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Rss Feed Group items tagged

Aurialie Jublin

Pay Me, Facebook! - 1 views

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    Projet d'un activiste pour obtenir une rémunération de Facebook pour son activité sur le réseau. FACT: Facebook users spend over 700 BILLION MINUTES on Facebook each month.* FACT: Facebook has less than 6,000 paid employees, but over1 BILLION contributing content creators.** FACT: Facebook, Inc. is valued at over $100 BILLION.*** FACT: Facebook sells your personal data to other companies, & together they profit between $5-$1200 per person per year.****
hubert guillaud

Laisser les contenus des ados "privés" sur Facebook, ne les protégera pas - T... - 0 views

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    La sociologue danah boyd qui publie "It's Complicated: The Social Lives of Networked Teens" réagit dans une tribune pour le Time a la volée de bois vert des associations de défense des enfants face à l'annonce que Facebook voulait introduire pour les jeunes de 13 à 17 ans la possibilité de partager des contenus avec tout le monde, publiquement, et pas seulement avec leurs amis. "Mais pourquoi les jeunes ne devraient-ils pas être autorisés à participer à la vie publique ?" questionne danah boyd. C'est justement l'un des enjeux de l'adolescence : apprendre à être confronté et à participer à la vie publique. Pour eux, Facebook n'est pas et n'a jamais été un lieu privé. La décision de Facebook ne vise pas à exposer les jeunes à danger supplémentaire, mais à leur faire prendre conscience que le site est un espace public comme un autre. Plutôt que de chercher à protéger les jeunes par devers eux, imaginons plutôt les moyens de les intégrer de manière plus constructive à la vie publique. Et pour y parvenir, la clé n'est pas de créer des technologies limitatives, mais de fournir aux parents et aux adolescents les informations et les mécanismes nécessaires pour prendre des décisions sains.
Aurialie Jublin

Facebook peut prédire votre performance au travail - Mashable - A lire ailleurs - 1 views

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    "Demain, il suffira de d'une requête sur Facebook pour connaître la productivité à venir de la personne que vous vous apprêtez à embaucher, explique Aaron Sankin pour Mashable. Selon une étude qui a porté sur 150 étudiants comparant la prédictibilité d'un test de personnalité et de leurs profils sur les médias sociaux avec des mesures d'évaluations de leur performance, les professeurs Katelyn Cavanaugh et Richard Landers ont découverts que les traits de personnalités de leurs profils sur Facebook étaient plus significatifs qu'un test de personnalité pour mesurer leur performance au travail. Pourquoi ? Parce que les informations que nous livrons sur nos profils seraient plus honnêtes que celles que nous livrons à un questionnaire. Vous pouvez oublier votre score klout, qui mesure votre influence sur les réseaux… Demain, vous devrez mettre en valeur votre indice de productivité."
Aurialie Jublin

The Laborers Who Keep Dick Pics and Beheadings Out of Your Facebook Feed | WIRED - 0 views

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    "So companies like Facebook and Twitter rely on an army of workers employed to soak up the worst of humanity in order to protect the rest of us. And there are legions of them-a vast, invisible pool of human labor. Hemanshu Nigam, the former chief security officer of MySpace who now runs online safety consultancy SSP Blue, estimates that the number of content moderators scrubbing the world's social media sites, mobile apps, and cloud storage services runs to "well over 100,000"-that is, about twice the total head count of Google and nearly 14 times that of Facebook."
hubert guillaud

Vie privée et Facebook: pourquoi je ne poste rien de mes enfants sur le web |... - 1 views

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    Amy Webb a décidé de ne rien publier de sa fille sur Facebook et sur le net afin d'éviter de lui construire une identité numérique par devers elle. Mais son père l'a inscrite a son nom sur un ensemble de services web et de médias sociaux pour qu'elle puisse les utiliser à sa majorité !!!
hubert guillaud

L'invasion des "super startups" - HuffingtonPost.fr - 1 views

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    Julien Codorniou, directeur des partenariats en Europe chez Facebook, revient sur les "super startups", des petites sociétés composées de gens très techniques, qui deviennent ultra-profitables très rapidement en étant immédiatement tournées vers l'international. Fini, le temps des startups déficitaires... La nouvelle tendance : devenir rentable le plus rapidement possible. Ah oui, pour l'essentiel, cela reste des applications ludiques pour Smartphones et Facebook...
Aurialie Jublin

Google et Facebook "sont des engins dont le carburant sont les données person... - 0 views

  • Ces activités produisent une ressource qui est par la suite commercialisée. C’est de l’exploitation au sens économique classique comme production de valeur, mais nous sommes aussi face à de l’exploitation au sens marxiste du terme, parce qu’on est dans de la création de plus-value appropriée par les propriétaires des plateformes et réinvestie dans un cycle productif. On ne peut toutefois pleinement comparer Google aux usines du 19ème siècle, parce qu’on est dans ce qu’on appelle un marché biface. Un marché biface, c’est aussi par exemple la télé : un marché où on a l’annonceur d’un côté et les utilisateurs de l’autre. Le public est à la fois client et travailleur. Plus il est nombreux, plus il crée de la valeur, du côté de l’annonceur.
  • La première logique de résistance, c’est introduire du conflit, casser la logique irénique de l’amitié à tout prix sur le Web social. Il faut reconnaître les éléments conflictuels, ne pas les gommer au prétexte de garantir une soit-disante civilisation de l’Internet.
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    "Entretien avec Antonio Casilli sur le Digital Labor, travail invisible que l'on produit à notre insu pour les géants du Web comme Google et Facebook. Une interview qui vient en complément des pages Travail publiées ce lundi dans l'Humanité."
Aurialie Jublin

Royaume-Uni : la déferlante des « auto-employés », Europe - 3 views

  • La catégorie est particulièrement hétéroclite : elle est plus large que celle de l’autoentrepreneur français et comprend toute forme de travail en free lance hors salariat, du plâtrier au juriste à la mission en passant par le jeune entrepreneur Internet ou la retraitée offrant ses services en déco intérieure sur Facebook. Mais ce qui est clair, c’est que le nombre de ces auto-employés s’envole.
  • Pour beaucoup à gauche, c’est un nouveau signe, avec la hausse du nombre d’employés sous contrats sans heures minimums (« zero hour ­contract »), de l’accroissement de la précarité. Et il est vrai que le think tank, Resolution Foundation, a calculé que les émoluments des auto-employés ont baissé de 20 % depuis 2007, contre 6 % pour les salariés. Au total, ils sont payés 40 % moins cher.
  • Beaucoup de « self-employed » de la dernière vague pourraient donc bien privilégier ce statut pour sa souplesse même s’ils perdent en sécurité. Des préretraités ou des femmes au foyer pourraient y voir un moyen d’exercer leurs talents sans passer par la lourdeur du salariat. Pour Claire Enders, une analyste réputée du secteur des médias, la montée des auto-employés est une success-story britannique : elle est liée à la maîtrise d’Internet particulièrement marquée outre-Manche dans toutes les générations.
  • ...1 more annotation...
  • Ce qui est sûr, c’est que les hommes politiques vont devoir se pencher sur leur cas rapidement. Les gouvernements devront en effet veiller à ce qu’ils épargnent assez pour leur retraite ou aient accès à l’emprunt bancaire ou aux logements. La Banque d’Angleterre devra de son côté ­comprendre quel rôle ils jouent dans les réserves de productivité du pays pour déterminer sa politique monétaire. Les auto-employés pèsent déjà 15 % de la force de travail et représente un électorat important : cela devrait les aider à avoir davantage l’oreille des hommes politiques
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    Leur nombre pourrait dépasser celui des employés du secteur public dès la prochaine législature. Adaptation salutaire ou montée de la précarité, le débat n'est pas tranché.
anonymous

"J'appelle un ami..." La mobilisation du réseau chez les entrepreneurs | Muti... - 0 views

  • marche la plus difficile est celle qui nous fait passer de 0 à 1 »
  • Aujourd’hui, l’explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d’obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature;
  • si la mobilisation du réseau a évolué dans sa forme, qu’en est-il du choix même de la mobilisation du réseau?
  • ...29 more annotations...
  • A quel moment et pourquoi
  • dans la visée d’obtenir une ressource qui, dans l’immédiat, lui fait défaut?
  • phénomène de mobilisation des réseaux et des energies
  • l’entreprise est une réponse à des besoins économiques mais est également « construite par des individus dont l’action est à la fois facilitée et limitée par la structure et les ressources disponibles des réseaux sociaux où ils s’inscrivent ». Le cadre social de l’entreprise facilite l’accès aux ressources car il réunit un ensemble de connaissances et de compétences complémentaires. Mais il peut s’avérer limitant si la rigidité des structures et le manque de communication avec l’exterieur freinent l’entreprise dans son accès aux ressources manquantes.
  • lorsqu’on se lance dans la création d’entreprise, tout est à construire ou à trouver : on ne dispose pas encore de toutes les ressources nécessaires à la réalisation du projet
  • son joker : son réseau et ses amis.
  • ’importance de la mobilisation des relations sociales dans le processus de création d’entreprise
  • pour accéder à des ressources par rapport à l’usage d’autres voies d’accès à ces ressources que sont les dispositifs de médiation comme par exemple l’appel contractuel à un bureau d’architectes pour le design du lieu de travail.
  • Le mode d’accès par les dispositifs de médiation s’oppose à la mobilisation du réseau social dans le sens où il s’agit d’accéder à des ressources sans disposer de relation préalable
  • possible de faire directement appel à un professionnel dont le métier est précisément de jouer les intermédiaires
  • recrutement, la cooptation est pratiquée très largement
  • « au fil du processus de création, les médias et les organismes privés interviennent de plus en plus, alors que la présence des organismes publics et des médiateurs humains diminue avec la période initiale ».
  • place prépondérante des relations sociales pour des entreprises ayant moins de trois ans d’existence
  • « réseau social» auquel fait appel un entrepreneur
  • moins que le réseau social privé, c’est le réseau professionnel qui joue à plus de 80%, amis de travail ou  connaissances ponctuelles
  • éseau professionnel n’est pas uniquement issu du milieu du travail, mais s’est également formé durant les études ou par le jeu de la sociabilité
  • l n’existe pas de corrélation entre l’efficacité et la pérennité du réseau mobilisé : autrement dit, les « liens forts » (amis, anciens collègues) n’apparaissent pas plus efficaces que les « liens faibles » (recommandations).
  • en relation les types de ressources et leur accès
  • «si tous les types de ressources sont susceptibles de mettre en jeu des relations sociales, celles-ci sont particulièrement sollicitées pour le montage de partenariats, le recrutement des employés ou le choix des fournisseurs, et relativement peu pour les informations ou idées permettant de monter le projet, et le financement ».
  • la mobilisation du réseau social reste prépondérante dans le processus de création d’entreprise, celle-ci est toujours en interaction (que ce soit par complémentarité ou concurrence) avec les autres formes d’accès aux ressources
  • question qui se pose pour l’entrepreneur est alors de savoir où placer le curseur; autrement dit quand s’avère-t-il plus sage, ou plus optimal, de faire appel à un dispositif de médiation?
  • C’est généralement la répartition de ressources et la confiance dans les autres acteurs qui dictera sa conduite.
  • Il existe également des moyens « matériels » qui permettent aux entrepreneurs d’accéder à un certain nombre de ressources. On pense notamment aux médias (presse, web),
  • elativiser au cas par cas
  • De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c’est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c’est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !
  • quelle place reste-il aux réseaux sociaux générateurs de liens “faibles” , dont l’éloignement peut faire douter de la capacité de mobilisation réelle du réseau.
  • les liens forts sont les seuls à permettre d’engager concrètement des collaborations et une aide importante nécessitant un niveau de confiance élevé
  • limite d’Internet, les liens faibles qu’il génère favorisent l’accès à l’information mais la collaboration réelle nécessite toujours une confiance et un sentiment d’engagement mutuel
  • l’accès aux connaissances et aux compétences utiles, ce n’est pas seulement savoir à qui s’adresser, c’est c’est aussi savoir s’insérer dans un environnement riche en sérendipité … 
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    "Aujourd'hui, l'explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d'obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature; conseils techniques, juridiques, fonds, locaux… Ce phénomène a clairement bouleversé les manières d'envisager l'entrepreneuriat : en plus de faciliter les démarches, il ouvre un champ des possibles infiniment plus large qu'il y a trente ans pour une même action entrepreneuriale." "De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c'est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c'est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !"
Aurialie Jublin

La cooptation inspire les start-up et transforme les employés en recruteurs - 0 views

  • RolePoint, par exemple, permet aux employés d’une entreprise de recommander en quelques clics des candidats dans leurs propres réseaux sociaux : LinkedIn, Facebook et Twitter. L’entreprise utilisatrice participe peut inciter ses employés à faire des recommandations en mettant en place un système de récompense. Elle peut aussi garder un œil sur des candidats potentiels en créant une “communauté de talent” en ligne qu’elle remplit au fur et à mesure des profils intéressants croisés sur LinkedIn, Facebook et Twitter.
  • Dans la Silicon Valley, le recrutement par cooptation numérique est devenu une nécessité tant la guerre des talents fait rage. Les employés jouent aux chaises musicales entre les géants Facebook, Google et Apple, quand ils ne décident pas de se lancer dans l’aventure start-up. Dans une économie ou le capital humain est la première source de valeur, toutes les méthodes sont bonnes pour trouver le candidat idéal. A San Francisco, RolePoint, Discover.ly, Kareer.me et bien d’autres start-up sont parties à la conquête de ce nouveau marché.
  • Ces start-up ont compris que le recentrement sur la valorisation de l'individu, notamment pour la génération Y, transformait le recrutement à tous les niveaux. On peut donc se demander quel rôle les recruteurs vont jouer dans tout cela… Vraisemblablement, plus le capital humain va prendre de la valeur, notamment avec l’essor de l’économie numérique, plus les RH vont devoir se concentrer sur des programmes de valorisation et développement des employés.
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    "Après la révolution du recrutement social, qui a bouleversé les ressources humaines via les réseaux sociaux, une nouvelle ère se dessine avec des outils numériques de cooptation, qui misent sur la culture d'entreprise et les employés avant tout. Des start-up transformant les employés en chasseurs de têtes se multiplient outre-Atlantique mais aussi en Europe."
Aurialie Jublin

[Infographie] Facebook et les frontières : histoire(s) d'un travail mondialis... - 0 views

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    Le marché mondial du travail , vecteur d'amitié entre les peuples ?
hubert guillaud

GitHub : le Hub d'innovation de l'internet - Technology Review - 1 views

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    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
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    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
Aurialie Jublin

[Slides] Qu'est-ce que le Digital Labor ? (séminaire 26 mars 2013) d'Antonio ... - 2 views

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    La parution récente de l'ouvrage 'Digital Labor. The Internet as playground and factory', dirigé par Trebor Scholz couronne plusieurs années de recherches et fait connaître au public international un domaine émergent de réflexion autour de l'économie de la contribution d'Internet. Face aux exaltations du « don et contre-don hi-tech » et du rôle des amateurs (qui avaient marqué les études des usages TIC respectivement de la première et de la deuxième partie des années 2000), les théoriciens du digital labor pointent l'apparition d'activités sur les réseaux socio-numériques lesquelles, en tant que productrices de valeur, peuvent s'assimiler à du travail. C'est un travail banal, non spécialisé et à faible valeur marginale, comme effectuer des recherches sur Google, poster un lien sur Twitter, évaluer un produit. Mais c'est bien l'activité qui permet la création d'énormes bases de données exploitables par les géants du Web comme Facebook, ou fait vivre des plateformes d'externalisation massive du travail (crowdsourcing) comme Amazon MTurk. A partir de ce constat, bien des questions se posent : comment ce « travail numérique » réinterroge la notion même du travail et de la (co)production de la valeur ? peut-on parler d'exploitation ? nos vieux cadres d'analyse, nous permettent-ils de penser ce qui se joue là, voire de définir les contours d'un « capitalisme cognitif » ?
Aurialie Jublin

Faut-il taxer l'exploitation des données personnelles ? - 0 views

  • la collecte de ces données relève d'une forme de "travail gratuit" des utilisateurs d'un service en ligne. De plus, le numérique a cette capacité de tout transformer, à commencer par la notion même d'entreprise, dont la valeur n'est plus uniquement produite par ses salariés et ses fournisseurs, mais aussi par ses utilisateurs. Pire, il se joue complètement des frontières et pénaliserait même les Etats.
  • Et ces fameuses données personnelles, plutôt que d'en taxer l'exploitation, ne pourrait-on pas en négocier un partage d'usage pour que l'Etat à son tour les utilisent pour développer des services à valeur ajoutée ? Le rapport aborde la question en évoquant l'initiative MesInfos (exploitation de infos gratuites si les données son restituées) à laquelle réfléchit la Fing et en cours d'implantation aux Royaume Uni. 
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    Imposer les bénéfices issus du "travail gratuit" des internautes, c'est la principale proposition du rapport Collin & Colin sur la fiscalité numérique : Objectif : capter un peu de la valeur réalisée par les Google, Facebook, Apple et autre Amazon, qui ne paient quasiment aucun impôt en France, ni ailleurs d'ailleurs, grâce à leur judicieux mécanisme d'optimisation fiscale via les paradis fiscaux.
Aurialie Jublin

Stefana Broadbent. L'intimité au travail. La vie privée et les communications... - 1 views

  • L’argument de productivité est d’une force redoutable : les communications privées sur le lieu de travail diminueraient la concentration du travailleur et, par là même, son efficacité et sa productivité. Stefana Broadbent porte des arguments riches contredisant cette justification : le problème serait plutôt à chercher du côté de la culture, du contrôle, de la hiérarchie et de la perception du travail. L’auteure qualifie l’argument de productivité d’irrationnel puisque des différences de confiance existent dans les organisations : alors que les communications personnelles sont fortement restreintes (voire interdites) pour les emplois peu qualifiés, elles ont libre-cours pour les cadres (considérés comme capables d’autodiscipline). Les processus de contrôle et de domination présents dans les organisations se retrouvent ainsi à travers l’usage des TIC à des fins personnelles.
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    Résumé de l'ouvrage de Stefana Broadbent qui nous plonge dans une chronique contemporaine des usages intimes des TIC au sein des institutions, via des témoignages, des passages tir&s de journaux de bord, de résultats d'étude, ... L'objectif de ce livre est d'expliciter les usages intimes des différents canaux de communication : téléphone (fixe et portable), messagerie électronique, sms, discussion instantannée, Skype, Facebook… Comment les TIC sont-elles utilisées à des fins personnelles ? Dans quel but ? Pour communiquer avec qui ? À quel moment de la journée ? Quelles en sont les effets (intraindividuels, interindividuels, organisationnels) ?
julien camacho

L'énorme potentiel de LinkedIn, le "Facebook sérieux des pros" - Le Nouvel Ob... - 0 views

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    Avec ses 225 millions de profils et ses deux nouveaux utilisateurs chaque seconde, LinkedIn est le réseau social professionnel à la plus forte croissance. Selon une étude intitulée "LinkedIn, the serious network" publiée ce mardi 2 juillet par faberNovel, LinkedIn représente "un géant sous-estimé de la technologie, avec un énorme potentiel".
julien camacho

Linkedin serait-il le Google du monde professionnel ? - 0 views

  • Comme le rappelle faberNovel, Linkedin tire son chiffre d’affaires à 57 % de ses services destinés aux recruteurs ("talent solutions"), à 27 % de la publicité, et à 20 % de ses membres premium.
  • Depuis quelques mois, Linkedin se transforme et affiche donc de nouveaux services. Le plus en vue, ce sont les news, apparues en début d’année. Des informations uniquement orientées vers le monde professionnel et personnalisées pour le membre connecté. Elles pourraient aussi faire de Linkedin un média professionnel privilégié. De quoi concurrencer les Google News, les Yahoo! News mais aussi Flipboard.
  • le Californien affiche aujourd’hui un impressionnant ratio R&D sur chiffre d’affaires de 25 %. Un taux qui s’explique entre autres par le lancement, en 2011, d’un projet ambitieux, appelé Inversion. Objectif : redévelopper complètement le code de base du système pour qu’il tienne la charge des futures ambitions du réseau. Rien de moins. "Ils ont voulu se donner des moyens d’accélérer leur progression, raconte Caroline Pandraud. Alors ils ont tout défait et reconstruit pour que l’ensemble devienne une plateforme." Et que d’autres éditeurs ou développeurs puissent développer des plug-in, ou pour que d’autres sites intègrent des boutons "share" (partage) ou "Apply" (postule) à la manière des "j’aime" de Facebook ou des "tweeter" de Twitter.
  • ...4 more annotations...
  • Mais, pour monter en puissance encore plus vite, depuis l’an dernier, Linkedin a procédé à quelques acquisitions majeures. Fin 2012 :  le très prisé Slideshare sur lequel tous les professionnels partagent leurs présentations. En avril dernier, l’agrégateur de news Pulse, concurrent de Flipboard, qui a permis à Linkedin de lancer ses news en quelques jours à peine. En mai, enfin, le moteur de sondage autour de contenu Maybe.
  • Pour faberNovel, Linkedin pourrait devenir une place de marché d’experts si ceux-ci sont notés par leurs pairs, une place de marché de projets si les appels passent par sa plate-forme, un lieu où les start-up peuvent trouver des investisseurs, etc. Mais en extrapolant encore plus loin : "dans un ou deux ans, Linkedin pourrait devenir un Amazon du business,"
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
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    "La force historique de Linkedin, c'est son graphe. Cette toile vivante qui relie les membres entre eux, employés, recruteurs, entreprises, etc. Comme pour Facebook, Amazon mais aussi Google, c'est le cœur du business model. Celui qui alimente le système en données brutes et croisées, et qui exploite le principe des "affinités" entre membres pour proposer postes, informations ou publicités ciblés. Avec une différence notable par rapport aux autres médias sociaux : ici, tout le monde s'inscrit avec son identité réelle, car tout le monde y a intérêt. Graphe et big data sont les deux clés du système. Ils alimentent les trois moteurs Linkedin, comme l'explique faberNovel : le recrutement, le développement de business et le partage de contenu. "La singularité de Linkedin, c'est d'appliquer le big data au recrutement," insiste Caroline Pandraud, lead project analyst chez faberNovel. Derrière, trois algorithmes activent le moteur de recherche dans la base, le moteur du graphe et le moteur de recommandation."
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    L'agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l'économie mondiale.
Aurialie Jublin

Gratuit : un ingénieur expérimenté pendant 1 mois | Jemepropose - 0 views

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    Extrait : Monsieur Lefort est au chômage depuis peu. A 49 ans, il a décidé de remettre le pied à l'étrier de l'emploi en déposant une annonce sur Jemepropose.  L'intérêt ? "Ça me permet de m'occuper l'esprit et de rester actif dans le monde de l'entreprise." De plus, c'est un bon moyen pour lui de multiplier les expériences et d'augmenter son réseau de contacts. (...) Avec déjà 26 likes sur Facebook, son annonce n'est pas passée inaperçue. Monsieur Lefort a d'ailleurs déjà reçu plusieurs propositions en 15 jours
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