la laïcité."
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Marianne - "'Vas-y là, ça s'fait pas de critiquer la religion' : ce que nous entendons, profs, quand nous enseignons la laïcité" - 0 views

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    "Céline Florentino, professeure, analyse la faillite dans l'enseignement de la laïcité, comme en témoigne un récent sondage de l'IFOP." Ce sondage de l'institut IFOP commandé par la Licra vient de se pencher sur la façon dont les lycéens perçoivent la laïcité. Aujourd'hui, 52 % des lycéens ne sont plus favorables à l'expression de critiques envers les religions. De plus en plus de jeunes défendent la bigoterie. On aura beau dire ce qu'on voudra, c'est un fait que tout le monde ou presque aura remarqué : « Vas-y là, ça s'fait pas de critiquer la religion, tu me manques trop de respect ! ». Et encore c'est pour rester polie. L'affaire Mila a bien montré que si on se risquait à critiquer l'islam, on risquait la mort. Sans que cela ne révolte vraiment les lycéens.
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IFOP / GODF - Infographie - Etude sur le maintien du régime du concordat et le financement des lieux de culte en Alsace-Moselle - 0 views

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    "Sur quoi le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, s'appuyait-il pour affirmer encore récemment que « les Alsaciens et les Mosellans sont extrêmement attachés à cette spécificité »[1] que constitue le concordat ? Sans doute pas sur un sondage représentatif si l'on en juge par les résultats de cette étude qui montre, pour la première fois de l'histoire, qu'ils sont comme le reste des Français opposés au financement public d'édifices religieux - comme la mosquée Eyyub Sultan à Strasbourg - mais aussi des salaires des ministres des cultes reconnus par le régime concordataire. L'adoption le 22 mars par la Mairie de Strasbourg du principe d'une subvention pour la construction d'une mosquée a en effet relancé le débat sur l'exception concordataire en vigueur en Alsace-Moselle alors même que la question de son abrogation venait d'être remise sur le tapis par certains élus lors du débat sur la loi contre le séparatisme. Devant l'absence « d'enquête sérieuse »  [2] permettant d'attester le soutien de la population à ce régime dérogatoire, le Grand Orient de France a commandé à l'Ifop une étude permettant de mesurer le point de vue des Français sur le sujet mais également - pour la première fois semble-t-il depuis des années - celui des habitants d'Alsace et Moselle. Réalisée dans une optique d'enquête « miroir » à la fois auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 Français et auprès d'un échantillon de 800 Alsaco-Mosellans, cette étude brise en effet nombre d'idées reçues en montrant notamment qu'aussi bien à l'échelle locale que nationale, l'opinion publique souhaite désormais en finir avec le régime concordataire."
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IFOP / GODF - Résultats - Etude sur le maintien du régime du concordat et le financement des lieux de culte en Alsace-Moselle - 0 views

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    "Sur quoi le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, s'appuyait-il pour affirmer encore récemment que « les Alsaciens et les Mosellans sont extrêmement attachés à cette spécificité »[1] que constitue le concordat ? Sans doute pas sur un sondage représentatif si l'on en juge par les résultats de cette étude qui montre, pour la première fois de l'histoire, qu'ils sont comme le reste des Français opposés au financement public d'édifices religieux - comme la mosquée Eyyub Sultan à Strasbourg - mais aussi des salaires des ministres des cultes reconnus par le régime concordataire. L'adoption le 22 mars par la Mairie de Strasbourg du principe d'une subvention pour la construction d'une mosquée a en effet relancé le débat sur l'exception concordataire en vigueur en Alsace-Moselle alors même que la question de son abrogation venait d'être remise sur le tapis par certains élus lors du débat sur la loi contre le séparatisme. Devant l'absence « d'enquête sérieuse »  [2] permettant d'attester le soutien de la population à ce régime dérogatoire, le Grand Orient de France a commandé à l'Ifop une étude permettant de mesurer le point de vue des Français sur le sujet mais également - pour la première fois semble-t-il depuis des années - celui des habitants d'Alsace et Moselle. Réalisée dans une optique d'enquête « miroir » à la fois auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 Français et auprès d'un échantillon de 800 Alsaco-Mosellans, cette étude brise en effet nombre d'idées reçues en montrant notamment qu'aussi bien à l'échelle locale que nationale, l'opinion publique souhaite désormais en finir avec le régime concordataire."
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IFOP / GODF - Analyse - Etude sur le maintien du régime du concordat et le financement des lieux de culte en Alsace-Moselle - 0 views

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    "Sur quoi le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, s'appuyait-il pour affirmer encore récemment que « les Alsaciens et les Mosellans sont extrêmement attachés à cette spécificité »[1] que constitue le concordat ? Sans doute pas sur un sondage représentatif si l'on en juge par les résultats de cette étude qui montre, pour la première fois de l'histoire, qu'ils sont comme le reste des Français opposés au financement public d'édifices religieux - comme la mosquée Eyyub Sultan à Strasbourg - mais aussi des salaires des ministres des cultes reconnus par le régime concordataire. L'adoption le 22 mars par la Mairie de Strasbourg du principe d'une subvention pour la construction d'une mosquée a en effet relancé le débat sur l'exception concordataire en vigueur en Alsace-Moselle alors même que la question de son abrogation venait d'être remise sur le tapis par certains élus lors du débat sur la loi contre le séparatisme. Devant l'absence « d'enquête sérieuse »  [2] permettant d'attester le soutien de la population à ce régime dérogatoire, le Grand Orient de France a commandé à l'Ifop une étude permettant de mesurer le point de vue des Français sur le sujet mais également - pour la première fois semble-t-il depuis des années - celui des habitants d'Alsace et Moselle. Réalisée dans une optique d'enquête « miroir » à la fois auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 Français et auprès d'un échantillon de 800 Alsaco-Mosellans, cette étude brise en effet nombre d'idées reçues en montrant notamment qu'aussi bien à l'échelle locale que nationale, l'opinion publique souhaite désormais en finir avec le régime concordataire."
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IFOP / Fondation Jean Jaurès - Observatoire des enseignants : les positions sur la laïcité et la place des religions à l'Ecole - 0 views

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    L'Ifop a réalisé pour l'Observatoire de l'éducation de la Fondation Jean-Jaurès une enquête permettant de mieux cerner la place que les enseignants accordent aujourd'hui aux religions à l'école, le sens qu'ils donnent à la laïcité, mais aussi leur point de vue sur le port des signes religieux par les différents acteurs (les élèves, les parents…) du système scolaire.
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