"Les principaux enseignements de ce sondage :
* Contrairement à certaines idées reçues, une majorité d'adolescents français (58%) estiment se sentir compris des adultes.
* Bien que très internautes, les adolescents jugent que la vérité vient d'abord de leurs professeurs, parents ou livres (64%), plus que d'Internet (13%).
* Les adolescents témoignent d'un attachement fort à leur cercle d'amis. Le moment le plus important dans la journée d'un adolescent est la fin des cours lorsqu'il retrouve ses amis (44%), puis les conversations qu'il peut avoir avec eux sur son téléphone portable (32%), loin devant les repas en famille (16%)."
Résultats en téléchargement
" Un outil incontournable pour ENTRETENIR SA VIE AMICALE. 89% des adolescents équipés considèrent que le smartphone est incontournable pour entretenir ses relations amicales.
…ET SENTIMENTALE. Pour 62% des adolescents équipés, et même 73% des 16-17 ans, avoir un smartphone est incontournable pour entretenir sa vie sentimentale.
Un smartphone incontournable pour réussir sa vie sociale…qui peut aussi engendrer des SITUATIONS DIFFICILES. 17% des adolescents équipés de smartphones l'ont déjà utilisé pour envoyer des messages méchants ou des insultes et 24% ont déjà pleuré après avoir consulté un message (38% des filles). De même, 23% des adolescents équipés (29% chez les jeunes filles) ont déjà eu peur qu'un contenu partagé ne soit repris contre eux."
Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ?
1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance).
2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans).
De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion).
3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict.
4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
Sondage 06.10.2016
Etat d'esprit et comportements des lycéens et étudiants
Près des trois quarts des jeunes interrogés, qu'ils soient lycéens ou étudiants se déclarent optimistes pour leur avenir (73%), un optimisme toutefois assez mesuré, seule une minorité d'entre eux (9%) se projetant de manière « très optimiste » pour leur avenir. Ce résultat s'inscrit dans la lignée de ce que nous mesurons depuis 2010. Si le degré d'optimisme des lycéens de terminale (71%) est proche de celui des étudiants (74%), quelques disparités sont à noter notamment en fonction du milieu social dans lequel ils évoluent (78% pour ceux qui issus d'un foyer à dominante CSP+ contre seulement 67% chez eux appartenant à un foyer plus modeste) et de la filière dans laquelle ils étudient. On trouve ainsi les plus optimistes au sein des étudiants évoluant dans les filières médicales (84% en santé à l'université ou 75% dans les formations paramédicales) et dans les écoles de commerce (100% d'optimisme déclaré).
Ce premier résultat s'avère toutefois en forte opposition avec le climat et les projections à l'échelle du pays, moins du tiers des jeunes interrogés se déclarant optimistes pour l'avenir de la France (31% dont seulement 1% se déclare « très optimiste »). Ce résultat est en baisse de 7 points par rapport à ce que nous mesurions en 2014, signe d'un contexte économiques et social qui s'est durcit et qui inquiète les jeunes interrogés. Si cette tendance d'un fort pessimisme pour le Pays et d'un relatif optimisme pour sa propre situation est assez habituelle lorsque l'on pose ces deux mêmes questions à l'ensemble des Français, l'écart n'est toutefois pas aussi conséquent. Parmi les moins pessimistes on trouve notamment les étudiants les plus âgés (41% pour ceux ayant plus de 22 ans) et logiquement les plus diplômés (41% au sein des diplômés du supérieur) ainsi que ceux évoluant dans les grandes
"Si une large majorité de parents approuve le scoutisme, seuls 42% envisagent d'y inscrire leurs enfants. Décryptage avec l'anthropologue Maxime Vanhoenacker d'une enquête Opinionway réalisée pour les Scouts et Guides de France."
Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ?
1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance).
2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans).
De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion).
3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict.
4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
"Après le retour à la semaine de quatre jours et demi, le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, veut s'attaquer, en 2015, à la réduction des vacances d'été. D'après un récent sondage, 53 % des Français plébiscitent cette réforme."
"Les Français s'opposent à ce que la théorie du genre soit enseignée dans les établissements scolaires. C'est ce que relève un sondage réalisé le 12 juin 2013 par l'IFOP pour l'UNI et l'observatoire de la théorie du genre."
"Alors que de nouveaux programmes du primaire sont attendus pour 2015, un sondage OpinionWay réalisé pour les parents d'élèves de l'enseignement catholique met en évidence le regard critique que familles et enseignants portent sur cet élément clé du système éducatif. "
"La réforme dite « Peillon » s'est retrouvée cette semaine sous les tirs croisés de la droite et de certains maires critiquant en particulier les problèmes de financement liés au passage à la semaine de quatre jours et demi. Ces critiques portent dans l'Opinion. Cela n'empêche pas les Français de penser que l'Opposition se sert surtout de cette réforme à des fins électorales."
"'après un sondage IFOP pour SOS-Education, 76% des enseignants pensent que la réforme va «niveler par le bas le niveau global des collégiens» . La popularité de Najat-Vallaud-Belkacem est en chute libre chez les enseignants."
"La devanture est trompeuse : sur Facebook, les sourires de façades des photos de profil fréquemment renouvelées et leurs chapelets de compliments de circonstance (« t'es trop belle », « la classe») sont les vestiges d'une fréquentation de Facebook en berne chez les adolescents.Une enquête ethnographique que nous avons menée auprès de 20 jeunes de 12 à 17 ans dans trois régions de France confirme la tendance mesurée par deux récents sondages aux US."
"A la veille du Sidaction 2015, un sondage montre que les fausses croyances persistent chez les 15-24 ans qui, pourtant bien informés, se protègent de moins en moins lors des rapports sexuels. "