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hubert guillaud

Doutes sur la fiabilité des neurosciences - Passeur de sciences - 0 views

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    Pierre Barthélémy rappelle que de nombreuses études biomédicales ou psychologiques décrivent des effets qui n'existent peut-être pas, car on n'arrive pas à les reproduire. Même chose pour les neurosciences estime un article de Nature. Et l'étude de mettre en avant le biais de publication qui minimise les publications qui modèrent des résultats... En neuroscience, beaucoup d'études s'appuyent sur de petits échantillons de personnes. Selon cette analyse méta, la puissance statistique moyenne des études en neurosciences est comprise en 8 et 31%, ce qui n'est pas suffisant pour faire démonstration. Des négligences méthodologiques courantes qui font peser le doute sur la fiabilité des neurosciences. De bonnes pratiques existent aussi : 15% des études ont une puissance statistique supérieure à 90 %. Les auteurs d el'article proposent de multiplier les collaborations pour augmenter la taille des échantillons et de favoriser la transparence sur les données et méthodologies.
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Une carte pour l'avenir des neurosciences - The New Yorker - 0 views

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    Gary Marcus, professeur de psychologie à l'université de New York et qui prépare un livre sur l'avenir du cerveau, pointe le rapport que vient de publier le National Institutes of Health américain sur l'avenir des neurosciences, qui est la première étape importante dans l'élaboration de l'initiative Brain lancée par le président Obama pour "révolutionner notre compréhension de l'esprit humain et de découvrir de nouvelles façons de traiter , prévenir et guérir les troubles du cerveau". Un rapport qui évalue l'état des neurosciences. Pour relever le défi de la complexité du cerveau, le rapport propose 9 enjeux afin de comprendre comment le cerveau perçoit le monde et dirige les actions. Pour progresser, nous devons apprendre à combiner les connaissances de la biochimie moléculaire avec celle de la cognition et de la psychologie cognitive. La clé repose dans l'interdisciplinarité. Reste que les progrès de l'intelligence artificielle par exemple, reposent pour l'instant surtout sur l'informatique, la psychologie et la linguistique, plus que des neurosciences qui cherchent, par le biais de ce rapport à s'imposer. Cela pourrait changer un jour... Mais rien n'est moins sûr. Sommes-nous sur la bonne piste pour comprendre le cerveau ?
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Les neuromythes et l'école - ProspectMagazine - 0 views

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    Pour Philip Ball, les neurosciences sont en passe de devenir un champ de bataille pour savoir comment organiser nos sociétés. Et notamment dans l'éducation, champ éminemment sensible et poreux aux idéologies, aux dogmes, aux modes et aux angoisses. Un récent rapport britannique - http://educationendowmentfoundation.org.uk/uploads/pdf/NSED_LitReview_Final.pdf - tente de faire le point sur l'efficacité des techniques éducatives à l'aune des neurosciences. Sur les 18 méthodes testées, le rapport reconnait l'importance de l'exercice physique et de la réduction du stress, mais reconnaît également que d'autres méthodes doivent être mieux comprises avant de statuer sur leur efficacité ou pas. Reste qu'il faut être prudent. Il y a un risque a établir les neurosciences comme l'arbitre de notre compréhension du cerveau et de la cognition. Des tests psychologiques bien menés peuvent être tout aussi efficaces.
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Neuro-pédagogie - LeTemps.ch - 0 views

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    Les polémiques sur les méthodes pédagogiques s'arrêteront-elles un jour ? Difficile à croire, tant l'éducation a toujours été la cible des idéologies et fantasmes. Désormais, elles s'étendent aux "recherches sur le cerveau" qui légitimeraient ou disqualifieraient telle ou telle approche pédagogique. Mais là encore, on assiste surtout à des dérives proche de l'imposture, estime le neuroscientifique Sebastian Dieguez. Dans un pamphlet rafraichissant Normand Baillargeon dresse le panorama des "Légendes pédagogiques", où il démonte nombre de mythes se revendiquant des neurosciences : non, la musique classique n'aide pas au développement cérébral, non, nous n'utilisons pas 10% de nos cerveaux, non, l'hémisphère droit n'est pas le créatif et le gauche l'analytique... L'auteur s'en prend aussi aux promesses marchandes plus qu'éducatives des nouvelles technologies. Les incohérences et les polémiques sur les neurosciences et l'éducation ont encore un bel avenir !
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Neurosciences et éducation - Veille et Analyses de l'Institut Français d'éduc... - 0 views

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    Un dossier dédié aux liens entre neurosciences et éducation.
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Les quatre pilliers de l'apprentissage - Stanislas Dehaene - 0 views

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    Feedback et répétition sont essentiels pour fixer un savoir ou un savoir-faire, explique Stanislas Dehaene pour la Paris Tech Reviw, qui revient sur les 4 piliers de l'apprentissage : l'attention, l'engagement actif, le retour d'information et la consolidation. "L'attention est le mécanisme de filtrage qui nous permet de sélectionner une information et d'en moduler le traitement." Il se décompose en trois systèmes attentionnels : l'alerte, l'orientation et le contrôle exécutif. Le retour exécutif implique que l'erreur est fertile pour autant qu'elle soit remarquée par l'apprenant et qu'elle ne soit pas sanctionnée, la sanction étant un puissant inhibiteur d'apprentissage. Le succès doit être monnayer, non pas par des bonnes notes, mais par un renforcement social : une approbation, une validation, un encouragement... Enfin, pour la consolidation des apprentissage, le sommeil est essentiel.
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Le pouvoir du Kawaii : voir des images mignonnes favorise un comportement prudent - Plo... - 0 views

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    Selon une étude japonaise, observer des images mignonnes, comme celles de gentils petits chats favorise certains comportements, comme la prudence ou certaines formes de concentration ciblées.
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La moitié des faits que vous connaissez sont probablement faux - Reason.com - 0 views

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    Samuel Arbesman de la Fondation Kaufman est l'auteur de "La demi vie des faits : pourquoi tout ce que nous connaissons a une date d'expiration". Le chercheur s'inquiète que de plus en plus de nos décisions s'appuient sur des connaissances fausses, qu'on traîne avec nous depuis l'école ou la fac. Les données scientifiques doublent tous les 15 ans, et leur taux de croissance serait environ de 4,7 % par an depuis le 17e siècle. Les connaissances d'une génération de chercheurs s'avèrent donc fausses au bout d'une génération ou deux, 30 à 45 ans. Nous avons tendance à savoir ajouter de nouveaux faits à ceux que nous connaissons déjà, plus qu'à assimiler de nouveaux faits qui contredisent ce que nous pensions. Le fait de savoir que nos connaissances ont une durée de vie limitée et qu'il faudra les remettre en cause serait déjà une bonne base, estime le chercheur. 
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Les neuromythes en éducation : les malentendus - Frontiers in Educational Psy... - 0 views

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    Une récente étude auprès de 242 enseignants du primaire et du secondaire a montré que la moitié d'entre eux croyaient en des neuromythes, c'est-à-dire en de fausses croyances sur le fonctionnement du cerveau pour l'apprentissage. Les enseignants les moins enclins à croire ces mythes sont ceux qui lisent le plus de magazines de vulgarisation scientifiques. 
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Un rat pense, l'autre réagit - NYTimes.com - 0 views

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    Un neuroscientifique de l'université de Duke, Miguel Nicolelis, a relié les cerveaux de deux rats, de sorte que lorsque l'un se déplace et appuie sur un levier, l'autre le fait aussi, même à distance. Une preuve de principe qu'on pourrait transférer des informations d'un cerveau à l'autre en temps réel.
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La vie en ville augmente le risque de troubles affectifs - Scientific American - 0 views

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    De plus en plus d'études montrent que la vie en ville nuit à notre santé mentale et que la pression sociale que l'on connaît en ville favorise nos malaises psychologiques.
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[documentaire] Comprendre le neuromarketing ! - Graphism.fr - 0 views

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    Un documentaire sur le neuromarketing, où comment activer le cerveau pour le pousser à consommer.
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Etude : Facebook peut-il améliorer la mémoire ? - The Atlantic - 0 views

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    Selon une étude menée par un étudiant en psychologie de l'université de l'Arizona basé sur des tests cognitifs auprès de populations cobayes, l'usage de Facebook pendant 2 mois aurait amélioré de 25 % la mémoire de travail d'un groupe de plusieurs personnes âgées entre 68 et 91 ans. Face à un flux continu d'informations, ils étaient mieux en mesure de se concentrer et d'en trouver ce qui était pertinent. Le groupe qui tenait un journal personnel n'a constaté aucune amélioration de cette mémoire. Reste à savoir si c'est la sociabilité de Facebook ou sa complexité cognitive qui stimule et entraîne le plus cette mémoire...
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Effacer la mémoire - Technology Review - 0 views

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    Pour Athru Caplan, la possibilité d'effacer les mauvais souvenirs de quelqu'un, notamment s'il a subit un souvenir traumatisant, est une promesse formidable (voir le reportage dédié à ce sujet de la Technology Review : http://www.technologyreview.com/featuredstory/515981/repairing-bad-memories/ ). Mais avant d'être trop enthousiaste de nombreuses questions éthiques doivent être examinées. Est-ce que ces systèmes (qu'ils utilisent des drogues ou des trucs cognitifs) peuvent avoir des conséquences sur d'autres pans de la mémoire ? Ces recherches doivent s'intéresser non seulement aux dangers pour la santé des patients, mais aussi à ce qui constitue leur identité et leur personnalité. Est-ce que ce que nous allons gagner en permettant d'effacer des souvenirs va compenser ce que nous allons perdre ? Ce que nous apprenons de nos erreurs, de l'adversité est une part primordiale de ce qui nous constitue. Ce qui nous rend modeste, humble, introspectifs, empathiques, prudents, réfléchis, vertueux est conduit par la mémoire d'expériences dérangeante, peu plaisante ou honteuse. Nul n'apprécie se souvenir de ses échecs et erreurs, mais ils nous permettent de devenir meilleurs. 
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Le premier cyborg commercial est sur Kickstarter - Quartz - 0 views

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    Le premier cyborg commercial vient de se lancer sur Kickstrater. Il consiste en un appareillage électronique qui se branche sur le système nerveux d'un véritable cafard et que l'on commande depuis son téléphone mobile, pour faire se déplacer l'animal à notre guise : http://www.kickstarter.com/projects/backyardbrains/the-roboroach-control-a-living-insect-from-your-sm , basé sur le système Roboroach : http://backyardbrains.com/products/roboroach qui n'engendre parait-il pas de souffrance à l'insecte puisqu'il fonctionne par impulsion électrique .
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L'espace neuronal sémantique - Admiroute - 0 views

  • ra, avec la collaboration de nombreux chercheurs, le travail entrepris par Markram dans le cadre du Blue
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    Jean-Paul Baquiast revient sur le projet Blue Brain - http://bluebrain.epfl.ch - qui consiste à modéliser sur un puissant ordinateur le fonctionne de petits éléments de cortex du rat. Un modèle qui ne devrait pas permettre d'aboutir rapidement à un cerveau artificiel, estime Baquiast. Pour lui, il faudrait plutôt promouvoir la construction d'un modèle informatique de cerveau en situation, c'est-à-dire doté d'organes sensoriels et moteurs. Un article de la revue Neuron, s'intéressait récemment à la question de comment le cerveau trait-il des informations visuelles pour leur donner une signification (c'est-à-dire un contenu sémantique) sans se laisser déborder par le flux incessant des entrées sensorielles. En fait, dans ce cadre là, notre cerveau classe les données. Certaines informations sensorielles font sens, d'autre non et ne sont pas retenues durablement, contrairement aux premières. Les informations sont regroupées par voisinage sémantiques. Et les chercheurs proposent de faire une représentation en carte sémantique de notre activité cérébrale.  
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Le comportement violent ne peut pas être prédit avec certitude - Fas.org - 0 views

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    Un rapport du Defense Science Board pour le secrétariat américain à la Défense - http://www.fas.org/irp/agency/dod/dsb/predicting.pdf - sur la prédiction des comportements violents explique qu'en l'état des connaissances scientifiques actuelles, la physiologie et la neurologie ne sont pas capables de fournir des systèmes fiables pour prédire la violence ciblée. S'il existe des indicateurs "prometteurs" comme les comportements anormaux, les troubles de la personnalité, la toxicomanie, etc. La science n'arrive pas à déterminer entre les faux positifs et les faux négatifs. Et le rapport conclut que la prévention, plus que la prédiction, devrait demeurer l'objectif premier du ministère de la Défense. A bon entendeur !
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Quantified Mind - 0 views

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    "Nous faisons des tests cognitifs. Nous mesurons nos performances. Nous étudions l'impact de choses comme le café, le sexe, les drogues, la méditation... Nous apprenons les impacts que cela a sur notre cerveau afin d'optimiser sa puissance"
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Les différences neuronales entre groupes culturelles - MedicalXpress.com - 0 views

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    Des soldats viennent d'envahir votre village pour tuer tous les habitants. Avec vos voisins et votre bébé vous vous cachez dans un sous-sol. Vous entendez les soldats chercher des survivants quand votre bébé commence à pleurer. Etouffez-vous votre bébé pour vous sauver vous et vos voisins ? Lorsqu'on présente des situations comme celles-ci à des Américains et à des Coréens, les gens arrivent souvent à la même conclusion. Oui, étouffer son bébé peut-être une solution. Mais les deux groupes culturels ne le font pas de la même façon, estime une étude publiée par la revue "Behavioural Brain Research" qui a regardé l'activité cérébrale de 8 Coréens et 8 Américains à quelques 60 problèmes moraux de ce type. Les Coréens ont montré une plus grande activité dans les régions du cerveau associées à l'intuition et au rapprochement des émotions. Les Coréens contrôleraient mieux leurs réactions émotionnelles initiales pour parvenir à une décision qui protège le plus grand nombre de personne. Face à de tels dilemmes, les Américains ont mis plus de temps à réfléchir, en activant des régions du cortex plutôt associé à la gestion des conflits et à la nouveauté. Les résultats pourraient s'expliquer du fait que les Américains sont plus souvent à des conflits socio-personnels, alors que les Coréens (qui recoivent des cours d'éducation morale leur inculquant la tolérance, la coopération...) montrent une meilleure maîtrise des valeurs sociales sur l'expression des désirs individuels lié à leur exposition plus fréquente à des problèmes sociaux. Les groupes culturels auraient donc des approches différentes du raisonnement moral.
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There's More to Life Than Being Happy - Emily Esfahani Smith - The Atlantic - 0 views

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    "C'est la poursuite du bonheur qui contrarie le bonheur". Quel est le sens de la vie ? Dans son bestseller, le survivant de l'holocauste, Viktor Frankl, estime que la différence entre ceux qui sont morts et ceux qui ont survécu à l'horreur des camps, tenait au sens de la vie. Ceux qui ont trouvé du sens, même dans les pires circonstances se sont avérés plus résistants à la souffrance que les autres. La dernière liberté, estimait Frankl, est de pouvoir choisir son attitude face à n'importe quelle circonstance. Selon un sondage Gallup, 60 % des Américains se sentent heureux. Mais selon le Center for Disease Control, 40% n'ont pas découvert un but satisfaisant à leur vie. Dans une récente étude du Journal de psychologie positive, mener une vie heureuse est associé à être un "preneur", alors que mener une vie pleine de sens, correspond au fait d'être un "donneur". Le bonheur caractérise une vie égocentrique voire égoïste où les besoins et les désirs sont facilement satisfaits, ou les enchevêtrements complexes sont évités. La vie heureuse correspond à une vie sans stress ou inquiétude. Mais la poursuite du bonheur est associée à un comportement égoïste. Au contraire, les gens qui ont des vies significatives, riches, l'obtiennent plutôt en apportant du bonheur aux autres. Et ce qui différencie les animaux des êtres humains n'est pas la poursuite du bonheur, mais celle du sens, qui est unique à l'homme... Prendre soin des autres donne un sens à la vie, mais ne fait pas nécessairement de nous des gens heureux. La signification, le sens de la vie, n'est pas seulement se transcender soi-même, mais plus encore transcender le moment présent, quand le bonheur est ressentie dans l'ici et maintenant.
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