The Gig Economy Isn't Just For Startups Anymore - 0 views
Quand les robots remplaceront les hommes - Economie Matin - 2 views
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Un court article de Jean-Michel Billaut, gourou de l'internet français, qui a le mérite d'extraire les principaux sujets de controverses du scénario de la robotisation massive de nos sociétés. L'esclave était le prototype du robot 0.0, le prolétaire sa version 1.0, et les robots biologistes constitueront la prochaine étape du robot 2.0. Les modèles d'innovation qui supportent la croissance, ainsi que la répartition des richesses produites, devront évoluer pour offrir un avenir à la "troisième révolution industrielle".
Le télétravail prend son envol à Roissy - Conseil régional d'Île-de-France - 1 views
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"Parce que les aéroports sont l'incarnation du nomadisme, Roissy dispose depuis début janvier de son tout premier lieu de télétravail. Installé au sein de la pépinière d'entreprises Aéropole, et situé au pied de la station de RER CDG 1, il met à disposition des « sans bureau fixe » différents espaces de travail (open space, salles de réunion, bureaux individuels, etc), le tout sur plus de 300 m². « Notre service s'adresse aussi bien aux salariés dont l'entreprise a mis en place le télétravail qu'aux travailleurs indépendants, explique Valérie Frémont, directrice d'Aéropole. Ils peuvent ainsi baigner dans un environnement professionnel et être au contact d'autres actifs. » "
Tous pirates - error 404 - 0 views
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Concernant mon précédent billet, et parce que la share economy recouvre une très forte variété de domaines, je n'ai pas fait la distinction entre la production et la consommation. J'y reviens ici sur des points de débats que j'ai eus. Enfin, les deux types de cette nouvelle économie mettent en exergue deux points essentiels de notre société : la raréfaction du travail, et la déconnexion patente de l'investissement (partant, la finance) envers l'économie réelle. Plus d'investissement productif, et une numérisation qui crée de la valeur sans créer de l'emploi; il y a donc un nouveau contrat social à définir.
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Depuis la faillite du socialisme (politique), un subtil équilibre se joue entre le public et le privé. L'Etat crée par l'éducation une richesse - le travailleur - qui sera exploitée par l'entreprise. En échange, l'entreprise contribue par l'impôt et les taxes à l'organisation de l'Etat. Le code libre, c'est une richesse commune, exploitée par tous, mais dans une asymétrie d'échanges. S'il fait le bonheur de communautés (celles d'Ostrom), il fait aussi le bonheur de la sphère privée. Ainsi, les flux économiques apparaissent comme une captation de valeur sur des territoires et des individus hors marchés (de l'Europe vers les US, du libriste vers Microsoft) à coût nul, pour être ensuite revendus aux producteurs initiaux. Le libre, c'est un peu l'Afrique qui importe son chocolat après avoir vendu à prix dérisoire ses fèves de cacao.
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Que se passe-t-il ? Il faut en fait considérer qu'il n'existe pas un marché du travail, mais deux marchés : un marché de l'emploi, et un marché du revenu, lesquels ne sont pas corrélés. Les rentiers, investisseurs en capital, dealers de drogue, proxénètes, n'existent pas sur le marché du travail mais le sont bien sur celui du revenu. Idem pour les travailleurs pauvres, stagiaires, qui n'existent - quasiment - pas sur le marché du revenu, mais bien sur celui du travail.
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La fin du salariat, vraiment ? - La Croix - 2 views
We all have the 'right to disconnect' - but only some of us can afford it | Evgeny Moro... - 0 views
How Freelancers Are Redefining Success To Be About Value, Not Wealth | Co.Exist - 0 views
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Time is a new currency, and successful freelancers manage, save, and spend it wisely.
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Independent workers value community, because collaboration and camaraderie are more than warm and fuzzy feelings--they’re the foundation of success in the emerging independent economy.
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Freelancers value eating healthy, going to the gym or practicing yoga, meditating to reduce stress, and working in spaces with plenty of light and fresh air. For a freelancer, success in work means being healthy enough--physically and mentally--to enjoy life.
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This "Airbnb For Skills" Will Liberate You From Your 9 To 5 | Co.Exist - 1 views
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Ultimately, he sees freelancing as the future. “We’re coming towards an automation kind of economy; most of Amazon will probably be automated within 10 years. As technology is liberating us, we’re becoming less necessary for routine jobs. Like Arthur C. Clarke and Buckminster Fuller said in the 1960s, 90% of people should just stay at home and play in the parks and have fun. If you build automation for the society, then the society can be free--and that’s starting to happen.”
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The new site may help make that transition a little easier. “Airbnb has liberated apartments, and we can liberate people from their 9 to 5,” Hooks says. “We believe that most of us can freelance, most of us can Airbnb our place, most of us can take a day off to hang out with friends. That kind of shared economy is a visionary idea that is happening now.”
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"More people are freelancing than ever before--by some estimates, around 42 million Americans. But entrepreneur Ryan Hooks thinks that eventually almost everyone will be able to leave their office jobs, and he's built a new website called Avbl to help. "Essentially it's kind of like the Airbnb model for skillsearch," Hooks explains. "Whatever city you're in, wherever you are in the world, you can search for a skill--like editor, designer, illustrator, or seamstress--and the results come up based on proximity and date." If someone needs a video editor today, or a web designer next month, they can search and book the right person."
Don't Fear the Robots Taking Your Job, Fear the Monopolies Behind Them | Motherboard - 0 views
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She imagined a hair salon of the future, where robots would deliver the perfect cut, but human staff would fulfill the most important role—understanding the needs of their clients.
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"We'll need strategies to shift jobs into the fields where humans outperform robots, and tax and welfare schemes that take the new economy into account. Ultimately, the impact of the robot revolution won't just be down to the technology itself, but how we use it-or more importantly, whether the people using it is in fact a "we," or a limited, elitist "they.""
Christian Chavagneux, Alternatives Economiques - La croissance c'est fini ! - Libre pro... - 0 views
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Les pays avancés seraient-ils condamnés à la croissance faible? Ce n'est pas seulement la France qui est en panne, la Zone euro s'est enfoncée dans le marasme. Même l'Allemagne et les pays du Nord marquent le coup. Certes, les pays anglo-saxons et surtout les Etats-Unis semblent pouvoir faire cavalier seul. Mais, la croissance potentielle a bien reculé. Alors, faut-il donner raison à l'économiste Robert Gordon qui prédit que nous serions entrés dans une phase de stagnation séculaire? Pour en parler, Xerfi Canal a reçu Christian Chavagneux, économiste et éditorialiste à Alternatives Economiques.
TaskRabbit ou l'emploi à la demande : les promesses (déçues) du futur du trav... - 1 views
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Si TaskRabbit se présente comme le site de l’économie à la demande de demain, il suscite néanmoins de nombreuses critiques, parfois virulentes, s’attachant le plus souvent à la précarisation de l’emploi, à la baisse générale des salaires observable sur le site ou encore à la corvéabilité à merci des postulants. Consommation collaborative ou économie du petit boulot (gig economy), les ambigüités des promesses de TaskRabbit rejoignent les grandes interrogations liées à la dite « économie du partage ». Cependant, TaskRabbit pourrait bel et bien être un signe avant-coureur des structures du nouveau monde du travail, tel qu’il tendrait à l’être dans les années à venir, alors que l’emploi salarié devient minoritaire.
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Dans un monde du travail qui n’a jamais autant fait place aux freelances, missions ponctuelles, et autres contributions irrégulières à des projets contributifs ou d’intérêts généraux, une régulation et une sécurisation des parcours seront néanmoins nécessaires pour éviter une trop importante atomisation de l’emploi fragilisant les individus. Reste à se tourner vers la protection, non plus d’emplois, mais bien de personnes, aux carrières plus mouvantes que jamais.
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"Face à ce modèle attractif, mêlant promesses de désintermédiation, de matching (adéquation offre/demande) et d'hyper-flexibilité, beaucoup de postulants se trouvent néanmoins dans une situation délicate : la compétition accrue constatée sur ce site, notamment due au nombre d'offres postées largement inférieur au nombre d'inscrits, condamne certains d'entre eux à passer la majeure partie de leur temps les yeux rivés sur l'écran de leur smartphone, à la recherche de l'offre idéale. Une forme de précarisation qu'ils considèrent néanmoins parfois comme davantage enviable que l'inactivité."
The 'sharing economy' undermines workers' rights - my FT oped - Notes EM - 0 views
Qui sont les travailleurs de l'"Uber economy" ? - JDN - 1 views
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Revenu à 18 dollars par heure aux Etats-Unis. Il est plus élevé dans le secteur du "revenu passif" (location sur Airbnb) et dans les transports (VTC) : 25 dollars en moyenne par heure. 38,3% des travailleurs de l'économie on-demand se disent étudiants tandis que 35,3% font des plateformes de services leur activité principale. Preuve de l'explosion du modèle, 62,6% des répondants ont rejoint une société de services à la demande pendant les douze derniers mois, contre 16,2% seulement il y a plus de trois ans. Les chercheurs ont demandé aux travailleurs d'indiquer dans quel secteur les sociétés de services à la demande pour lesquels ils travaillent se situent. Les "travaux manuels", comme les services de plomberie ou de ménage, par exemple, arrivent en tête. Suivent les sociétés de transports comme les VTC, puis la livraison, et enfin les plateformes qui permettent aux utilisateurs d'engranger un "revenu passivement", comme Airbnb en louant son appartement. 49,4% des travailleurs indépendants inscrits sur des plateformes sont titulaires d'un diplôme universitaire.- Selon l'étude menée par Requests for Startups, les travailleurs de l'économie à la demande sont plutôt des hommes (72,7%), jeunes (70% ont entre 18 et 34 ans), célibataires (65,7%).
Et si l'économie du partage annonçait la fin du salariat ? - 0 views
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Bref, la société salariale serait dépassée. « N'oublions pas d'ailleurs que, jusqu'en 1930, en France mais également dans nombre de pays développés, la forme d'emploi dominante était le travail indépendant », souligne Denis Pennel. Un mode d'organisation compatible avec une grande diversité d'emplois : « Dès le XIXe siècle, il existait un grand nombre de catégories de travailleurs, mais les différences s'organisaient plus autour de métiers exercés qu'autour des statuts d'emplois.» Voilà donc le modèle défendu implicitement par les tenants de la «share eco-nomy» : une économie où chacun est son propre patron, une économie d'avant le salariat, ce mode d'organisation sociale qui semble soudain démodé.
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Comme le relevait le sociologue Robert Castel dans son livre phare «Les métamorphoses de la question sociale, chronique du salariat», ce statut a longtemps été, jusqu'au début du XXe siècle, l'apanage d'une minorité. Et pas de la plus chanceuse : être salarié, au milieu du XIXe siècle, c'était faire partie de la lie de la société. On peine à imaginer aujourd'hui, dans notre société dominée par ce mode d'organisation sociale, tout ce que le statut de salarié pouvait avoir de dégradant, dans une France encore largement agricole, où les agriculteurs plus ou moins riches mais pour la plupart d'entre eux propriétaires, ou espérant le devenir, étaient les plus nombreux, aux côtés des artisans et bourgeois. Le salarié, c'était celui qui n'avait rien. Aucun patrimoine. Rien que ses bras. C'était donc, initialement, le prolétaire. Un prolétaire souvent en marge de la société, effrayant le bourgeois, relevant des classes dites alors «dangereuses».
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Ce combat social-démocrate est passé surtout par la création progressive, durant la première moitié du XXe siècle, de ce que Robert Castel a appelé, après certains penseurs de la fin du XIXe siècle, la «propriété sociale». Quésaco ? Le fait d'accorder aux «travailleurs» à la situation toujours incertaine, faute de patrimoine, un certain nombre de garanties, sous forme d'assurances collectives, touchant les accidents du travail, la maladie et la vieillesse. Ces garanties constituent comme des droits de propriété acquis progressivement sur la société - on pense aux retraites, bien sûr.
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Counter-commodification: The Economy of Contribution in the Digital Commons - 0 views
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"As digital production is at the very heart of cognitive capitalism, the digital commons is not just any other disruption of the process of commodification. This is the field of a fierce struggle over the future of the Internet and the future of capitalism itself. It is potentially the moment which moves back the frontiers of measurement, value and quantification towards qualities, values and an expansion of the gift economy. For this potential to unfold, it is vital that those who are giving, sharing, and contributing for the benefit of humanity are supported by global policies that enable them to do so. They have to be supported because their gifts are not based on reciprocity and the obligation to return the gift. This is an argument about the future of digital labour. The article concludes that this could be achieved through a global basic income scheme."
WeWork : un Linked-in... utile - Wired - A lire ailleurs - 0 views
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WeWork, réseau de coworking space implantés dans 7 grandes villes américaines + Londres, avec un réseau social, WeWork Commons, qui vise à apporter l'expérience que les coworkers connaissent dans les bureaux physiques en ligne, à tout le monde, partout. C'est un réseau social (de 15 000 personnes) où les membres partagent conseils et entraides. L'enjeu, apporter un outil de travail vraiment utile aux travailleurs indépendants, aux entrepreneurs de la freelance economy."
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