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Aurialie Jublin

Stop à l'uberisation de la société ! - Libération - 0 views

  • Le numérique nous donne en effet l’occasion de reconsidérer le travail non plus tel un emploi condamné à devenir toujours plus précaire, anxiogène et de l’ordre de l’auto-exploitation, mais dans le cadre d’un projet de société contributive dont ce même emploi serait un moyen parmi d’autres plutôt qu’une fin en soi. Une entreprise comme TaskRabbit crée certes de la valeur d’usage via sa plateforme de petits emplois à la demande, mais elle garde pour elle et ses actionnaires tous les bénéfices de sa valeur d’échange. A l’inverse, Loconomics est une coopérative détenue par ceux qui y proposent leurs services. Contre les plateformes de ladite économie du partage, qui n’en a que le nom, Trebor Scholz défend le «coopérativisme de plateforme», pour bâtir une société des communs au-delà des seules dimensions économique et financière.
  • Il suppose de s’atteler aux métiers du futur, concernant tout autant les orfèvres des data pour utiliser et nous libérer des algorithmes que le soin aux personnes, sans besoin de la moindre machine ; de codifier le travail d’une façon à la fois très protectrice de notre art de vivre et beaucoup moins administrative qu’aujourd’hui ; d’interroger la mise en place d’un revenu d’existence suffisant, justifié de façon structurelle par le chômage numérique massif et la lente agonie à venir de l’emploi ; d’expérimenter l’extension du régime des intermittents dans la perspective d’une société réellement contributive, d’accession et de transmission des savoirs par tous et entre tous ; d’étudier une refonte de la fiscalité selon les principes de la Taxe Pollen, quitte à instaurer d’abord une taxe européenne sur les flux issus du Trading Haute Fréquence (THF) afin de financer le revenu universel.
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    "La combinaison de la robotisation et des Big data, des algorithmes et des effets de réseau nous transforme d'ores et déjà en fossoyeurs involontaires du salariat. Bienvenue dans un monde enfin « flexible », dopé par la robotisation et le travail au compteur. Un monde où usagers et clients se notent en permanence, où chacun devient son propre Big Brother et où la régulation des acteurs de tous les marchés, de l'assurance aux transports urbains, se joue en mode automatique Big data plutôt que sur le registre de la loi ou de la confiance sans calcul."
Aurialie Jublin

Numérique et emplois, synthèse de la Fabrique de l'industrie - 0 views

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    Intéressant exemple des Cuisines Schmitt : des effectifs multipliés par trois grâce à la robotisation et à la numérisation Schmidt groupe est allé très loin dans la robotisation et la numérisation de son activité avec son projet lancé il y a dix ans : une cuisine fabriquée en un jour, livrée au bout de dix jours avec une qualité 100 %. Le vendeur crée virtuellement une cuisine avec les clients, la commande est traitée par échange de données informatiques et la fabrication est robotisée. Une commande standard peut être réalisée presque sans intervention de l'homme et les délais de fabrication sont passés de sept jours à une journée. Concrètement, l'automatisation a permis de maîtriser la qualité des produits mais aussi de réduire la pénibilité du travail et, surtout, d'éviter la délocalisation. Il est vrai que l'automatisation peut conduire à supprimer certains postes dans un premier temps. Mais Schmidt a conquis de nouveaux clients en France et en Europe, ce qui a créé des emplois malgré un recours de plus en plus important aux robots. En 60 ans, le groupe a construit quatre sites de production, le cinquième ouvrira en 2019. Il y a trois fois plus de salariés qu'avant dans l'entreprise (+ 1 500). Les anciens ouvriers ont été formés, ils se sont convertis en opérateurs et en pilotes d'installations complexes. Schmidt recrute aujourd'hui une centaine de profils qualifiés par an.
Aurialie Jublin

Où va l'économie numérique ? (2/3) : robotisation ou monopolisation ? Interne... - 1 views

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    "C'est peut-être difficile à croire, mais avant la fin de ce siècle, 70 % des emplois d'aujourd'hui sera remplacé par l'automatisation. Oui, cher lecteur, même votre travail vous sera enlevé par des machines. En d'autres termes, votre remplacement par un robot n'est qu'une question de temps." "Ce bouleversement est induit par une deuxième vague dans l'automatisation, estime Kevin Kelly : une vague centrée sur la cognition artificielle, les capteurs bon marché, l'apprentissage automatique et l'intelligence distribuée. Et cette automatisation profonde va toucher tous les emplois, du travail manuel au travail intellectuel." (...) "Chaque succès de l'automatisation génère de nouvelles professions - professions que nous n'aurions pas imaginées sans l'impulsion de l'automatisation. Pour le dire autrement, la majeure partie des nouvelles tâches créées par l'automatisation sont des tâches que seulement d'autres automates peuvent réaliser. "
julien camacho

A brief history of robots - 1 views

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    Les robots (terme dérivé d'un mot Tchèque signifiant : travail) sont devenus omniprésents, à tel point que leur présence dans tous les domaines d'activité passe parfois inaperçue. Paristech review revient sur 3000 ans d'histoire de la robotisation, processus qui débute avec les preières tentatives d'automatisation.
abrugiere

▶ Quand les humains n'auront plus besoin de postuler ! - YouTube - 1 views

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    une video édifiante sur l'automatisation / robotisation  vers des machines intelligentes ? 
julien camacho

Quand les robots remplaceront les hommes - Economie Matin - 2 views

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    Un court article de Jean-Michel Billaut, gourou de l'internet français, qui a le mérite d'extraire les principaux sujets de controverses du scénario de la robotisation massive de nos sociétés. L'esclave était le prototype du robot 0.0, le prolétaire sa version 1.0, et les robots biologistes constitueront la prochaine étape du robot 2.0. Les modèles d'innovation qui supportent la croissance, ainsi que la répartition des richesses produites, devront évoluer pour offrir un avenir à la "troisième révolution industrielle".
Aurialie Jublin

Vos désirs sont des ordres | Cosmo [†] Orbüs - 0 views

  • La morale, c’est qu’il n’y a pas de limites à la volonté de contrôle des corps. Le techno-capitalisme avance souvent main dans la main avec sa meilleure ennemie : la liberté individuelle. […] Les organisations qui ne savent pas promouvoir l’homme tel qu’il est (et la femme telle qu’elle est), dans toutes ses dimensions, dans toutes ses richesses (et faiblesses !), sont des organisations dont le design n’est pas prévu pour l’humain.
  • Dans un monde où les entreprises cherchent à dépasser les possibilités de leur main d’oeuvre humaine (cadence, qualité, standardisation de la production etc.) pour pas trop cher (ou vite rentabilisé), la machine semble être une solution logique. Le design de la machine industrielle (et du logiciel de service) est conçu pour accomplir précisément ce qu’elle est supposée faire (on en a déjà parlé). Ça paraît tout bête dit comme ça, mais ça va mieux en le disant : la machine est faite pour faire ce qu’on veut qu’elle fasse. Elle est donc complètement compatible avec les attentes de l’entreprise, contrairement à ces humains bourrés de vices de conception, qui dorment, mangent, prennent des pauses, font grève et… vont aux toilettes.
  • Certains prêchent qu’on aurait intérêt à s’entraîner pour concurrencer les machines qui, demain, nous remplacerons. D’autres évoquent l’impossibilité totale de battre le droïde sur son propre terrain (encore une fois : il est conçu pour une tâche précise. Comment voulez-vous lutter ?), et appellent à embrasser le Grand Remplacement Robotique qui serait pour demain.
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  • La première option n’en est pas une. S’entraîner pour accomplir ce qu’un robot manifestement imparfait fait déjà mieux que nous est une gageure. A moins de les perfuser en permanence (sucre + excitants + antidépresseurs), de les gaver de pilules anti-sommeil, de les enchaîner à la chaîne de montage et de tenir la Ligue des Droits de l’Homme à distance, les ouvriers de l’industrie automobile sont moins efficaces que les robots qui existent d’ores et déjà. Dans le futur, aucune « augmentation » transhumaniste ne changera jamais cet état de fait.
  • La deuxième option est plus intéressante. Souvent la réflexion de penseurs comme Ariel Kyrou (dans Réinventer le travail sans l’emploi) ou des auteurs de SF comme Norbert Merjagnan (CoÊve 2051) fait suivre le constat du tout-robotique à venir par un appel au Revenu de Base. Forcément : si les machines font si bien le travail, laissons leur. Mais si nous n’avons plus de boulot ni de salaire, qui achètera les quantités de produits débités par nos usines robotisées ? Le revenu de Base est parfois vu comme la face B, indissociable de la robotisation galopante. A moins de s’en remettre à la phrase de Catherine Dufour : « Avec la robotisation on nous avait promis les loisirs, et on a eu le chômage. »
  • Pendant que le service marketing s’essaye à la promesse, quelqu’un d’autre doit la tenir. Le paradis du consommateur est souvent l’enfer du salarié.
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    "Il y a des entreprises où les employés portent de couches parce qu'il n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - d'assouvir un besoin essentiel et commun à tou(te)s. Il y a des entrepôts d'Amazon environnés de tentes parce que les employés n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - de rentrer chez eux le soir. (Et encore, pour le moment ils n'ont pas de bracelet de surveillance.) Allons bon, ils ont toujours le choix ! Sauf qu'à trop faire la fine bouche, on leur rappellera que six millions de crevards demandeurs d'emplois attendent dehors pour prendre leur place. Comme le notait Mais où va le web dans son excellent article Pause pipi et ovocytes congelés : l'homme machine selon Heidegger, le fait que des entreprises en arrivent à de tels délires dans l'exploitation de leurs salariés est un problème de design. Ces entreprises et leur fonctionnement ne sont pas compatibles avec ce qu'est l'être humain. "
Aurialie Jublin

Et si l'on se débarrassait une fois pour toutes de l'emploi ? - 0 views

  • Le travail comme contrôle social Une première solution serait de continuer à travailler, même si cela ne sert plus à rien, ne serait-que pour préserver un certain ordre social, comme l'imaginent Léo Henry et Jacques Mucchielli dans leur nouvelle Demain l’usine
  • Le travail comme expression de soi Il serait évidemment préférable de se remettre en quête du sens de ce que l’on nomme encore aujourd’hui « travail ». On ne peut cependant pas s’en tirer par des expressions toutes faites telles que « créativité » ou « empathie », puisqu’on fait aujourd’hui toutes sortes d’efforts pour doter les robots et les IA de ce type de capacités.
  • Le travail comme oeuvre collective Mais on ne travaille pas tout seul, ni pour soi. Le travail est par essence une activité sociale, tant dans son déroulement que dans son résultat. Beaucoup d’utopies des XIXe et XXe siècle s’organisaient autour d’une manière de travailler ensemble
  • ...3 more annotations...
  • Le travail comme assurance-futur Oeuvrer, d’accord, mais à quoi ? Dans son article « The Option Value of the Human », situé à la lisière de la recherche et de la spéculation, l’informaticien et penseur de l’économie Steve Randy Waldmann suggère qu'à l'heure de la robotisation, la fonction du travail pourrait consister, d’une part, à garder en vie les savoir-faire et même les systèmes productifs du passé et d’autre part, à inventer le plus grand nombre de choses possibles, indépendamment de leur utilité immédiate.
  • ... Ou plus de travail du tout ? À moins… que nous apprenions à accepter l’oisiveté au nom de la contemplation, de l’amélioration de soi et de la philosophie, comme nous y invitent certaines des fictions les plus anciennes sur la robotisation du travail humain - le travail résiduel devenant une forme de “service social”, d’impôt temporel, comme dans la pièce « R.U.R, les Robots Universels de Rossum », de Karel Capek
  • Au fond, la disparition éventuelle du travail n’est peut-être un problème que dans un monde où la majorité des activités humaines s’inscrit dans un contexte marchand, justifiant dès lors un calcul coût-avantage qui tournera souvent à l’avantage de la machine. Tout en cherchant à inventer les métiers de demain, on pourrait aussi chercher aussi à imaginer la disparition de l’idée de métier, pour s’intéresser à l’infinie variété des « activités », des manières d’être utile à soi et aux autres.
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    "Les deux premiers épisodes de la série d'articles « Boulofictions » se penchaient respectivement sur la façon dont la fiction nous aide à penser les futurs du travail et sur l'origine et les intentions des robots. Dans ce troisième épisode, Daniel Kaplan, à l'initiative du projet Work+, explore le scénario suivant : à supposer que les robots se substituent effectivement aux humains dans la plupart des emplois actuels et que la création de nouveaux emplois (notamment de servants, de réparateurs ou de coaches des machines) ne vient pas compenser la destruction des anciens, que pourrions-nous bien faire de nos vies ?"
Aurialie Jublin

4 articles pour penser le futur du travail au temps des robots - 0 views

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    "1/ Comment la fiction nous aide-t-elle à penser les futurs du travail ? Ce premier article décortique les trois scénarios proposés par le prospectiviste Stowe Boyd dans un article publié en 2015 par Wired. Celui-ci explore l'avenir du travail à l'aune du réchauffement climatique, du renforcement des inégalités sociales et de l'arrivée de l'intelligence artificielle sur le marché du travail. Daniel Kaplan éclaire ici le propos du prospectiviste en convoquant les écrits de plusieurs auteurs de science-fiction, dont Philip K.Dick, Paolo Bacigalupi ou encore Margaret Atwood. 2 / Et si la robotisation précédait le robot ? Dans le second épisode de sa série « Boulofictions », Daniel Kaplan explore l'hypothèse d'une humanité toujours plus dépendante des robots en revenant aux origines de cette dépendance : d'où viennent nos robots ? Où vont-ils ? Et surtout, que veulent-ils - ou plutôt, de quelles intentions sont-ils les outils ? 3 / Et si on se débarassait une fois pour toute de l'emploi ? Le troisième épisode de la série « Boulofictions » interroge la possibilité d'un futur dans lequel l'humanité parviendrait à confier la quasi totalité de ses tâches à des robots. Citant Alain Damasio, Philippe Curval ou encore H.G. Wells, Daniel Kaplan se demande ici sur quelles bases les humains parviendraient, dans un tel cadre, à donner un sens nouveau à leurs vies. 4/ Et si nous acceptions le robot en nous ? Dans le dernier article de sa série, Daniel Kaplan nous propose « d'accepter le robot en nous ». Évoquant notamment les imaginaires de fiction autour de la figure du cyborg, l'auteur se demande si le robot n'est pas à la fois le miroir et le futur de l'humanité. Un révélateur des liens de domination entre humains, comme entre humains et non-humains qui, sous certaines conditions, peut aussi se transformer en outil de libération."
Aurialie Jublin

Jobs At Risk Of Being Replaced By Robots - Business Insider - 0 views

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    "Mobile robots and "smart" computers are threatening to replace up to half the U.S. workforce within the next decade or two, according to a Bloomberg report.  The report cites an Oxford University study that identified more than 700 occupations at risk of computer automation. " Loan officers à 98% Receptionnistes et Information clerks à 96% (Para)legals assistants à 94% Vendeurs à 92% Conducteurs de taxi et chauffeurs à 89% Gardiens de sécurité à 84% Cuisiniers, fast food à 81% Bartenders à 77% Conseillers financiers à 58%
julien camacho

Quels jobs ne seront pas détruits par les machines? | Slate.fr - 0 views

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    Sur le blog Opinionator du New York Times, le professeur d'économie David H. Autor, qui enseigne au MIT, et David Dorn, du Center for Monetary and Financial Studies de Madrid, apportent une contribution nouvelle à la controverse très présente aux Etats-Unis sur les effets du changement technologique et la menace qu'il fait peser sur la classe moyenne.
Aurialie Jublin

Toyota remplace les robots par... des hommes - 1 views

  • Aujourd'hui, l'idée des dirigeants de la firme japonaise est double. Tout d'abord, s'assurer que les travailleurs comprennent vraiment la tâche qu'ils sont en train d'accomplir plutôt que de nourrir la machine, à la manière des ouvriers dans le cinéma muet des années 1920, et n'être d'aucune utilité lorsqu'elle se brise ou s'emballe. Ensuite, ils veulent leur redonner l'initiative individuelle afin que le processus de production puisse sans cesse être amélioré.
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    "Toyota expérimente dans l'une de ses usines au Japon le remplacement de certaines machines par des hommes, pour gagner en efficience et en qualité. L'expérience semble concluante."
Aurialie Jublin

Don't Fear the Robots Taking Your Job, Fear the Monopolies Behind Them | Motherboard - 0 views

  • She imagined a hair salon of the future, where robots would deliver the perfect cut, but human staff would fulfill the most important role—understanding the needs of their clients.
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    "We'll need strategies to shift jobs into the fields where humans outperform robots, and tax and welfare schemes that take the new economy into account. Ultimately, the impact of the robot revolution won't just be down to the technology itself, but how we use it-or more importantly, whether the people using it is in fact a "we," or a limited, elitist "they.""
Aurialie Jublin

Progrès et emploi : la "destruction créatrice" a-t-elle encore un sens ? - 0 views

  • Mais la théorie de Schumpeter fonctionne-t-elle encore au 21ème siècle ? Comme l'avait parfaitement expliqué et démontré l'analyste Horace Dediu, la vitesse du progrès technologique arrive à un point tel qu'il devient très compliqué pour les êtres humains de s'adapter professionnellement aux cycles des changements technologiques.
  • le principal risque économique et social est là, et se constate déjà : c'est l'accroissement des inégalités déjà profondes entre ceux qui peuvent acheter les robots et les faire travailler, et ceux qui ne pourront que les utiliser ou les observer. En termes marxistes, c'est l'accroissement de l'appropriation privée des moyens de production, qui empêche l'émancipation de la classe travailleuse. Mais l'existence-même de cette dernière est menacée par la possibilité de supprimer l'emploi, dans une part de plus en plus importante de la chaîne productive.
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    "La théorie de la "destruction créatrice" développée par Joseph Schumpeter a-t-elle encore un sens au 21ème siècle, malgré l'accélération continue du rythme des cycles d'innovations technologiques ? Nous entrons dans une ère où il devient plus facile et rapide de détruire des emplois que d'en re-créer, ce qui impose de se poser pour réfléchir aux conséquences sociales, et aux moyens de soutenir à la fois le développement technologique et le développement humain."
Aurialie Jublin

Pourquoi les robots vont détruire des millions d'emplois - Capital.fr - 0 views

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    Interview de Paul Jorion Déjà entendu chez un autre : "Les richesses doivent être mieux partagées. Actuellement, 20% de la population concentrent plus de 50% des richesses au monde. Les politiques doivent imposer une solidarité nationale et créer une allocation universelle, afin de rétribuer ceux qui ont perdu leur emploi pour être remplacés par un robot. Pour financer cette caisse commune, je suggère de créer une taxe "Sismondi" (ndlr, du nom de l'économiste Simonde de Sismondi) sur la productivité des machines. L'Homme doit pouvoir toucher une part importante des gains générés par la machine qui l'a remplacé.
abrugiere

L'engagement citoyen face au mythe du plein emploi | TEDxParis - 0 views

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    plusieurs exemples de métiers dématérialisés 
Aurialie Jublin

3 millions d'emplois détruits par le numérique d'ici à 2025 en France - 0 views

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    La numérisation pourrait détruire en France 3 millions d'emplois d'ici 2025, pointe l'étude Les Classes moyennes et la transformation digitale, publiée le 27 octobre par le cabinet Roland Berger. Pour juguler le phénomène, ses auteurs appellent l'Etat à mettre en œuvre une politique volontariste en soutenant la R&D et en investissant dans les infrastructures numériques. Objectif : rendre les entreprises plus productives et leur permettre de réaliser environ 30 milliards d'euros d'investissements supplémentaires. 
Thierry Nabeth

Study Roland Berger: Of Robots and Men: Impacts of robotization on the contract logisti... - 0 views

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    In his study "Des robots et des hommes", "Of Robots and Men: Impacts of robotization on the contract logistics industry", Roland Berger analyzed the human and economic impact of robotization in logistics industry and examines the best ways to manage the transition and strengthen the French competitiveness in this field. Automated solutions for logistics progressing at high speed since the web giants have made their key issue. Now, they allow to move human operators and machines within the same warehouse. The lower cost and maturity of solutions are such that the tipping point of favorable wide dissemination of warehouse robots is getting closer. As a direct consequence, the robotization on logistics industry will remove up to 1.5 million direct jobs in Europe - if nothing is done to prepare the transition.
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