Pour moi, aussi paradoxalement que
cela puisse paraître dans ma bouche, la technologie est bien
secondaire. Et c'est de même pour le français, les mathématiques ou
l'histoire. Ce qu'on apprend n'est pas important ; ce qui est
important, c'est être en état d'apprentissage. Or il arrive que
l'ordinateur, l'Internet, les logiciels libres judicieusement employés (c'est ici qu'on trouve le rôle du pédagogue
!) offrent une quasi-permanence de cet état