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L'insertion des jeunes sur le marché du travail : l'emploi est majoritaire ch... - 0 views

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    "En moyenne sur 2013-2015, 68 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 17 % au chômage et les autres sont inactifs. L'insertion des jeunes sur le marché du travail est progressive et inégale selon le niveau de diplôme. Ainsi, 82 % des jeunes sortants diplômés du supérieur sont en emploi, contre seulement 31 % des non-diplômés. Ces derniers sont plus nombreux à être inactifs (37 %). Les jeunes femmes sont plus souvent inactives que les hommes, en particulier parmi les moins diplômés. Parmi les jeunes sortants actifs, la moitié des non-diplômés sont au chômage, contre un quart pour les diplômés du secondaire et un sur dix pour les diplômés du supérieur. Les jeunes femmes actives sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins (19 % contre 22 %), cela s'explique notamment par le fait qu'elles sont en moyenne plus diplômées. Le taux de chômage des jeunes actifs sortis depuis 1 à 4 ans a fortement augmenté pendant la crise de 2008-2009, plus que celui des actifs présents depuis plus longtemps sur le marché du travail. Depuis, il s'est globalement stabilisé autour de 20 % pour les sortants récents alors qu'il a continué d'augmenter pour les plus anciens. Les conditions d'emploi des jeunes sortants sont moins favorables lorsqu'ils sont moins diplômés. Ainsi, 58 % des jeunes sortants non diplômés qui travaillent occupent un emploi temporaire et 22 % sont en situation de sous-emploi, contre respectivement 25 % et 6 % des diplômés du supérieur long. Les conditions d'emploi des femmes sont également moins favorables que celles des hommes. D'une année sur l'autre, lorsqu'ils quittent un emploi temporaire, les jeunes sortants diplômés du supérieur accèdent deux fois plus fréquemment que les non-diplômés à l'emploi stable. De même, lorsqu'ils sont au chômage, ils ont deux fois plus de chances d'être en emploi un an après que les non-diplômés. E
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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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Insee - Formations et emploi Edition 2018 - 0 views

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    Les jeunes ont de plus en plus de mal à s'insérer sur le marché du travail, d'après l'édition 2018 "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. Le phénomène s'explique par la conjoncture, mais pourrait aussi être le signe d'une transformation plus durable des modalités d'emploi des jeunes. L'insertion professionnelle des jeunes est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort de l'édition 2018 de "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. En 2016, le taux de chômage des jeunes ayant terminé leurs études initiales depuis un à quatre ans s'élève ainsi à 19,8%. Il atteint 8% seulement pour ceux ayant plus de dix ans d'ancienneté. Les jeunes sortants sont aussi plus nombreux à appartenir au "halo autour du chômage" explique l'Insee : 6,4% des jeunes ayant terminé leurs études depuis un à quatre ans sont inactifs mais souhaitent travailler, contre 3,7% des personnes de moins de 60 ans ayant achevé leurs études depuis onze ans ou plus. Les emplois qu'ils obtiennent sont aussi moins favorables : il s'agit de "sous-emploi" pour 10,4% des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale (temps partiel pour des personnes souhaitant travailler un plus grand nombre d'heures), contre 5,9% pour les jeunes au-delà de dix ans d'ancienneté sur le marché du travail. Les contrats à durée déterminée, l'apprentissage ou l'intérim, soit des emplois à durée limitée, sont plus fréquents aussi pour cette population : 35,5% contre 7,6%. Et les salaires moins élevés : 1.390 euros contre 1.730 euros. Et ces différences se constatent à niveau de qualification quasiment égal. L'étude révèle par ailleurs que la part des bacheliers dans une génération a progressé depuis 2010. Elle atteint 79% toutes filières confondues en 2017, soit 14 points de plus entre 2010 et 2017. Le nombre de diplômes délivrés dans le supérieur s'est également accru : le nombre de diplômés de niveau bac+5 a ainsi augmenté de 40%.
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Insee - 45 % des jeunes en emploi considèrent que leurs études les aident bea... - 0 views

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    "En 2016, 45 % des jeunes âgés de 15 à 34 ans ayant terminé leurs études et en emploi estiment que leurs études sont très utiles pour accomplir les tâches demandées dans leur travail. À l'opposé, 33 % considèrent que leurs études sont très peu utiles, voire pas du tout utiles, dans leur travail actuel. De même que les chances d'accès à l'emploi, le sentiment d'utilité des études est globalement croissant avec le niveau de diplôme : parmi les jeunes en emploi, 14 % de ceux qui ont au plus le brevet des collèges jugent leurs études très utiles pour leur emploi ; cette part est de 38 % pour les diplômés du secondaire et de 57 % pour les diplômés du supérieur. Le ressenti dépend également du domaine de spécialisation des études suivies et du niveau de qualification de l'emploi occupé. Parmi ceux qui jugent que leurs études ne les aident pas du tout dans leur emploi, près d'un quart souhaitent changer d'emploi. Cette part est deux fois plus faible pour ceux qui les considèrent très utiles."
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DARES - Emploi et chômage des 15-29 ans en 2015 : un jeune sur dix au chômage - 0 views

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    En 2015, 53,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en France : 43,2 % occupent un emploi et 10,1 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,9 %. 14,7 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation (part de « NEET »). Après s'être nettement dégradés suite à la crise de 2008, ces indicateurs ont peu varié de début 2013 à fin 2015. La part et le taux de chômage des jeunes ont baissé d'environ un demi-point, mais la part des jeunes sans emploi ni formation s'est accrue d'autant. Sur la même période, le taux d'emploi des 15-29 ans s'est stabilisé. 13,5 % des jeunes en cours d'études initiales travaillent, une proportion stable depuis fin 2007. Parmi ceux qui ont terminé leurs études initiales, les deux tiers sont en emploi en 2015. La situation des jeunes sur le marché du travail est très différente selon l'âge. Les parts de NEET et de chômage sont nettement plus faibles pour les 15-24 ans que pour les 25-29 ans mais, à l'inverse, concernant les taux d'emploi, de chômage et la part des contrats temporaires, la situation est plus favorable pour les 25-29 ans que pour les 15-24 ans. Ainsi, moins d'un salarié de 25 à 29 ans sur quatre est en contrat temporaire, contre plus d'un sur deux entre 15 et 24 ans.
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INSEE - À 18-19 ans, la moitié des jeunes envisagent leur avenir professionne... - 2 views

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    "Ils ont en commun d'être entrés en 6e en septembre 2007. Huit ans après, âgés pour la plupart de 18-19 ans, 45 % de ces jeunes entament des études supérieures, 30 % restent scolarisés dans le secondaire et 25 % ont quitté, à titre définitif ou provisoire, l'école. Le niveau d'acquis à l'entrée en 6e est déterminant sur la situation à 18-19 ans. Pour ceux qui ont déjà arrêté leurs études, peu diplômés, l'accès et les conditions d'emploi sont difficiles : seuls 37 % occupent un emploi, le plus souvent temporaire (CDD, intérim). L'essentiel de ces jeunes vivent encore chez leurs parents, même quand ils ont un emploi (78 %). À cet âge, les étudiants sont les plus nombreux à habiter dans leur propre logement la semaine pour se rapprocher de leur lieu d'études (44 %). Cependant, leur décohabitation peut n'être que partielle et passe très souvent par l'aide financière des familles. Un peu plus d'un étudiant de 18-19 ans sur dix occupe un emploi. Dans la moitié des cas, cet emploi est lié à sa formation. Encore peu engagés vers l'autonomie, ces jeunes de 18-19 ans n'expriment pas souvent des difficultés pour trouver un logement, se déplacer ou payer leurs dépenses courantes. Une petite majorité d'entre eux (53 %) se déclarent plutôt optimistes pour leur avenir professionnel et un sur cinq (21 %) plutôt inquiets, les autres ne se prononçant pas. "
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Telos - Que peut faire Macron pour les jeunes - 0 views

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    "Plusieurs déclarations gouvernementales touchant plus ou moins aux questions de la jeunesse ont alimenté ces dernières semaines l'actualité politique, qu'il s'agisse des aides au logement (dont bénéficient massivement les étudiants), des emplois aidés ou de la sélection à l'université. Une première remarque : lancées à l'emporte-pièce, et sans qu'apparaisse pour le moment une cohérence ou un plan d'ensemble, ces annonces sont politiquement dangereuses. Les jeunes en France, on le sait depuis longtemps (tout le monde garde le souvenir du crash du CPE de Dominique de Villepin), sont une matière hautement inflammable. Attachés aux symboles de l'égalité (même lorsque ces derniers masquent l'inégalité réelle), les jeunes peuvent rapidement succomber à des réflexes protestataires dès lors qu'ils sont attisés par des organisations qui savent par quel bout les prendre. Pourtant l'inaction serait pire que tout car les jeunes ont été bien mal servis par le gouvernement précédent qui avait choisi la facilité de politiques dont tout le monde sait depuis longtemps qu'elles sont inefficaces (les emplois aidés dans le secteur non marchand), mais qui pouvaient donner le sentiment à l'opinion qu'on dépensait beaucoup d'argent pour les jeunes et que donc on s'occupait d'eux. On a déjà dit dans ces colonnes que ces politiques, qui en réalité éloignent les jeunes du marché du travail réel, ne leur rendent pas vraiment service. D'ailleurs les réactions aux annonces de baisse des emplois aidés en sont presque la preuve. Qui proteste en effet ? Les jeunes ? Que nenni, ce sont les associations ou les collectivités locales qui se plaignent de perdre une main d'œuvre bon marché. Mais les emplois aidés ont-ils été conçus pour les associations, les collectivités locales ou pour les jeunes ?"
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Dares - Les jeunes ni en études, ni en emploi, ni en formation (NEET) : quels... - 0 views

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    En 2018, 963 000 jeunes âgés de 16 à 25 ans ne sont ni en études, ni en emploi, ni en formation - Not in Education, Employment or Training (NEET) -, selon la définition d'Eurostat. Ce nombre a baissé ces dernières années : il s'élevait à 1 025 000 jeunes NEET en 2015. En 2018, ils représentent 12,9 % des jeunes de cette classe d'âge et 27,9 % des jeunes qui ont terminé leur formation initiale, contre respectivement 13,7 % et 29,4 % en 2015. Les jeunes NEET sont moins diplômés, vivent plus souvent chez leurs parents et ont plus fréquemment un handicap reconnu que les autres jeunes. 63 % des jeunes NEET sont en contact avec le service public de l'emploi ou un autre organisme d'insertion. Ces jeunes ayant entrepris une démarche d'insertion ont plus souvent été en emploi au cours des douze mois précédents, tandis que les autres étaient plus souvent en études. 48 % des jeunes NEET sont sans emploi ni formation depuis un an ou plus. Ces jeunes NEET de longue durée sont moins diplômés que la moyenne des NEET et cumulent les difficultés socio-économiques. Ils sont 56 % à être en contact avec le service public de l'emploi. En 2018, 53 % des jeunes NEET sont chômeurs au sens du BIT, c'est-à-dire qu'ils souhaitent et recherchent activement un travail et sont prêts à l'occuper dans un court délai. Les autres sont inactifs. Parmi les jeunes NEET inactifs, deux tiers ne souhaitent pas travailler, pour une partie d'entre eux pour des raisons de garde d'enfant ou d'aide auprès d'une personne dépendante, ou d'un état de santé dégradé.
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Les jeunes diplômés devraient dire non aux emplois inférieurs à leurs compéte... - 0 views

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    "Pour les jeunes diplômés, accepter le premier emploi qui s'offre à eux et entrer ainsi sur le marché du travail semble souvent être la meilleure option. Une étude montre cependant qu'attendre de trouver un emploi qui correspond à ses compétences permet de mieux réussir sur le long terme."
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Dares - Les jeunes en emploi d'avenir : quel accès à la formation, pour quels... - 0 views

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    Créés en 2012, les emplois d'avenir ont pour objectif de faciliter l'insertion sur le marché du travail des jeunes peu ou pas qualifiés en leur proposant un emploi à temps plein de longue durée incluant un projet de formation. Un an après la signature de leur contrat, 3 jeunes sur 4 en emploi d'avenir ont bénéficié d'une formation et 1 jeune sur 2 d'une formation certifiante. Cet accès plus facile à la certification résulte d'un effort de formation qui bénéficie notamment aux non-diplômés et aux plus jeunes. Elle passe en particulier par l'accès à des habilitations et des permis. Les jeunes formés ont passé 26 jours en moyenne en formation pendant la première année. Toutefois, la durée en formation varie fortement selon le niveau de qualification préparé, les métiers et le sexe des jeunes. Plus diplômées, les jeunes femmes accèdent moins souvent à une formation certifiante.
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DARES - Les activités rémunérées des étudiants : quelles formes et quelle org... - 0 views

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    En moyenne de 2013 à 2015, parmi les 2,4 millions de jeunes âgés de 18 à 29 ans qui suivent des études dans l'enseignement supérieur, près de 23 % sont actifs au sens du Bureau international du travail (BIT). L'activité rémunérée d'un étudiant est particulière en raison du cumul de l'emploi et des études. Le taux et les formes d'emploi des étudiants varient en fonction du calendrier des études. Les étudiants qui travaillent déclarent majoritairement choisir d'occuper des contrats courts (CDD, contrat saisonnier ou contrat d'intérim) ou des emplois à temps partiel. Par ailleurs, les emplois revêtent de nombreuses formes dont le principal critère de différenciation est le lien avec les études. Parmi les étudiants qui travaillent, plus de la moitié exerce une activité prévue par leurs études (stage, apprentissage, internat de médecine, etc.). Les autres exercent une activité sans lien avec leurs études, occasionnellement ou régulièrement au long de l'année. Ces activités non liées aux études correspondent plus souvent à des emplois moins qualifiés et à temps partiel. Elles peuvent néanmoins représenter une charge horaire lourde et contraignante vis-à-vis du temps requis par les études, en particulier lorsque l'activité est régulière.
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IPSOS - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    L'association NQT - « Nos quartiers ont des talents », qui est engagée pour l'égalité vers l'emploi des jeunes diplômés issus de milieux défavorisés depuis 11 ans, a réalisé avec Ipsos une enquête exclusive pour faire un point actualisé sur les besoins de ces jeunes. Cette étude confirme l'expérience de terrain de NQT. Le diplôme est toujours considéré comme important mais ne suffit pas pour décrocher un emploi. Avoir du réseau s'avère nécessaire pour trouver un emploi. Il s'agit même de la condition de réussite citée en premier par les jeunes à la recherche d'un emploi, ou les jeunes issus de milieu « très modeste ». Loin des clichés véhiculés sur cette génération, 91 % des jeunes considèrent qu'avoir un travail que l'on apprécie est une condition essentielle pour être heureux, mais seulement 54% d'entre eux croient encore dans l'ascenseur social en France et encore moins parmi les jeunes issus de milieux défavorisés. Plus de la moitié d'entre eux ont le sentiment de ne pas avoir accès aux bons interlocuteurs pour les aider dans leur vie professionnelle. Or, le parrainage des jeunes diplômés est identifié comme une mesure efficace par 75% d'entre eux. Plus de 8 étudiants ou demandeurs d'emploi sur 10 aimeraient d'ailleurs pouvoir bénéficier d'un parrain pour les accompagner dans leur recherche d'emploi.
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Dares - La Garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ? - 0 views

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    Entre octobre 2013 et juillet 2018, 229 000 jeunes ont intégré la Garantie jeunes. Conformément à la cible du dispositif, ces jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation au moment de l'entrée en Garantie jeunes connaissaient une situation économique et sociale précaire et présentaient des freins importants à l'emploi. Ils étaient peu diplômés (la moitié d'entre eux n'a pas validé une formation de niveau CAP-BEP) et la plupart d'entre eux étaient déjà suivis par la mission locale au moment de leur entrée en Garantie jeunes. L'accompagnement en Garantie jeunes est intensif, en particulier au cours des deux premiers mois. Les jeunes assistent à de nombreux ateliers et, selon la logique du « work first », réalisent de nombreuses immersions en entreprises. Ils touchent en moyenne 3 900 euros d'allocation au cours de l'accompagnement, qui dure en moyenne 11 mois en Garantie jeunes. L'emploi progresse parmi les jeunes bénéficiaires après l'entrée en Garantie jeunes, en particulier l'emploi durable. 29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l'entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois. L'évaluation de l'impact de la Garantie jeunes sur les trajectoires d'emploi des bénéficiaires montre qu'elle aurait augmenté le taux d'emploi des bénéficiaires de 10 points 11 mois après l'entrée en dispositif. Cet effet perdure dans les mois qui suivent la sortie de l'accompagnement et correspond essentiellement à une augmentation du taux d'accès à l'emploi durable.
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Centre d'observation de la société - L'empreinte de la précarité chez les jeu... - 0 views

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    "Depuis le milieu des années 1980, la part de jeunes sortis depuis moins de cinq années du système éducatif qui occupent un emploi précaire a été multipliée par deux, passant de 17 % à 35,5 % des jeunes en emploi, selon l'Insee 1. Cette évolution n'a été ni linéaire, ni équivalente en fonction des niveaux de qualification des jeunes mais elle attise les tensions sociales chez les jeunes."
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DREES - Devenir adulte : comment évoluent les ressources ? - 0 views

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    Ce dossier propose une analyse descriptive de la composition des ressources des jeunes de 18 à 24 ans, à partir de l'enquête nationale sur les ressources des jeunes 2014 (ENRJ 2014, DREES-INSEE), autour des trois types de ressources : les revenus issus de la sphère domestique, les revenus du travail et ceux provenant des transferts sociaux. En France, les jeunes de 18 à 24 ans reçoivent en propre 770 euros en moyenne par mois fin 2014, issus du travail, des transferts et aides des familles, et de l'aide sociale publique. Entre 18 et 24 ans, le montant moyen reçu augmente fortement, passant de 430 euros à 1 120 euros. La composition des ressources des jeunes évolue assez linéairement entre ces deux âges, avec notamment une substitution progressive entre les ressources issues du travail et celles issues de la famille. La sphère du travail prend une place de plus en plus importante. Elle représente 29 % des ressources à 18 ans et 77 % à 24 ans. À l'inverse, l'aide financière régulière des parents se restreint, passant de 53 % de l'ensemble des ressources à 18 ans à 7 % à 24 ans. Les étudiants qui ont eu une activité au cours de l'année 2014, en dehors des vacances scolaires, ont des revenus du travail de 4 290 euros par an en moyenne, soit environ 360 euros par mois. Ce montant est de 3 320 euros en incluant dans le champ les étudiants qui ne travaillent que pendant les vacances scolaires, soit moins de 300 euros par mois. Pour la moitié des étudiants ces revenus annuels liés au travail sont inférieurs à 2 720 euros. La moitié (49 %) des 18-24 ans ne sont plus en études et sont en phase d'insertion sur le marché du travail. Parmi les étudiants sortis de formation initiale selon l'ENRJ, 58 % se déclarent en emploi fin 2014, 33 % au chômage et 9 % en inactivité en dehors des études. S'ils sont en emploi, ils perçoivent des revenus du travail fin 2014 qui s'élèvent en moyenne à 1 230 euros par mois. Dès ce
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Jeunes: 45.000 emplois d'avenir supplémentaires - Le Figaro Étudiant - 0 views

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    "Le ministre du Travail, François Rebsamen a annoncé mardi 3 juin la création de 45.000 emplois d'avenir supplémentaires pour 2014. Cette décision s'ajoute aux 50.000 contrats aidés qui étaient prévus à l'origine. "
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Emploi: le parcours du combattant des jeunes issus de l'immigration - 0 views

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    "Les moins de 25 ans issus de familles africaines éprouvent plus de difficultés que les autres à faire des études et à décrocher un emploi stable, selon une étude de France Stratégie."
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Qu'est-ce que les jeunes des grandes écoles attendent de leur emploi ? - 0 views

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    "Dans le cadre du Prix de l'Entrepreneur Social dont la 9e édition se déroulera le 3 février, Ipsos, la Conférence des grandes écoles (CGE) et le Boston Consulting Group (BCG) publient aujourd'hui les conclusions de leur consultation inédite auprès des jeunes des Grandes écoles concernant leurs attentes professionnelles : « Talents : ce qu'ils attendent de leur emploi. Et si l'Economie Sociale et Solidaire était une solution ? »."
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DEPP - Le diplôme et la conjoncture économique demeurent déterminants dans l'... - 0 views

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    En février 2018, sept mois après leur sortie d'un centre de formation d'apprentis, 72 % des jeunes ayant suivi des études de niveau CAP à BTS ont un emploi, soit 3 points de plus qu'en 2017 et 7 points de plus qu'en 2016. Le taux d'emploi retrouve un niveau similaire à celui de 2008. Parmi eux, un peu plus de la moitié a un contrat à durée indéterminée. Quel que soit le niveau de formation, sortir du système éducatif après avoir obtenu le diplôme préparé demeure déterminant pour l'insertion des jeunes. L'écart des taux d'insertion selon ce critère est en moyenne de 17 points : 76 % des sortants diplômés sont en emploi contre 59 % des jeunes sortis en année terminale d'un cursus sans obtenir le diplôme.
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Cereq - Accès des jeunes femmes et des jeunes hommes aux emplois cadres, une ... - 0 views

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    "Pour la première fois, en 2013, la part de jeunes femmes qui occupaient, trois ans après leur entrée sur le marché du travail, un emploi de cadre, est devenue équivalente à celle des jeunes hommes. Pour autant, leur accès aux postes de cadres en début de vie professionnelle n'est toujours pas à la mesure de l'importance de leur investissement éducatif. L'évolution de leur niveau de diplôme est supérieure au rattrapage qu'elles opèrent en accédant plus massivement qu'auparavant à l'emploi cadre."
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