"Entre la jeunesse et l'administration, la relation est parfois difficile. Antoine Dulin, vice-président du Conseil économique, social et environnemental (Cése), et Célia Verot, conseillère d'Etat, ont remis le 22 mars leur rapport intitulé « Arrêtons de les mettre dans des cases ! Pour un choc de simplification en faveur de la jeunesse » à la ministre du Travail, Myriam El Khomri et au ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner. Pour Alternatives Economiques, Antoine Dulin revient sur ce travail.…"
"Signes religieux ostentatoires, augmentation des frais de scolarité ou part du contrôle continu au baccalauréat : les étudiants lecteurs du Figaro ont répondu à notre sondage sur les propositions des candidats à l'élection présidentielle."
"Au lendemain de la publication des résultats de l'enquête nationale menée par Synoptic et le CGET sur les « cordées de la réussite », et après cinq ans d'existence, il paraît important de faire le point sur les résultats de la cordée « Banlieue-Est, cap vers les sciences »."
"Les stagiaires du Programme "Faith in Politics", relevant de la Conférence épiscopale catholique d'Angleterre et du Pays de Galles, font le point sur leur visite à Bruxelles et l'influence du Brexit sur leur travail et sur l'Eglise au Royaume-Uni."
"A l'appel du Pape François qui nous écrit : "N'ayez pas peur d'écouter l'Esprit qui vous suggère des choix audacieux. L'Église même désire se mettre à l'écoute de votre voix, de votre sensibilité, de votre foi, voire de vos doutes et de vos critiques. Faites entendre votre cri, laissez-le résonner dans les communautés et faites-le arriver aux pasteurs.""
"Un pèlerinage à travers Paris pour monter à Montmartre, l'adoration dans la Basilique, une messe à l'aube et un petit déjeuner...
Avec des centaines d'étudiants et de jeunes pros, participez à la Nuit blanche ! "
"Les jeunes électeurs, bien que dans leur grande majorité intéressés par l'élection présidentielle, abordent le scrutin avec encore beaucoup d'incertitudes quant à leur participation et toujours avec une forte indécision quant à leur vote. Nombreux sont ceux qui attendront le jour même du vote pour faire leur choix. Mais une chose est sûre : la tentation des extrêmes, en réponse à un mécontentement et à une défiance envers la politique institutionnelle et les partis de gouvernement, est à son plus haut niveau et gagne des segments entiers et diversifiés de la jeunesse. Et cette tentation des extrêmes mobilise les plus décidés."
"Comment le diocèse de Paris compte-t-il donner la parole aux jeunes à cette occasion ? Et comment recueillir les fruits de ce synode dans les mois qui viennent ? Réponse du P. Benoist de Sinety, vicaire général en charge du projet."
"Pour respecter cette date butoir, il n'y avait donc pas un instant à perdre. Toutes les instances diocésaines en contact avec les jeunes de 16-29 ans se sont mises au travail pour les mobiliser et s'assurer que leur parole serait entendue : aumôneries de lycée, enseignement catholique, ou pastorale des jeunes (couvre des groupes aussi divers que le scoutisme, les foyers étudiants, la JOC, le MEJ, les jeunes professionnels, les groupes paroissiaux de prière, les mouvements musicaux ou artistiques, etc.)."
"Si tu as entre 16 et 30 ans, sors de ton canapé et viens faire entendre ton cri !
Soirée réflexion - débat - échange, comment changer et faire grandir l'Eglise sur la question des jeunes !"
"C'est pourquoi est organisée une soirée festive (parce que c'est quand même trop la joiiie !!!), avec un buffet (pourquoi ne pas apporter l'une de vos spécialités pour ce repas partagé ?), des temps de prières et de louange, et des temps de partage.
Et tout ça dans la bonne humeur ! C'est pas beau ?
Pour une soirée du FEU DE DIEU !!!"
Après avoir été longtemps en diminution, le nombre d'indépendants semble repartir à la hausse depuis le début des années 2000.Parallèlement se multiplient des situations en « zone grise » entre le statut de salarié et celui d'indépendant. L'enquête Conditions de vie et aspirations du CRÉDOC de 2016 montre que, dans leur très grande majorité, nos concitoyens jugent la situation de salarié préférable, dans l'absolu, à celle d'indépendant.Comme dans de nombreux pays développés, cette préférence a fortement augmenté depuis les années 2000.Pour les plus âgés, le statut d'indépendant est notamment synonyme de lourde charge de travail venant empiéter sur la vie personnelle. L'opinion des jeunes est très différente : 45% des 18-24 ans estiment que travailler à son compte est une situation plus enviable. Loin d'être considérée comme un pis-aller face à un marché du travail saturé et peu sécurisant, l'indépendance est associée par cette classe d'âge à une plus grande liberté et une opportunité pour bien concilier vie privée-vie professionnelle. Très peu mettent en avant les impacts en termes de fragilisation de la protection sociale, ou le manque de sécurité. Et dans les faits, 20 % des jeunes se sont saisis des nouvelles opportunités d'emplois occasionnels proposés par l'économie dite « collaborative ».