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hubert guillaud

Yes, we can't - Vacarme - 0 views

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    Pourquoi sommes-nous impuissants ? "les politiques se légitiment d'une impuissance économique que les économistes ne peuvent assumer qu'en tant qu'impuissance politique. Cercle vicieux de l'expertise : demander des raisons d'agir à ceux qui s'en sont dépourvus a priori. Cela ne signifie évidemment pas que la contrainte économique n'existe pas - la science économique est précisément la science de cette contrainte - mais que l'enjeu politique repose uniquement - et essentiellement - sur le choix des sujets, lesquels sont les premiers à affronter cette contrainte. Ne prenons qu'un exemple : quand les mouvements altermondialistes réclament une lutte efficace contre les paradis fiscaux, on leur répond que c'est très difficile, que ce sera très long, qu'il faut tenir compte de la concurrence internationale, mais quand Cameron a besoin de recettes fiscales supplémentaires, il lui faut quelques jours pour imposer aux îles Caïmans (et autres paradis sous souveraineté britannique) de transmettre toutes les informations sur les comptes détenus par les citoyens de huit pays de l'Union européenne. Quoi qu'on en dise, on a les impuissances qu'on se choisit." Est-ce à dire que l'impuissance est une stratégie politique ? Comment sommes-nous pieds et points liés par la fatalité ? Faut-il que la vie soit devenue à ce point indigne pour qu'on n'ait plus peur de la perdre ?
hubert guillaud

Les Google Maps ne peuvent tuer l'espace public - Cyborgology - 0 views

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    David Banks répond à la tribune d'Evgeny Morozov dans Slate - http://www.slate.com/articles/technology/future_tense/2013/05/google_maps_personalization_will_hurt_public_space_and_engagement.html . Si les cartes sont toujours politiques, le processus de sélection a toujours été à l'origine des cartes. Si Banks reconnait que l'imprévisibilité est nécessaire dans l'espace urbain, il soutient que Google ne fait pas assez pour que la personnalisation de ses cartes lui permette de s'intégrer à nos vies sociales quotidiennes. Les cartes sont très bonnes pour transformer les idées abstraites en entités visibles, tant et si bien qu'on les confond souvent. Mais elles ne sont pas que des représentations du monde, elles sont aussi des outils pour le façonnner. Délimiter son espace permet aussi de l'exploiter autrement. Faire ressortir les pistes cyclables plutôt que les autoroutes de sa carte, permet de démultiplier les activités liées au vélo. Google ne transforme pas l'Amérique en banlieue, comme le soulignait Thomas Hugues, ce sont les systèmes des grandes organisations humaines qui engendrent des techniques et des bureaucraties de taille et de forme similaires. Nos villes construites pour la voiture et les ordinateurs ont beaucoup en commun, que ce soit dans la banlieue comme dans les grandes métropoles. Nous devrions plutôt nous préoccuper de ce que les actions de Google produisent, estime Banks. Et le vrai enjeu est de savoir si Google nous permettra de partager et échanger nos cartes personnalisées...
hubert guillaud

La boîte à outils antidélocalisation de Montebourg - LeMonde.fr - 0 views

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    "Pour aider les entreprises à faire leurs calculs, les services de Bercy ont mis au point un logiciel d'aide à la décision, appelé Colbert 2.0, sur le modèle de ceux développés en Suède et aux Etats-Unis par Barack Obama, dans le cadre de sa politique de "reshoring" (relocalisation). A travers 50 questions, qualitatives et quantitatives, celui-ci sera capable, assure-t-on chez M. Montebourg, de dire en quarante-cinq minutes quelles sont les raisons pour lesquelles l'entreprise doit rester ou venir en France. "Cela donnera une feuille de route aux chefs d'entreprise, avec un renvoi vers une liste d'aides dont ils peuvent bénéficier et de contacts à qui s'adresser, ce sera très opérationnel", explique M. Ragot, qui a travaillé durant six mois à la mise au point de ce logiciel, avec l'économiste El Mouhoub Mouhoud, professeur à Dauphine et spécialiste du phénomène des délocalisations. En cours de test, ce calculateur devrait être accessible gratuitement sur Internet à partir de mi-juillet." Autre outil mis à disposition des entreprises : une base de données recensant les caractéristiques des 320 bassins d'emploi que compte la France. "Tout sera répertorié, prix du foncier, taille des tuyaux d'alimentation en eau, puissance électrique disponible, niveau des taxes locales", assure-t-on à Bercy. Objectif : être capable d'orienter très vite vers deux ou trois sites les entreprises qui veulent s'installer dans l'Hexagone. "Il existe en France des endroits où on trouve la même concentration de services et d'emplois qualifiés que là où s'épanouissent les Mittelstand allemands, mais ils restent souvent méconnus ", déplore M. Ragot.
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Le dernier blog » - Faut-il faire taire l'insupportable ? - 0 views

  • ur que le droit d’expression le plus important reste garanti : celui de contredire, de rectifier, de discuter, d’argumenter, de raisonner. Twitter est un espace social, un espace de co
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    Jean-Noël Lafargue revient sur la polémique Twitter autour du hastag #simonfilsestgay... Et souligne que le traçage des propos fait agir la "magie" de la pression sociale. "Le surveillance sociale fonctionne et dans le bon sens : : ceux qui ont sorti des horreurs se font faire les gros yeux et doivent tenter de regagner les faveurs du groupe à coup d'excuses telles que « je rigolais ». Je ne vois pas ce qu'une censure - la suppression de tweets et les poursuites judiciaires de leurs auteurs - apporterait de positif à un mécanisme qui fonctionne plutôt bien ici. Si on supprimait les quelques horreurs véritables qui ont été publiées, la réponse qui leur est faite deviendrait incompréhensible. Or ce qui compte ce n'est pas l'erreur, c'est la rectification, la réprimande, la rédemption. Et si l'on inquiétait les auteurs de messages douteux sur un plan judiciaire, ils ne pourraient plus s'en tirer en disant « je rigolais » mais seraient contraints à les assumer et à les revendiquer."
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L'ère de la micro-fabrication. Entretien avec Chris Anderson - ParisTechReview - 0 views

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    "Le mouvement Maker est la rencontre de la génération web avec le monde réel" souligne Chris Anderson. "La meilleure façon de faire revivre l'industrie est d'abaisser les barrières à l'entrée, de rendre le secteur industriel plus accessible à la génération Web. Et c'est précisément ce qui est en train de se passer. Ce qui est extraordinaire sur le web, c'est que fondamentalement le seul outil qui vous soit indispensable c'est un ordinateur portable. Il vous suffit d'ouvrir un navigateur et vous pouvez démarrer une entreprise. " "Bien sûr, on ne parle pas ici de construire des trains, des ponts ou des avions. La production de masse n'a pas dit son dernier mot. Mais il y a de la place, beaucoup de place, pour de nouveaux acteurs et de nouvelles façons de concevoir et fabriquer des produits industriels. Il y a des entrepreneurs, des innovateurs, qui ont des idées remarquables, et ils ont maintenant la possibilité de les développer. Je peux imaginer dans 10 ans maintenant que nous aurons une explosion d'usines et de micro-entreprises en démarrage dans le secteur de la fabrication. Cela se traduira par des créations d'emplois industriels - mais des emplois industriels nouveaux, dans des structures nouvelles. Ce ne sont pas les coûts de la main-d'œuvre qui feront la différence dans le monde industriel de demain, mais l'innovation à haute fréquence et la collaboration."
hubert guillaud

L'alchimie des tiers-lieux - Millenaire3 - 0 views

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    Il ne suffit pas de mettre un peu de connexion internet et de jolis sofas pour créer des tiers lieux qui attirent du monde, rappelle Nicolas Nova. Une des clefs du succès repose dans les groupes d'individus qui se rassemblent dans ces endroits liée à la communauté d'un secteur, à des personnalités têtes de réseau ou à l'organisation régulière d'évènements. D'où l'échec de bien des télécentres ou des lieux de location de bureaux. Il faut d'abord parler d'envie, de ce qui motive les gens à venir dans ce type d'endroits.
hubert guillaud

Comment évoluent les murs payants - Reuters - 0 views

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    Felix Salmon de Reuters revient sur le développement des murs payants dans la presse, notamment via les deux entreprises leaders du marché, Mather Economics - http://www.mathereconomics.com - et MediaPass - http://www.mediapass.com . Mais estime-t-il, les métriques de ces systèmes sont encore imparfaits. Beaucoup de paywall permettent de lire gratuitement une dizaine d'article avant de vous bloquer sur un article qui ne motivera peut-être pas assez le lecteur pour passer au payant. ces sociétés savent pourtant très bien que tous les lecteurs ne doivent pas être traités de la même manière, certains ont une propension plus grande à payer que d'autres. Est-ce à dire qu'il faut plus d'opacité sur les tarifs pratiqués pour maximiser la personnalisation et privilégier ceux qui sont le plus à même de payer ? Faut-il élargir la gamme des offres payantes ? Et également celle des offres les moins chères... Pour Felix Salmon, blogueur financier à Reuters, les paywalls sont appelés à devenir plus complexes, mais il est moins sûr qu'ils migrent hors du monde des journaux... (dommage, il n'explique pas pourquoi).
hubert guillaud

Alimentation : face aux doutes, les internautes s'organisent - LeMonde.fr - 0 views

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    L'alimentation est désormais scrutée par les internautes... Avec des sites comme OpenFoodFacts - http://fr.openfoodfacts.org - et des applications comme Shopwise, Noteo ou GoodGuide... Désormais ce qui se trouve derrière les étiquettes est accessible, comme nous l'explique un spécialiste de chimie médicinale qui s'étonne de trouver certains composants dans notre alimentation. Le Conseil national de l'alimentation a lancé en février 2012, un groupe de réflexion su rla dématérialisation de l'information du consommateur animé par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes pour interroger la fiabilité des données publiées par les internautes !! D'autant que les étiquettes ne sont pas toujours fiables. En 2009, 40 % des étiquettes des confiseries contrôlées par la DGCCRF n'étaient pas conformes ! Même incomplètes, ces données collaboratives constituent un premier moyen de pression face à des politiques souvent très frileuses. Faudra-t-il à l'avenir coupler les bases de données de ce que l'on consomme avec un site pour recueillir des informations de santé ?
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Pourquoi est-il important de cartographier le cerveau humain ? - Technology Review - 0 views

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    Pour la Technology Review, Jason Pontin a interviewé Miyoung Chun, généticienne moléculaire et vice présidente de la Kavli Foundation qui a coordonné la communication autour du lancement du projet de recherche BRAIN lancé dernièrement par Obama. Elle y explique notamment que le plus délicat dans ce projet de cartographie du cerveau pourrait bien être que nous ne savons pas ce que nous essayons d'apprendre. Nous ne savons pas ce que nous allons apprendre en mesurant et déchiffrant un million de neurones.
hubert guillaud

Comment Procter&Gamble présente les données à ses décisionnaires - Harvard Business Review - 0 views

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    Dans une entreprise, si vous voulez faire un bon usage de la visualisation de données, la standardisation est plus importante que la créativité, estime Tom Davenport. Procter & Gamble a institutionnalisé la visualisation de données comme principal outil de gestion sur les postes de travail de quelques 50 000 employés qui ont accès à un "cockpit de décision". Le but de ces tableaux de bords est d'aider les décideurs à comprendre rapidement ce qu'il se passe dans l'entreprise. Ici, la visualisation de données doit refléter la stratégie d'une entreprise tout en restant simples et commune à toute l'organisation. Pour Tom Davenport, c'est la créativité à l'élaboration de ces tableaux de données qui va animer demain la réussite des entreprises.
hubert guillaud

Les préjugés cachés des Big Data - Harvard Business Review - 0 views

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    La chercheuse de Microsoft, Kate Crawford, critique, pour la Harvard Business Review, les Big Data : les chiffres ne parlent pas d'eux-mêmes. Les données ne sont pas objectives. Elles sont des créations humaines. Nos préjugés sont cachés dans la collecte et l'analyse. Les données liées à l'ouragan Sandy sur Twitter, donnent l'impression qu'il a surtout touché Manhattan, du fait de la proéminence des abonnés à ce service au coeur de New York, pas des endroits les plus durement touchés, qui ont subit des pannes de courant et de connexion. Est-ce seulement un problème de signal ? L'application StreetBump de Boston pour repérer les nids de poule recense peu de signalement provenant de gens âgés ou pauvres. Mais les conséquences de ce problème de signal sont immédiates et peuvent signifier un problème d'affectation des dépenses publiques, privilégiant certaines réparations au détriment d'autres. Renforcer la prise en compte des technos numériques ne risque-t-il pas de renforcer les inégalités sociales ? interroge la chercheuse. Comment mieux articuler l'approche big data avec celle des small data ? 
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Votre score de crédit social - Slate.com - 0 views

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    Les Big Data peuvent déterminer qui mérite vraiment un prêt... - mais n'est-ce pas déjà le cas ? Ne sont-ce pas déjà des algorithmes qui déterminent votre banque à vous autoriser ou non un crédit ? - De nouveaux algorithmes souhaitent distinguer les emprunteurs fiables de ceux qui risquent de faire défaut, souligne Evgeny Morozov en évoquant plusieurs start-ups du secteur comme Lenddo, Wonga, Kreditech ou LendUP - qui utilisent Facebook et Twitter pour vérifier votre fiabilité via votre réputation. Le pbe est que ces systèmes commencent à vendre leurs données pour faire profiter aux clients validés d'offres en ligne, voir de crédits dédiés en partenariat avec des sites de commerce en ligne. Nous faudra-t-il imaginer demain séparer les activité de prêt et les activités de crédits des banques comme on a séparer les activités des banques commerciales des banques d'investissements ?
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Un internet pour la fabrication - Technology Review - 0 views

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    Imaginez une usine où chaque produit se souvient de comment il a été fait. Est-ce que ces informations pourraient avoir un impact sur la productivité ? s'interroge Michael Fitzgerald pour la Technology Review. La dernière usine construite par General Electric à Schenectady, dans l'Etat de New York, est équipée de plus de 10000 capteurs afin de mettre sa machinerie en réseau et augmenter la productivité de l'entreprise de 1,5 % par an ! Pour GE, l'idée est de connaître entièrement tout ses produits - comment il a été fait, qui l'a fait, quels éléments la compose, d'où viennent-ils... - c'est-à-dire leur généalogie complète afin de mieux mesurer ce qui fonctionne le mieux sur les batterie et lave-vaisselle construits... 
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La stupidité comme mode de management - LaTribune.fr - 0 views

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    "Ce qui caractérise ces situations de crise, note les deux auteurs, c'est le développement d'un mode managérial basé sur la persuasion avec force images et symboles visant à manipuler les troupes dans une seule et même direction. Sorte de lobotomisation qui permet de calmer toute velléité de sortir de la route tracée et qui, soulignent les professeurs, « bloque l'action ». Autrement dit, en évitant toute forme de confrontation constructive, les organisations se privent de ce qui fait l'essence même de l'échange des savoirs entre les salariés. Cette étude souligne ainsi à quel point les capacités cognitives des individus peuvent être limitées dès lors que s'instaurent des relations de pouvoir et de domination au lieu de faire appel aux ressources des individus."
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Comment taxer les bénéfices des multinationales? - Classe éco - 0 views

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    Alexandre Delaigue explique simplement et clairement que pour taxer les bénéfices des multinationales, il nous faut passer à un système par répartition. "Le mécanisme en est le suivant : on prend le bénéfice mondial de la firme. Pour savoir quelle part de ce bénéfice doit être attribuée à un Etat particulier, on détermine la part des activités de l'entreprises qui se font dans celui-ci. Cette part d'activité est calculée sur la base d'une formule qui prend en compte les salaires versés, les ventes et les actifs." Simple a priori, le système n'est pas sans obstacles. Tout d'abord, certains pays risquent d'y perdre et ne serons pas pour. Les différences de taxation internationales posent problèmes. Et enfin, passer à ce système nécessite un degré accru de coordination entre pays, qui limite la souveraineté des gouvernements nationaux sur ces sujets. Pas si simple à mettre en place.
hubert guillaud

Fouiller les dossiers de santé électronique pour révéler des données sur la santé - NYTimes.com - 0 views

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    Les dossiers de santé électronique aux Etats-Unis ne sont pas une réussite, révélait il y a peu une étude de la Rand Corporation - http://www.nytimes.com/2013/01/11/business/electronic-records-systems-have-not-reduced-health-costs-report-says.html . Mais le rapport a négligé l'économie à la recherche que pourrait apporter ces bases de données électroniques. La fouille de données dans les dossiers de santé pourrait s'avérer riche en découvertes. Les professeur Altman et Tatonetti ont publié en 2011 une étude (et un algorithme) permettant de rechercher dans ces dossiers des pairs de médicaments qui pris ensemble provoquaient un effet indésirable, permettant notamment de mettre à jour un rapport indésirable entre un antidépresseur et un médicament anti-cholestérol. L'accès aux dossiers des patients permet d'étudier une population réelle. Mais les données saisies dans ces dossiers sont loin d'être complètes ou fiables. Comment anonymiser les dossiers et les rendre accessibles aux chercheurs ?
hubert guillaud

La découverte sociale contre la sociabilité - The New Inquiry - 0 views

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    Dans "L'amour au temps des algorithmes", Dan Slater estime que la rencontre en ligne devient une découverte sociale. Mais n'est-ce pas là l'effet de la rationalisation de la sociabilité par les algorithmes, interroge Rob Horning pour The New Inquiry. Que se passe-t-il quand nos rencontres sont médiées par des entreprises, des algorithmes ? Que devient notre autonomie individuelle ? La sociabilité est-elle désormais guidée par nos relations sociales ? Or, ce qui rend la sociabilité agréable, estime Leo Bersani dans "Sociability and Cruising", c'est l'abandon de l'individualité et non pas sa réaffirmation. Alors que la sociabilité est un oubli de soi, la découverte sociale repose sur nos intérêts communs pour faciliter la rencontre. La capacité à éprouver la sociabilité réside dans la capacité à être pleinement soi-même, ce qui suppose, dans un contexte de médias sociaux, de pouvoir être pleinement anonyme. Nous devons cesser de penser l'identité comme quelque chose qui peut être agrandi quantitativement, estime Rob Horning.
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Big Data Hype (and Reality) - Harvard Business Review - 0 views

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    Gregory Piatetsky-Shapiro revient sur les promesses du Big Data (la prédiction) pour nous rappeler qu'à ce jour, elles ne les ont pas encore relevées. Et de rappeler que Netflix a fait travailler des développeurs sur un nouvel algorithme qu'ils ne sont pas parvenu à implémenter et qui n'a permis d'améliorer les conseils personnalisés qu'à la marge. Les services d'analyses de Big Data des opérateurs de télécommunication sensés réduire le taux de désabonnement de leurs bases clients. Même l'amélioration du taux de clic sur les publicités est pour l'instant très insuffisant. ces trois exemples montrent que "le caractère aléatoirement inhérent au comportement humain est le facteur limitant de la réussite de ces modélisation". Si les Big Data permettent des gains marginaux, le comportement humain demeure rétif à la modélisation. "L'analyse prédictive peut aider à comprendre comment faire se poser le Rover sur Mars, mais pas qui va acheter une barre de mars". Reste que l'analyste pense tout de même que les Big Data vont nous aider à mieux comprendre le comportement, comme le montre les progrès fais par Google ou Siri... Mais attention à ne pas en attendre trop !
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"Open SNCF" ou comment l'open data transforme la SNCF - Green SI - 0 views

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    L'open data est pour la SNCF une démarche d'innovation pour rénover ses services à l'aide de ses clients. Une première consultation avait permis à la SNCF de récolter plus de 2000 propositions d'applications de la part de ses clients, dont plus de 2/3 concernait le time killing : les gens demandant à la SNCF de proposer des services pour mieux exploiter leur temps de transport. Fort de ces demandes, la SNCF a organisé un hackathon pour développer ces applications, mais également un second organisé avec les salariés de la SNCF. "La mobilisation de cet écosystème de clients, salariés et développeurs autour de ces services mobiles de demain, a déjà transformé la façon de voir la partie du système d'information dans les mains des clients", estime Frédéric Charles de Green SI.
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Interview de Daniel Kaplan (Fing) : le numérique, entre démocratisation et pouvoir des plateformes - Without Model - 0 views

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    Daniel Kaplan, délégué général de la Fing (éditeur d'InternetActu.net) dresse un intéressant tableau des transformations liées au numérique. Le numérique est l'outil de la transformation de tous les secteurs d'activité rappelle-t-il, impactant toutes les étapes de la chaîne de valeur, de la conception à la production jusqu'à la relation au consommateur. Un mouvement qui est intimement lié à la globalisation des économies : la facilitation des coordinations a favorisé la globalisation et la globalisation a favorisé la généralisation des outils numériques. La numérisation de l'économie redistribue les fonctions économiques : elle tend à découper les chaînes de valeur (comme l'illustre le modèle de la plateforme), favoriser les monopoles et à banalise la fabrication industrielle (qui s'immisce jusque dans notre intimité). "La numérisation a rendu possible ces transformations, elle en est l'outil, le catalyseur, autant que le produit". La disparition des acteurs historiques n'a pas eu lieu, la plupart ont intégré le numérique, même s'ils n'ont pas transformé en profondeur leurs modèles. La numérisation ne conduit pas à une substitution des canaux, mais plutôt à une augmentation des relations, ce qui a plutôt eut tendance à dégrader la qualité de la relation. Certes, les individus font de plus en plus de choses ensemble, mais souvent pour le faire plus rapidement, moins cher ou mieux, au bénéfice d'un intermédiaire qui capte la valeur. On devrait d'ailleurs parler d'économie horizontale plus que d'économie collaborative. Demain, cette transformation va s'appliquer à la conception et au prototypage. Reste que le danger repose bien sur les plateformes, qui correspond à une prise de pouvoir des distributeurs par l'aval, par la relation client (sans porter grande attention à ce qui est produit).
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