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DREES - Les valeurs des jeunes adultes, leur perception de l'avenir et de la protection... - 0 views

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    La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie trois études sur les valeurs, jugements et opinions des jeunes en France et en Europe, dans la collection « Les Dossiers de la DREES ». Elle mobilise pour cela dix années de son Baromètre d'opinion sur la protection sociale, et s'appuie sur les réponses de près de 8 000 jeunes de 18 à 29 ans, interrogés entre 2004 et 2014. À l'encontre des idées reçues, les jeunes Français sont globalement optimistes pour leur avenir, et dans des proportions bien plus fortes que leurs ainés : 65 % des moins de 25 ans contre 46 % des 50-54 ans. De même, si 44 % des jeunes Français de moins de 25 ans pensent avoir une moins bonne situation que leurs parents au même âge (tendance en hausse depuis la crise économique), ce sentiment de « déclassement intergénérationnel » est plus faible que chez les 25-50 ans. Les jeunes Français sont néanmoins toujours bons derniers au palmarès des optimistes en Europe, dépassés même par les jeunes des pays les plus touchés par la crise (Espagne, Portugal). Des clivages apparaissent en outre avec, d'un côté, les jeunes en cours d'études ou en emploi et diplômés du supérieur, les plus optimistes pour leur avenir, et de l'autre, les jeunes les moins diplômés et les précaires, qui le sont le moins. Famille, genre, immigration : les jeunes défendent des valeurs d'ouverture Les jeunes Français sont plus favorables que leurs aînés à l'égalité des rôles entre les femmes et les hommes, plus tolérants aux nouvelles formes de couples et de familles et rejettent globalement l'ensemble des stéréotypes de genre, à l'opposé des plus de 65 ans dont les opinions diffèrent très fortement. Neuf jeunes sur dix sont en désaccord avec le modèle traditionnel de la femme au foyer s'occupant des enfants, et tout autant avec l'idée de privilégier l'emploi des hommes à celui des femmes. De mêm
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France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes - Rapport annuel sur ... - 0 views

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    Ce rapport présente le deuxième état des lieux du sexisme en France, élaboré annuellement par le Haut Conseil à l'Egalité, depuis son inscription dans la loi du 27 janvier 2017 relative à l'égalité et la citoyenneté. Jamais autant qu'en 2019, le mot sexisme et, plus largement, l'expression violences sexistes et sexuelles, n'ont été utilisés. Les causes en sont multiples. C'est d'abord l'ampleur du mouvement #MeToo, le décompte macabre des 149 féminicides - meurtres de femmes parce qu'elles sont des femmes - par conjoints ou ex-conjoints, recensés tout au long de l'année, les révélations de violences sexuelles dans de nombreux domaines comme les arts et la culture ou plus récemment le sport. C'est aussi la force du droit et la création de nouvelles infractions comme l'outrage sexiste et l'élargissement de la notion de harcèlement sexuel. Cet encadrement juridique trouve son fondement dans une définition fonctionnelle du sexisme, proposée par le HCE dans son premier rapport et reprise pour une bonne part par le Conseil de l'Europe : le sexisme est à la fois une idéologie qui repose sur l'infériorité d'un sexe par rapport à l'autre, mais aussi un ensemble de manifestations des plus anodines en apparence (remarques, plaisanteries, etc.) aux plus graves (viols, meurtres), qui ont pour objet de délégitimer, stigmatiser, humilier ou violenter les femmes et entrainent pour elles des effets en termes d'estime de soi, de santé psychique et physique et de modification des comportements. C'est également la mobilisation sans précédent de la société civile contre les violences sexistes et sexuelles et la culture du viol, qui a pu aller jusqu'au « burn out » militant, mais aussi de tous les acteurs et actrices publics lors du Grenelle des violences conjugales. C'est enfin l'émergence de nouveaux sujets dans lesquels sont rendus visibles des biais de sexe totalement occultés jusqu'alors, su
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Terra Nova - Les femmes et le partage des espaces publics : pour la mixité - 0 views

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    Remarques déplacées, mains baladeuses, agressions verbales ou sexuelles... La dénonciation de telles pratiques, courantes dans l'espace public, rend compte d'une prise de conscience, encore récente et partielle, et contribue à définir le partage sexué des espaces publics comme un problème politique à part entière. Les femmes n'ont pas un accès égalitaire à la ville ni la pleine liberté de leurs mouvements dans les circulations urbaines. Longtemps sous-estimés ou déniés, les multiples éléments qui limitent leur participation à l'espace public sont désormais mieux pris en compte, et la gravité de certaines atteintes est désormais publiquement dénoncée. Des initiatives comme le vote cet été en France d'un nouveau délit visant le « harcèlement de rue » témoignent d'une mobilisation inédite et d'une réponse politique nouvelle. Cette prise de conscience recouvre, cependant, des approches parfois contradictoires qui engagent des représentations concurrentes des formes d'occupation de l'espace souhaitables et légitimes. En effet, une forme politisée de dénonciation du sexisme peut conduire à des solutions renforçant une logique sécuritaire étendue à l'occupation de la rue, au risque de renforcer une gestion policière des espaces publics. Une autre perspective, au contraire, cherche à renforcer la mixité des usages urbains. Elle suppose une démarche plus large, intégrant une autre conception de l'aménagement urbain, plus participative et plus soucieuse de la diversité des usages. Pour changer de regard sur l'accès aux espaces communs, il faut identifier des usages spécifiques de la ville, liés à la division sexuée des tâches et des métiers, reconnaître des mobilités différentes, identifier l'impact sur la vie quotidienne des aménagements urbains, trop souvent encore conçus pour un actif adulte et implicitement masculin. En s'inspirant d'expériences menées dans une série de villes européennes et fr
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Couples homosexuels : bénédiction et communion - Le blog de cathoreve - 0 views

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    "La presse en a fait ses choix gras le week-end dernier. L'Église protestante unie de France (ÉPUF) autorise ses pasteurs à bénir les mariés de même sexe. Après un très long processus de réflexion, entamé bien avant le débat politique sur le mariage homo, le synode de cette instance qui fédère les réformés et les luthériens de la France de l'intérieur (hors Alsace-Lorraine) a voté à une très large majorité pour cette évolution. Seule jusqu'alors au sein de la Fédération protestante, la Mission populaire évangélique de France, branche sociale et très engagée, avait franchi le pas (voir ici leur note de 2014). L'an passé, l'Union des Églises protestantes d'Alsace et de Lorraine (UEPAL) a choisi de surseoir à toute décision sur la question. Il est intéressant de voir comment le synode de l'ÉPUF a organisé son travail. L'évolution s'inscrit dans le cadre plus général d'un travail sur la bénédiction. Dans le texte de la décision adoptée (à retrouver ici), on peut lire que l'ÉPUF « reçoit avec humilité et confiance cette mission d'être témoin de l'Évangile dans l'accompagnement des personnes et des couples. L'accueil de toutes celles et tous ceux qui s'adressent à elle et les gestes de bénédiction qu'elle peut offrir de la part de Dieu, sont autant de façons de dire la bonne nouvelle de son amour premier et de relayer son appel à vivre en relation avec lui »."
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France Stratégie - Un nouvel âge pour l'école maternelle ? - 0 views

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    Pionnière dans l'accueil universel des enfants, l'école maternelle française a longtemps bénéficié d'une excellente réputation, au point de servir de modèle à l'étranger. Aujourd'hui, une comparaison européenne conduit à un tableau quelque peu différent, pour trois raisons. Tout d'abord, la France présente une dépense par élève relativement faible et des classes de taille importante. Ensuite, notre école maternelle se caractérise par une forte et constante focalisation sur la préparation aux apprentissages formels de l'école élémentaire, que l'on ne retrouve pas - avec une telle ampleur -chez nos voisins. Une inflexion récente et des textes o ciels qui appellent à prendre en compte le développement de l'enfant dans toutes ses dimensions - sensorielle, motrice, cognitive, sociale et affective - n'ont pas effacé cette « primarisation » de la maternelle. La formation des enseignants de maternelle, poussée mais peu spécialisée, n'a fait qu'accentuer la tendance. Enfin, le modèle français, dual, avec une forte césure entre l'accueil des 0-3 ans et la préscolarisation à partir de cet âge, apparaît désormais de plus en plus isolé face au développement en Europe des systèmes « intégrés » d'accueil du jeune enfant, qui traitent comme un bloc la période allant de la première année à l'âge de la scolarité obligatoire. Comment tirer parti de ces constats pour dessiner l'avenir de l'école maternelle française ? À court terme, il serait pertinent d'expérimenter un renforcement de l'encadrement des élèves, en le hissant à la moyenne de l'OCDE. Il conviendrait aussi d'améliorer la spécialisation des enseignants et la qualification des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem), et de mieux accompagner les innovations pédagogiques initiées par les enseignants. À plus long terme, l'évolution vers un système intégré, regroupant progressivement
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France Stratégie - L'investissement social : quelle stratégie pour la France ? - 0 views

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    Cet ouvrage rassemble les principaux éléments présentés et discutés au cours du cycle de séminaires « L'investissement social : quelle stratégie pour la France ? », organisé entre janvier 2016 et janvier 2017 par les Apprentis d'Auteuil, la Caisse nationale des Allocations familiales (Cnaf), la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), France Stratégie et le Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques de Sciences Po Paris. Deux principaux objectifs ont guidé ces séminaires. Le premier était de clarifier le concept d' « investissement social » pour mieux saisir son contenu et son utilité pour l'action. Le second, de préciser les défis opérationnels de l'investissement social pour ce qui concerne la France. Ces dimensions ont été explorées au cours de sept séances : - une séance de lancement a dressé une comparaison entre pays et traité les enjeux généraux de définition et d'évaluation ; - cinq séances thématiques ont traité des politiques publiques en matière de : conditions d'accueil du jeune enfant ; articulation entre vie familiale et vie professionnelle et égalité femmes/hommes ; politiques de la jeunesse ; nouvelles formes de lutte contre la pauvreté ; formation tout au long de la vie et accompagnement global vers et dans l'emploi ; - une séance conclusive a permis à un large panel d'acteurs du champ social de se positionner par rapport à la stratégie d'investissement social. L'organisation de l'ouvrage reprend le contenu de ces sept séances. L'introduction présente les principaux enseignements transversaux du séminaire. L'ensemble des contributions, présentations, synthèses détaillées de ces séminaires se trouve sur le site : http://www.investissementsocial.org.
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IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

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    "e 19 mars dernier, les députés ont voté l'amendement au projet de loi santé qui demande la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Après le remboursement à 100% de l'IVG en 2013, la suppression de la condition de détresse et la prétendue reconnaissance d'un « droit fondamental » en 2014, ce rapport encourage à faire de l'IVG une réponse impulsive à une situation imprévue sans laisser aux femmes le temps de la réflexion et donc du libre choix. Il est plus que paradoxal, voire inquiétant, que la Loi Hamon de mars 2014 ait porté à 14 jours le délai de réflexion minimum pour des montants bien plus faibles qu'un achat immobilier, et que pour le devenir de l'être humain (celui de la mère comme celui de l'enfant), on veuille retirer cette prérogative... L'éthique et les droits de l'homme n'auraient-ils plus cours en France ? Par ailleurs, une fois encore, cet amendement a fait l'objet d'un vote nocturne. Est-ce le meilleur moment pour débattre, lorsque la vie d'êtres humains est en jeu ? Ou bien est-ce encore une stratégie gouvernementale pour faire passer « de force » une loi dont il sait qu'elle suscitera polémique et désapprobation ? Le procédé et les méthodes employées sont, une fois de plus, mesquins et condamnables. Ce vote reflète cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres et d'éviter le recours systématique à l'IVG. Les AFC appellent une nouvelle fois et avec insistance à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions de prévention, et proposer aussi des alternatives et d'aides efficaces afin de résoudre le drame de l'avortement, qui arrête la vie d'un enfant à naître et blesse profondément la femme. Elles inter
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Guillaume de Thieulloy : «Nous allons diffuser des études qui démontrent la m... - 0 views

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    "Nouvelles de France a rencontré Guillaume de Thieulloy (par ailleurs directeur de publication de votre bimédia), secrétaire général du Collectif Famille Mariage. Le Collectif Famille Mariage n'est-il pas un collectif de plus ? Guillaume de ThieulloyLe Collectif Famille Mariage (CFM) n'est pas un collectif de plus, dans la mesure où il ne vise pas à remplacer une structure qui existerait déjà. Nous considérons que le combat pour la famille naturelle ne s'arrêtera pas à la fin de la discussion du projet de loi Taubira. Que nous gagnions ou que nous perdions, ce n'est qu'une bataille et non la guerre elle-même ! Nous encourageons bien volontiers tous les Français de bonne volonté à se mobiliser contre ce texte absurde, mais, au delà de ce combat immédiat, nous devons aussi préparer la suite. Et, pour cela, nous avons beaucoup de travail à faire pour nous professionnaliser, tant dans la diffusion des études qui démontrent la malfaisance pour la société et les enfants du mariage « génétiquement modifié » que dans l'action politique. Voilà à quoi s'attelle en priorité le CFM. Et nous le faisons en lien avec des amis d'autres pays, notamment Américains, qui ont l'expérience de ce combat et de cette professionnalisation. Nous travaillons, en particulier, beaucoup avec la National Organization for Marriage (NOM) qui a réussi le difficile pari de la proposition 8 en Californie, grâce à laquelle le prétendu « mariage gay » a été abrogé."
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D'une loi à l'autre, l'IVG continue de se banaliser - Bioéthique - Société | ... - 0 views

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    "Le projet de loi Santé discuté en séance publique à partir du 31 mars jusqu'au 10 avril contient de façon éparse plusieurs dispositions visant à poursuivre la banalisation de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) en France. Hormis la suppression du délai de réflexion qui a d'ores et déjà suscité de nombreuses réactions, d'autres articles et amendements s'inscrivent dans la logique d'assouplissement de la procédure d'IVG afin de rendre l'avortement toujours plus « accessible ». Alors que de plus en plus de médecins répugnent à pratiquer des avortements, en particulier parmi la nouvelle génération, le gouvernement opte pour l'élargissement du personnel médical autorisé à pratiquer des IVG. Ainsi, l'article 31 du projet de loi Santé prévoit que les sages-femmes pourront réaliser l'IVG médicamenteuse. La question de maintenir ou non l'objection de conscience sur l'acte est également venue alimenter les débats. Si un amendement en ce sens a été retiré en commission des Affaires sociales, il ne serait pas surprenant de voir le sujet à nouveau abordé dans l'hémicycle. Enfin, Marisol Touraine avait elle-même annoncé, lors de la présentation de son plan IVG à la mi-janvier, son intention de présenter un amendement gouvernemental au projet de loi Santé. Celui-ci permettrait à des médecins de pratiquer des IVG chirurgicales dans des centres de santé, structures médicales de proximité. Toutes les dispositions relatives à l'IVG présentes dans le projet de loi Santé ont été répertoriées dans une infographie réalisée par le site d'actualité www.genethique.org."
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Meaux - Lettre pastorale - "Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé... - 0 views

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    « Ce qui fait la gloire de mon Père, c'est que vous portiez beaucoup de fruit » Jn 15, 8. 1/ Transmettre la foi aux nouvelles générations est la première mission de chaque communauté paroissiale. C'est l'affaire de tous, mais bien sûr tous ne sont pas engagés de la même manière : parents, grands-parents, parrains et marraines, catéchistes, animateurs d'aumônerie, chefs scouts, consacrés, diacres, prêtres, etc. Sans oublier la place fondamentale de la prière discrète et du témoignage personnel de chacun auprès de ses voisins et amis. 2/ Vivre du Christ, annoncer le Christ à toutes les générations - et particulièrement aux jeunes et à leur famille - voilà le défi pastoral majeur pour notre Église diocésaine. Cette priorité pastorale est d'autant plus urgente en Seine-et-Marne que nous sommes un des départements les plus jeunes de France (et que la moyenne d'âge des nouveaux arrivants est toujours très jeune) ! 3/ Au cours de l'année, il est bon que les Équipes missionnaires de Pôle et les Equipes d'Animation Pastorale fassent une évaluation de ce qui est vécu dans le pôle missionnaire à destination des enfants, des jeunes, des jeunes adultes, en faisant l'inventaire des forces vives qui y sont affectées. Une attention toute particulière sera apportée à la formation à donner aux adultes qui interviennent : formation au mystère chrétien et éléments nécessaires de pédagogie selon les âges. Mais l'inventaire ne suffit pas. Il est nécessaire de ne pas avoir peur de mettre en œuvre des projets nouveaux adaptés à notre temps. 4/ J'ai souvent entendu que l'ambition de la pastorale des jeunes était de les préparer à être chrétiens demain. Je m'inscris en faux devant cette affirmation. On peut légitimement espérer que les jeunes d'aujourd'hui auront la foi demain si nous les aidons à être chrétiens maintenant, à prier et à louer le Seigneur maintenant, à vivre une charité inventiv
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Les Français et l'intergénérationnel | TNS Sofres - 0 views

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    "Le pessimisme collectif des Français ne se résorbe pas et de nombreuses analyses dressent désormais le portrait d'une France qui a peur de l'avenir, exclut et se fracture. Le « c'était mieux avant » se reflète dans notre enquête : 63% des Français estiment que les relations entre générations sont moins fortes qu'il y a 20 ans, un jugement partagé par toutes les tranches d'âge. Pourtant, même si ce pessimisme collectif se répercute sur leur façon de penser ou de voir le monde, les Français parviennent encore à fabriquer du lien social et le réinventent. L'importance accordée aux liens intergénérationnels en témoigne : 97% des Français disent avoir déjà participé à une activité de solidarité intergénérationnelle dont 82% qui y participent actuellement. Concrètement : 73% des Français déclarent avoir déjà apporté une aide en nature à leurs parents (services domestiques, soins, aides à la vie quotidienne) et 52% à leurs enfants adultes ou petits enfants, 73% disent prendre régulièrement des nouvelles de leurs voisins plus âgés, 48% déclarent apporter une aide en nature à des tiers d'une autre génération. On note toutefois des disparités par âge. Les plus jeunes (moins de 35 ans) aspirent à des activités qui touchent à la transmission des savoirs et aux échanges en matière d'éducation et d'apprentissage (ce qu'ils ont déjà fait ou ce qu'ils aimeraient faire : initier des jeunes à un métier, faire du soutien scolaire, donner des cours de musique, d'informatique… à des personnes âgées ou intervenir dans des écoles ou universités). Les plus âgés (50 ans et plus) sont davantage dans le présent (ils participent déjà à ces activités) et dans l'entraide avec leurs cercles de proximité (prendre des nouvelles des voisins, apporter une aide financière ou en nature à leurs enfants)."
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La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale... - 0 views

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    "La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale 18 mars 2014 Par La Rédaction Fabienne Brugère La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale Fabienne Brugère ©Isabelle Camus La journée de formation des délégués diocésains à la pastorale familiale, organisée par le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France (CEF) autour du thème « Prendre soin de l'autre, un appel lancé à tous », n'accueillera finalement pas ce 19 mars, à Paris, la philosophe Fabienne Brugère (par ailleurs, n°20 sur la liste de Vincent Feltesse). Une décision qui fait suite à un article du blog Le Salon Beige, réputé proche de l'extrême-droite, qui avait lancé une pétition adressée à Mgr Georges Pontier, président de la CEF, pour demander le retrait de l'invitation de celle qu'ils présentent comme une « adepte de l'idéologie de Judith Butler », la pasionaria de la théorie du genre. « Cette invitation constitue un coup de poignard dans le dos », peut-on lire sur le blog connu pour ses prises de position anti-avortement et anti-mariage pour tous. Interrogé par le journal La Croix (article du 13 mars dernier), Mgr Jean-Luc Brunin, l'évêque du Havre qui préside le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France, a semble-t-il voulu jouer la carte de l'apaisement. « Les conditions du dialogue ne sont pas réunies, comme l'ont montré les tensions et les remous qui ont entouré cette venue. Maintenir l'intervention aurait abouti à une crispation, qui aurait menacé la communion ecclésiale ». Ou quand des responsables catholiques plient face à un groupuscule classé à l'extrême-droite… feltesse La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familialeDe son côté, sur Twitter, le candidat socialiste aux municipales Vincent Feltesse, s'est dit « atterré » p
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Drees - Cartographie interactive sur les conditions de vie des enfants en Fra... - 0 views

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    "Accessibilité aux places en crèche, accès à l'éducation et aux services scolaires, résultats scolaires, pratique sportive, niveaux de vie des familles, logement, accès aux soins… la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) propose un nouvel outil de datavisualisation qui rassemble un grand nombre de données sur les conditions de vie des enfants en France métropolitaine au niveau communal : http://dataviz.drees.solidarites-sante.gouv.fr/conditions_de_vie_des_enfants/ À travers des cartographies interactives, l'utilisateur peut comparer des données aux niveaux communal, départemental et national. Plus de 65 indicateurs, construits à partir d'une douzaine de bases de données (recensement de la population, bases de données de l'éducation nationale, système national des données de santé…), sont rassemblés sur cette application, soit plus de 500 000 données localisées réparties en sept thématiques : accueil des jeunes enfants, démographie, économie, éducation, logement, loisirs et santé."
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Île-de-France : une lycéenne sur dix a déjà avorté ! - Nouvelles de France Po... - 0 views

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    "Pas moins de 6% des lycéennes françaises ont déjà eu recours à l'avortement et parfois même deux fois pour certaines. Un chiffre qui grimpe lorsqu'il s'agit des jeunes adolescentes en Ile-de-France puisqu'une lycéenne sur dix y aurait déjà éliminé son enfant ! C'est l'un des constats alarmants que dresse l'étude commandée par l'organisme de sécurité sociale étudiante Smerep. L'enquête, parue le lundi 5 septembre dernier, a été menée par OpinionWay auprès de 507 étudiants de toute la France et 707 en Ile-de-France et de 403 lycéens sur tout le territoire et 368 d'Ile-de-France."
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Contribution de la Mission de France au Synode des évêques sur la famille - j... - 1 views

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    "LES DÉFIS PASTORAUX DE LA FAMILLE DANS LE CONTEXTE DE L'ÉVANGÉLISATION Une des orientations de la Mission de France, votée en 2007, porte sur « les questions nouvelles autour de la famille, la vie conjugale, l'éducation des enfants et la relation homme/femme. » La prise en compte, par l'Eglise de France en 2011, de la très grande diversité familiale (familles recomposées, familles monoparentales, etc.) nous encourage car dans chaque famille, il y a des membres qui vivent une réalité conjugale et familiale particulière. La figure traditionnelle de la famille est devenue une parmi d'autres. Notre contribution a pour source le témoignage les nombreux couples et familles avec lesquels nous sommes en compagnonnage, la réflexion pastorale et théologique menée avec d'autres dans le cadre de la pastorale familiale (préparation au mariage, accompagnement des couples, pastorale des séparés-divorcés-remariés)."
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» Homosexualité et religions : Un débat brouillé - 0 views

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    Permettez-moi de rebondir sur la tribune libre de M. Vianney Ronin publiée sur Nouvelles de France le 2 décembre dernier, au sujet de l'audition des représentants des religions à l'Assemblée nationale. Tout en reconnaissant l'intérêt majeur de la contribution de M. Gilles Bernheim, Grand Rabbin de France représentant la communauté juive de notre pays et, dans une moindre mesure, de la prestation de M. Mohammed Moussaoui, Président du Conseil français du culte musulman, je ne puis que m'étonner de certains propos tenus par l'un et par l'autre devant les députés.
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Agir en chrétien » Padreblog - 0 views

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    "Vous êtes nombreux à nous demander des critères de discernement pour prendre part à la mobilisation contre le projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe. Le climat s'est encore alourdi. Sentant l'opinion publique se retourner, le gouvernement accélère et choisit en effet de passer en force. Cette accélération est une nouvelle erreur que dénonce sévèrement le Cardinal Vingt-Trois : « que tous les moyens aient été mis en œuvre pour éviter le débat public, y compris dans le processus parlementaire, peut difficilement masquer l'embarras des promoteurs du projet de loi. Passer en force peut simplifier la vie un moment. Cela ne résout aucun des problèmes réels qu'il faudra affronter de toute façon » (discours aux évêques de France du 16 avril 2013 à Paris). Les contacts que nous avons le confirment : ceux qui nous gouvernent ne comprennent pas cette mobilisation spontanée, populaire et désintéressée. Quelles sont ces foules qui ne descendent pas dans la rue pour défendre des intérêts particuliers - leur salaire, leur emploi, leur école - mais le bien commun, un modèle de société dans lequel l'intérêt de l'enfant prime, dans lequel l'altérité et la complémentarité homme/femme sont reçues comme des richesses et non des limites à effacer ? Voilà une des raisons qui explique d'ailleurs pourquoi cet immense élan ne retombera pas, en dépit des défaites apparentes ou ponctuelles. Voici trois critères qui nous semblent essentiels pour prendre part au vaste mouvement de résistance pacifique qui se lève dans toute la France"
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