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Home/ Etudiants & Jeunes professionnels/ Group items tagged Jeune

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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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IFOP - Regards croisés sur l'information et la prévention du sida sentre les ... - 0 views

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    Le suivi barométrique de l'Ifop pour Sidaction fait état en 2017 d'une baisse du sentiment d'information sur le VIH / sida combinée à une légère remontée de la vigilance des jeunes à l'égard des risques de propagation de la maladie. Les personnes âgées de 15 à 24 ans se montrent ainsi plus attentives aux dangers du VIH / sida que l'ensemble de la population, parmi laquelle l'impression que le risque d'être contaminé est minime trouve un écho. Le sentiment d'information sur le sida se dégrade par rapport à 2016 et 2014. 79% des jeunes estiment être bien informés sur le VIH (-3 points par rapport à 2016 et -10 points par rapport à 2014), soit une proportion au plus bas depuis 2009. Le sentiment d'information des jeunes rejoint celui de l'ensemble des Français, qui se situe également à 79% des personnes interrogées. D'une manière plus détaillée, les interviewés se sentent de moins en moins bien informés sur l'existence d'un traitement d'urgence en cas de relation sexuelle non protégée (44%, -3 par rapport à 2016). A l'inverse, de plus en plus de jeunes se déclarent bien au fait sur le traitement prescrit aux personnes séropositives (41%, +2). L'état des connaissances sur le VIH de l'ensemble de la population rejoint globalement celles observées chez ces jeunes générations. Les Français sont par exemple moins bien informés sur l'existence et l'intérêt des préservatifs féminins (56%, < de 6 points par rapport aux jeunes). Ils sont à l'inverse plus au fait de l'existence d'autotest de dépistage du VIH (51%, > de 6 points). A l'instar des enseignements de l'étude de 2016, il apparaît toujours nécessaire de maintenir un niveau d'information élevé chez les jeunes sur l'épidémie du sida, les risques associés et les traitements existants. La lecture des résultats pour différents indicateurs sur les représentations associées au sida fait état de la persistance d'id
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DREES - Devenir adulte : comment évoluent les ressources ? - 0 views

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    Ce dossier propose une analyse descriptive de la composition des ressources des jeunes de 18 à 24 ans, à partir de l'enquête nationale sur les ressources des jeunes 2014 (ENRJ 2014, DREES-INSEE), autour des trois types de ressources : les revenus issus de la sphère domestique, les revenus du travail et ceux provenant des transferts sociaux. En France, les jeunes de 18 à 24 ans reçoivent en propre 770 euros en moyenne par mois fin 2014, issus du travail, des transferts et aides des familles, et de l'aide sociale publique. Entre 18 et 24 ans, le montant moyen reçu augmente fortement, passant de 430 euros à 1 120 euros. La composition des ressources des jeunes évolue assez linéairement entre ces deux âges, avec notamment une substitution progressive entre les ressources issues du travail et celles issues de la famille. La sphère du travail prend une place de plus en plus importante. Elle représente 29 % des ressources à 18 ans et 77 % à 24 ans. À l'inverse, l'aide financière régulière des parents se restreint, passant de 53 % de l'ensemble des ressources à 18 ans à 7 % à 24 ans. Les étudiants qui ont eu une activité au cours de l'année 2014, en dehors des vacances scolaires, ont des revenus du travail de 4 290 euros par an en moyenne, soit environ 360 euros par mois. Ce montant est de 3 320 euros en incluant dans le champ les étudiants qui ne travaillent que pendant les vacances scolaires, soit moins de 300 euros par mois. Pour la moitié des étudiants ces revenus annuels liés au travail sont inférieurs à 2 720 euros. La moitié (49 %) des 18-24 ans ne sont plus en études et sont en phase d'insertion sur le marché du travail. Parmi les étudiants sortis de formation initiale selon l'ENRJ, 58 % se déclarent en emploi fin 2014, 33 % au chômage et 9 % en inactivité en dehors des études. S'ils sont en emploi, ils perçoivent des revenus du travail fin 2014 qui s'élèvent en moyenne à 1 230 euros par mois. Dès ce
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Dares - Les jeunes ni en études, ni en emploi, ni en formation (NEET) : quels... - 0 views

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    En 2018, 963 000 jeunes âgés de 16 à 25 ans ne sont ni en études, ni en emploi, ni en formation - Not in Education, Employment or Training (NEET) -, selon la définition d'Eurostat. Ce nombre a baissé ces dernières années : il s'élevait à 1 025 000 jeunes NEET en 2015. En 2018, ils représentent 12,9 % des jeunes de cette classe d'âge et 27,9 % des jeunes qui ont terminé leur formation initiale, contre respectivement 13,7 % et 29,4 % en 2015. Les jeunes NEET sont moins diplômés, vivent plus souvent chez leurs parents et ont plus fréquemment un handicap reconnu que les autres jeunes. 63 % des jeunes NEET sont en contact avec le service public de l'emploi ou un autre organisme d'insertion. Ces jeunes ayant entrepris une démarche d'insertion ont plus souvent été en emploi au cours des douze mois précédents, tandis que les autres étaient plus souvent en études. 48 % des jeunes NEET sont sans emploi ni formation depuis un an ou plus. Ces jeunes NEET de longue durée sont moins diplômés que la moyenne des NEET et cumulent les difficultés socio-économiques. Ils sont 56 % à être en contact avec le service public de l'emploi. En 2018, 53 % des jeunes NEET sont chômeurs au sens du BIT, c'est-à-dire qu'ils souhaitent et recherchent activement un travail et sont prêts à l'occuper dans un court délai. Les autres sont inactifs. Parmi les jeunes NEET inactifs, deux tiers ne souhaitent pas travailler, pour une partie d'entre eux pour des raisons de garde d'enfant ou d'aide auprès d'une personne dépendante, ou d'un état de santé dégradé.
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Dares - La Garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ? - 0 views

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    Entre octobre 2013 et juillet 2018, 229 000 jeunes ont intégré la Garantie jeunes. Conformément à la cible du dispositif, ces jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation au moment de l'entrée en Garantie jeunes connaissaient une situation économique et sociale précaire et présentaient des freins importants à l'emploi. Ils étaient peu diplômés (la moitié d'entre eux n'a pas validé une formation de niveau CAP-BEP) et la plupart d'entre eux étaient déjà suivis par la mission locale au moment de leur entrée en Garantie jeunes. L'accompagnement en Garantie jeunes est intensif, en particulier au cours des deux premiers mois. Les jeunes assistent à de nombreux ateliers et, selon la logique du « work first », réalisent de nombreuses immersions en entreprises. Ils touchent en moyenne 3 900 euros d'allocation au cours de l'accompagnement, qui dure en moyenne 11 mois en Garantie jeunes. L'emploi progresse parmi les jeunes bénéficiaires après l'entrée en Garantie jeunes, en particulier l'emploi durable. 29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l'entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois. L'évaluation de l'impact de la Garantie jeunes sur les trajectoires d'emploi des bénéficiaires montre qu'elle aurait augmenté le taux d'emploi des bénéficiaires de 10 points 11 mois après l'entrée en dispositif. Cet effet perdure dans les mois qui suivent la sortie de l'accompagnement et correspond essentiellement à une augmentation du taux d'accès à l'emploi durable.
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Centre d'études de l'emploi - La Garantie jeunes en action. Usages du disposi... - 0 views

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    "Ce rapport est le résultat d'une évaluation menée entre avril 2015 et mai 2016 auprès de personnes ayant intégré la Garantie jeunes. Il analyse les effets de ce dispositif sur les parcours d'insertion sociale et professionnelle de ces jeunes. Le protocole d'enquête s'appuie sur une démarche sociologique : une centaine d'entretiens a été menée auprès des jeunes et des professionnels ainsi qu'une vingtaine d'observations au sein des missions locales (partie 1). En recueillant des éléments sur les parcours biographiques des jeunes (partie 2), en observant le fonctionnement du dispositif au sein des missions locales, et notamment la rencontre entre la proposition institutionnelle de la Garantie jeunes et sa réception par les jeunes (partie 3), et en mesurant les résultats de cet accompagnement sur leur parcours (partie 4), le rapport propose un cadre d'analyse permettant de mieux comprendre comment fonctionne ce dispositif original et ce qu'il produit sur le public étudié. Trois principaux résultats structurent le rapport. Le premier montre que les jeunes enquêté(e)s correspondent à la cible visée. Ce sont des NEETs (Not in Education, Employment and Training) « vulnérables », qui cumulent des difficultés sociales, familiales, économiques et scolaires. Le deuxième résultat montre que le dispositif fonctionne comme une rencontre entre une proposition institutionnelle et des jeunes qui donne lieu à quatre catégories d'interaction : « mobilisation », « occupation », « intermédiation », « démobilisation ». Le dernier résultat permet de présenter trois types de parcours vis-à-vis de l'emploi : un groupe rassemble des parcours qui se caractérisent par des formes d'insertion dans l'emploi (précaire) ; un autre groupe réunit des jeunes qui se préparent à l'emploi, tandis que les parcours des autres sont dits « empêchés ». Pour ce dernier groupe, la logique du workfirst échoue, car les jeunes son
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Evaluation qualitative du Revenu Contractualisé d Autonomie (RCA) - 0 views

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    "De nombreux jeunes inscrits dans les missions locales (ML) éprouvent des difficultés d'insertion durable en dépit de l'offre de services dont ils peuvent disposer. C'est en particulier le cas des jeunes inscrits en contrat d'insertion dans la vie sociale (CIVIS), qui, pour certains d'entre eux, interrompent leur contrat. Parmi les raisons avancées pour expliquer ces difficultés d'insertion des jeunes, deux reviennent fréquemment : la première est l'existence de contraintes financières pour les jeunes ; la seconde est le manque d'adhésion au parcours d'insertion proposé par les missions locales. Le dispositif expérimental de Revenu Contractualisé d'Autonomie (RCA) avait pour projet d'agir simultanément sur ces deux aspects en atténuant les contraintes financières subies par le jeune, et en incitant les jeunes à s'engager durablement, par le biais d'un contrat qui prévoit la conditionnalité des versements à l'engagement dans une action d'insertion. Les questions qui se posent sur ce programme sont les suivantes : le programme permet-il un accès et un maintien en emploi durable ? La participation au programme permet-elle au jeune de s'inscrire durablement dans un parcours d'insertion ? Le desserrement de la contrainte financière conduit-il à des dépenses différentes du jeune ? Une dernière question est relative à l'effet d'appel d'air du dispositif. Le fait de donner une prime mensuelle de 250 € à des jeunes s'ils entrent en RCA a de grandes chances d'attirer, en cas de généralisation, une population différente de celle qui s'inscrivait en CIVIS. Le protocole évaluatif a consisté en trois enquêtes quantitatives auprès des jeunes et deux vagues d'enquête qualitative auprès des jeunes et des professionnels des missions locales, (à l'entrée dans le dispositif, un an après l'entrée dans le dispositif, deux ans et demi après l'entrée dans le dispositif). Cette évaluation est menée en collaboration avec l'Ecole dâ€
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L'insertion des jeunes sur le marché du travail : l'emploi est majoritaire ch... - 0 views

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    "En moyenne sur 2013-2015, 68 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 17 % au chômage et les autres sont inactifs. L'insertion des jeunes sur le marché du travail est progressive et inégale selon le niveau de diplôme. Ainsi, 82 % des jeunes sortants diplômés du supérieur sont en emploi, contre seulement 31 % des non-diplômés. Ces derniers sont plus nombreux à être inactifs (37 %). Les jeunes femmes sont plus souvent inactives que les hommes, en particulier parmi les moins diplômés. Parmi les jeunes sortants actifs, la moitié des non-diplômés sont au chômage, contre un quart pour les diplômés du secondaire et un sur dix pour les diplômés du supérieur. Les jeunes femmes actives sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins (19 % contre 22 %), cela s'explique notamment par le fait qu'elles sont en moyenne plus diplômées. Le taux de chômage des jeunes actifs sortis depuis 1 à 4 ans a fortement augmenté pendant la crise de 2008-2009, plus que celui des actifs présents depuis plus longtemps sur le marché du travail. Depuis, il s'est globalement stabilisé autour de 20 % pour les sortants récents alors qu'il a continué d'augmenter pour les plus anciens. Les conditions d'emploi des jeunes sortants sont moins favorables lorsqu'ils sont moins diplômés. Ainsi, 58 % des jeunes sortants non diplômés qui travaillent occupent un emploi temporaire et 22 % sont en situation de sous-emploi, contre respectivement 25 % et 6 % des diplômés du supérieur long. Les conditions d'emploi des femmes sont également moins favorables que celles des hommes. D'une année sur l'autre, lorsqu'ils quittent un emploi temporaire, les jeunes sortants diplômés du supérieur accèdent deux fois plus fréquemment que les non-diplômés à l'emploi stable. De même, lorsqu'ils sont au chômage, ils ont deux fois plus de chances d'être en emploi un an après que les non-diplômés. E
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Fage - Enquête FAGE-IPSOS - Les jeunes face à la crise : l'urgence d'agir ! - 0 views

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    "Cette enquête réalisée pour la FAGE par l'institut IPSOS vient mettre en lumière une réalité alarmante. Difficultés à s'acheter à manger, difficultés à payer son loyer, renoncement aux soins … Les conséquences du confinement sur les ressources financières des jeunes sont nombreuses et graves. La FAGE avait alerté le gouvernement dès le début de la crise, mais les réponses ont tardé à arriver et ont, pour certaines, étaient insuffisantes. Ce sont ainsi des milliers de jeunes qui ont dû se tourner vers des aides alimentaires mises en place par les associations étudiantes du réseau de la FAGE et par d'autres structures de solidarité. Ce renforcement de la précarité s'explique notamment par la perte d'une activité rémunérée, pendant le confinement et au-delà. Cette situation de précarité ne s'est pas arrêtée après le déconfinement, loin de là. Les jeunes, très incertains face à leur avenir, ont besoin de réponse forte de la part du gouvernement. Les étudiants, qui ont pour certains revus leur projet d'orientation à la baisse doivent recevoir un soutien supplémentaire pour la rentrée. Il est urgent de réformer le système de bourses, de baisser la tarification de la restauration sociale, de renforcer des dispositifs comme l'aide à la mobilité … Pour les jeunes actifs et à la recherche d'un emploi, la crise qui s'annonce, avec la contraction de l'emploi, de l'intérim, des petits boulots, va accroître encore ces situations de pauvreté, en creusant inévitablement les inégalités. Ce sont des centaines de milliers de jeunes, diplômés ou pas ou peu qualifiés qui vont se trouver sans ressources et sans filet de sécurité. Les jeunes attendent une réponse à la hauteur : il est temps de créer un véritable droit à l'accompagnement, financier et humain. Cela doit notamment passer par l'ouverture du RSA au 18-25 ans, et en garantissant un accompagnement à toutes et à tous. Au-delà de lâ€
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Crédoc - Quelques éléments sur l'opinion des Français sur l'orientation des j... - 0 views

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    "Une évolution des représentations genrées vers une plus grande parité : - En cinq ans, les conseils que l'on donnerait aux jeunes filles ou aux jeunes garçons se ressemblent davantage - Les jeunes sont plus conscients de l'effet des normes sociales sur l'orientation que leurs ainés - Les jeunes filles sont très attentives aux enjeux de rémunération qui les concernent Mais des écarts qui persistent : * L'attention à la conciliation de la vie familiale/professionnelle reste davantage conseillée aux jeunes filles * L'importance de l'avenir du secteur est beaucoup moins conseillée aux jeunes filles, y compris par les foyers de hauts revenus qui y sont pourtant plus sensibles * Les jeunes garçons restent quant à eux soumis à une plus forte pression à l'autonomie financière, la plus rapide possible * La représentation de métiers « de femmes » est très présente chez les jeunes garçons qui essentialisent davantage les raisons de leurs choix que les jeunes-filles Une large méconnaissance des cours d'éducation à la vie sexuelle et affective, existant pourtant depuis vingt ans" A télécharger
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Credoc - Aider les jeunes a mieux identifier leurs goûts et motivations perso... - 0 views

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    "Un jeune sur trois accédant à l'enseignement supérieur abandonne ses études ou se réoriente en fin de première année de Licence1. De leur côté, les jeunes issus de l'enseignement professionnel sont nombreux à rencontrer des difficultés d'intégration professionnelle2. Ces constats amènent à s'interroger sur l'expérience des jeunes en matière d'orientation. Une enquête menée par le CREDOC pour le Cnesco révèle l'importance de mieux accompagner les jeunes dans l'identification de leurs goûts personnels, et la correspondance de ceux-ci avec les métiers et filières. La majorité des jeunes se disent aujourd'hui plutôt bien accompagnés à la fois par leurs parents, très investis, et par leurs établissements scolaires, qui apportent un complément d'information à leurs propres recherches. Mais alors que les jeunes placent en premier dans leurs critères de choix la définition de leurs goûts personnels, de leurs motivations profondes, ils s'estiment peu accompagnés sur ce point précis. Et au moment de choisir leur orientation, 43% n'avaient pas de projet professionnel. C'est pourtant un facteur qui augmente la satisfaction vis-à-vis des choix en matière d'orientation : 73% des jeunes qui avaient une idée du métier qu'ils souhaitaient exercer au moment de choisir leur orientation sont satisfaits de leurs choix, contre 66% en moyenne. Parallèlement à l'identification de leurs motivations et goûts personnels, les jeunes sont en prise avec d'autres contraintes et réalités : sept sur dix déclarent avoir d'eux-mêmes écarté une orientation qu'ils avaient envisagée, que ce soit en raison du coût des études, de leur durée, de l'éloignement géographique ou de leurs résultats scolaires."
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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DREES - Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans - 0 views

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    Le cheminement vers l'indépendance des jeunes adultes passe par l'accès à un logement autonome, mais aussi l'acquisition de ressources propres. En 2014, les jeunes adultes de 18-24 ans résidant en France disposent de 9 530 euros de ressources individuelles en moyenne, provenant pour un tiers d'aides familiales. Les jeunes adultes qui poursuivent des études sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne pour ceux qui résident dans le logement familial et 8 890 euros pour ceux qui l'ont quitté. Ceux en emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. À l'opposé, les jeunes inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année disposent des plus faibles ressources. Quitter le nid familial est un processus continu : fi n 2014, un jeune de 18-24 ans sur cinq se trouve dans une situation intermédiaire dans laquelle il vit à la fois dans un logement autonome et chez ses parents. 43 % des jeunes adultes ont leur propre logement, mais ils ne sont que 17 % à y résider exclusivement et à fi nancer seuls ce logement. Les parcours sont très di- érents là aussi selon leur situation d'activité : les jeunes en études, notamment ceux poursuivant des études sélectives ou supérieures, ou ceux issus des milieux favorisés, quittent souvent le domicile parental sans pour autant devenir indépendants vis-à-vis de leurs parents ; les jeunes sortis du système éducatif, eux, attendent généralement d'avoir une situation su- samment stable pour partir du logement parental de façon indépendante. Référence : Laura Castell et Christelle Thouilleux (INSEE), Nathalie Missègue, Mickaël Portela, et Raphaëlle Rivalin (DREES), « Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans », Les Dossiers de la Drees, n°8, Drees, novembre 2016.
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Telos - Que peut faire Macron pour les jeunes - 0 views

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    "Plusieurs déclarations gouvernementales touchant plus ou moins aux questions de la jeunesse ont alimenté ces dernières semaines l'actualité politique, qu'il s'agisse des aides au logement (dont bénéficient massivement les étudiants), des emplois aidés ou de la sélection à l'université. Une première remarque : lancées à l'emporte-pièce, et sans qu'apparaisse pour le moment une cohérence ou un plan d'ensemble, ces annonces sont politiquement dangereuses. Les jeunes en France, on le sait depuis longtemps (tout le monde garde le souvenir du crash du CPE de Dominique de Villepin), sont une matière hautement inflammable. Attachés aux symboles de l'égalité (même lorsque ces derniers masquent l'inégalité réelle), les jeunes peuvent rapidement succomber à des réflexes protestataires dès lors qu'ils sont attisés par des organisations qui savent par quel bout les prendre. Pourtant l'inaction serait pire que tout car les jeunes ont été bien mal servis par le gouvernement précédent qui avait choisi la facilité de politiques dont tout le monde sait depuis longtemps qu'elles sont inefficaces (les emplois aidés dans le secteur non marchand), mais qui pouvaient donner le sentiment à l'opinion qu'on dépensait beaucoup d'argent pour les jeunes et que donc on s'occupait d'eux. On a déjà dit dans ces colonnes que ces politiques, qui en réalité éloignent les jeunes du marché du travail réel, ne leur rendent pas vraiment service. D'ailleurs les réactions aux annonces de baisse des emplois aidés en sont presque la preuve. Qui proteste en effet ? Les jeunes ? Que nenni, ce sont les associations ou les collectivités locales qui se plaignent de perdre une main d'œuvre bon marché. Mais les emplois aidés ont-ils été conçus pour les associations, les collectivités locales ou pour les jeunes ?"
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Insee - Formations et emploi Edition 2018 - 0 views

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    Les jeunes ont de plus en plus de mal à s'insérer sur le marché du travail, d'après l'édition 2018 "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. Le phénomène s'explique par la conjoncture, mais pourrait aussi être le signe d'une transformation plus durable des modalités d'emploi des jeunes. L'insertion professionnelle des jeunes est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort de l'édition 2018 de "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. En 2016, le taux de chômage des jeunes ayant terminé leurs études initiales depuis un à quatre ans s'élève ainsi à 19,8%. Il atteint 8% seulement pour ceux ayant plus de dix ans d'ancienneté. Les jeunes sortants sont aussi plus nombreux à appartenir au "halo autour du chômage" explique l'Insee : 6,4% des jeunes ayant terminé leurs études depuis un à quatre ans sont inactifs mais souhaitent travailler, contre 3,7% des personnes de moins de 60 ans ayant achevé leurs études depuis onze ans ou plus. Les emplois qu'ils obtiennent sont aussi moins favorables : il s'agit de "sous-emploi" pour 10,4% des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale (temps partiel pour des personnes souhaitant travailler un plus grand nombre d'heures), contre 5,9% pour les jeunes au-delà de dix ans d'ancienneté sur le marché du travail. Les contrats à durée déterminée, l'apprentissage ou l'intérim, soit des emplois à durée limitée, sont plus fréquents aussi pour cette population : 35,5% contre 7,6%. Et les salaires moins élevés : 1.390 euros contre 1.730 euros. Et ces différences se constatent à niveau de qualification quasiment égal. L'étude révèle par ailleurs que la part des bacheliers dans une génération a progressé depuis 2010. Elle atteint 79% toutes filières confondues en 2017, soit 14 points de plus entre 2010 et 2017. Le nombre de diplômes délivrés dans le supérieur s'est également accru : le nombre de diplômés de niveau bac+5 a ainsi augmenté de 40%.
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Drees - Etudes, emploi, ressources : les jeunes ruraux sont-il différents des... - 0 views

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    Fin 2014, 1,2 million de jeunes de 18 à 24 ans vivent dans les territoires ruraux, soit un quart des jeunes adultes à ces âges, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Les jeunes quittent plus souvent les zones rurales pour le milieu urbain : 26 % de ceux dont les parents vivent en zone rurale habitent dans une zone urbaine, contre 2 % dans la situation inverse. En zone rurale, moins de la moitié des 18-24 ans sont en cours d'études. Ils visent des études plus courtes, en majorité au niveau bac+3 - quand les urbains souhaitent plus souvent atteindre un bac+5 - et sont plus attirés par des études en apprentissage. À l'issue de leurs études, les jeunes accèdent aussi souvent à l'emploi dans les deux types de territoire, mais les zones rurales sont marquées par des inégalités de genre que l'on n'observe pas en milieu urbain. Les ressources des jeunes ruraux (revenus du travail, aides sociales, aides des parents) sont proches de celles des jeunes urbains à autres caractéristiques identiques. Ils perçoivent moins souvent des prestations sociales, mais de montants plus élevés. Ils bénéficient de moins d'aides financières des parents, mais plus souvent d'aides en nature. Enfin, le sentiment de privation est moins présent dans leur quotidien alors qu'ils sont plus d'un sur cinq à déclarer ne pas avoir de dépenses pour leurs loisirs.
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Dares - Les jeunes en emploi d'avenir : quel accès à la formation, pour quels... - 0 views

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    Créés en 2012, les emplois d'avenir ont pour objectif de faciliter l'insertion sur le marché du travail des jeunes peu ou pas qualifiés en leur proposant un emploi à temps plein de longue durée incluant un projet de formation. Un an après la signature de leur contrat, 3 jeunes sur 4 en emploi d'avenir ont bénéficié d'une formation et 1 jeune sur 2 d'une formation certifiante. Cet accès plus facile à la certification résulte d'un effort de formation qui bénéficie notamment aux non-diplômés et aux plus jeunes. Elle passe en particulier par l'accès à des habilitations et des permis. Les jeunes formés ont passé 26 jours en moyenne en formation pendant la première année. Toutefois, la durée en formation varie fortement selon le niveau de qualification préparé, les métiers et le sexe des jeunes. Plus diplômées, les jeunes femmes accèdent moins souvent à une formation certifiante.
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Ipsos / Fondapol - Les addictions chez les jeunes (14-24 ans) : l'urgence d'u... - 0 views

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    L'enquête sur les addictions chez les jeunes se fonde sur un échantillon de 1 000 jeunes âgés de 14 à 24 ans représentatif de cette population interrogée par Ipsos. Nous avons également souhaité soumettre notre questionnaire à un échantillon de parents de jeunes de 14-24 ans (402 parents), ainsi qu'au grand public (2 005 personnes) pour mesurer les écarts de perception entre leur propre réalité et celle des jeunes générations. En raison du nombre d'addictions existantes, nous avons fait le choix de centrer le questionnaire sur l'alcool, le tabac, les drogues les plus fréquentes (cannabis, cocaïne, ecstasy, MDMA et GHB), le porno, les jeux vidéo, les réseaux sociaux et les jeux d'argent. L'étude s'organise autour de six axes principaux d'observation et d'analyse : * les consommations déclarées de produits et de comportements potentiellement addictifs chez les jeunes ; * la perception que les parents d'enfants de 14 à 24 ans ont de ces consommations chez les jeunes du même âge ; * la perception que le grand public a de ces consommations chez les jeunes de 14 à 24 ans ; * le niveau de connaissance des risques encourus ; * le système d'attribution des responsabilités ; * le degré d'acceptabilité des différentes mesures de prévention et de soins concernant ces consommations et ces addictions.
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INJEP - Qui sont les jeunes ruraux ? Caractéristiques sociodémographiques - 0 views

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    Avant les années 1990, les jeunes ruraux étaient moins étudiés par les sciences sociales que les jeunes urbains car associés à une vision traditionnelle de la ruralité (Coquard, 2015) selon laquelle il n'y aurait que des paysans en milieu rural. Depuis, les études sur les jeunes ruraux connaissent un regain d'intérêt et offrent une vision plus juste de leur situation qui n'est pas essentiellement différente de celle des jeunes urbains. Les spécificités des jeunes ruraux sont liées au fait qu'ils sont plus souvent issus de milieux socio-économiques populaires et qu'ils font moins d'études que les jeunes urbains. Cette fiche dresse un portrait statistique de ces jeunes ruraux à l'aide de données sociodémographiques issues du recensement de la population de 2015, en comparaison avec leurs homologues urbains.
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