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INED - Logement, travail, voisinage et conditions de vie : ce que le confinem... - 1 views

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    Les Français ne sont pas mal logés. Avec, en moyenne, 48 m2 /personne, la superficie et le confort du logement ont augmenté pour toutes les catégories de population au cours des dernières décennies, et 15 % d'entre eux possèdent un ou plusieurs autres logements en dehors de leur résidence principale. Mais la pandémie, et le confinement qu'elle a entraîné, ont changé leurs conditions de vie au quotidien, bouleversé l'usage et l'occupation du logement, et drastiquement accentué les écarts sociaux. Au risque d'un décrochage. 38 % des Français déclarent se sentir isolés dans leur logement ou leur quartier, malgré des échanges de services toujours aussi nombreux. 31 % déclarent une chute des revenus de leur ménage, 24 % craignent des difficultés pour payer leur logement dans les douze prochains mois et 7 % redoutent même de perdre leur logement. Certaines professions (artisans et commerçants, ouvriers) et les ménages aux revenus modestes sont particulièrement touchés. Le confinement a également renforcé la pression sur l'occupation du logement et les situations de surpeuplement en France. Un ménage sur dix vit dans un logement surpeuplé pendant le confinement. 11 % ne possèdent aucun espace extérieur (jardin privatif ou partagé, cour, balcon, loggia…). Parmi les actifs qui avaient un emploi avant le début du confinement, seuls 58 % d'entre eux travaillent encore à la 7è semaine de confinement. La surcharge professionnelle et familiale a induit une dégradation des relations entre parents et enfants. 18 % des enquêtés en télétravail déclarent une dégradation des relations avec leurs enfants depuis le début du confinement. Malgré des conditions de logement moins favorables en moyenne, les ouvriers et les employés sont plus nombreux que les cadres à avoir déclaré une amélioration des relations avec leurs enfants depuis le début du confinement, en particulier quand leur activité professionnelle s'est ar
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Habitat & Architecture | Ecologie Humaine - 0 views

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    "L'habitat est au cœur des préoccupations humaines : se placer soi-même et mettre sa famille à l'abri fait partie du deuxième étage de la pyramide de Maslow des besoins de l'homme. Le logement est le premier budget d'une famille et tous les Français rêvent d'accéder un jour à la propriété de leur logement, comme source de sécurité et de pérennité. Nous souhaitons tous vivre dans un logement agréable, situé dans un environnement propice à l'épanouissement. Le logement protège l'intimité de la famille et de chacun de ses membres, et en même temps favorise le lien intra familial et sociétal. Le logement enfin, se trouve au cœur des recompositions familiales : séparation, divorces, appellent une multiplication du nombre de logements nécessaires."
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INSEE - Logements suroccupés, personnes âgées isolées... : des conditions de ... - 0 views

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    "Les mesures de confinement mises en place depuis le 17 mars 2020 touchent de façon différenciée les populations, selon le type de logement qu'elles occupent ou la composition de leur ménage. Cinq millions de personnes vivent dans un logement au nombre de pièces insuffisant. Par ailleurs, dix millions de personnes, dont 2,4 millions de 75 ans ou plus, vivent seules dans leur logement. En période de confinement, certaines populations peuvent être davantage fragilisées : les familles monoparentales avec de jeunes enfants dans des logements trop petits ou les personnes âgées vivant seules, dans des zones rurales éloignées des commerces d'alimentation générale. Si les technologies numériques peuvent faciliter l'accès à la vie économique et sociale ou permettre de rester en contact avec les siens, les populations âgées ou peu diplômées en sont davantage privées, ayant moins accès à Internet et des difficultés accrues à les mobiliser."
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Institut d'aménagement et d'urbanisme d'IdF - Le logement des jeunes dans le... - 0 views

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    Dans un rapport publié le 29 novembre 2017 exploitant les chiffres de l'Enquête nationale logement de l'Insee, l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France livre une analyse de la situation des jeunes ménages vis-à-vis du marché du logement ordinaire (soit hors locaux dédiés aux communautés, tels les foyers ou les résidences sociales). En ressortent trois grandes observations clairement soulignées par l'Institut lui-même : - Une baisse du niveau de vie des jeunes ménages - Des évolutions du parc de logements qui ne bénéficient pas aux jeunes - Hausse des loyers et pénurie de petits logements : la double peine
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Insee - En 2020, 12 % des enfants dont les parents sont séparés vivent en rés... - 0 views

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    "En France, en 2020, 480 000 enfants mineurs vivent en résidence alternée et passent donc la moitié du temps chez chaque parent. Plus d'un enfant sur dix dont les parents sont séparés est en résidence alternée ; cette part croît régulièrement jusqu'aux 10 ans de l'enfant. Au domicile maternel, 73 % des enfants en résidence alternée vivent dans une famille monoparentale et 27 % dans une famille recomposée, respectivement 71 % et 29 % au domicile paternel. Par rapport aux autres parents, les parents d'enfants en résidence alternée sont davantage diplômés et sont plus souvent cadres ou professions intermédiaires. Le taux d'emploi des mères de ces enfants est proche de celui des pères (89 % contre 92 %), et bien supérieur à celui des mères vivant dans une famille « traditionnelle » (77 %). Toutefois, les mères d'enfants alternants travaillent quatre fois plus souvent à temps partiel que les pères de ces mêmes enfants (19 % contre 5 %). Ces derniers sont par ailleurs plus souvent propriétaires de leur logement que les mères et leurs logements sont plus grands. La résidence alternée est plus développée dans l'Ouest de la France ainsi que dans une large partie du Sud, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes. Le plus souvent, il s'agit de zones périurbaines, où le niveau de vie des enfants et le taux d'activité des mères sont élevés. La suroccupation des logements semble, à l'inverse, freiner la résidence alternée."
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INSEE - Après une rupture d'union, l'homme reste plus souvent dans le logemen... - 0 views

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    "Un an après la séparation d'un couple, un des conjoints reste dans le domicile conjugal dans 75 % des divorces ou des ruptures de Pacs. Les hommes sont nettement plus nombreux que les femmes à rester dans le logement la première année, et cet écart entre hommes et femmes se réduit les années suivantes. En milieu rural, les écarts entre hommes et femmes sont plus marqués que dans les grandes villes. Lorsque le couple a des enfants, le parent qui en a la garde conserve plus souvent le logement conjugal. "
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INED - Corésidence familiale intergénérationnelle - 0 views

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    "Que recouvre le terme de « corésidence familiale intergénérationnelle » et quelle est la part de population concernée ? Le terme de « corésidence familiale intergénérationnelle » est employé pour décrire le partage d'un même logement par deux générations d'adultes. Il peut s'agir de parents qui hébergent et soutiennent leur enfant adulte. À l'inverse, l'enfant, adulte, peut être celui qui accueille son (ou ses) parent(s) et lui (leur) vient en aide. Enfin, la cohabitation sous le même toit de deux générations peut permettre de mutualiser les ressources. Les résultats de l'enquête Famille et logements conduite en 2011 (360 000 personnes interrogées) et associée au recensement de la population indiquent que près de 8% des répondants de 30 ans et plus ayant un parent en vie corésident avec un ascendant."
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Drees - Cartographie interactive sur les conditions de vie des enfants en Fra... - 0 views

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    "Accessibilité aux places en crèche, accès à l'éducation et aux services scolaires, résultats scolaires, pratique sportive, niveaux de vie des familles, logement, accès aux soins… la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) propose un nouvel outil de datavisualisation qui rassemble un grand nombre de données sur les conditions de vie des enfants en France métropolitaine au niveau communal : http://dataviz.drees.solidarites-sante.gouv.fr/conditions_de_vie_des_enfants/ À travers des cartographies interactives, l'utilisateur peut comparer des données aux niveaux communal, départemental et national. Plus de 65 indicateurs, construits à partir d'une douzaine de bases de données (recensement de la population, bases de données de l'éducation nationale, système national des données de santé…), sont rassemblés sur cette application, soit plus de 500 000 données localisées réparties en sept thématiques : accueil des jeunes enfants, démographie, économie, éducation, logement, loisirs et santé."
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Crédoc - Heurs et malheurs du confinement - 0 views

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    "Face à l'épidémie de covid-19, le gouvernement français décide de placer le pays en confinement strict du 15 mars au 11 mai 2020. Pour la plupart des Français, le confinement est arrivé de manière inattendue, imposant de s'adapter très rapidement à une situation complètement inédite, chamboulant leur vie quotidienne, familiale et professionnelle. Les résultats de l'enquête Conditions de vie et aspirations réalisée par le Crédoc pendant le confinement, du 20 avril au 04 mai soulignent des vécus très différenciés. Les jeunes ont vécu plus difficilement la période que leurs aînés. Alors qu'en temps normal, les 15-24 ans sortent souvent de chez eux, notamment pour voir leurs amis, ils ont souffert de devoir y renoncer, malgré l'importance des liens sociaux dans leur constitution identitaire. Habitant souvent dans de petits espaces, ils ont vu leur vie rétrécie entre quatre murs ou ont choisi pour certains de retourner vivre dans leurs familles, ce qui n'a pas été sans provoquer quelques tensions. Les autres foyers habitant de petits logements, en liaison avec des ressources financières limitées (le logement étant le premier poste de dépenses des Français) ont également vécu difficilement la période. En revanche, alors que les différences de revenus se traduisent habituellement aussi par des différences de niveau de consommation, ces dernières ont été - temporairement - gommées pendant la période. Chez les actifs, la découverte ou l'amplification du télétravail ont manifestement constitué une bonne surprise pour les personnes qui y ont eu accès. Moins pour les personnes qui travaillaient habituellement à distance avant le confinement, qui se sont trouvées plus perturbées dans leurs habitudes. Le choc de la crise de la covid-19 est tel que la plupart des Français revisitent le regard qu'ils portent sur leur vie, et ré-évaluent plus positivement ses différentes dimensions. Enfin, pour une partie
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INED - Comment voisinne-t-on dans la France confinée ? - 0 views

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    L'enquête Coconel « Logement et Conditions de vie » a été réalisée par l'Ined, en partenariat avec le consortium Coconel, l'ANR, l'IRD, l'INSERM et l'IFOP. Un échantillon de 2 003 personnes, représentatif des adultes résidant en France métropolitaine, a été tiré selon la méthode des quotas (âge, sexe, éducation, groupe socioprofessionnel, région et catégorie de commune). L'enquête s'est déroulée par internet du 30 avril au 4 mai 2020. Elle porte sur la situation avant et pendant le confinement, et aborde différents thèmes : logement et conditions de vie ; emploi et conditions de travail ; enfant et continuité pédagogique ; voisinage et sentiment d'isolement.
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Métropolitiques - Une double peine : les conditions de logement et de confine... - 0 views

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    "Les familles monoparentales comptent parmi les ménages les plus touchés par la précarité économique et la crise sanitaire. Laure Crepin et Fanny Bugeja-Bloch montrent que la dégradation des conditions de logement de ces familles remonte au début des années 2000, bien avant le confinement."
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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Drees - Grandir en territoire rural : quelles différences de conditions de vi... - 0 views

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    En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d'accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d'un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.
Sophie Chergui

Immigrés : un modèle familial traditionnel - 0 views

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    "Mariage, concubinage, enfants… Une étude de l'Insee décrypte les modes de vie des étrangers en France. PUBLICITÉ L'anglais ? Apprenez l'anglais avec Babbel et LeFigaro Démarrer1/5 Plus traditionnelles, les familles d'immigrés? C'est la conclusion d'une analyse de l'Insee, qui a passé au crible les chiffres du recensement et de l'enquête «Famille et logements» pour l'année 2011 en Île-de-France. Mariage, concubinage, taille des foyers: les structures familiales des immigrés et de leurs descendants reflètent leurs origines, selon cet instantané de l'Institut national de la statistique et des études économiques. En outre, alors que l'Île-de-France concentre 2 millions d'immigrés, soit près de 40 % des immigrés installés en France, le constat - à quelques nuances près - peut être projeté au plan national."
Sophie Chergui

Vers une génération d'enfants uniques | Le Figaro Madame - 0 views

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    "Les Françaises, championnes de la natalité en Europe ? Oui… À condition de ne pas compter sur les Parisiennes ! Entre arrivée tardive du premier enfant, carrières à gérer et logements étroits, les habitantes de la capitale pourraient bien faire chuter l'Hexagone de la première marche du podium. Enquête."
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    "Les Françaises, championnes de la natalité en Europe ? Oui… À condition de ne pas compter sur les Parisiennes ! Entre arrivée tardive du premier enfant, carrières à gérer et logements étroits, les habitantes de la capitale pourraient bien faire chuter l'Hexagone de la première marche du podium. Enquête."
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Logements intergénérationnels #SolutionGagnantGagnant - Ecologie Humaine - 0 views

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    "Nous avons récemment rencontré Isabelle, une amie de longue date du Courant pour une écologie humaine, à Toulouse. Elle a alors pris le temps de nous raconter l'histoire de son association, ART (Accueil en Région Toulousaine), qui nous a semblé porteuse d'une grande humanité. Et l'on s'est dit que si l'on valorisait son initiative, d'autres, ailleurs, pourraient avoir envie de faire la même chose et de créer ainsi une chaîne vertueuse de relations intergénérationnelles. Alors, tentés par l'aventure ?"
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Drees - Etudes, travail, logement : comment les enfants de parents séparés en... - 0 views

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    Fin 2014, 1,4 million d'adultes de 18 à 24 ans ont leurs parents séparés. Dans près de neuf cas sur dix, ces jeunes ont vécu principalement chez un seul de leurs parents à la suite de la séparation (majoritairement leur mère). Résider chez un seul de ses parents distend les relations avec l'autre parent. Un jeune sur quatre déclare ainsi ne plus avoir de relation avec son père. La séparation des parents, et notamment la conflictualité qu'elle peut impliquer, a des conséquences sur le devenir des jeunes. Ils sont moins souvent en études et leur niveau de diplôme est souvent moins élevé que celui des jeunes dont les parents forment un couple. Toutefois, lorsque les relations entre les parents sont bonnes les écarts de niveau de diplôme sont moindres. Les jeunes dont les parents se sont séparés ont plus fréquemment quitté le domicile parental que les autres, en particulier si le parent avec qui ils ont vécu après la séparation a eu un enfant ou bel-enfant d'une nouvelle union. Ils déclarent plus souvent avoir pris un logement autonome pour devenir indépendant et moins souvent pour leurs études ou leur emploi. Toutefois, quand ils ont quitté le domicile parental, ils habitent moins loin d'au moins un de leurs parents.
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Aleteia - Une jeune famille sur dix est confinée dans un logement exigu - 0 views

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    "Une étude de l'Insee publiée ce 21 avril révèle les chiffres relatifs aux conditions de vie des Français en confinement. Les familles avec de jeunes enfants, et notamment les familles monoparentales, sont les plus touchées par la promiscuité."
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Quels habitats alternatifs à la maison de retraite ? - 0 views

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    "Quand on parle d'habitat « alternatif », on pense spontanément à un couple de trentenaires dans sa yourte, ou à des étudiants dans leur container pour marchandises réaménagé en studio. Mais il faudra s'y faire : le mot s'applique, de plus en plus, aux seniors. Et désigne toutes les formes de logement imaginables pour des personnes âgées, en lieu et place de la maison de retraite. Appartements collectifs, communautés, résidence intergénérationnelle mêlant jeunes et vieux : les expériences se multiplient, en France et ailleurs."
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Drees - Dossier - Drees - Communiqué - Un adulte sur sept vit chez ses parent... - 0 views

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    En France, d'après l'enquête Logement de l'Insee , 7,3 millions d'adultes habitent chez leurs parents, leur conjoint ou chez une autre personne. Ces adultes, qui ne figurent ni sur l'acte de propriété ni sur le bail de location, vivent pour la plupart chez leurs parents (65 %) ou chez leur conjoint (28 %). De façon plus marginale, certains résident chez leur enfant (2 %), chez un autre membre de leur famille (4 %) ou encore chez un tiers sans lien familial (1 %). Des incidents de la vie sont parfois à l'origine de ces situations.
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