Digital labor : portrait de l'internaute en travailleur exploité - France Cul... - 4 views
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Aurialie Jublin on 16 Jan 13Emission de Place de la Toile du 08/12/12
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Aurialie Jublin on 22 Jan 13Notes sur l'émission : Digital labor, notion de la fin des années 2000 : participation en ligne, spontanée, de citoyens, d'"amateurs professionnels", logique de don. Mais quand notre participation est moins spontanée, plus dirigée → spectre de l'exploitation. La participation en ligne serait donc en fait un travail, et elle devrait être rémunérée. Activités concernées : blog, édition en ligne, … ex Huffington post ne rémunère pas car c'est considéré comme des tribunes Autres activités : recherches sur google, liker, … → être présent en ligne = production de valeur web 1.0 - économie du portail, le seul fait qu'il y avait trafic donnait de la valeur web 2.0 -développement de l'inter-relation et des moteurs de recherches Données sur les liaisons qui comptent, pas les données personnelles des gens Si on considère que le cœur de la valeur sont l'inter-relation, la capacité à contextualiser, d'avoir une activité intelligente (c'est à dire de s'être débarrassé des activités mécanisables des opérations mentales), l'attention, la capacité de tri sémantique, les capacités de s'adapter, d'innover (tout ce que YMB nomme les immatériels non codifiables), la captation de cela est de l'exploitation, mais elle est collective. Il y a peut être exploitation mais pas aliénation, ni sentiment d'exploitation, car pas de souffrance liée à cette exploitation. On retire de bénéfices de cette activité : connaissances, notoriété On veut que les gens restent actifs jusqu'au bout, qu'ils restent "vivant" face à la machine, tout au long du cycle, mais cela ne lui donne pas l'impression d'être aliéné intellectuellement -> capital intellectuel, il n'y a plus d'un côté le travail et de l'autre le capital. Théorie sur les 2 degrés d'exploitation (assez complexe, expliquée ici 140&dq=exploitation+au+deuxième+degré+cognitif&source=bl&ots=sxECUkbSsD&s