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The Conversation - Quand le fait religieux influence les choix de carrière : ... - 1 views

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    "Dans sa dernière étude consacrée aux manifestations religieuses en contexte professionnel, l'Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE, 2017) affirme que 65 % des individus rencontrent des faits religieux au travail, de manière régulière ou occasionnelle. Un chiffre identique à celui de l'année précédente (OFRE, 2016) qui confirme une banalisation du fait religieux au travail. Ce fait religieux concerne autant des demandes particulières (aménagement du temps de travail, la prière pendant un temps de pause, menus confessionnels ou de substitution par exemple) que des signes visibles (port d'un signe religieux, fatigue liée à la pratique du jeûne par exemple). La gestion du fait religieux au travail fait désormais (ou doit faire) partie intégrante de la palette managériale des leaders de proximité. Dans cet objectif, de nombreuses formations se développent pour mieux connaître le fait religieux, parfois même les religions. Un certain nombre d'outils sont aussi mis à la disposition des managers par le gouvernement, par les entreprises elles-mêmes, ou encore par le monde académique, soucieux du rapprochement entre la recherche en management et le monde de l'entreprise. Nos recherches témoignent également de l'influence du fait religieux sur le processus de décision des collaborateurs. Il s'agit en effet là d'un élément d'une identité plurielle que les managers doivent avoir à l'esprit pour mieux comprendre les jeux d'acteurs et les aspirations de leurs collaborateurs."
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BVA - Le fait religieux en entreprise - 0 views

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    La place de la religion dans l'entreprise s'est inscrite dans le débat public. L'enquête réalisée par BVA pour mediarh.com fait le point sur le ressenti des salariés à l'égard du fait religieux dans leur entreprise. La progression du fait religieux en entreprise : un faux débat ? La question de la progression du fait religieux dans l'entreprise ne semble pas d'actualité pour nombre de salariés : plus des ¾ d'entre eux (77%) estiment que les pratiques religieuses dans leur entreprise ne sont ni plus, ni moins visibles qu'il y a quelques années. L'expression du fait religieux dans l'entreprise que ce soit à travers le port de la croix catholique, du voile, de la kippa ou la prière suscite aujourd'hui le malaise d'un peu plus d'un quart des salariés (28%), le plus souvent de manière ponctuelle ou occasionnelle. S'ils ne sont pas vraiment mal à l'aise par l'expression actuelle du fait religieux dans l'entreprise, les salariés sont toutefois opposés à sa reconnaissance formelle Si les salariés qui expriment une opinion sont plutôt opposés à une demande de congés pour une fête religieuse (41% opposés vs 28% favorables et 31% sont indifférents) ou à l'instauration de menus spéciaux dans le restaurant d'entreprise (49% opposés vs 21% favorables et 30% indifférents), l'opposition est beaucoup plus nette à l'égard de demandes d'aménagement du temps de travail pour des raisons religieuses (71% y sont opposés) ou de ports de signes religieux visibles (67% sont contre). Des dispositions destinées à encadrer le fait religieux dans l'entreprise qui ne sont pas jugées indispensables Pour 15% des salariés, leur entreprise a mis en place des dispositions particulières concernant le fait religieux, beaucoup plus souvent pour le limiter que pour l'encadrer (13% vs 2%). Le principe de telles dispositions est jugé plutôt important (38%) voire indispensable (16%) plutôt que pas important (44%).
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Harris Interactive / CRIF - Résultats - Etude sur le fait religieux en entrep... - 0 views

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    Les dirigeants semblent majoritairement défavorables à une expression trop formalisée du fait religieux en entreprise. Ils restent ouverts à certaines expressions permettant à une personne de respecter des pratiques religieuses qui ne remettent pas en cause la neutralité de l'entreprise en la matière, qui n'impactent pas son fonctionnement. Ils sont fermement opposés aux pratiques qui induisent un rejet de l'autre. Les représentants du personnel sont sur une ligne similaire. Concrètement, le fait religieux touche, nous disent les dirigeants, près d'une entreprise sur cinq. Deux types d'expression se distinguent particulièrement: les demandes de congés liées à des fêtes religieuses qui ne seraient pas déjà un jour férié (53% des dirigeants en font état) ou des prières (48%).Le port de signes ostentatoires (27%) mais également la demande d'aménagement du temps de travail pour raisons religieuses (25%) ou encore le refus de serrer la main à une personne de l'autre sexe (24%) font également partie des faits les plus cités. Les dirigeants d'entreprises et représentants du personnel gèrent le fait religieux en entreprise dans une volonté de dialogue avant tout, et sont plutôt dans une démarche d'anticipation. Que ce soit face à son expression, ou encore dans la perspective d'y être confrontés, ils privilégient le fait de convoquer la personne concernée pour échanger avec elle (47%) ou de demander une intervention des supérieurs hiérarchiques (37%) ou des Ressources Humaines (33%).37% des dirigeants qui ont été confrontés au fait religieux dans leur entreprise affirment avoir aujourd'hui mis en place dans leur règlement intérieur des dispositifs relatifs au fait religieux en entreprise.
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Harris Interactive / CRIF - Note de synthèse - Etude sur le fait religieux en... - 1 views

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    Les dirigeants semblent majoritairement défavorables à une expression trop formalisée du fait religieux en entreprise. Ils restent ouverts à certaines expressions permettant à une personne de respecter des pratiques religieuses qui ne remettent pas en cause la neutralité de l'entreprise en la matière, qui n'impactent pas son fonctionnement. Ils sont fermement opposés aux pratiques qui induisent un rejet de l'autre. Les représentants du personnel sont sur une ligne similaire. Concrètement, le fait religieux touche, nous disent les dirigeants, près d'une entreprise sur cinq. Deux types d'expression se distinguent particulièrement: les demandes de congés liées à des fêtes religieuses qui ne seraient pas déjà un jour férié (53% des dirigeants en font état) ou des prières (48%).Le port de signes ostentatoires (27%) mais également la demande d'aménagement du temps de travail pour raisons religieuses (25%) ou encore le refus de serrer la main à une personne de l'autre sexe (24%) font également partie des faits les plus cités. Les dirigeants d'entreprises et représentants du personnel gèrent le fait religieux en entreprise dans une volonté de dialogue avant tout, et sont plutôt dans une démarche d'anticipation. Que ce soit face à son expression, ou encore dans la perspective d'y être confrontés, ils privilégient le fait de convoquer la personne concernée pour échanger avec elle (47%) ou de demander une intervention des supérieurs hiérarchiques (37%) ou des Ressources Humaines (33%).37% des dirigeants qui ont été confrontés au fait religieux dans leur entreprise affirment avoir aujourd'hui mis en place dans leur règlement intérieur des dispositifs relatifs au fait religieux en entreprise.
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Telos - Signes religieux: Paris-Bruxelles et retour - 0 views

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    "L'article que vient de consacrer Vincent Tournier, sur Telos, à l'arrêt de la Cour constitutionnelle de Belgique autorisant un établissement d'enseignement supérieur à inscrire dans son règlement intérieur l'interdiction « de tous les signes politiques, philosophiques et religieux » a évidemment une portée plus qu'informative. Il suggère qu'il pourrait en aller de même en France. Le débat, effectivement, existe depuis plusieurs années. Le Haut Conseil à l'Intégration, en 2013, avait préconisé l'interdiction du voile à l'Université. Et le ministre de l'Intérieur de l'époque, Manuel Valls, s'était dit intéressé par la proposition, sans la reprendre, cependant, une fois devenu Premier ministre. Car, comme le souligne Vincent Tournier, les milieux universitaires, à commencer par la Conférence des présidents d'université, sont contre cette perspective en considérant qu'il n'y a nul besoin de légiférer, les universités ayant les moyens de faire face aux problèmes posés par le port des signes religieux. Mais la question demeure, portée principalement par le Rassemblement national et des personnalités politiques et intellectuelles, le plus souvent de droite, mais également de gauche. Et interrogée, l'opinion, comme le montre un sondage IFOP de 2019, se prononce majoritairement pour l'interdiction de tous les signes religieux ostensibles dans les salles de cours des universités - mais non dans leurs enceintes."
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Doit-on interdire tout signe religieux dans l'espace public ? - La Croix - 1 views

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    "Marine Le Pen a indiqué dimanche qu'elle interdirait « les signes (religieux) ostensibles dans l'espace public », si elle est élue présidente de la République, y voyant un « sacrifice » nécessaire pour lutter contre l'islam politique. La présidente du Front national a expliqué sur « BFM Politique » qu'elle veut « étendre dans l'espace public » la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école. Cette interdiction ne concernerait pas le « personnel religieux »."
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IFOP - les Français et la laïcité - Sondage - Résultats - 0 views

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    Plus au fait des règles régissant les relations entre l'Etat et les Eglises que par le passé, les Français se révèlent aujourd'hui encore plus attachés au principe de laïcité. Dans cette enquête Ifop pour le Comité national d'action laïque (CNAL), réalisée à la veille des attentats du 13 novembre, l'opinion se révélait déjà particulièrement exigeante en la matière. ainsi, pour 32% des Français, la laïcité consiste avant tout à séparer les religions et la politique. Pour 27%, il s'agit d'assurer la liberté de conscience et pour 19% de mettre toutes les religions sur un pied d'égalité - un score en recul de 13 points par rapport à 2005. 17% des interviewés estiment quant à eux que le principe de laïcité consiste avant tout à faire reculer l'influence des religions dans notre société, une proportion en hausse de 8 points. Importante pour une immense majorité des Français, aussi bien à l'école (87%) que pour l'identité de la France (84%), la laïcité apparaît aujourd'hui comme beaucoup plus en danger qu'il y a dix ans : quatre Français sur cinq (81%) font cet amer constat. Ils n'étaient "que" 58% en 2005. Ce danger est principalement imputé au fait que de plus en plus de personnes portent des signes religieux ostensibles (43%), parce que les religions se font de plus en plus entendre sur les sujets de société (36%) et parce que certains veulent que l'Etat subventionne la construction de mosquées (34%, +13 points depuis 2005). Dans le même temps, les craintes pour le recul de la laïcité à cause du manque de mixité des communautés culturelles et religieuses ont tendance à baisser (22%, -13), signe d'un raidissement de l'opinion. En réponse à cette inquiétude, on observe une adhésion de plus en plus massive à la loi interdisant le port de signes religieux ostensibles à l'école : elle s'élève aujourd'hui à 85%. De même, les mesures contribuant à exclure le religieux de la sphère publique se révèlent
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IFOP - Les Français et la laïcité - Sondage - Annexe - 1 views

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    Plus au fait des règles régissant les relations entre l'Etat et les Eglises que par le passé, les Français se révèlent aujourd'hui encore plus attachés au principe de laïcité. Dans cette enquête Ifop pour le Comité national d'action laïque (CNAL), réalisée à la veille des attentats du 13 novembre, l'opinion se révélait déjà particulièrement exigeante en la matière. ainsi, pour 32% des Français, la laïcité consiste avant tout à séparer les religions et la politique. Pour 27%, il s'agit d'assurer la liberté de conscience et pour 19% de mettre toutes les religions sur un pied d'égalité - un score en recul de 13 points par rapport à 2005. 17% des interviewés estiment quant à eux que le principe de laïcité consiste avant tout à faire reculer l'influence des religions dans notre société, une proportion en hausse de 8 points. Importante pour une immense majorité des Français, aussi bien à l'école (87%) que pour l'identité de la France (84%), la laïcité apparaît aujourd'hui comme beaucoup plus en danger qu'il y a dix ans : quatre Français sur cinq (81%) font cet amer constat. Ils n'étaient "que" 58% en 2005. Ce danger est principalement imputé au fait que de plus en plus de personnes portent des signes religieux ostensibles (43%), parce que les religions se font de plus en plus entendre sur les sujets de société (36%) et parce que certains veulent que l'Etat subventionne la construction de mosquées (34%, +13 points depuis 2005). Dans le même temps, les craintes pour le recul de la laïcité à cause du manque de mixité des communautés culturelles et religieuses ont tendance à baisser (22%, -13), signe d'un raidissement de l'opinion. En réponse à cette inquiétude, on observe une adhésion de plus en plus massive à la loi interdisant le port de signes religieux ostensibles à l'école : elle s'élève aujourd'hui à 85%. De même, les mesures contribuant à exclure le religieux de la sphère publique se révèlent
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FAIT-RELIGIEUX | Baudis : sur la laïcité, "les Français sont tout simplement ... - 0 views

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    "nterrogé par le Journal du Dimanche paru le 1er, septembre, Dominique Baudis a réitéré son souhait de voir le gouvernement lever les incertitudes qui entourent encore, selon lui, la loi de 2004 sur le port de signes religieux. « Depuis le début de l'année, le Défenseur des droits est saisi d'une centaine de demandes sur la question du port de signes religieux auxquelles je ne peux répondre faute de solutions juridiques incontestables », a révélé le titulaire de cette fonction de Défenseur des droits qui a fusionné depuis 2011 plusieurs instances des défense des citoyens (Médiateur, Halde, Défenseur des enfants...)."
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FAIT-RELIGIEUX | fr | Québec : les hôpitaux ne veulent pas de l'interdiction ... - 0 views

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    "L'Association québécoise d'établissements de santé et de services sociaux (AQESSS), qui regroupe 125 établissements, s'élève contre le projet de charte des valeurs québécoises et demande au gouvernement Marois de ne pas interdire le port de signes religieux ostentatoires aux employés du réseau de la santé."
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Telos - Signes religieux dans l'enseignement supérieur: réflexions sur une dé... - 0 views

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    "C'est une information qui est passée totalement inaperçue en France. Le 4 juin dernier, la Cour constitutionnelle de Belgique a pourtant tranché un débat sensible : le port des signes religieux dans l'enseignement supérieur. La Cour constitutionnelle a en effet admis qu'un établissement d'enseignement supérieur pouvait prévoir dans son règlement intérieur l'interdiction de tous les signes politiques, philosophiques et religieux."
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FAIT-RELIGIEUX | fr | Avec sa charte, Paprec veut " éviter que les tensions q... - 0 views

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    "aprec ne serait pas reconnue depuis de nombreuse années comme une entreprise engagée en faveur de la diversité, on conclurait sans nuance à un « coup de com' ». Car en lançant une charte de la laïcité qui interdit, notamment, le port de signes religieux dans ses murs, le spécialiste du recyclage a surpris son monde. Et ce d'autant que le PDG de la société, Jean-Luc Petithuguenin, reconnaît bien volontiers qu' « il n'y a pas aujourd'hui de problème religieux au sein de l'entreprise »"
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Le Point - Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel - 1 views

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    "La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l'exposition sur l'art des santonniers organisée à l'hôtel de région en 2017. Par Marc Leplongeon Publié le 06/09/2021 à 14h00 - Modifié le 07/09/2021 à 08h52 Les crèches de Noël dans les lieux publics sont en décembre ce que la rentrée scolaire est en septembre : un joli marronnier journalistique qui promet toujours une belle polémique. Chaque année, les élus locaux de droite s'offrent un débat dans la presse locale et régionale : ont-ils le droit d'installer une crèche de Noël dans les hôtels de ville, malgré le devoir de neutralité qui s'impose à eux ? En décembre 2017, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes donne ainsi son autorisation pour une exposition sur l'art populaire des santonniers (le santon est une figurine en argile peinte représentant des personnages de la Nativité). Plusieurs œuvres représentent des crèches et sont installées dans les locaux du conseil régional. La Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen décide d'attaquer en justice la décision de Laurent Wauquiez. L'article 28 de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État est, en effet, clair : « Il est interdit, à l'avenir, d'élever ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics. » L'objectif est limpide : il s'agit d'empêcher les personnalités publiques de manifester la reconnaissance d'un culte ou de marquer une préférence religieuse. PUBLICITÉ Aucun prosélytisme, pour la cour d'appel Il existe néanmoins une exception, dans laquelle Laurent Wauquiez semble s'être engouffré : la possibilité d'installer des crèches dans le cadre d'une manifestation culturelle, une exposition, par exemple. Pour les juges de la cour d'appel de Lyon, confirmant le jugement de première instance, la Ligue de défense des droits de
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Sondage IFOP-Ecran de Veille - Enseignants face à l'expression du fait religi... - 0 views

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    Etude publiée à l'occasion de la journée nationale de la laïcité (9 décembre) Les enseignants face à l'expression du fait religieux à l'école et aux atteintes à la laïcité « Pour répondre à ce phénomène, encore faut-il bien le mesurer et bien l'évaluer à l'échelle nationale » déclarait Pap Ndiaye à propos des entorses à la laïcité à l'Ecole mesurées chaque mois par son Ministère. A l'occasion de la journée nationale de la laïcité (9 décembre), l'Ifop publie donc pour la revue mensuelle Ecran de Veille une grande enquête visant à évaluer l'ampleur et l'évolution de ces atteintes au principe de neutralité religieuse dans l'espace scolaire. Réalisée auprès d'un échantillon national représentatif de 1000 enseignants du primaire et du secondaire, cette étude montre que la loi interdisant les signes religieux à l'Ecole (2004) n'empêche pas une montée des manifestations identitaro-religieuses aussi bien en classe que durant d'autres moments de la vie scolaire (ex : cantine, sorties scolaires…). Permettant de mesurer des problèmes qui ne sont pas signalés à l'administration, cette étude tend ainsi à montrer que les signalements recensés par les équipes du Ministère (ex : VALEREP) ne sont que la partie émergée de l'iceberg d'une poussée du religieux beaucoup plus large : la « stratégie d'entrisme salafo-freriste » signalée par le CIPDR (L'Express, 23 août 2022) au mois d'août semblant porter ses fruits si l'on en juge par une hausse des revendications vestimentaires (ex : abayas) qui n'affecte que les zones d'éducation prioritaire.
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FAIT-RELIGIEUX | Le gouvernement québécois prône l'interdiction des signes re... - 0 views

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    "Le gouvernement de la province de Québec s'apprêterait à adopter l'interdiction des signes religieux apparents, selon Le Journal de Montréal. Une mesure controversée qui va à l'encontre de recommandations formulées par une commission chargée d'étudier ce sujet en 2007. "
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Wissous plage : l'interdiction du port de signes religieux suspendue - Le Point - 0 views

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    "La justice a suspendu mardi un règlement de la mairie UMP de Wissous (Essonne) interdisant le port de signes religieux sur l'opération estivale Wissous plage, un mois après avoir déjà suspendu un règlement similaire, a-t-on appris de sources concordantes. Le tribunal administratif de Versailles était saisi en référé par le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) et deux femmes qui s'étaient vu refuser l'accès des lieux samedi parce qu'elles étaient voilées. Selon Elsa Ray, porte-parole du CCIF, les plaignants contestaient la légalité du nouveau règlement des lieux, instauré le 7 août, qui précise que l'accès "pourra (...) être refusé aux personnes portant de manière ostentatoire des signes religieux susceptibles d'occasionner un trouble à l'ordre public (niqab ou burqa, croix ou étoile de dimensions manifestement excessives)"."
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IFOP - Présentation - Les Français et le port de signes religieux par les acc... - 0 views

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    Quelques jours après la polémique autour d'une mère accompagnatrice voilée au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, l'Ifop-Fiducial pour CNews et Sud Radio a interrogé les Français pour récolter leur opinion sur cette question. En voici les principaux résultats : Que ce soit après ou avant l'incident évoqué, les Français se montrent largement favorables à l'interdiction du port de signes religieux ostensibles aux parents d'élèves accompagnant bénévolement les enfants lors d'une sortie scolaire. Ils étaient 66% avant l'incident de la mère accompagnatrice voilée et sont aujourd'hui 63% à s'entendre sur cette mesure. Une mesure de mars 2015 indiquait que 68% des Français y étaient favorables. Ce soutien à la restriction d'accès aux personnes portant des signes religieux ostensibles aux espaces éducatifs s'étend aussi aux salles de cours des universités (63% s'y déclarent favorables) et à l'usage des services publics (61%). Notons que pour ces trois cas évoqués, une majorité de Français s'y déclarent favorables quelle que soit leur proximité partisane.
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IFOP - Les Français et le port de signes religieux par les accompagnateurs sc... - 0 views

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    Quelques jours après la polémique autour d'une mère accompagnatrice voilée au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, l'Ifop-Fiducial pour CNews et Sud Radio a interrogé les Français pour récolter leur opinion sur cette question. En voici les principaux résultats : Que ce soit après ou avant l'incident évoqué, les Français se montrent largement favorables à l'interdiction du port de signes religieux ostensibles aux parents d'élèves accompagnant bénévolement les enfants lors d'une sortie scolaire. Ils étaient 66% avant l'incident de la mère accompagnatrice voilée et sont aujourd'hui 63% à s'entendre sur cette mesure. Une mesure de mars 2015 indiquait que 68% des Français y étaient favorables. Ce soutien à la restriction d'accès aux personnes portant des signes religieux ostensibles aux espaces éducatifs s'étend aussi aux salles de cours des universités (63% s'y déclarent favorables) et à l'usage des services publics (61%). Notons que pour ces trois cas évoqués, une majorité de Français s'y déclarent favorables quelle que soit leur proximité partisane.
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Sous les jupes des filles - 0 views

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    "Et aujourd'hui nous sommes absorbés par cette affaire, les jupes des filles. Mais c'est un vrai jeu de dupes. La machine à emballement médiatique tourne à plein régime depuis la révélation par L'Ardennais, mardi 28 avril, de l'histoire de cette collégienne musulmane de 15 ans de Charleville-Mézières (Ardennes) interdite de cours à deux reprises à cause d'une longue jupe noire, jugée comme un signe religieux ostentatoire. Quoi ? Comment ? Trop courte, on peut comprendre. Mais trop longue ! Alors maintenant, on va prendre un double décimètre et décider : ah, non, là, vous dépassez d'un centimètre, c'est religieux. Bon d'accord, vous avez un centimètre en moins, c'est laïque."
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FAIT-RELIGIEUX - 0 views

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    "Les enseignants sont les mieux placés pour juger si des mères voilées doivent être exclues des sorties scolaires en cas de prosélytisme, mais il faut se garder d'interdiction de principe, a déclaré la ministre de l'éducation nationale. « Contre le prosélytisme quel qu'il soit, religieux, philosophique ou politique, nous agissons avec fermeté », a affirmé Najat Vallaud-Belkacem à l'Assemblée nationale en réponse à une question du député UMP de Paris Philippe Goujon sur la circulaire Chatel de 2012, interdisant les signes religieux à l'école. « Je le confirme ici, la circulaire Chatel continuera à être utilisée par les personnels de l'Education nationale lorsqu'il s'agira de s'opposer à des comportements de ce type »."
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