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Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Fort de France

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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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Observatoire des Territoires - Éducation et enseignement supérieur, approches... - 0 views

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    "L'éducation des populations progresse de manière spectaculaire dans l'ensemble des pays européens. En France, ce sont désormais plus de 43 % des 30-34 ans qui détiennent un diplôme de l'enseignement supérieur, contre à peine plus de 27 % à l'aube des années 2000. Malgré ce constat positif, de très fortes disparités demeurent encore entre les pays d'Europe. Alors qu'en Europe du Nord - au Royaume-Uni, en Irlande, au Danemark ou encore en Suède - près de la moitié des jeunes adultes sont titulaires d'un diplôme du supérieur, d'autres pays comme l'Italie ou la Roumanie comptent à peine plus de 25 % de diplômés du supérieur. En France, cette progression a concerné les territoires les plus ruraux comme les plus urbains. Malgré cette progression globale, des différences locales permettent de dessiner une géographie de l'éducation et de l'enseignement supérieur. On observe ainsi une polarisation de l'enseignement supérieur dans les 22 métropoles françaises. Ces dernières rassemblent à elles seules plus des deux tiers (69 %) des étudiants pour 29 % de la population totale du pays, alimentant des mobilités étudiantes inter- et intrarégionales. Ces métropoles, tête de pont de l'enseignement supérieur sont également caractérisées par des inégalités parfois fortes en matière d'accès à l'éducation : les élèves y sont plus souvent scolarisés dans le privé et la ségrégation scolaire y est plus importante qu'ailleurs. Dans le même temps, les régions du nord de la France, du pourtour méditerranéen et les DOM, marqués par les plus faibles niveaux de revenus en France, apparaissent également comme celles où les difficultés d'apprentissage sont les plus importantes. D'autres ensembles régionaux se distinguent au contraire par des résultats nettement plus positifs. C'est le cas de certaines académies de l'ouest de la France (académie de Rennes) ou encore d'Auvergne-Rhône-A
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Campus France - Chiffres clés 2020 - 1 views

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    La mobilité étudiante dans le monde continue de progresser et se situe à un niveau historiquement haut : en 2017, 5,3 millions d'étudiants suivent une formation diplômante après avoir traversé une frontière (+71 % en dix ans). Étudier hors de son pays d'origine, par choix ou par nécessité, est de plus en plus courant, même si cela ne concerne qu'une minorité d'étudiants (2,4 % en 2017). Dans le monde très interconnecté d'aujourd'hui, la mobilité étudiante est pourtant sensible aux évolutions politiques et économiques mondiales. De nombreux facteurs d'incertitude traversent plusieurs grands pays d'accueil : crises écologiques et sanitaires, faible lisibilité de la situation post-Brexit au Royaume-Uni ou des politiques migratoires aux États-Unis, afflux de réfugiés des pays en guerre, etc. La hiérarchie des pays de départ évolue, tout comme celle des pays d'accueil. Le nombre d'étudiants accueillis aux États-Unis et au Royaume-Uni, les deux pays historiquement en tête de l'accueil, connaît une croissance ralentie (+1 % sur un an). L'Australie (3e , +14 %) et le Canada (7e , +11 %) semblent bénéficier, quant à eux, de reports très importants de mobilité, capitalisant, jusqu'aux incendies australiens fin 2019, sur une image positive à l'étranger. Dans ce contexte, l'Union européenne (UE), déjà première zone d'accueil dans le monde (même sans le Royaume-Uni), peut faire valoir des atouts nombreux : une tradition universitaire ancienne, un environnement sécurisé et apaisé, une recherche d'excellence, des programmes de mobilité forts et des débouchés professionnels nombreux. Pour consolider sa position, l'UE s'appuie sur le succès du programme Erasmus+ ; elle bénéficie également de stratégies nationales favorables à l'internationalisation de l'enseignement supérieur, notamment en France et en Allemagne. Au cœur de l'Europe, la France reste l'un des très grands pays d'
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IFOP - Etat d'esprit et comportement des étudiants et lycéens - 0 views

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    Sondage 06.10.2016 Etat d'esprit et comportements des lycéens et étudiants Près des trois quarts des jeunes interrogés, qu'ils soient lycéens ou étudiants se déclarent optimistes pour leur avenir (73%), un optimisme toutefois assez mesuré, seule une minorité d'entre eux (9%) se projetant de manière « très optimiste » pour leur avenir. Ce résultat s'inscrit dans la lignée de ce que nous mesurons depuis 2010. Si le degré d'optimisme des lycéens de terminale (71%) est proche de celui des étudiants (74%), quelques disparités sont à noter notamment en fonction du milieu social dans lequel ils évoluent (78% pour ceux qui issus d'un foyer à dominante CSP+ contre seulement 67% chez eux appartenant à un foyer plus modeste) et de la filière dans laquelle ils étudient. On trouve ainsi les plus optimistes au sein des étudiants évoluant dans les filières médicales (84% en santé à l'université ou 75% dans les formations paramédicales) et dans les écoles de commerce (100% d'optimisme déclaré). Ce premier résultat s'avère toutefois en forte opposition avec le climat et les projections à l'échelle du pays, moins du tiers des jeunes interrogés se déclarant optimistes pour l'avenir de la France (31% dont seulement 1% se déclare « très optimiste »). Ce résultat est en baisse de 7 points par rapport à ce que nous mesurions en 2014, signe d'un contexte économiques et social qui s'est durcit et qui inquiète les jeunes interrogés. Si cette tendance d'un fort pessimisme pour le Pays et d'un relatif optimisme pour sa propre situation est assez habituelle lorsque l'on pose ces deux mêmes questions à l'ensemble des Français, l'écart n'est toutefois pas aussi conséquent. Parmi les moins pessimistes on trouve notamment les étudiants les plus âgés (41% pour ceux ayant plus de 22 ans) et logiquement les plus diplômés (41% au sein des diplômés du supérieur) ainsi que ceux évoluant dans les grandes
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N° 3278 - Proposition de loi de M. Nicolas Dupont-Aignan ayant pour objet la ... - 0 views

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    "La représentation nationale, dans ce chantier ardent et urgent, doit bien entendu jouer un rôle primordial. Il nous revient de doter la France de tous les instruments à même de la rendre plus sûre et plus forte. À cet égard, la suspension du service national au milieu des années 1990 se révèle à l'usage une véritable catastrophe, tant ce précieux creuset et thermomètre de l'état de notre société a fait cruellement défaut depuis deux décennies. Affirmer solennellement les valeurs de la République, offrir à chaque citoyenne et citoyen tant l'opportunité que l'obligation de servir la communauté nationale à travers des actions d'intérêt général, assurer concrètement la part d'universel et d'égalité que recèle la condition de la citoyenneté française, déceler les handicaps sociaux et/ou les déviances grosses de danger pour la collectivité, apprendre de nouveaux savoirs et savoir-faire à travers des expériences variées, pourvoir les armées en recrues appelées, destinées à certaines tâches de l'arrière, tels sont les apports irremplaçables d'un service national universel, mixte et obligatoire. Ce service national, il est aujourd'hui temps de le réinstaurer, ou plutôt de le créer car jamais dans notre histoire il n'aura existé sous cette forme, selon des modalités adaptées à l'esprit du temps. Afin d'agir comme un creuset commun, un temps de six mois obligatoires est créé, comportant selon la formule choisie, une session de Journée de défense et de citoyenneté étendue, des formations et préparations spécifiques, et un temps d'activités dans un cadre civil ou militaire, aux conditions de l'actuel service civique."
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ViaVoice - Les jeunes et l'entreprise - 0 views

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    En termes de parcours de vie, ce moment-là est décisif. Entre le temps des études et la projection dans son propre avenir, souvent entre la fin des formations et la recherche d'un premier emploi, c'est au sens propre un moment de conversion à accomplir ; décisif pour chacun, et bien évidemment essentiel pour les entreprises qui vont accueillir ces nouvelles générations. Comment ce moment là est-il vécu par les premiers intéressés, par les 16-20 ans, quel que soit leur statut d'activité ? Une jeunesse soucieuse, un sentiment de distance Les 16-20 ans sont soucieux en premier lieu parce qu'ils considèrent « le monde de l'entreprise » avec circonspection, l'identifiant prioritairement au « stress » (36 %) et à la « compétition » (35 %). 64% d'entre eux s'estiment souvent assez éloignés du monde de l'entreprise 72% pensent qu'il est difficile de créer sa propre entreprise en France. 90% des 16-20 ans souhaitent que l'école ou l'université préparent davantage les étudiants au monde de l'entreprise. Une pluralité d'atouts et d'opportunités vers le monde de l'entreprise Pour leur avenir, et de manière forte, les jeunes interrogés citent leur volonté d'être « salariés dans une entreprise » (41 %) mais également, sur un score pratiquement comparable (35 %) la volonté de « créer leur propre entreprise » ; les premiers privilégiant la « sécurité » (56 %), les seconds « l'indépendance » (46 %). L'étude révèle la diversité des tremplins d'accès au monde de l'entreprise. Le diplôme n'est plus reconnu comme le sésame unique et universel, puisqu'il est cité en troisième position. Bien plus largement, le portefeuille des atouts compte les « stages en entreprise » (89 %), le « réseau » (79 %), les « parents » et la « famille » (74 %), « l'enseignement supérieur » (72 %). Face à l'entreprise de demain, et en regard des mutations actuelles considérables qui s'a
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Marianne - Sondage exclusif - Religion, caricatures, genre… Les jeunes en rup... - 0 views

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    "Ils avaient entre 13 et 25 ans au moment des attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, il y a cinq ans. Cette funeste année 2015, l'onde de choc du massacre du Bataclan et des assassinats sur les terrasses parisiennes traversait la France entière. Ce sont également eux qui paient le prix fort de la crise sanitaire qui vient percuter leurs études ou leurs premiers pas dans la vie active. Que pensent-ils aujourd'hui ? Notre partenaire l'Ifop a constitué un large panel, 1 006 jeunes représentatifs de la population française âgés de 18 à 30 ans et questionnés du 13 au 18 novembre. Nous avons interrogé ces adultes encore en construction sur toute une série de sujets : leur vision de la religion, de l'égalité entre les hommes et les femmes, de la discrimination, de la lutte contre les inégalités sociales… Notre enquête met au jour un décalage béant avec le reste de la population sur la question de la laïcité et de la manière d'appréhender le fait religieux. Elle montre aussi à quel point cette classe d'âge est parcourue de profondes lézardes, dont une, principale, qui sépare les femmes et les hommes. Et enfin, elle dévoile, et ce sera un sujet de premier plan pour les candidats à la prochaine présidentielle, à quel point les 18-30 ans sont autant d'individus profondément insatisfaits du fonctionnement de la société. LAÏCITÉ La grande confusion "
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CNESCO - De vraies solutions pour améliorer l'orientation, les formations et ... - 0 views

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    38% des lycéens sont en filière professionnelle. Mais la France fait partie des pays de l'OCDE qui insèrent le moins bien les jeunes issus de cet enseignement. - 57% des CAP et 46% des bacheliers pro sont toujours sans emploi 7 mois après l'obtention de leur diplôme. - Sans poursuite d'études, 1 titulaire de CAP sur 3 et 1 titulaire de bac pro sur 5 restent sans emploi 3 ans plus tard. On note également de fortes disparités selon les spécialités. Les formations aux métiers du tertiaire regroupent la majorité des élèves de bac pro alors que ce sont les filières qui offrent le moins de débouchés. Face à ces constats, le Conseil National de l'Evaluation du Système Scolaire (CNESC) publie des recommandations pour remettre en question l'enseignement des filières professionnelles tous les 5 ans afin de les adapter aux évolutions du marché de l'emploi. Par ailleurs, l'enseignement professionnel étant la filière vers laquelle se dirigent majoritairement les jeunes de catégories sociales défavorisées, le CNESCO préconise le développement de lycées polyvalents (filières générales, technologiques et professionnelles) pour favoriser la mixité sociale dans les établissements.
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L'Île-de-France renforce son schéma régional du logement étudiant - 0 views

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    "La Région Île-de-France est le premier financeur du logement des jeunes et des étudiants et un acteur majeur pour la construction de logements abordables pour les jeunes, les apprentis et les étudiants. Cette implication régionale répond à un besoin fort de rattrapage sur le territoire francilien, où 5 logements sociaux étudiants sont disponibles pour 100 étudiants, contre 8 pour 100 dans le reste de la France. A l'occasion de la Conférence régionale annuelle du logement des jeunes et des étudiants, Jean-Paul Huchon, président du Conseil Régional, a annoncé ce jour le lancement de l'actualisation du Schéma régional du logement étudiant."
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INJEP - Les "NEET", des ressources et des conditions de vie hétérogènes - 0 views

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    En France, en 2017, 13,9 % des jeunes de 15 à 29 ans n'étaient ni en emploi, ni en études, ni en formation. Ce 1,6 million de jeunes est couramment désigné par le terme NEET, acronyme anglais de not in employment, education or training. Une analyse des ressources financières des NEET à partir de l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ 2014) permet de montrer une forte hétérogénéité dans les conditions de vie, les niveaux et les sources de revenus. Ainsi, les jeunes NEET sortis récemment de l'enseignement supérieur avec un diplôme et ayant déjà travaillé passeront peu de temps dans la catégorie des NEET. Ces jeunes ont des ressources financières 2,5 à 3 fois plus élevées que les NEET sans diplôme et n'ayant jamais travaillé.
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Commissiriat général à l'égalité des territoires - Education et enseignement ... - 0 views

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    De 8,2 % à 27,8 %, c'est l'évolution de la part des plus de 25 ans non-scolarisés diplômés du supérieur en France métropolitaine entre 1982 et 2013. Les Français sont donc plus éduqués dans la moyenne mais les différences locales demeurent fortes, selon l'étude publiée par l'Observatoire des territoires fin janvier 2018. La répartition spatiale des diplômés n'a pas beaucoup évolué : - ils sont 32 % dans les gros pôles urbains - contre 17 % dans les communes isolées ; Le taux de maîtrise de la langue à l'entrée en 6e est très variable selon les académies et ces variations sont corrélées à la répartition géographique des difficultés socio-économiques. Dans les métropoles, "l'indice de Duncan" est supérieur à 50 % : cela signifie que plus de la moitié des élèves très favorisés devrait changer de collège pour parvenir à une situation de mixité avec les collégiens défavorisés.
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INSEE - Les ressources des 18-24 ans en 2014 - 0 views

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    "De fortes disparités liées à la situation résidentielle et aux parcours d'activité Laura Castell, Insee, Nathalie Missègue, Mickaël Portela, Raphaëlle Rivalin, Drees Les jeunes de 18 à 24 ans résidant en France disposent en moyenne sur l'année 2014 de 9 530 euros de ressources monétaires individuelles. D'après l'enquête nationale sur les ressources des jeunes, plus de la moitié de ce montant provient d'activités rémunérées, près d'un tiers de l'aide familiale et environ 15 % sont des prestations et aides sociales. Ceux qui ne vivent plus exclusivement chez leurs parents ont des ressources nettement plus élevées et moins dispersées que ceux qui y résident encore. Les jeunes adultes qui poursuivent des études durant toute l'année sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne quand ils résident dans le logement familial et 8 890 euros quand ils l'ont quitté. Les 18-24 ans qui occupent un emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. Enfin, les 18-24 ans qui sont inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année sont les moins favorisés : quand ils logent chez leurs parents, ils disposent en moyenne annuelle de 4 220 euros, contre 7 450 euros pour ceux qui résident dans leur propre logement. "
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KTO - Les 18-35 ans invités à Rome pour le Jubilé des jeunes ! - 0 views

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    "C'est déjà la dernière ligne droite pour s'inscrire au Jubilé des jeunes à Rome, dont les inscriptions se clôturent le 31 mars prochain ! Un million de jeunes du monde entier âgés de 18 à 35 ans sont attendus du 28 juillet au 3 août pour vivre de nombreux temps forts et franchir la Porte Sainte. Parmi eux, 25.000 Français... Comment s'inscrire ? Quels seront les temps forts de ce Jubilé ? Et comment la Conférence des évêques de France accompagnera-t-elle ce Jubilé ? Trois questions au père Julien Dupont, responsable du Jubilé des Jeunes pour la CEF, et à Christelle Rinaldi, chargée de mission pour le Jubilé des Jeunes."
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FORT DE FRANCE _ Journées Mondiales de la Jeunesse - Rameaux 2018 - 0 views

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    "La pastorale diocésaine des jeunes invite tous les jeunes de 15 à 35 ans au temps fort des Rameaux pour les 33èmes Journées Mondiales de la Jeunesse le dimanche 25 mars, de 13h à 17h30, à la paroisse Notre-Dame de l'Assomption de Sainte-Marie"
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Euractiv - Entre les jeunes et les extrêmes, le malentendu de l'Europe - 0 views

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    "La confiance des jeunes français dans la politique est en berne. Alors qu'ils sont massivement pro-européens, nombre d'entre eux se disent séduits par le discours de l'extrême-droite ou gauche. Déçus, lésés, désorientés, les jeunes Français réclament du changement. Face à un chômage élevé, et à la perception d'un fort niveau de corruption chez les politiques , ils ont tendance à se tourner vers les extrêmes : la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon ou le Front national de Marine Le Pen. Un comble chez une population qui se sent pourtant plus attachée à l'Europe que les générations précédentes. Selon un sondage Ifop-Fiducial datant du 14 avril, Jean-Luc Mélenchon obtiendrait 30 % des intentions de vote chez les 18-24 ans, suivi de près par Marine Le Pen avec 29 %, Emmanuel Macron n'occupant que la troisième place du podium avec 20 %. Cependant, d'après ce même sondage, seuls 55 % des jeunes sont sûrs de leur choix, les 18-24 ans étant la catégorie la plus indécise."
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The Conversation - La voix de la jeunesse aux urnes : perdue ou snobée ? - 0 views

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    "La montée du nationalisme dans l'ensemble de l'Union européenne et en Amérique du Nord a suscité de nombreux débats quant à son impact sur le commerce mondial, l'avenir des blocs commerciaux et le caractère fluctuant des politiques publiques. Mais au-delà, des deux côtés de l'Atlantique, on distingue un dénominateur commun : la voix de la jeunesse est largement ignorée. Certes, la France se démarque par un fort soutien des jeunes aux principaux candidats à l'élection présidentielle. Cependant, s'ils sont bien présents sur scène aux côtés des présidentiables durant cette campagne, cela signifie-t-il pour autant qu'ils seront écoutés demain ?"
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Aleteia- Jubilé des jeunes à Rome : plus de 15.000 Français attendus - 0 views

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    "Selon les derniers chiffres de la Conférence des évêques de France (CEF), ils sont déjà plus de 15.000  jeunes à s'être inscrits au Jubilé des Jeunes qui aura lieu à Rome du 28 juillet au 3 août prochains. Au programme, rencontres, veillées, prières, des moments forts à vivre pour ces milliers de jeunes du monde entier, en plein cœur de l'Année sainte."
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Paris - Week-end des Rameaux pour les 18-30 ans - Étudiants et Jeunes Pros - 0 views

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    "Le pèlerinage des jeunes d'Île-de-France a lieu chaque année durant le week-end des Rameaux, du samedi matin au dimanche après-midi. Cette année, ce sera les 1er et 2 avril. Découvre le programme de ce temps fort des jeunes 18-30 ans d'Île-de-France."
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INJEP - L'accès des jeunes avec moins d'opportunités à la mobilité internatio... - 1 views

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    L'accès des jeunes avec moins d'opportunités aux programmes de mobilité internationale dans un cadre non formel est progressivement devenu un objectif politique important au coeur des orientations du plan Priorité jeunesse en France comme des stratégies européennes de jeunesse et d'inclusion sociale. Néanmoins, la récente évaluation menée par l'INJEP dans le cadre du réseau européen Research-based Analysis of Youth in Action (RAY) 1 révèle une forte sélectivité du programme européen Jeunesse en action, actuellement Erasmus + Jeunesse. C'est dans ce contexte qu'une étude qualitative a été lancée en juin 2015 afin de mettre au jour et de comprendre les obstacles freinant l'accès des jeunes avec moins d'opportunités à la mobilité internationale dans un cadre non formel.
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Tous les garçons et les filles du sondage - Libération - 0 views

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    "Après le portrait vient l'autoportrait. Sur le site de France 2, «Génération Quoi, la grande enquête sur les 18-34 ans» propose aux internautes de répondre à une série de questions, dans l'objectif noble de permettre à cette tranche d'âge de dire elle-même qui elle est. A l'instar du documentaire, le questionnaire a été établi avec l'aide de sociologues spécialisés sur ces questions, sur 21 thèmes allant du sexe à l'emploi. «Fais-tu confiance à la police ? Oui ou non ?» «En période de fort chômage, les emplois devraient être réservés en priorité aux jeunes… D'accord ou pas d'accord ?» «Un couple homo qui se roule une pelle dans la rue, ça me choque, ça me choque pas», sont pêle-mêle proposées à l'écran."
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