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Pourquoi s'intéresser à la mobilité des super-riches? | Forum Vies Mobiles - 0 views

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    Interview croisée : Javier caletrio & Olivier Mongin "JC : On a souvent tendance à considérer les yachts, les jets privés et les voitures de luxe avec un mélange d'indifférence et de curiosité, comme s'ils étaient l'expression du mode de vie extravagant d'une minorité sans importance d'un point de vue sociologique. À mon avis, cette vision des super-riches et de leurs mobilités est fausse. Si, dans la lignée de chercheurs comme Vincent Kaufmann et d'autres, nous acceptons que la mobilité physique n'est pas seulement l'expression de la richesse et d'un statut mais également une ressource précieuse pour leur maintien et leur reproduction, alors il faut prendre au sérieux ces formes de mobilité. D'autant plus que ces nouvelles formes de voyages de luxe apparaissent dans le contexte d'un transfert de biens massif et sans précédent vers le sommet de l'échelle sociale."
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Le luxe de la lenteur : 5 voyages de rêve en train - 0 views

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    "Qu'ils soient historiques, légendaires, d'exception, les voyages en train ont toujours fasciné nos contemporains. De Blaise Cendrars et son voyage en Transsibérien - réel ou imaginaire - à Michel Delpech, qui vantait dans une chansonnette L'amour en wagon-lit, tout le monde a un jour rêvé de se laisser bercer dans le fauteuil confortable d'un wagon Pullman. Afrique, Asie, Europe, chaque continent a son train mythique. Des épopées sur rail pour prendre son temps, traverser des paysages et des pays en ne changeant jamais de chambre… Sans surprise, les prix de ces séjours sont généralement élevés, mais ce luxe a le mérite de se savourer à petite vitesse."
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Comment le vélo est redevenu un sujet politique | Slate.fr - 0 views

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    "Ancien mode de transport populaire, il connaît un renouveau chez les urbains diplômés, ce qui ne va pas sans jalousie sociale. Faire de la bicyclette est-il devenu un luxe inaccessible à tous ceux qui résident en dehors des cœurs d'agglomération? En cette fin du mois de juin, le piéton parisien Camille Pascal flânait sur les quais de la Seine quand, soudain, il manqua d'être renversé par un cycliste qui, en réponse à son cri de colère, le gratifia d'un geste obscène. Regrettable, l'anecdote aurait pu s'arrêter là si la victime avait été un quidam lambda. Mais Camille Pascal n'est pas n'importe qui: ancien secrétaire général de France Télévisions, il a aussi été conseiller et plume du président Nicolas Sarkozy. Ni une ni deux, Camille Pascal rentre chez lui, probablement à pied, et profite de la chronique qu'il tient dans Valeurs Actuelles, magazine qui porte haut les valeurs de la droite décomplexée, pour se plaindre de ce «cycliste […] roi, [...] dont le regard ne ment pas, [qui] vous domine, […] vous toise et […] vous méprise». Intitulée «La dictature du vélo», sa chronique a été très commentée sur les réseaux sociaux, signe contemporain du succès d'une bonne controverse. En dépit d'une certaine paranoïa, due sans doute au traumatisme de sa rencontre matinale avec un cycliste peu respectueux du code de la rue, l'ancien conseiller présidentiel écrit cependant avec une certaine lucidité que «le vélo n'est plus un moyen de locomotion, il est désormais un signe identitaire, un choix politique», avant de sombrer à nouveau dans le délire de persécution: «Hier il était un sport, aujourd'hui il incarne une idéologie totalitaire et en cela il est devenu très dangereux.»"
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Train Buffs Are Traveling Cross-Country in Super Luxe Railcars Hitched to Amtrak Trains... - 0 views

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    "Traveling across the country by private rail takes a lot of planning, requiring connections to various trains and layovers. But Mr. Webb, 35, says he and his 10-year-old son and 8-year-old daughter prefer it to their family's second home in the Adirondacks because every day they wake up somewhere different."
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Hanoi, Mumbai, Nairobi : inspirations pour la ville de demain ? - Demain La Ville - Bou... - 0 views

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    "De la nuée de mobylettes aux matatus colorés, le mix transport proposé par les différentes villes est à chaque fois unique et souvent déroutant. Hanoi se caractérise par un réseau de bus publics pour les transports collectifs et une utilisation massive de la mobylette  pour les transports individuels. Mumbai, bien plus étendue s'appuie quant à elle sur un réseau ferré riche complété par de nombreux bus publics, de taxis collectifs tandis que le transport individuel passe souvent par l'utilisation d'un triporteur de la nuée de tuk-tuks qui fendent la ville. A Nairobi, les transports en commun sont exclusivement assurés par des bus privés et la cartographie de ce « réseau » représente un vrai défi. Une partie du transport privé se fait par taxi et mobylette, tandis que posséder sa propre voiture reste, comme dans les deux autres villes-étapes le luxe d'une minorité. Dans les trois métropoles, la marche à pied reste un mode de transport très important."
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Le transport public se transforme en espace de travail - Influencia - 0 views

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    "Dans chacun de ses cinq bus de luxe, la start-up vous permet de valider votre transport avec un QR code, pas la peine de trimbaler un billet ou une carte. Une fois à l'intérieur du bus ultra moderne boisé et hipstérisé, vous êtes carrément assis dans un café à l'atmosphère collaborative, avec le wifi gratuit et un bus manager qui tient son smartphone comme un menu, prêt à vous amener le jus de votre choix au premier clic de commande. L'autre valeur ajoutée de Leap, c'est un GPS qui permet de suivre le trajet en temps réel et une application donnant accès aux profils sociaux des autres passagers.     Loup et Chariot, deux concurrents symboles d'une tendance   Pensée initialement par les cinq co-fondateurs comme une offre complémentaire au MUNI, Leap entend apporter une solution pour faciliter le transit de masse. A 7 euros le jus de fruits frais, le service est pourtant a priori réservé à une certaine classe sociale, celle qui, d'après Venture Beat, est en train de tuer San Francisco. Paradoxalement le co-fondateur et CEO, Kyle Kirchhoff assure dans The Verge qu'il ne veut absolument pas que son bus soit élitiste."
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Train Buffs Are Traveling Cross-Country in Super Luxe Railcars Hitched to Amtrak Trains... - 0 views

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    It's a tradition that harks back to the late 1800s in the U.S., until it was diminished by the Great Depression and replaced by air travel, virtually disappearing for a while after the 1950s. It wasn't until the creation of Amtrak in 1971 and a selloff of old cars by railroad companies that private rail started up again. The restored private railcars that travel today tend to be luxuriously decorated mini-mansions, with multiple bedrooms, private chefs, domed glass ceilings and observation decks. Many are owned by ordinary train enthusiasts, who run charter trips to help defray costs.
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A380 et Boeing 747   . Les nouveaux palais volants des milliardaires - Paris ... - 0 views

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    "Plutôt que d'investir dans un Falcon 2000, tellement « peuple », les milliardaires jettent désormais leur dévolu sur des avions de ligne Boeing et Airbus. Le phénomène a incité les deux constructeurs américains à créer des départements spécialisés pour fournir à cette clientèle exigeante des A380 et 747 entièrement customisés à la demande. Le magazine Wire dévoile en images ces palais volants qui présentent l'avantage de pouvoir accueillir la famille et les nombreux collaborateurs des milliardaires chinois et russes qui détestent voyager seuls selon une enquête commandée par Airbus."
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The Mentalist, la belle et un vélo... - Influencia - 0 views

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    "L'histoire de cette petite comédie plein d'humour et parisienne -et qui change des films classiques de parfums masculins avec un Don Juan bien macho- se déroule dans notre belle capitale. Notre séducteur, le charme en bandoulière, à vélo dans les rues de l'Île St Louis, propose de venir à la rescousse d'une belle , freinée dans sa marche par des travaux... Ils se regardent, se sourient... Et... Regardez le petit clin d'oeil de la fin."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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