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hubert guillaud

Au-delà des biais - Stanford Graduate School of Business - 0 views

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    Marina Krakovsky revient sur le dernier livre de Chip et Dan Heath "Décisif : comment faire de meilleurs choix dans la vie et dans le travail". Et de rapporter l'anecdote célèbre d'Alfred Sloan, le patron légendaire de General Motors, qui, demandait à une réunion ou tout le monde était d'accord qu'on ajourne la décision, le temps de développer un désaccord. Alors que nous avons tendance à chercher des preuves pour confirmer nos idées, Chip et Dan Heath insistent sur l'importance de la dissidence, de l'alternative à nos "biais de confirmation" qui sont le pire ennemi de nos bonnes décisions. Or nous avons tendance à prêter attention à ce qui nous conforte. Pour prendre de bonnes décisions il faut apprendre à regarder ce que vous n'auriez pas regardé, estiment les auteurs, à élargir vos options, les contradictions... alors que la prise de décision, trop souvent, consiste à réduire l'éventail des choix. Prendre une décision même rapide demande de considérer beaucoup d'options plutôt que le contraire.
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L'autorité de la démocratie - Implications philosophiques - 0 views

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    Adeline Barbin pour Implications philosophiques revient sur l'ouvrage du philosophe David Estlund, "L'autorité de la démocratie" qui s'interroge pour savoir ce qui confère aux décisions démocratiques leur autorité... "L'autorité des décisions démocratiques ne provient pas uniquement de la procédure, mais également de leur dimension épistémique. La meilleure preuve en est que si notre seul desideratum était l'équité, nous pourrions, plutôt que de donner par le vote la même possibilité à chaque individu d'influencer le résultat, jouer la décision à pile ou face. Cette procédure également donnerait à chacun la même chance d'influencer le résultat (en l'occurrence, aucune). Si nous n'agissons pas ainsi, c'est donc qu'en réalité nous pensons qu'il vaut mieux ne pas laisser l'initiative au hasard parce qu'il y a de plus grandes probabilités que la décision soit la bonne si elle est prise par des individus qui, à la différence d'une pièce, ont toujours la possibilité de se concerter et de réfléchir."
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La culture de l'échec des startups détruit-elle l'innovation ? - Wired - 0 views

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    Pour la designer Erika HALL, l'échec est devenu à la mode dans la Silicon Valley... Parce que le risque d'échec est bien plus bas qu'il n'a jamais été... Et parce que nul ne se préoccupe plus de la recherche. Aujourd'hui, on parle de prototypage rapide, de startups agiles... Autant de concepts qui visent à éviter de se confronter à la recherche. Pourtant la recherche est préciseuse. Elle ne consiste pas seulement à demander aux gens ce qu'ils veulent ou comment ils se sentent. Et elle devrait être un outil plus utilisé qu'il ne l'est. Les focus groupes ne disent pas grand chose de comment les gens se comportent. Les gens peuvent vous dire qu'ils veulent plus de films de qualité, alors qu'en fait ils regardent des vidéos de chats sur le net. La recherche appliquée est plus que jamais utile aux affaires, estime la designer, parce qu'elle seule aide à comprendre les gens, à faire le tri entre l'irrationnel et le réalité... L'échec est maintenant un badge d'honneur . Quelque part le long du chemin , il a obtenu d'être cool de réduire son risque d'échec. Ce genre de pensée peut-être bien pour les entrepreneurs de se concentrer uniquement sur ​​leur risque personnel et la peur de l'échec, mais il a un réel coût financier, culturel , et la possibilité pour les entreprises. ( Le coût d'opportunité inclut tous les besoins qui ne sont pas satisfaits , car ils ne sont pas arrivées à se produire à un entrepreneur solitaire ou d'une équipe étroitement ciblées . ) Cette attitude est également embrassé et promu par des investisseurs de risque parce que la sagesse commune est que les investissements à haut risque ont un plus grand potentiel de hausse. Pour être franc : de nombreux VCs ne se soucient pas de savoir si un seul placement particulier connaît un succès à long terme. Ils ne se soucient que d'un pourcentage des entreprises dans leur portefeuille les filets d'un rendement élevé. Donc un résultat positif pour les investi
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Comment prendre des résolutions plus rationnelles ? - WSJ.com - 1 views

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    La technique de l'objectif décisif enseigné par le Centre pour la rationalité appliqué (CFAR) - http://rationality.org - consiste à aider les gens à être plus rationnels dans leurs décisions, en les aidant à décider si le moyen qu'ils ont choisi est le plus efficace pour atteindre leur objectif par exemple ou en utilisant ses émotions pour évaluer la façon dont vous êtes susceptible de réussir un objectif. Depuis quelques années, de nombreux livres sur l'optimisation de la prise de décision et sur leur irrationalité ont été des bestsellers (comme le livre de Dan Ariely, celui de Daniel Kahneman...). Le professeur Stanovich du CFAR travaille a un quotient de rationalité qui se veut aussi rigoureux que le QI ;-). La rationalité ne consiste plus à se débarrasser de ses émotions mais de les prendre en considération lors de ses prises de décisions. Peut-on apprendre à dominer ses préjugés automatiques ?
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Intertwinkles et les outils de prise de décision consensuelles - Ethan Zuckerman - 0 views

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    Ethan Zuckerman revient sur la soutenance de thèse d'un de ses étudiants, Charlie DeTar, fondateur d'Intertwinkles, une plate-forme pour aider à la prise de décision par consensus. Force est de constater, qu'en votant une fois tous les 4 ans, aucun citoyen américain n'est vraiment confronté aux règles démocratiques. Nous sommes surtout confrontés à des règles non-démocratiques de la vie réelle : celle de nos employeurs, de nos propriétaires, des institutions sur lesquels nous avons peu d'influence... Les mouvements démocratiques ont tendance à être de courte durée et à être lents, coûteux en temps pour les gens et à n'impliquer que les gens impliqués. D'où la question de Charlie DeTar : pouvons concevoir des outils en ligne pour la consultation démocratique qui soient plus efficaces ? C'est l'idée d'InterTwinkles, une plateforme de consensus qui favorise l'absence de hiérarchie et la prise de décision assistée par ordinateur. Pour y parvenir, le jeune chercheur critique la notion de décentralisation, car les systèmes décentralisés nécessitent une certaine centralisation : Wordpress est décentralisé car son code ne l'est pas, BitTorrent décentralise les serveurs via un protocole centralisé, et le consensus décentralise l'autorité à travers la centralisation des procédures. Le consensus évite les trois tyrannies : celle de la majorité, celle de la minorité, et celle de l'absence de structure. Pour que les systèmes par consensus fonctionnent, il est nécessaire que que tout le monde soit à l'aise avec les outils estime le jeune chercheur.
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Le consommateur irrationnel : Pourquoi l'économie se trompe sur la façon dont... - 0 views

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    Dans nos décisions, nous ne sommes pas rationnels. C'est ce qu'explique l'économiste Daniel McFadden dans un article intitulé, "la nouvelle science du plaisir" - http://www.nber.org/papers/w18687.pdf?new_window=1 L'économie a tendance à croire que le consommateur est un être rationnel, mais faire des choix est bien souvent épuisant physiquement (c'est pourquoi on met les bonbons à la sortie des magasins, soupçonnant que votre cerveau est trop "défoncé" pour résister). Trop de choix nous conduit souvent à renoncer. C'est le "paradoxe du choix". Les clients à qui l'on présente 6 pots de confitures différents sont plus susceptibles d'en acheter que ceux à qui on en présente 24. Comme le disent Dan Ariely ou Daniel Kahneman, nos cerveaux de consommateurs souffrent également d'un biais de disponibilité et du fait que nous sommes avant tout des animaux sociaux, avant que d'être des êtres rationnels. Bref, nous n'aimons pas beaucoup prendre des décisions et la procrastination par exemple est un moyen pour éviter les choix qui nous mettent mal à l'aise.
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Critiquer (vraiment) Facebook - Libération - 0 views

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    Pour le sociologue Dominique Cardon, Facebook est le miroir de nos ambivalences.Nous nous défions des risques relatifs à la capture de nos données personnelles et nous continuons à les exposer sans grands scrupules. Nous adressons les critiques des réseaux sociaux aux autres (perte de temps, bavardage, addiction...) alors que nous sommes nous mêmes aliénés. Les discours critiques, nourris, contre les réseaux sociaux, sont sans conséquence : nous ne nous en désabonnons pas. Ce qui nous pousse vers Facebook est aussi ce qui nous fait nous en méfier. "notre vie sociale est complexe, nos identités sont multiples, nos trajectoires de vie sont heurtées, la recherche d'efficacité s'est introduite dans notre carnet d'adresse, les liens forts nous ennuient alors que les liens faibles nous excitent, nous avons le désir d'exprimer ce qui fait notre singularité et de la faire reconnaître à un public de plus en plus large… Facebook nous met face à la réalité, interdépendante, multiple, mobile de notre vie sociale alors que nous rêvons d'une vie relationnelle stable, ancrée et profonde." "Le développement de l'imaginaire individualiste dans nos sociétés valorise l'idée que l'autonomie des individus passe par l'émancipation de toutes contraintes pesant sur nos choix, nos décisions et nos comportements. Que notre vie sociale, notre identité et notre sociabilité, puisse être soumises à des contraintes techniques, sociales ou relationnelles est toujours perçu comme une altération de notre individualité. A idéaliser le fait que nos choix d'individus devraient être des décisions purement internes aux personnes et qu'elles ne doivent rien à leur environnement externe, nous entretenons une illusion permanente, et constamment déçue, sur la réalité de notre vie sociale. L'exacerbation de cette tension dans l'imaginaire libéral de l'individualisme contemporain est justement ce à quoi confronte l'expérience
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Un logiciel peut-il changer le monde ? Loomio l'ambitionne - TechPresident - 0 views

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    Loomio - http://www.loomio.org - est un outil de prise de décision collaborative qui vise à construire une compréhension commune avant qu'une décision soit prise par un groupe. Né des cendres du Mouvement Occupy en Nouvelle-Zélande, il s'inspire du fonctionnement des Assemblées générales permanentes, distribuant un pouvoir égal à tous, tout en cherchant à les faire mieux fonctionner. La délibération en ligne est difficile. Loomio via son outil de discussion propose de pouvoir facilement et rapidement prendre le pouls de ce que pensent ceux qui participent d'un groupe.
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L'algorithme qui a décidé de ne pas vous embaucher est-il légal ? - Peter Fle... - 0 views

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    Le spécialiste de la vie privée Peter Fleischer réagit à un article du Wall Street Journal - http://online.wsj.com/article/SB10000872396390443890304578006252019616768.html?mod=WSJ_hpp_MIDDLENexttoWhatsNewsThird - qui s'intéresse à comment les algorithmes s'insèrent dans les ressources humaines, que ce soit pour décider de qui employer comme pour décider des promotions des employés. L'article souligne que ces algorithmes pourraient bien prochainement rencontrer des problèmes juridiques, notamment si l'on montre qu'ils filtres (intentionnellement ou pas) certaines catégories d'employés. En Europe, rappelle Fleischer, les décisions individuelles automatisées sont contraires aux lois. Si les algorithmes peuvent nous aider à prendre de meilleures décisions, estime le chercheur, il faut néanmoins se poser la question de comment leur ajouter des garanties supplémentaires. 
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L'organisation d'un débat public sur des questions scientifiques ou technique... - 0 views

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    Michel Laberganti donne la parole à Pièce et Main d'oeuvre (PMO), ce groupe d'activistes qui refusent le débat public sur les questions scientifiques, n'hésitant pas à venir faire raffut et tapage lorsqu'ils sont organisés. Un quarteron de ministres en retraite s'est insurgé. Pour PMO, la formule du débat public, comme ceux mis en place par la Commission nationale du débat public sert à masquer ce qui n'est qu'une opération de communication pour obtenir l'adhésion à une nouvelle technologie. Opposés aux sociologues spécialistes des controverses, ils dénoncent des formes de débat qui visent à la prévention et à l'apprivoisement des contestations. Car participer, c'est accepter. Les débats substituent des leurres à la confrontation politique de fond, occultant la dissymétrie entre ceux qui ont le pouvoir d'agir et sont qui n'ont que leur expression. Dans la vie réelle, la décision ne tient qu'au rapport de force. PMO récuse expertise et contre-expertise. Les citoyens sont tous compétents pour les affaires de la Cité, qu'elles portent sur le nucléaire, les OGM, les nanotechnologies ou le numérique. Pour PMO, les experts devraient mêmes être exclus des débats, étant juges et partis. Ce n'est que si les citoyens décident de construire des sous-marins ou des centrales nucléaires que les experts devraient être invités à dire comment y parvenir. Scientifiques et technocrates ont tout intérêt à l'organisation scientifique de la société, puisque c'est pour eux le moyen d'assumer leur pouvoir. "L'expertise dépouille la population de sa compétence politique en dépolitisant les prises de décision". Si la technologie est le progrès, pourquoi notre société hypertechnologie n'est-elle pas le paradis ? "Le progrès technologique n'est synonyme ni de progrès humain, ni de progrès pour la société". Les opposants à la technologie sont toujours parodiés comme ceux qui promeuvent le retour à la bougie. Choisir la sobriété énerg
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L'échec des intuitions sociales et morales - Edge.org - 0 views

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    Nous sommes dotés d'un point de vue intentionnel, explique le professeur David Pizarro pour The Edge, et c'est notre point de vue par défaut. Ce qui fait que nous prêtons des intentions à des choses qui n'en ont pas du tout, comme quand nous nous énervons après une machine qui ne nous délivre pas le café qu'on lui a demandé. Quand on voit une publicité personnalisée, les gens ont l'impression que quelqu'un les as surveillé, alors que ce n'est que le travail d'une machine, d'un algorithme. C'est ce qui explique que la voiture autonome nous inquiète : nous ne sommes pas en contrôle, nous ne savons pas qui l'est et nous n'aimons pas cela. C'est ce qui explique que l'habitacle silencieux de la BMW nous angoisse, car nous n'entendons plus le moteur, qui était un moyen de rétroaction pour la plupart des conducteurs. Observer comment les gens prennent de mauvaises décisions permet de mettre en place des solutions pour les aider à en prendre de meilleures. Mais cela implique d'avoir une bonne compréhension de ce qu'est une bonne décision. Et le risque est de développer des jugements très normatifs... Entre nos deux cerveaux, estime Kahneman, nous avons des intuitions qui ne sont pas nécessairement compatibles. Pour Pizarro, l'incohérence est une façon de déterminer si notre jugement moral est dans l'erreur.
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Tout peut être perdu : du risque de mettre toutes nos connaissances dans les ... - 0 views

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    Nicholas Carr se fait à nouveau le Cassandre de l'internet. Nous comptons sur nos ordinateurs pour faire voler nos avions, pour concevoir des bâtiments, pour auditer des entreprises, pour trouver des cancers... Mais que se passe-t-il quand l'ordinateur tombe en panne ? L'utilisation des pilotes automatiques dans les avions érode les compétences des pilotes et émoussent leurs réflexes. S'il a incontestablement contribué à l'amélioration de la sécurité des vols, il déqualifie l'équipage. Tant et si bien que de nouveaux types d'accidents sont relevés... L'administration fédéral de l'aviation américaine a récemment demandé aux compagnies d'obliger les pilotes à voler plus souvent en manuel... A mesure que les ordinateurs effectuent des tâches toujours plus complexes, qu'ils effectuent un travail d'analyse et de prise de décision, le logiciel réduit notre horizon et notre attention. L'automatisation ne se contente pas de supplanter l'activité humaine, elle la change. L'automatisation nous transforme en observateurs, inhibant le développement de nos compétences. Dans de nombreuses entreprises, nous prenons des décisions à partir de systèmes qui nous aident, au risque de moins comprendre les risques. L'exemple le plus marquant qu'utilise Carr provient de la petite ile d'Igloolik en Nunavut. Chez les jeunes Inuits, l'adoption de la technologie GPS a été très forte ces dernières années, mais les accidents de chasse grave se sont multipliés.
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Cynthia Fleury : « On va liquider la pensée en s'en remettant à une machine »... - 0 views

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    Pour la philosophe Cynthia Fleury, les technologies permettent la liquidation de la décision humaine, comme le montre le trading à haute fréquence. Nous voici dans l'âge du probabilisme : le règne sans partage de la probabilité comme seule source de décision pertinente. Le règne de l'algorithme signe la fin du libre arbitre et ce d'autant plus que l'homme pour utiliser les machines plus efficacement devra apprendre à penser et à devenir machine. Cette machinisation est le fruit de l'incapacité de l'homme à accepter sa finitude. L'homme ne cherche plus à être libre, mais à être immortel. Bienvenu à l'homme indéfini et soumis aux machines qui tente d'expliquer l'esprit par l'imagerie du cerveau... "La résistance individuelle à une telle déshumanisation demande une abnégation", demande de ne pas avoir peur de mourrir dans tous les sens du terme : socialement, économiquement, physiquement... Et ce alors que nous sommes dans un monde de plus en plus matérialiste.
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Une étude des liens entre pauvreté et mauvaise prise de décision - The Conver... - 0 views

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    Selon une étude publiée par Science - http://www.sciencemag.org/content/338/6107/682 - la pauvreté pousse les gens à se concentrer sur leurs besoins à court terme au détriment de leurs besoins à plus long terme et les conduit à prendre de mauvaises décisions. La pauvreté conduit à des changements attentionnels qui peuvent expliquer le surendettement.
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Nassim Taleb et la prise de décision en environnement incertain: Fragile, rob... - 0 views

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    "Philippe Silberzahn revient sur Antifragile, le dernier livre de Nassim Nicholas Taleb. Le modèle dominant de prise de décision est basé sur la prédiction. Or, la stratégie prédictive nous rend fragiles, car si la prédiction ne se réalise pas, la stratégie ne fonctionne pas. Or, la prédiction, comme l'a montré la dernière crise financière, ne fonctionne pas. Taleb milite donc pour la réduction de la fragilité de nos économies en cessant de les faire reposer sur la prédiction. Pour lui, il nous faut réduire les conséquences d'une prédiction ratée, en ayant des stratégies de rechanges, en multipliant les options. Il faut devenir "antifragile", c'est-à-dire une organisation qui bénéficie de l'aléatoire, qui s'améliore au fur et à mesure qu'elle subit les coups du sorts. Parfois verbeux, souvent catégorique, Taleb pose encore une question originale.
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Une approche brillante pour prendre de meilleures décisions - Business Insider - 0 views

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    Business Insider revient sur la technique d'analyse "Pre-Mortem" pour améliorer la prise de décision imaginée par le chercheur en psychologie Gary Klein. Le but, analyser les causes d'échecs d'un projet à long terme, pour en comprendre toutes ses implications. http://www.blog.insightexchange.net/
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La «bulle» Obama - Mediapart - 0 views

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    "La perte de crédit d'Obama n'est pas la conséquence d'un déficit de communication, d'un défaut de marketing mais bien au contraire doit être imputée aux excès du marketing politique, à une stimulation émotionnelle trop puissante des audiences, assaillies de toutes parts, et de ce fait de moins en moins fidèles, de plus en plus rétives ou dispersées." "L'esprit du web ne s'accorde pas avec celui des administrations politiques. Le rythme survolté des campagnes ne résiste pas longtemps à l'enlisement des décisions quotidiennes, à la résistance des lobbies, à l'obstruction des partis d'opposition. La foi dans le changement attisée par d'habiles communicants ne s'accommode pas facilement du statut quo imposé par tous les contre-pouvoirs." Christian Salmon
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E-mail, tchat : communiquer en silence pour mieux travailler ? - Rue89 Eco - 0 views

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    Les salariés, parfois voisins de bureau, travaillent de plus en plus par messagerie. Un outil d'entraide, certes, mais qui déconcentre et déresponsabilise. Les échanges par e-mail ou par tchat évacuent les décisions et la communication et participent à la dégradation du climat de travail estime la chercheuse Cindy Felio. D'où le fait qu'on filtre, se déconnecte, se désactive... Et tentent de mettre en place des règles de fonctionnement des échanges.
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La moitié des faits que vous connaissez sont probablement faux - Reason.com - 0 views

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    Samuel Arbesman de la Fondation Kaufman est l'auteur de "La demi vie des faits : pourquoi tout ce que nous connaissons a une date d'expiration". Le chercheur s'inquiète que de plus en plus de nos décisions s'appuient sur des connaissances fausses, qu'on traîne avec nous depuis l'école ou la fac. Les données scientifiques doublent tous les 15 ans, et leur taux de croissance serait environ de 4,7 % par an depuis le 17e siècle. Les connaissances d'une génération de chercheurs s'avèrent donc fausses au bout d'une génération ou deux, 30 à 45 ans. Nous avons tendance à savoir ajouter de nouveaux faits à ceux que nous connaissons déjà, plus qu'à assimiler de nouveaux faits qui contredisent ce que nous pensions. Le fait de savoir que nos connaissances ont une durée de vie limitée et qu'il faudra les remettre en cause serait déjà une bonne base, estime le chercheur. 
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Pratiques urbaines : Le temps cash - Millenaire3 - 0 views

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    Le sociologue Bruno Marzloff revient sur l'impératif du "temps réel" qu'évoque le livre TIC 2013, les nouveaux temps réels, paru chez FYP édition, ce temps qui veut réduire le moment entre l'information et la prise de décision. Comme le soulignait Hartmut Rosa, le sentiment d'accélération tient moins au racourcissement des durées qu'à la nécessité de réaliser une coordination toujours plus serrée où l'instantanéité devient l'arme absolue, à l'image de Twitter. Nous ne décidons pas d'entrer dans l'ère numérique, mais dans celle du temps réel.
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