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Repères et références statistiques - RERS 2019 - 0 views

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    Publication annuelle de la DEPP et de la SD-SIES, Repères et références statistiques réunit en un seul volume toute l'information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français. Organisé en douze chapitres et 185 thématiques, RERS apporte des éclairages nouveaux en fonction de l'actualité et des derniers résultats d'études. 1. Le système éducatif 2. Les établissements 3. Les élèves du premier degré 4. Les élèves du second degré 5. Les apprentis 6. Les étudiants 7. La formation continue 8. Résultats, diplômes, insertion 9. Les personnels 10. Budget, coûts et financement 11. Recherche et développement 12. La France d'outre-mer Egalement un focus sur les élèves en situation de handicap et un feuillet sur l'enseignement privé (sous et hors contrat).
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Ministère de l'éducation nationale - Repères & Références statistiques 2017 - 0 views

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    Publication annuelle de la DEPP et de la SD-SIES, Repères et références statistiques réunit en un seul volume toute l'information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français. Organisé en douze chapitres et 185 thématiques, RERS apporte des éclairages nouveaux en fonction de l'actualité et des derniers résultats d'études. 1. Le système éducatif 2. Les établissements 3. Les élèves du premier degré 4. Les élèves du second degré 5. Les apprentis 6. Les étudiants 7. La formation continue 8. Résultats, diplômes, insertion 9. Les personnels 10. Budget, coûts et financement 11. Recherche et développement 12. La France d'outre-mer Egalement quelques focus sur les élèves en situation de handicap. Un feuillet sur l'enseignement privé (sous et hors contrat)
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Ministère de l'Education Nationale - L'état de l'Enseignement supérieur et de... - 1 views

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    "Dans la continuité des précédentes éditions, cette 9e édition de L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats. Chaque fois que les données le permettent, une mise en perspective internationale est réalisée. Pour chaque thème abordé - 50 au total - une double page est proposée, présentant une synthèse des principales données disponibles et plusieurs graphiques et tableaux illustratifs. L'essentiel des données est issu de sources exploitées par le service statistique ministériel en charge de l'enseignement supérieur et de la recherche (la sous-direction des systèmes d'information et des études statistiques, SIES). Ce document s'appuie aussi largement sur d'autres sources émanant du MENESR (DEPP, DGESIP, DGRI, DGRH notamment) ou d'autres organismes, en particulier de l'Insee, de l'OCDE, du Céreq, de l'OST du HCERES et de l'OVE." Nombreuses fiches disponibles. ex : aide sociale aux étudiants, orientation post-bac, profils des bacheliers, étudiants étrangers, vie étudiante, niveau d'études, insertion professionnelles, étudiants handicapés
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Eurostat - Education, emploi, les deux, ni l'un ni l'autre ? que font les jeunes dans l... - 0 views

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    L'Union européenne (UE) compte presque 90 millions de personnes âgées de 15 à 29 ans, représentant 17% de sa population. Ces jeunes sont dans des situations très diverses, leur participation à l'éducation et à l'emploi variant considérablement selon les États membres et les tranches d'âge. Un passage net et significatif du monde de l'éducation à celui de l'emploi intervient entre les âges de 15 et de 29 ans. Alors que la grande majorité des 15-19 ans résidant dans l'UE était scolarisée en 2015, l'inverse était vrai pour les 25-29 ans : la plupart d'entre eux travaillaient. Entre ces deux tranches d'âge, les jeunes de 20 à 24 ans se répartissaient de façon relativement égale entre éducation et emploi. En outre, le pourcentage de jeunes ne travaillant pas et ne suivant ni études ni formation (NEET) augmente considérablement avec l'âge. La proportion de NEET, qui s'est établie en 2015 à 6,3% pour la tranche des 15-19 ans, triple quasiment parmi les 20-24 ans pour s'élever à 17,3% et atteint presque un jeune sur cinq (19,7%) âgés de 25 à 29 ans. Ces informations sont publiées par Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne, à la veille de la Journée internationale de la jeunesse. Ce communiqué de presse ne présente qu'une petite sélection de la large gamme de données relatives aux jeunes dans l'UE dont dispose Eurostat.
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INSEE - Les ressources des 18-24 ans en 2014 - 0 views

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    "De fortes disparités liées à la situation résidentielle et aux parcours d'activité Laura Castell, Insee, Nathalie Missègue, Mickaël Portela, Raphaëlle Rivalin, Drees Les jeunes de 18 à 24 ans résidant en France disposent en moyenne sur l'année 2014 de 9 530 euros de ressources monétaires individuelles. D'après l'enquête nationale sur les ressources des jeunes, plus de la moitié de ce montant provient d'activités rémunérées, près d'un tiers de l'aide familiale et environ 15 % sont des prestations et aides sociales. Ceux qui ne vivent plus exclusivement chez leurs parents ont des ressources nettement plus élevées et moins dispersées que ceux qui y résident encore. Les jeunes adultes qui poursuivent des études durant toute l'année sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne quand ils résident dans le logement familial et 8 890 euros quand ils l'ont quitté. Les 18-24 ans qui occupent un emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. Enfin, les 18-24 ans qui sont inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année sont les moins favorisés : quand ils logent chez leurs parents, ils disposent en moyenne annuelle de 4 220 euros, contre 7 450 euros pour ceux qui résident dans leur propre logement. "
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L'insertion des jeunes sur le marché du travail : l'emploi est majoritaire ch... - 0 views

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    "En moyenne sur 2013-2015, 68 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 17 % au chômage et les autres sont inactifs. L'insertion des jeunes sur le marché du travail est progressive et inégale selon le niveau de diplôme. Ainsi, 82 % des jeunes sortants diplômés du supérieur sont en emploi, contre seulement 31 % des non-diplômés. Ces derniers sont plus nombreux à être inactifs (37 %). Les jeunes femmes sont plus souvent inactives que les hommes, en particulier parmi les moins diplômés. Parmi les jeunes sortants actifs, la moitié des non-diplômés sont au chômage, contre un quart pour les diplômés du secondaire et un sur dix pour les diplômés du supérieur. Les jeunes femmes actives sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins (19 % contre 22 %), cela s'explique notamment par le fait qu'elles sont en moyenne plus diplômées. Le taux de chômage des jeunes actifs sortis depuis 1 à 4 ans a fortement augmenté pendant la crise de 2008-2009, plus que celui des actifs présents depuis plus longtemps sur le marché du travail. Depuis, il s'est globalement stabilisé autour de 20 % pour les sortants récents alors qu'il a continué d'augmenter pour les plus anciens. Les conditions d'emploi des jeunes sortants sont moins favorables lorsqu'ils sont moins diplômés. Ainsi, 58 % des jeunes sortants non diplômés qui travaillent occupent un emploi temporaire et 22 % sont en situation de sous-emploi, contre respectivement 25 % et 6 % des diplômés du supérieur long. Les conditions d'emploi des femmes sont également moins favorables que celles des hommes. D'une année sur l'autre, lorsqu'ils quittent un emploi temporaire, les jeunes sortants diplômés du supérieur accèdent deux fois plus fréquemment que les non-diplômés à l'emploi stable. De même, lorsqu'ils sont au chômage, ils ont deux fois plus de chances d'être en emploi un an après que les non-diplômés. E
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Les jeunes et l'enseignement supérieur : s'orienter, réussir, s'insérer−Franc... - 0 views

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    "La France comptait près de 2 500 000 étudiants à la rentrée 2014-2015, effectif jamais atteint jusqu'à présent. Leur nombre devrait continuer de croître fortement au cours des dix prochaines années, porté au moins par le dynamisme démographique des élèves scolarisés dans le second degré. Le système français d'enseignement supérieur est très diversifié et offre depuis quelques années des possibilités accrues de réorientations. Plus de six étudiants sur dix sont néanmoins inscrits à l'université, mais les inscriptions dans les formations assurées par les établissements du secteur privé ont nettement progressé depuis quinze ans. En 2013, 44 % des 25-34 ans étaient diplômés de l'enseignement supérieur, ce qui place la France dans une situation plus favorable que la moyenne des pays de l'OCDE (40 %). La réussite apparaît à certains égards incertaine dans les filières universitaires longues où elle dépend notamment de la série du baccalauréat. En revanche, elle est particulièrement élevée dans les principales filières courtes de l'enseignement supérieur. Après la sortie de l'enseignement supérieur, le niveau du diplôme mais aussi la filière et la spécialité de formation conditionnent l'insertion sur le marché du travail et la qualité de l'emploi occupé au cours des premières années d'activité. Si le taux de chômage des jeunes femmes est le même que celui des jeunes hommes, les emplois qu'elles occupent sont en moyenne de moindre qualité, en termes de stabilité, de qualification et de rémunération. Parmi les autres défis majeurs qui attendent l'enseignement supérieur dans les dix années à venir figurent le dynamisme, notamment démographique, des effectifs et les écarts d'accès et de niveau de diplôme selon l'origine sociale. " DOC A TELECHARGER EN BAS DE PAGE
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INJEP - Engagement transnational des descendants de migrants : Carrières mil... - 0 views

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    L'INJEP consacre tout un rapport et un numéro du 4 pages Jeunesses : études et synthèses à l'engagement transnational des descendants des migrants. Ces deux documents ont été rédigés par Laurent Lardeux, chargé d'études et de recherche à l'INJEP à partir d'une enquête menée entre octobre 2015 et juillet 2016 auprès de jeunes membres de différentes organisations citoyennes et transnationales (humanitaire, droits de l'homme, politique…) et de responsables associatifs et institutionnels. Ces travaux s'appuient également sur une analyse documentaire et sur des productions statistiques récentes (enquête Trajectoires et origines [TeO], INED-INSEE, etc.). L'hypothèse phare qui y est explorée repose sur l'idée que les activités et pratiques citoyennes qui se déploient au-delà des frontières nationales, loin de fracturer les parcours et les représentations entre pays d'origine et pays de résidence, recomposent le rapport au politique des jeunes tout en redéfinissant des régimes de citoyenneté souple et innovants. Deux productions qui participent plus largement à éclairer la réflexion publique sur "la condition cosmopolite", sujet peu étudié dans les pratiques d'engagement des jeunes alors que cette question se pose de plus en plus souvent dans les sociétés multiculturelles contemporaines.
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France Stratégie - Rapport - L'insertion professionnelle des jeunes - 0 views

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    C'était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s'est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d'un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social. Auteur(s) Marine Boisson-Cohen, Hélène Garner, Philippe Zamora Il s'agissait, selon les termes de la ministre, « d'un exercice exigeant » de dialogue avec la jeunesse. Piloté par France Stratégie et la DARES jusqu'à sa conclusion en décembre, la concertation en faveur de l'insertion professionnelle des jeunes a réuni les représentants des huit organisations patronales et syndicales ainsi que de quatre organisations de jeunesse (UNEF, FAGE, JOC, MRJC) lors de six séances de travail thématiques. Il ressort de l'exercice un diagnostic largement partagé autour de trois grands constats. Une jeunesse hétérogène C'est un fait, la situation des jeunes sur le marché du travail s'est dégradée. Multiplié par 3,5 en 40 ans, le taux de chômage des jeunes atteint aujourd'hui 24 %. Un trait commun à toute l'Europe mais particulièrement marqué en France où le taux d'activité des jeunes est inférieur de 4,5 points à la moyenne européenne. Attention à ne pas faire d'amalgame (statistique) pour autant ! Si leur taux d'activité est faible c'est d'abord parce que 50 % des 18-24 ans sont encore en étude. Le « vrai » point noir pour la France, ce sont les 13,8 % des 20-24 ans au chômage - un sur-chômage qui persiste encore dix ans après leur entrée sur le marché du travail - et les 15 % des 15-29 qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (les NEETs). Cette précision souligne l'importance qu'il y a à parler des jeunesses au pluriel. Et c'est là le premier constat partagé par les parties prenantes. S'ils ont bien des diffic
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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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INJEP - Le(s) rapport(s) des jeunes au travail : revue de littérature (2006-2... - 0 views

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    Méthodologie et problématique Plutôt que de viser une impossible exhaustivité, cette revue de la littérature évoque un certain nombre de débats, d'enjeux, de questions de recherche, de résultats significatifs et actuels. Les enquêtes quantitatives, en définissant le plus souvent les « jeunes » comme les 18-29 ans, amalgament des situations sociales très différentes et leurs échantillons ne sont pas toujours suffisants pour réaliser des analyses statistiquement significatives des différences entre classes d'âge en fonction de la catégorie sociale, du sexe, de la situation familiale, du diplôme, etc. C'est pourquoi, dans cette revue de littérature, si les données chiffrées sont mobilisées, elles sont largement complétées par des études qualitatives portant sur des contextes professionnels et sociaux particuliers afin de rendre de compte de la façon toujours spécifique dont les catégories « jeunes » et « vieux » sont construites dans ces contextes. Résumé La première partie propose de passer d'une analyse critique de la notion de rapport au travail à l'étude de la construction conjointe, en situation, de l'identité professionnelle et du sens du travail. La deuxième partie, quant à elle, présente des études par grands secteurs professionnels (artisanat, industrie, fonction publique, vente et commerce, TIC, monde des arts, etc.) afin de mieux cerner les enjeux spécifiques, les dynamiques et les caractéristiques propres à ces secteurs.
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INSEE - À 18-19 ans, la moitié des jeunes envisagent leur avenir professionne... - 2 views

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    "Ils ont en commun d'être entrés en 6e en septembre 2007. Huit ans après, âgés pour la plupart de 18-19 ans, 45 % de ces jeunes entament des études supérieures, 30 % restent scolarisés dans le secondaire et 25 % ont quitté, à titre définitif ou provisoire, l'école. Le niveau d'acquis à l'entrée en 6e est déterminant sur la situation à 18-19 ans. Pour ceux qui ont déjà arrêté leurs études, peu diplômés, l'accès et les conditions d'emploi sont difficiles : seuls 37 % occupent un emploi, le plus souvent temporaire (CDD, intérim). L'essentiel de ces jeunes vivent encore chez leurs parents, même quand ils ont un emploi (78 %). À cet âge, les étudiants sont les plus nombreux à habiter dans leur propre logement la semaine pour se rapprocher de leur lieu d'études (44 %). Cependant, leur décohabitation peut n'être que partielle et passe très souvent par l'aide financière des familles. Un peu plus d'un étudiant de 18-19 ans sur dix occupe un emploi. Dans la moitié des cas, cet emploi est lié à sa formation. Encore peu engagés vers l'autonomie, ces jeunes de 18-19 ans n'expriment pas souvent des difficultés pour trouver un logement, se déplacer ou payer leurs dépenses courantes. Une petite majorité d'entre eux (53 %) se déclarent plutôt optimistes pour leur avenir professionnel et un sur cinq (21 %) plutôt inquiets, les autres ne se prononçant pas. "
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Le piège de la cohabitation - France Catholique - 0 views

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    "Hélas, cette amie dirigeait son fils vers ce qu'on pourrait appeler "le piège de la cohabitation". Il se trouve - contrairement à une croyance répandue - que le taux de divorces parmi les couples qui vivent ensemble avant le mariage est sensiblement plus élevé qu'autrement - jusqu'à 40% selon certaines sources. On trouve des variantes dans ces statistiques inquiétantes. Les couples fiancés avant de se mettre en ménage s'en sortent mieux que les autres. Si pour la femme c'est une première et unique expérience, le taux de divorce est moins élevé. Une brève cohabitation avant le mariage aboutira probablement à un mariage plus stable que si la cohabitation dure longtemps. Quelles que soient les nuances, tous ces cas de figure ont des taux de divorce plus élevés que le cas des couples qui ne vivent pas ensemble avant le mariage."
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Revenus: le fossé se creuse entre la "génération Y" et les autres - L'Express - 0 views

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    "Les jeunes "millenials" ou "génération Y" (âgés de 21 à 35 ans) pâtissent d'importantes inégalités de revenus, souligne une étude que The Guardian consacre, sur deux semaines, à ce fossé générationnel. Précarité, endettement, difficulté d'accès au logement. La génération Y paie très cher la mondialisation et la crise. Une étude révélée ce lundi par le quotidien britannique The Guardian souligne une nouvelle fois les difficultés rencontrées par les jeunes nés entre 1980 et le milieu des années 1990, la "génération Y", ou millenials. S'appuyant sur les statistiques du Luxembourg Income Study, le quotidien a étudié les revenus de cette génération dans les principales économies des pays occidentaux. La "génération Y" y est confrontée à une baisse de revenus nette aux Etats-Unis, en Italie, en France en Espagne en Allemagne et au Canada, qui a démarré avant même la crise de 2008, pour certains d'entre eux. "
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INSEE - Près des trois quarts des jeunes ont eu une expérience professionnell... - 0 views

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    "En 2016, huit diplômés sur dix âgés de 15 à 34 ans et ayant achevé leurs études ont travaillé pendant leur cursus, le plus souvent dans le cadre de leur formation. Un peu plus d'un tiers de ces jeunes ont cumulé au moins 6 mois d'expériences obligatoires pour leurs études. Les diplômés du supérieur ont plus souvent des expériences longues et inscrites dans leurs études. "
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INJEP - Apprendre en début de vie active - 0 views

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    Comment les jeunes apprennent-ils en début de vie active ? Quel que soit l'âge, l'acquisition des savoirs et des savoir-faire résulte de la combinaison de formations organisées et d'apprentissages informels. Si, dans leur ensemble, les jeunes apprennent plus que leurs aînés, tous ne sont pas logés à la même enseigne. Selon l'activité de travail qu'ils exercent et le contexte organisationnel dans lequel ils évoluent (dont la conjugaison compose la « dynamique de travail »), les jeunes acquièrent plus ou moins aisément de nouvelles compétences, particulièrement par le biais des apprentissages dans le travail. Le changement professionnel - nouvel emploi ou mobilité interne - influence également les apprentissages, informels ou organisés. La nouveauté impose une adaptation à un contexte différent et à un travail exigeant de nouvelles pratiques. Dans une moindre mesure, la formation organisée stimule également le développement des compétences, en respectant l'ordre généralement observé : les jeunes les plus diplômés, les plus qualifiés, salariés des grandes entreprises, y accèdent plus que les autres. « On apprend aussi longtemps qu'on vit » dit un proverbe allemand. Certes, mais d'autant plus et mieux que sont mis en place les moyens d'acquérir de nouvelles compétences pour accéder à l'emploi, y progresser ou en changer, selon les aspirations. Aspirations multiples, très contrastées, dont rend compte une typologie réalisée sur la population des salariés de moins de 30 ans. L'étude repose principalement sur l'exploitation du dispositif DEFIS (dispositif d'enquêtes sur les formations et les itinéraires des salariés) qui présente l'originalité de saisir les apprentissages dans le travail en plus de repérer les formations organisées et dont une exploitation spécifique aux jeunes a été financée par l'INJEP. Une série d'entretiens conduits auprès de jeunes salariés complèt
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Insee - 45 % des jeunes en emploi considèrent que leurs études les aident bea... - 0 views

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    "En 2016, 45 % des jeunes âgés de 15 à 34 ans ayant terminé leurs études et en emploi estiment que leurs études sont très utiles pour accomplir les tâches demandées dans leur travail. À l'opposé, 33 % considèrent que leurs études sont très peu utiles, voire pas du tout utiles, dans leur travail actuel. De même que les chances d'accès à l'emploi, le sentiment d'utilité des études est globalement croissant avec le niveau de diplôme : parmi les jeunes en emploi, 14 % de ceux qui ont au plus le brevet des collèges jugent leurs études très utiles pour leur emploi ; cette part est de 38 % pour les diplômés du secondaire et de 57 % pour les diplômés du supérieur. Le ressenti dépend également du domaine de spécialisation des études suivies et du niveau de qualification de l'emploi occupé. Parmi ceux qui jugent que leurs études ne les aident pas du tout dans leur emploi, près d'un quart souhaitent changer d'emploi. Cette part est deux fois plus faible pour ceux qui les considèrent très utiles."
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Insee - Formations et emploi Edition 2018 - 0 views

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    Les jeunes ont de plus en plus de mal à s'insérer sur le marché du travail, d'après l'édition 2018 "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. Le phénomène s'explique par la conjoncture, mais pourrait aussi être le signe d'une transformation plus durable des modalités d'emploi des jeunes. L'insertion professionnelle des jeunes est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort de l'édition 2018 de "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. En 2016, le taux de chômage des jeunes ayant terminé leurs études initiales depuis un à quatre ans s'élève ainsi à 19,8%. Il atteint 8% seulement pour ceux ayant plus de dix ans d'ancienneté. Les jeunes sortants sont aussi plus nombreux à appartenir au "halo autour du chômage" explique l'Insee : 6,4% des jeunes ayant terminé leurs études depuis un à quatre ans sont inactifs mais souhaitent travailler, contre 3,7% des personnes de moins de 60 ans ayant achevé leurs études depuis onze ans ou plus. Les emplois qu'ils obtiennent sont aussi moins favorables : il s'agit de "sous-emploi" pour 10,4% des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale (temps partiel pour des personnes souhaitant travailler un plus grand nombre d'heures), contre 5,9% pour les jeunes au-delà de dix ans d'ancienneté sur le marché du travail. Les contrats à durée déterminée, l'apprentissage ou l'intérim, soit des emplois à durée limitée, sont plus fréquents aussi pour cette population : 35,5% contre 7,6%. Et les salaires moins élevés : 1.390 euros contre 1.730 euros. Et ces différences se constatent à niveau de qualification quasiment égal. L'étude révèle par ailleurs que la part des bacheliers dans une génération a progressé depuis 2010. Elle atteint 79% toutes filières confondues en 2017, soit 14 points de plus entre 2010 et 2017. Le nombre de diplômes délivrés dans le supérieur s'est également accru : le nombre de diplômés de niveau bac+5 a ainsi augmenté de 40%.
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INSEE - Malgré la progression de l'emploi qualifié, un quart des personnes se... - 0 views

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    "Sur une génération, la structure sociale s'est modifiée vers le haut, avec notamment une progression de la proportion de cadres. Ainsi, en 2014-2015, près de quatre personnes de 30 à 59 ans sur dix considèrent que le niveau ou le statut de leur profession est plus élevé ou bien plus élevé que celui de leur père. À l'inverse, un quart des personnes expriment un sentiment de déclassement. La profession, le milieu d'origine et la trajectoire sociale expliquent avant tout ce ressenti. Ainsi, 36 % des ouvriers et employés non qualifiés et 53 % des personnes occupant une moins bonne position sociale que leur père se sentent déclassés. Le sentiment de déclassement, tout comme celui d'ascension sociale, concerne tous les milieux sociaux : environ un cadre sur cinq estime que sa position sociale est moins élevée que celle de son père ; environ un employé ou ouvrier non qualifié sur cinq considère occuper une meilleure position sociale que son père. Parmi les employés et les ouvriers, le sentiment de déclassement varie très fortement, de 16 % à 45 %, pouvant refléter des différences de conditions d'emploi, de rémunérations ou encore de prestige des professions. Par rapport à leur père, les femmes se sentent plus souvent déclassées que les hommes (27 % contre 23 %), en lien avec des situations plus défavorables sur le marché du travail. Mais par rapport à leur mère, seules 11 % se sentent socialement déclassées, reflet de la profonde transformation de la place des femmes sur le marché du travail sur une génération. "
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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