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hubert guillaud

Les élites débordées par le numérique - LeMonde.fr - 0 views

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    Laure Belot pour le Monde revient sur l'incompréhension entre les élites et l'internet, débordés par l'auto-organisation des internautes. Désormais, c'est le socle de la société qui s'organise en réseau, et les réseaux des puissants atteignent, eux, leurs limites, à la fois parce qu'ils ne parviennent plus à lire une réalité fragmentée, et par son manque de diversité. Si l'énarchie a été utile pour construire la Nation, elle manque désormais de diversité pour comprendre et s'adapter à la société. Une critique que Laure Bellot étend au système financier français : si les Français épargnent bien peu investissent. En France, les entreprises se financent par la dette plutôt que par l'investissement.
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Selfie Control - The New Inquiry - 0 views

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    Associated Press a rompu ses liens avec un photographe, lauréat du Pulitzer, parce qu'il avait modifié une photo en faisant disparaître l'appareil photo du photographe qu'on y voyait, supprimant sa propre présence. Mais que signifie cet art de la photographie qui tente toujours d'effacer ou de rendre invisible sa présence ? Pourquoi le photographe doit-il être invisible, comme s'il n'affectait pas la scène qu'il prend en photo ? Comment interpréter la mode du selfie sous cet angle, où photographe et sujet sont les mêmes ? Le développement du selfie coïncide avec les révélations sur la surveillance de masse dont nous sommes l'objet. "La technologie qui rend le selfie possible est aussi la technologie qui simplifie la surveillance de masse". Et Jenna Brager d'évoquer Hasan Elahi, ce designer qui démultiplie les données sur lui pour tromper le FBI après avoir été injustement inquiété par celui-ci. Nathan Jurgenson parle de "sursaturation visuelle" et la définition même du selfie contient une critique de son omniprésence. Le selfie est-il l'apogée du consentement photographique ?
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Nous avons besoin de critique dans la technologie - Model View Culture - 0 views

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    La développeuse Ashe Dryden - http://www.ashedryden.com - pousse un coup de gueule contre les discriminations dans le secteur des technos. Quels rôles jouons nous individuellement et collectivement dans les structures oppressives de la société ? La culture n'est pas différente du logiciel : nous devons améliorer notre code pas ingénierie inversée.
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Comment les milliardaires privatisent la science américaine - NYTimes.com - 0 views

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    Les financements public de la recherche scientifique américaine sont de plus en plus remplacés par ceux de donateurs privés, entreprises et philanthropes. Face à ce changement, les critiques ne manquent pas. Les dépenses en recherche fondamentale ont baissé de 30 milliards de dollars l'an dernier, l'une des plus forte baisse jamais enregistrée. Si la science gouvernementale est centralisée, ce n'est pas le cas de la philanthropie... La NSF a lancé une étude pilote pour savoir où étaient dépensés les milliards de la recherche privée (principalement sur la santé). La recherche privée représente 30% de l'argent consacré à la recherche des 50 premières universités américaines et bénéficie avant tout aux plus riches universités qu'aux plus démunies. La recherche privée n'est pas sans succès, explique le NYTimes, mais elle se consacre plus à certains secteurs qu'à d'autres, à certaines maladies qu'à d'autres.
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Après le capitalisme, le bien vivre - Nonfiction.fr - 1 views

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    Irène Pereira revient sur le livre de l'historien Jérôme Bachet, spécialiste du mouvement du Chiapas, "Adieux au capitalisme", une critique radicale du capitalisme. Avec le capitalisme, "la société fait de l'intérêt personnel sa valeur cardinale" et sa phase néolibérale nous fait passer d'une société disciplinaire structurée par les Etats nations à un capitalisme sécuritaire mondialisé dont l'Etat managérial est l'auxiliaire. Pour Bachet, l'insurrection zapatiste a ébréché le néolibéralisme qui en explique les institutions en faveur de l'autonomie et de la concertation. Et l'auteur de s'en inspirer pour penser une société postcapitaliste.
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Le service public le plus efficace du monde - Slate Magazine - 0 views

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    Slate enquête sur un bureau de délivrance de passeport à New York, qui, contrairement à tant d'autres, délivre les précieux documents en une journée, sans aucune file d'attente... Mais comment est-ce possible ? Comment le manager du bureau parvient à faire cela ? Quelle liberté a-t-il ? Quelle organisation a-t-il mis en place ? Pour les économistes Imran Rasul et Daniel Rogger, qui se sont intéressé à l'efficacité des ministères Nigériens, l'autonomie est le facteur critique, ainsi que les récompenses. Faut-il trouver plus de directeurs comme celui de cette petite agence ?
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Game over, Bitcoin ! À quand des monnaies virtuelles valorisant l'humain ? - Ouishare - 0 views

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    "La monnaie virtuelle Bitcoin est la preuve que les monnaies cryptées distribuées ont de l'avenir, mais ses défauts soulèvent des critiques justifiées. Il est temps de passer à l'étape suivante de la révolution monétaire pour créer un système au service de l'humain", estime Stanislas Jourdan pour OuiShare. Du point de vue de la répartition des richesses, Bicoin est loin d'être égalitaire, soulignent nombre d'études. Les réflexions sur le futur de la monnaie s'intéressent plutôt à des monnaies basées sur la confiance plus que la rareté, comme le proposent les projets monétaires Freicoin, Litecoin, Ripple, mais également le projet français Open UDC (universal dividend currency) où tous les utilisateurs se voient verser périodiquement le même dividence, un peu à la façon d'un revenu de base. "La monnaie est une question de culture : aussi longtemps que les gens s'obstineront à considérer la monnaie comme une marchandise, ils préféreront des devises qui autorisent l'accumulation, la spéculation et la concurrence entre utilisateurs" face à des monnaies réellement fondées sur l'humain.
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Rencontre avec les pirates qui veulent jailbreaker l'internet - Wired - 0 views

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    Klint Finley est allé à la rencontre de l'Indie Web movement (le mouvement pour un web indépendant) qui tenait récemment une rencontre, autour de Ward Cunningham, l'inventeur du wiki, de Kevin Marks, le responsable des web services de British Telecom ou Brad Fitzpatrick, le créateur de Live Journal... Des hackers qui développent des alternatives open source au web des grandes sociétés, comme Camlistore, une alternative open source à Google Drive. L'idée est de créer un web qui se comporte comme une seule entité. Bien qu'animé par des gens qui travaillent chez Google, Facebook ou Twitter, le web indépendant travaille à s'en défaire. Parmi les outils qui sont en train d'être mis au point, on trouve des alternatives à Twitter ou Facebook comme StatusNet ou Diso (le réseau social distribué)... ou encore Diaspora devenu Mark.io depuis le décès de son fondateur. Plutôt que de remplacer les silos des acteurs majeurs de l'internet, le mouvement se défini par sa volonté à construire des outils qui vous permettent d'héberger vos données et machines, mais également de les partager via le net. Ce qu'on appelle le POSSE (Publish on your Own Site, syndicate elsewhere). Au début, ils ressemblent à n'importe quel autre tripotée de geeks technologie. Mais alors vous avez un préavis d'un d'entre eux est Ward Cunningham, l'homme qui a inventé le wiki, la technologie a fait Wikipedia sous-tend. Et il ya Kevin Marks, l'ancien vice-président des services Web à British Telecom. Oh, et ne manquez pas Brad Fitzpatrick, créateur du site de blogs LiveJournal séminal et, plus récemment, un codeur qui travaille dans la salle des machines de l'empire en ligne de Google. Emballé dans une petite salle de conférence, cette bande hétéroclite de développeurs de logiciels doit pedigree numérique hors normes, et theyhave une mission à l'avenant. Ils espèrent jailbreaker l'internet. Ils appellent cela le mouvement de la bande indie, en vue de créer un
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Intertwinkles et les outils de prise de décision consensuelles - Ethan Zuckerman - 0 views

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    Ethan Zuckerman revient sur la soutenance de thèse d'un de ses étudiants, Charlie DeTar, fondateur d'Intertwinkles, une plate-forme pour aider à la prise de décision par consensus. Force est de constater, qu'en votant une fois tous les 4 ans, aucun citoyen américain n'est vraiment confronté aux règles démocratiques. Nous sommes surtout confrontés à des règles non-démocratiques de la vie réelle : celle de nos employeurs, de nos propriétaires, des institutions sur lesquels nous avons peu d'influence... Les mouvements démocratiques ont tendance à être de courte durée et à être lents, coûteux en temps pour les gens et à n'impliquer que les gens impliqués. D'où la question de Charlie DeTar : pouvons concevoir des outils en ligne pour la consultation démocratique qui soient plus efficaces ? C'est l'idée d'InterTwinkles, une plateforme de consensus qui favorise l'absence de hiérarchie et la prise de décision assistée par ordinateur. Pour y parvenir, le jeune chercheur critique la notion de décentralisation, car les systèmes décentralisés nécessitent une certaine centralisation : Wordpress est décentralisé car son code ne l'est pas, BitTorrent décentralise les serveurs via un protocole centralisé, et le consensus décentralise l'autorité à travers la centralisation des procédures. Le consensus évite les trois tyrannies : celle de la majorité, celle de la minorité, et celle de l'absence de structure. Pour que les systèmes par consensus fonctionnent, il est nécessaire que que tout le monde soit à l'aise avec les outils estime le jeune chercheur.
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Qu'est-ce qui explique le déclin de Microsoft ? Le système de classement de ses employés ? - Slate.com - 0 views

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    Pour Will Oremus, c'est le système de management des employés voulu par Ballmer qui expliquerait le déclin de Microsoft. La raison ? Il ne favorise pas la collaboration, mais les critiques des uns contre les autres.
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La gouvernance des technologies de l'information tue-t-elle l'innovation ? - Harvard Business Review - 0 views

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    Des recherches récentes ont montré que le travail est devenu de plus en plus interdépendant : les employés ont besoin d'avoir recours à de plus en plus de leurs collègues et partenaires pour accomplir leur travail. Ce qui implique bien sûr un nouvel environnement de travail... Pourtant pour les entreprises, il est difficile d'allouer des investissements proportionnels à ces nouveaux environnements de travail dont chacun à besoin. Les DSI (Directeurs des systèmes informatiques) ne manquent pas d'idées où investir pour répondre à ces nouvelles demandes, sauf que, bien souvent, ils consistent à répondre à des projets provenant de partenaires extérieurs... et sans rapport avec la stratégie même de l'entreprise. Pour mieux répondre à ce défi, il faut prioriser les capacités plus que les projets afin de mieux investir dans des capacités critiques à long terme, estiment Andrew Home et Brian Foster.
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Four critiques of open data initiatives | The Programmable City - 0 views

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    Rob Kitchin, qui s'apprête à publier "The Data Revolution: Big Data, Open Data, Data Infrastructures and Their Consequences", a toujours été partisan de l'ouverture des données. Si les avantages des données ouvertes sont bien documentées, peu d'études pointent les problèmes potentiels et les conséquences négatives liées à l'ouverture. Les données ouvertes souffrent de l'absence d'un modèle financier viable, elles favorisent des politiques bénignes plutôt que transformatrices, leur utilisation manque d'utilité et de facilité et facilite la libéralisation et la marchandisation des services publics.
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Pour une éducation critique au monde numérique - Storify - 0 views

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    Louise Merzeau partage ses notes d'une conférence donnée par Serge Proulx le 18 novembre 2013 sur le rapport entre la parole des jeunes et la parole citoyenne, sur leur rapport à l'espace public et bien sûr à l'internet. Riche en références.
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De quoi Prism est-il le nom ? | Techn0polis - 0 views

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    "Avec le drone militaire, il n'y a plus de champ de bataille, plus de symétrie entre belligérants. Le drone change les lois de la guerre. Avec la surveillance numérique, il n'y a plus de limite au terrain d'exercice de la surveillance, plus de relation entre surveillant et surveillé. La surveillance numérique change les lois de la surveillance" explique Amaelle Guiton. Nous avons besoin de Facebook libres et nous nous y précipiterons pour autant qu'il soit aussi fluide que le Facebook actuel... C'est au libre d'aller à l'utilisateur ! En attendant, estime Amaelle, il va nous falloir nous habituer à la transparence, dont le seul avantage est qu'elle touche tout le monde... "Au bout du compte, je ne sais évidemment pas à quoi nous avons vraiment affaire. Les catégories d'analyse classiques me semblent décidément impuissantes à décrire les nouveaux appareils de surveillance (ou bien je manque d'outils critiques). Cette surveillance à la fois omniprésente et sans pression véritable, déréalisée, abstraite, pour la majorité de ceux qui la subissent. Cette surveillance à laquelle participent, de manière de moins en moins inconsciente, les surveillés. Cette surveillance qui n'a potentiellement de limites ni dans l'espace, ni dans le temps. Comme le réseau, c'est à la fois une idée, et des paquets de données."
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Vie privée : le « Do Not Track » dans l'impasse. Pour de bon ? - 1 views

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    "Sur les 43 membres du groupe de travail du W3C sur le DNT, 20 critiquent le résultat, dont 17 proposent de jeter l'éponge. Acteurs de la publicité et défenseurs de la vie privée ne parviennent pas à s'entendre sur une solution de compromis."
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L'e-mail n'est pas mort, il évolue - Harvard Business Review - 0 views

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    Très intéressante infographie sur les usages de l'e-mail, notamment au travail. Nous envoyons en moyenne 11500 e-mail par an. 42% des e-mails qui nous arrivent (hors spam que nous ne voyons pas : nous n'en voyons que 8%) sont essentiels ou critique. Il demeure l'outil principal de nos modes de travail en collaboration. Et nous passons environ 111 jours de travail (50%) de notre temps avec eux : 22% de ce temps à chercher, archiver ou gérer, 15% à lire et 13% à en écrire. Il sert principalement à échanger des documents, envoyer des informations à des groupes...
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Microsoft contraint de faire marche arrière sur sa Xbox One - LeMonde.fr - 0 views

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    Connexion internet obligatoire et interdiction de se prêter des jeux avait fait se déchainer les critiques autour de la nouvelle console de Microsoft. La firme de Seattle annonce finalement faire marche arrière.
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De la culture algorithmique - Social Media Collective - 0 views

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    Christian Sandvig s'intéresse à comment les algorithmes imprègnent notre culture. Il revient sur Google Instant qui propose des suggestions de terme de recherche dans Google quand vous tapez des mots dans le moteur pour souligner que certains mots ne proposent aucune suggestion... C'est là une "censure douce" que Google a déployé pour répondre aux critiques à l'encontre de ce service. Mais quels mots doivent-ils être bloqués ? Puis il observe les différences entre les meilleures histoires et les informations les plus récentes du fil d'actualité de Facebook, pour souligner combien nos relations sont régis par des algorithmes qui changent notre rapport aux autres...
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De l'expérimentation aléatoire pour le développement économique - Slate.com - 1 views

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    Joshua Keating s'interroge : peut-on faire de la pauvreté une science expérimentale ? Dans les années 90, l'économiste de Harvard, Michael Kremer a fait l'une des premières expérimentation aléatoire au Kenya en choisissant 25 écoles aléatoirement pour leur fournir des manuels et regarder si cela avait un impact sur les résultats scolaires de ces écoles comparées aux autres (non, cela a seulement amélioré les résultats des meilleurs élèves de ces classes). Les gouvernements et les organisations humanitaires ont mis du temps à adopter ces approches d'expérimentation aléatoires car l'idée de conduire des expériences sur les pauvres rend les gens nerveux, pour de bonnes raisons. Mais pour Chris Blattman de la Columbia University (qui tient un blog populaire sur le développement international : http://chrisblattman.com ), la plupart des programmes de développement ne sont que des expérimentations et la plupart du temps, des expérimentations bien peu transparentes. Abhijit Banerjee et Esther Duflo ont été les grands évangélistes de ce type d'expériences (cf. leur livre "Repenser la pauvreté"). Ils ont montré par exemple que fournir des uniformes aux collégiennes avait plus d'effet pour réduire les grossesses adolescentes que les programmes d'éducation sexuelle. Les études aléatoires ont montré que malgré son succès, la microfinance aidait les entreprises au démarrage, mais avait peu d'impact sur la pauvreté ou l'autonomisation des femmes. L'économiste de Princeton Angus Deaton demeure critique face à ces expériences aléatoires, dont les enseignements sont peu reproductibles d'un pays à un autre et que médias et politiques exagèrent les conclusions de ces études. Reste que les études aléatoires ont au moins eu le mérite de montrer qu'il fallait plus de rigueur méthodologique dans la mesure des interventions dans les pays en développement. Mais le fait qu'elles puissent répondre à la réduction de la pauvreté mondia
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Comment enseigner le numérique au Royaume-Uni - Fing Live - 0 views

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    Daniel Kaplan relate sa rencontre avec Tom Kenyon, en charge du programme "Make Things do Stuff" - http://makethingsdostuff.co.uk - du Nesta britannique, un site et une campagne pour mobiliser la prochaine génération de makers en permettant de comprendre comment fonctionne la technologie, en favorisant la collaboration et le partage, via des actions de formation dans les écoles notamment. Make Things do Stuff n'est pas la seule initiative britannique pour promouvoir l'apprentissage des nouvelles technologies : bien au contraire, elles sont très nombreuses : Year of Code, Web for Everyone, Apps for Good, Code Club, Young Rewired State, Freeformers... Sans compter le développement de l'informatique dans les programmes scolaires eux-mêmes d'ici septembre... Mais Kenyon est assez critique de cette dernière initiative, qui risque de promouvoir une informatique aride, sans apport concrets pour les élèves... qui risque de plus desservir la cause de l'apprentissage technique à l'école que le contraire. Le Nesta travaille aussi à développer l'évaluation des méthodes et supports d'éducation. "Les données vont transformer le paysage" de l'éducation estime Kenyon... à la fois pour l'évaluation des professeurs comme des élèves et risquent demain de rendre les examens traditionnels obsolètes...
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