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INSEE - Les ressources des 18-24 ans en 2014 - 0 views

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    "De fortes disparités liées à la situation résidentielle et aux parcours d'activité Laura Castell, Insee, Nathalie Missègue, Mickaël Portela, Raphaëlle Rivalin, Drees Les jeunes de 18 à 24 ans résidant en France disposent en moyenne sur l'année 2014 de 9 530 euros de ressources monétaires individuelles. D'après l'enquête nationale sur les ressources des jeunes, plus de la moitié de ce montant provient d'activités rémunérées, près d'un tiers de l'aide familiale et environ 15 % sont des prestations et aides sociales. Ceux qui ne vivent plus exclusivement chez leurs parents ont des ressources nettement plus élevées et moins dispersées que ceux qui y résident encore. Les jeunes adultes qui poursuivent des études durant toute l'année sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne quand ils résident dans le logement familial et 8 890 euros quand ils l'ont quitté. Les 18-24 ans qui occupent un emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. Enfin, les 18-24 ans qui sont inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année sont les moins favorisés : quand ils logent chez leurs parents, ils disposent en moyenne annuelle de 4 220 euros, contre 7 450 euros pour ceux qui résident dans leur propre logement. "
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Insee - Formations et emploi - Insee Références - Édition 2013 - 0 views

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    "L'Insee présente avec Formations et emploi les principales analyses sur les sortants du système éducatif, leur insertion et la formation tout au long de la vie."
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INSEE - Près des trois quarts des jeunes ont eu une expérience professionnell... - 0 views

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    "En 2016, huit diplômés sur dix âgés de 15 à 34 ans et ayant achevé leurs études ont travaillé pendant leur cursus, le plus souvent dans le cadre de leur formation. Un peu plus d'un tiers de ces jeunes ont cumulé au moins 6 mois d'expériences obligatoires pour leurs études. Les diplômés du supérieur ont plus souvent des expériences longues et inscrites dans leurs études. "
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Credoc - Les jeunes (16-25 ans) et les loisirs sportifs - Focus sur les prati... - 0 views

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    "En 2017, près de 8 Français sur 10 vivent dans des zones urbaines [Statista, Projection 2017 basée sur le recensement INSEE 2012). Fait marquant, en France, le territoire urbain a triplé en seulement cinquante ans (INSEE première 707). L'extension des espaces urbains a rendu de plus en plus difficile l'accès à des espaces naturels préservés. Dans ce contexte, les Français semblent exprimer un puissant désir de nature, ce qu'attestent l'explosion du marché de jardinage (Dubost, 1997), le désir de reproduire en ville des modes de vie ruraux, l'envie de consommer des produits alimentaires naturels (en 2018, un ménage sur cinq achète au moins une fois par semaine du bio, CREDOC-CCAF) ou encore les mobilisations citoyennes très récentes pour la protection de la planète et de la biodiversité. Parallèlement nous assistons à un élargissement et une diversification des pratiques sportives (UCPA Credoc) et, en particulier, depuis des années 1990 à un accroissement des loisirs sportifs de pleine nature (Vigarello 1992). Christian Pociello (1999) parle même « d'écologisation des pratiques sportives » dans le sens où l'engouement pour des sports de pleine nature aurait changé le comportement des individus vis-à-vis de l'environnement et aurait modifié durablement leur perception de la nature et leur sensibilité aux enjeux écologiques. C'est dans ce contexte que l'UCPA a souhaité axer le « baromètre CREDOC-UCPA des pratiques sportives des 1625 ans » sur une analyse des « sports de nature » et des « sports de bien-être ». En complémentent du suivi des indicateurs visant à identifier et mesurer les loisirs sportifs des jeunes, le focus de la vague de 2018 cherche à… ➢ … analyser les représentations vis-à-vis des sports de nature et de bien-être ➢ … mesurer l'étendu de la pratique des sports de nature et de bien-être chez les 16-25 ans ➢ … appréhender les motivations et les freins à pratiq
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L'insertion des jeunes sur le marché du travail : l'emploi est majoritaire ch... - 0 views

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    "En moyenne sur 2013-2015, 68 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 17 % au chômage et les autres sont inactifs. L'insertion des jeunes sur le marché du travail est progressive et inégale selon le niveau de diplôme. Ainsi, 82 % des jeunes sortants diplômés du supérieur sont en emploi, contre seulement 31 % des non-diplômés. Ces derniers sont plus nombreux à être inactifs (37 %). Les jeunes femmes sont plus souvent inactives que les hommes, en particulier parmi les moins diplômés. Parmi les jeunes sortants actifs, la moitié des non-diplômés sont au chômage, contre un quart pour les diplômés du secondaire et un sur dix pour les diplômés du supérieur. Les jeunes femmes actives sont moins souvent au chômage que leurs homologues masculins (19 % contre 22 %), cela s'explique notamment par le fait qu'elles sont en moyenne plus diplômées. Le taux de chômage des jeunes actifs sortis depuis 1 à 4 ans a fortement augmenté pendant la crise de 2008-2009, plus que celui des actifs présents depuis plus longtemps sur le marché du travail. Depuis, il s'est globalement stabilisé autour de 20 % pour les sortants récents alors qu'il a continué d'augmenter pour les plus anciens. Les conditions d'emploi des jeunes sortants sont moins favorables lorsqu'ils sont moins diplômés. Ainsi, 58 % des jeunes sortants non diplômés qui travaillent occupent un emploi temporaire et 22 % sont en situation de sous-emploi, contre respectivement 25 % et 6 % des diplômés du supérieur long. Les conditions d'emploi des femmes sont également moins favorables que celles des hommes. D'une année sur l'autre, lorsqu'ils quittent un emploi temporaire, les jeunes sortants diplômés du supérieur accèdent deux fois plus fréquemment que les non-diplômés à l'emploi stable. De même, lorsqu'ils sont au chômage, ils ont deux fois plus de chances d'être en emploi un an après que les non-diplômés. E
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Les jeunes et l'enseignement supérieur : s'orienter, réussir, s'insérer−Franc... - 0 views

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    "La France comptait près de 2 500 000 étudiants à la rentrée 2014-2015, effectif jamais atteint jusqu'à présent. Leur nombre devrait continuer de croître fortement au cours des dix prochaines années, porté au moins par le dynamisme démographique des élèves scolarisés dans le second degré. Le système français d'enseignement supérieur est très diversifié et offre depuis quelques années des possibilités accrues de réorientations. Plus de six étudiants sur dix sont néanmoins inscrits à l'université, mais les inscriptions dans les formations assurées par les établissements du secteur privé ont nettement progressé depuis quinze ans. En 2013, 44 % des 25-34 ans étaient diplômés de l'enseignement supérieur, ce qui place la France dans une situation plus favorable que la moyenne des pays de l'OCDE (40 %). La réussite apparaît à certains égards incertaine dans les filières universitaires longues où elle dépend notamment de la série du baccalauréat. En revanche, elle est particulièrement élevée dans les principales filières courtes de l'enseignement supérieur. Après la sortie de l'enseignement supérieur, le niveau du diplôme mais aussi la filière et la spécialité de formation conditionnent l'insertion sur le marché du travail et la qualité de l'emploi occupé au cours des premières années d'activité. Si le taux de chômage des jeunes femmes est le même que celui des jeunes hommes, les emplois qu'elles occupent sont en moyenne de moindre qualité, en termes de stabilité, de qualification et de rémunération. Parmi les autres défis majeurs qui attendent l'enseignement supérieur dans les dix années à venir figurent le dynamisme, notamment démographique, des effectifs et les écarts d'accès et de niveau de diplôme selon l'origine sociale. " DOC A TELECHARGER EN BAS DE PAGE
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Insee - Revenus-Salaires - Les principales ressources des 18-24 ans - Premier... - 0 views

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    "Les aides des parents représentent un apport essentiel pour les 18-24 ans. Fin 2014, sept jeunes adultes sur dix bénéficient ainsi d'un soutien financier régulier, et ce soutien concerne neuf jeunes en cours d'études sur dix. Lorsqu'ils ne vivent plus exclusivement chez leurs parents, les jeunes en cours d'études perçoivent plus de 500 euros d'aide parentale par mois. La participation financière des parents varie selon le milieu social : lorsqu'ils sont aidés, les enfants de cadres reçoivent alors un montant total 2,5 fois plus élevé que les enfants d'ouvriers. L'aide parentale vient le plus souvent compléter les aides publiques, dont les allocations logement sont le levier principal : ces dernières bénéficient à un jeune sur deux disposant de son propre logement. Fin 2014, trois jeunes adultes sur dix ont un emploi. Ils occupent dans les mêmes proportions des emplois à durée indéterminée ou déterminée et perçoivent en moyenne 1 250 euros nets par mois. Ils bénéficient nettement moins des aides financières de leur famille et de l'État, et plus de la moitié d'entre eux vivent encore chez leurs parents. Par ailleurs, un quart des jeunes en cours d'études a travaillé la semaine précédant l'enquête, dont presque la moitié en alternance ou en stage rémunéré. "
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INSEE - À 18-19 ans, la moitié des jeunes envisagent leur avenir professionne... - 2 views

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    "Ils ont en commun d'être entrés en 6e en septembre 2007. Huit ans après, âgés pour la plupart de 18-19 ans, 45 % de ces jeunes entament des études supérieures, 30 % restent scolarisés dans le secondaire et 25 % ont quitté, à titre définitif ou provisoire, l'école. Le niveau d'acquis à l'entrée en 6e est déterminant sur la situation à 18-19 ans. Pour ceux qui ont déjà arrêté leurs études, peu diplômés, l'accès et les conditions d'emploi sont difficiles : seuls 37 % occupent un emploi, le plus souvent temporaire (CDD, intérim). L'essentiel de ces jeunes vivent encore chez leurs parents, même quand ils ont un emploi (78 %). À cet âge, les étudiants sont les plus nombreux à habiter dans leur propre logement la semaine pour se rapprocher de leur lieu d'études (44 %). Cependant, leur décohabitation peut n'être que partielle et passe très souvent par l'aide financière des familles. Un peu plus d'un étudiant de 18-19 ans sur dix occupe un emploi. Dans la moitié des cas, cet emploi est lié à sa formation. Encore peu engagés vers l'autonomie, ces jeunes de 18-19 ans n'expriment pas souvent des difficultés pour trouver un logement, se déplacer ou payer leurs dépenses courantes. Une petite majorité d'entre eux (53 %) se déclarent plutôt optimistes pour leur avenir professionnel et un sur cinq (21 %) plutôt inquiets, les autres ne se prononçant pas. "
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Insee - Santé - Les jeunes conjuguent bonne santé et comportements à risque - 0 views

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    "Au cours du passage à l'âge adulte, souvent source d'inquiétudes, la santé est rarement au cœur de la préoccupation des jeunes. La plupart se déclarent en bonne santé et plutôt bien informés en matière de prévention. Pourtant, cette transition vers l'indépendance, ponctuée d'expérimentations, peut fragiliser leur état de santé physique et mentale. Addictions, troubles alimentaires, conduites routières dangereuses, tous ces comportements n'exposent pas nécessairement les jeunes à un risque de décès immédiat mais tous peuvent avoir des répercussions sur leur santé, de la marginalisation sociale aux risques accrus de maladies et de troubles psychiques à l'âge adulte. Les évolutions récentes incitent à la vigilance. La consommation quotidienne de tabac est repartie à la hausse depuis 2008. Aujourd'hui, près d'un tiers des jeunes de 17 ans fument tous les jours. Les épisodes d'ivresse ont progressé depuis 2005, particulièrement chez les jeunes filles. À 17 ans, plus d'une sur deux déclare avoir déjà été ivre en 2011. Par ailleurs, les prévalences du surpoids et de l'obésité augmentent depuis les années 2000 chez les 18-24 ans. Dans cette recherche de transgression des règles, les garçons paient un lourd tribut avec près de 2 300 décès chez les 15-24 ans en 2010, des décès associés à des morts violentes (accidents de la route et suicides). Chez les filles, le corps est l'expression de leur mal-être : en classe de 3e, 42 % se perçoivent trop « grosses », une insatisfaction qui peut les conduire vers des troubles alimentaires et s'accompagne parfois de pensées suicidaires voire de tentatives de suicide (2 % des filles âgées de 15 à 19 ans en 2010)."
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Insee - Enseignement-Éducation - Les décrocheurs du système éducatif : de qui... - 0 views

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    "Un quart des jeunes entrés en 6e en 1995 n'ont pas terminé avec succès leur formation dans l'enseignement secondaire. Ils sont « décrocheurs ». Parmi eux, huit sur dix n'ont pas de diplôme de l'enseignement secondaire et deux sur dix ont un BEP ou un CAP, mais ont échoué dans la formation qu'ils ont poursuivie ensuite. Les jeunes décrocheurs ont souvent eu des difficultés scolaires et sont souvent d'origine sociale modeste, mais pas tous. On distingue trois grands profils de décrocheurs : des jeunes au faible niveau d'études qui ont massivement redoublé au collège (près de la moitié des décrocheurs) ; des jeunes avec un bon niveau d'études à l'entrée au collège, mais qui échouent au CAP, au BEP ou au Baccalauréat (un tiers des décrocheurs) ; et des jeunes qui sont passés par des enseignements spécialisés au collège (section d'enseignement générale et professionnel adapté - SEGPA - notamment) (un cinquième des décrocheurs) . Parmi les bacheliers poursuivant des études supérieures, un sur cinq n'obtient pas de diplôme du supérieur. Là aussi, le niveau scolaire et les origines sociales jouent un rôle, mais pas seulement. L'orientation et la situation financière des étudiants semblent également conditionner l'obtention d'un diplôme de l'enseignement supérieur."
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INSEE - Aller étudier ailleurs après le baccalauréat : entre effets de la géo... - 0 views

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    "À l'entrée dans l'enseignement supérieur, 6 bacheliers sur 10 choisissent une formation dans une autre zone d'emploi que celle où ils étudiaient en terminale. Cette mobilité dépend de la diversité de l'offre locale de formation. Elle varie aussi selon l'origine sociale des jeunes. Les changements d'académie à l'entrée dans l'enseignement supérieur sont en revanche moins fréquents : ils concernent seulement 2 bacheliers sur 10 et dans un peu plus de la moitié des cas, ils s'accompagnent d'un déménagement. Ces mobilités concernent principalement des académies limitrophes. "
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INSEE - Jeunes adultes : les tensions avec les parents sont souvent liées aux... - 0 views

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    "Six jeunes sur dix âgés de 18 à 24 ans ne déclarent aucun problème dans les relations avec leurs deux parents. Cependant, quand les tensions surviennent, elles sont souvent associées à des difficultés familiales ou financières. Ainsi, elles sont plus importantes lorsque les parents sont séparés, particulièrement avec le père. Elles sont également plus fréquentes chez les jeunes au chômage. De même, les jeunes adultes ayant des relations difficiles avec leurs parents ont plus souvent des difficultés financières, et les étudiants sont moins aidés financièrement par leurs parents lorsque les relations sont tendues. Enfin, les jeunes en mésentente avec leurs parents se disent globalement moins satisfaits dans la vie ; le lien entre ces tensions et leur bien-être est comparable à celui d'autres déterminants du bien-être, tels que la mauvaise santé, le chômage ou les difficultés financières. "
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Insee - 45 % des jeunes en emploi considèrent que leurs études les aident bea... - 0 views

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    "En 2016, 45 % des jeunes âgés de 15 à 34 ans ayant terminé leurs études et en emploi estiment que leurs études sont très utiles pour accomplir les tâches demandées dans leur travail. À l'opposé, 33 % considèrent que leurs études sont très peu utiles, voire pas du tout utiles, dans leur travail actuel. De même que les chances d'accès à l'emploi, le sentiment d'utilité des études est globalement croissant avec le niveau de diplôme : parmi les jeunes en emploi, 14 % de ceux qui ont au plus le brevet des collèges jugent leurs études très utiles pour leur emploi ; cette part est de 38 % pour les diplômés du secondaire et de 57 % pour les diplômés du supérieur. Le ressenti dépend également du domaine de spécialisation des études suivies et du niveau de qualification de l'emploi occupé. Parmi ceux qui jugent que leurs études ne les aident pas du tout dans leur emploi, près d'un quart souhaitent changer d'emploi. Cette part est deux fois plus faible pour ceux qui les considèrent très utiles."
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Insee - Formations et emploi Edition 2018 - 0 views

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    Les jeunes ont de plus en plus de mal à s'insérer sur le marché du travail, d'après l'édition 2018 "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. Le phénomène s'explique par la conjoncture, mais pourrait aussi être le signe d'une transformation plus durable des modalités d'emploi des jeunes. L'insertion professionnelle des jeunes est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort de l'édition 2018 de "Formation et emploi" de l'Insee, publiée le 10 avril. En 2016, le taux de chômage des jeunes ayant terminé leurs études initiales depuis un à quatre ans s'élève ainsi à 19,8%. Il atteint 8% seulement pour ceux ayant plus de dix ans d'ancienneté. Les jeunes sortants sont aussi plus nombreux à appartenir au "halo autour du chômage" explique l'Insee : 6,4% des jeunes ayant terminé leurs études depuis un à quatre ans sont inactifs mais souhaitent travailler, contre 3,7% des personnes de moins de 60 ans ayant achevé leurs études depuis onze ans ou plus. Les emplois qu'ils obtiennent sont aussi moins favorables : il s'agit de "sous-emploi" pour 10,4% des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale (temps partiel pour des personnes souhaitant travailler un plus grand nombre d'heures), contre 5,9% pour les jeunes au-delà de dix ans d'ancienneté sur le marché du travail. Les contrats à durée déterminée, l'apprentissage ou l'intérim, soit des emplois à durée limitée, sont plus fréquents aussi pour cette population : 35,5% contre 7,6%. Et les salaires moins élevés : 1.390 euros contre 1.730 euros. Et ces différences se constatent à niveau de qualification quasiment égal. L'étude révèle par ailleurs que la part des bacheliers dans une génération a progressé depuis 2010. Elle atteint 79% toutes filières confondues en 2017, soit 14 points de plus entre 2010 et 2017. Le nombre de diplômes délivrés dans le supérieur s'est également accru : le nombre de diplômés de niveau bac+5 a ainsi augmenté de 40%.
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INSEE - Malgré la progression de l'emploi qualifié, un quart des personnes se... - 0 views

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    "Sur une génération, la structure sociale s'est modifiée vers le haut, avec notamment une progression de la proportion de cadres. Ainsi, en 2014-2015, près de quatre personnes de 30 à 59 ans sur dix considèrent que le niveau ou le statut de leur profession est plus élevé ou bien plus élevé que celui de leur père. À l'inverse, un quart des personnes expriment un sentiment de déclassement. La profession, le milieu d'origine et la trajectoire sociale expliquent avant tout ce ressenti. Ainsi, 36 % des ouvriers et employés non qualifiés et 53 % des personnes occupant une moins bonne position sociale que leur père se sentent déclassés. Le sentiment de déclassement, tout comme celui d'ascension sociale, concerne tous les milieux sociaux : environ un cadre sur cinq estime que sa position sociale est moins élevée que celle de son père ; environ un employé ou ouvrier non qualifié sur cinq considère occuper une meilleure position sociale que son père. Parmi les employés et les ouvriers, le sentiment de déclassement varie très fortement, de 16 % à 45 %, pouvant refléter des différences de conditions d'emploi, de rémunérations ou encore de prestige des professions. Par rapport à leur père, les femmes se sentent plus souvent déclassées que les hommes (27 % contre 23 %), en lien avec des situations plus défavorables sur le marché du travail. Mais par rapport à leur mère, seules 11 % se sentent socialement déclassées, reflet de la profonde transformation de la place des femmes sur le marché du travail sur une génération. "
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INSEE - Depuis 2000, la part des 18-29 ans habitant chez leurs parents augmen... - 0 views

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    "En 2013, près d'un jeune adulte de 18 à 29 ans sur deux (46 %) habite chez ses parents tout ou partie de l'année. L'autonomie résidentielle peut s'acquérir de façon progressive : 15 % des 18-24 ans qui habitent chez leurs parents résident aussi en partie ailleurs. Elle est souvent associée à une aide financière régulière des parents, surtout pour les plus jeunes. Après une diminution amorcée au milieu des années 1990, le taux de cohabitation avec les parents a de nouveau augmenté depuis le début des années 2000, poussé par la hausse du chômage et de la population étudiante. Pour les plus jeunes, habiter avec ses parents concerne surtout les étudiants, tandis que les 25-29 ans sont majoritairement actifs. Parmi les actifs de 25-29 ans, ceux qui cohabitent sont moins bien insérés dans l'emploi : moins souvent cadres ou professions intermédiaires, ils occupent plus fréquemment des emplois à durée limitée et sont plus souvent au chômage. Plus de huit adultes sur dix résidant chez leurs parents n'ont jamais vécu ailleurs. En revanche, parmi les 25-29 ans, un jeune sur cinq est parti puis revenu, et un sur quatre après 30 ans. Le souhait de partir est plus fort pour ceux qui sont revenus habiter chez leurs parents. "
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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Les principales ressources des 18-24 ans | Insee - 0 views

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    "Les aides des parents représentent un apport essentiel pour les 18-24 ans. Fin 2014, sept jeunes adultes sur dix bénéficient ainsi d'un soutien financier régulier, et ce soutien concerne neuf jeunes en cours d'études sur dix. Lorsqu'ils ne vivent plus exclusivement chez leurs parents, les jeunes en cours d'études perçoivent plus de 500 euros d'aide parentale par mois. La participation financière des parents varie selon le milieu social : lorsqu'ils sont aidés, les enfants de cadres reçoivent alors un montant total 2,5 fois plus élevé que les enfants d'ouvriers. L'aide parentale vient le plus souvent compléter les aides publiques, dont les allocations logement sont le levier principal : ces dernières bénéficient à un jeune sur deux disposant de son propre logement. Fin 2014, trois jeunes adultes sur dix ont un emploi. Ils occupent dans les mêmes proportions des emplois à durée indéterminée ou déterminée et perçoivent en moyenne 1 250 euros nets par mois. Ils bénéficient nettement moins des aides financières de leur famille et de l'État, et plus de la moitié d'entre eux vivent encore chez leurs parents. Par ailleurs, un quart des jeunes en cours d'études a travaillé la semaine précédant l'enquête, dont presque la moitié en alternance ou en stage rémunéré. "
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INSEE - Quitter le domicile parental : un processus très lié au parcours scol... - 0 views

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    "Par rapport aux jeunes ayant terminé leurs études en 1998 ou en 2004, les jeunes sortis en 2010 ont davantage quitté le domicile parental avant la fin de leurs études. Pourtant, ils sont également plus nombreux à cohabiter avec leurs parents cinq ans plus tard, qu'ils n'aient jamais quitté le domicile parental ou qu'ils y soient revenus. La part de ceux restés chez leurs parents pendant les cinq premières années de vie active a augmenté et celle de ceux s'installant en couple a baissé, surtout pour les jeunes non-diplômés et diplômés du secondaire. Les femmes et les plus diplômés décohabitent davantage et plus tôt. S'installer en couple est plus souvent une cause de décohabitation pour les femmes, quand les hommes décohabitent plus pour vivre seuls. En tout début de vie active, les liens entre non‑emploi et maintien au domicile parental se renforcent au fil des générations. Mais après quelques années sur le marché du travail, occuper un emploi à durée déterminée apparaît de moins en moins pénalisant pour accéder à l'autonomie résidentielle et avoir un CDI apparaît comme une condition de moins en moins nécessaire. Le départ du domicile parental peut être facilité par le développement de nouvelles formes résidentielles telles que la colocation. À statut d'emploi donné, un revenu plus élevé augmente les chances de décohabiter au cours des cinq premières années de vie active."
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DREES - Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans - 0 views

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    Le cheminement vers l'indépendance des jeunes adultes passe par l'accès à un logement autonome, mais aussi l'acquisition de ressources propres. En 2014, les jeunes adultes de 18-24 ans résidant en France disposent de 9 530 euros de ressources individuelles en moyenne, provenant pour un tiers d'aides familiales. Les jeunes adultes qui poursuivent des études sans exercer d'activité rémunérée ont de faibles ressources individuelles : 4 390 euros en moyenne pour ceux qui résident dans le logement familial et 8 890 euros pour ceux qui l'ont quitté. Ceux en emploi la plus grande partie de l'année ont les ressources individuelles les plus élevées : 14 870 euros quand ils résident chez leurs parents et 16 470 euros pour les autres. À l'opposé, les jeunes inactifs ou au chômage la majeure partie de l'année disposent des plus faibles ressources. Quitter le nid familial est un processus continu : fi n 2014, un jeune de 18-24 ans sur cinq se trouve dans une situation intermédiaire dans laquelle il vit à la fois dans un logement autonome et chez ses parents. 43 % des jeunes adultes ont leur propre logement, mais ils ne sont que 17 % à y résider exclusivement et à fi nancer seuls ce logement. Les parcours sont très di- érents là aussi selon leur situation d'activité : les jeunes en études, notamment ceux poursuivant des études sélectives ou supérieures, ou ceux issus des milieux favorisés, quittent souvent le domicile parental sans pour autant devenir indépendants vis-à-vis de leurs parents ; les jeunes sortis du système éducatif, eux, attendent généralement d'avoir une situation su- samment stable pour partir du logement parental de façon indépendante. Référence : Laura Castell et Christelle Thouilleux (INSEE), Nathalie Missègue, Mickaël Portela, et Raphaëlle Rivalin (DREES), « Ressources et accès à l'autonomie résidentielle des 18-24 ans », Les Dossiers de la Drees, n°8, Drees, novembre 2016.
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