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Consultation citoyenne : Droits des malades et fin de vie - Assemblée nationale - 0 views

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    "Exposé des motifs Nos concitoyens souhaitent dans leur immense majorité être entendus, c'est-à-dire disposer de leur vie jusqu'à son ultime moment tout en bénéficiant d'une mort apaisée. Par ailleurs, de fortes inégalités entre établissements de santé, au sein même de ceux-ci, entre structures médicalisées ou non, adjointes à la méconnaissance des dispositions légales, créent encore trop souvent, aujourd'hui, les conditions d'une mort peu digne d'une société avancée. Nourrie par des débats éthiques, des expériences et des convictions philosophiques ou religieuses personnelles, relancée par des événements très médiatisés, la question de la fin de vie occupe une large place dans notre société. Nous devons y répondre avec sagesse et clarté. Depuis plusieurs années, de nombreux pas ont été franchis : reconnaissance de droits accrus aux malades dans le sillage de la loi du 4 mars 2002, développement des soins palliatifs, condamnation de l'obstination déraisonnable, mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements, même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée, ont modifié très sensiblement les données médicales de la fin de vie de nos concitoyens. La loi du 22 avril 2005, dite Loi Leonetti, a continué de produire de l'autonomie pour les malades par la condamnation de l'obstination déraisonnable, la mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée et la création de directives anticipées. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, François Hollande a souhaité aller plus loin en proposant que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions prÃ
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Haute autorité de santé - Comment mieux accompagner les patients en fin de vi... - 0 views

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    La HAS publie aujourd'hui un guide à destination des professionnels de santé afin de les aider à mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès, pratique sédative prévue par la loi Claeys-Leonetti, que les patients peuvent demander dans des circonstances précises. Ce travail complète une série de travaux de la HAS sur l'accompagnement de la fin de vie : rédaction des directives anticipées, mise en place d'une démarche palliative ou encore maintien à domicile des patients qui nécessitent des soins palliatifs. L'ensemble de ces travaux vise à entendre la demande des patients de finir leur vie chez eux, sans souffrir ainsi qu'à outiller les professionnels de santé, à l'hôpital comme en ville, pour appréhender cette situation. Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple. L'accompagnement de la fin de vie est un sujet dont il faut discuter, avec son médecin et ses proches, afin de faciliter sa propre prise en charge le moment venu. En effet, en France, trois personnes sur quatre désirent finir leur vie chez eux et 11 % des Français de plus de 50 ans ont désormais rédigé leurs directives anticipées. Ce dernier chiffre reste faible et les Français demeurent mal informés ou peu à l'aise pour envisager concrètement leur fin de vie. Par ailleurs, seule la moitié des malades qui relèvent de soins palliatifs en bénéficie effectivement, qu'ils soient à l'hôpital mais surtout dans leur lieu de vie. Plusieurs facteurs l'expliquent : inégalité des ressources sur le territoire, manque de formation des professionnels en soins palliatifs, méconnaissance de la loi et des dispositifs existants. Pour améliorer la situation, le ministère chargé de la Santé a lancé en 2016 un plan soins pall
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Le Salon Beige - blog quotidien d'actualité par des laïcs catholiques: "Nous ... - 0 views

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    ""Nous ne pouvons pas embrasser la culture de la vie si nous ne mettons pas nos racines en Jésus" Le cardinal Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires et primat d'Argentine, a invité à défendre la vie humaine de sa conception jusqu'à sa fin naturelle, à l'occasion de la fête de saint Raimondo Nonnato : Bergoglio " (...) Chaque enfant doit être accompagné pour toute la vie (...) Il faut veiller à ce que les enfants grandissent sainement, soient suffisamment nourris, reçoivent une bonne éducation fondée sur de solides principes moraux. C'est une bataille à soutenir contre les nombreux attentats à la vie humaine, contre la diffusion de la culture de mort. Une bataille, qui doit être soutenue aussi pour les personnes âgées, qui sont la sagesse de la vie, et quand la vie humaine est proche de s'éteindre. Cela, évidemment, demande des dévouements et du sacrifice (...) Nous ne pouvons pas embrasser la culture de la vie si nous ne mettons pas nos racines en Jésus, si nous ne sommes pas unis à lui comme le sarment de la vigne au tronc. Parce que Jésus est le patron de la vie. Il s'est défini comme le chemin, la vérité et la vie. Ce n'est qu'avec Jésus que nous pouvons répandre cette ardeur, que nous pouvons avoir cette ferveur pour proclamer le message de la vie (...)""
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CNFVSP - Le nouveau MOOC « La fin de vie : s'informer pour en parler » - 0 views

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    "8 séquences thématiques Le contexte socio-politique français sur la fin de vie Historique ; les principales étapes législatives ; comparaison internationale ; les plans nationaux « soins palliatifs » ; le CNSPFV. Les mots pour « la » dire L'histoire des mots et des idées ; en pratique, quels mots pour « la » dire (la fin de vie et/ou la mort) ; comment en parler aux enfants ? ; le deuil. Les soins palliatifs La démarche palliative ; les acteurs de la prise en charge palliative ; les structures de soins palliatifs en France. Droits des malades et des proches aidants Les droits des malades en fin de vie (la place du patient, les directives anticipées, la personne de confiance, le refus de traitement, la sédation profonde et continue jusqu'au décès) ; les aidants (leur rôle, la place du proche­ aidant dans la décision médicale ; les aides financières et les congés). Obstination déraisonnable, limitation et arrêt de traitement, procédure collégiale Obstination déraisonnable (définition, situations cliniques) ; la procédure collégiale (définition, conditions et déroulement). Les thérapies médicamenteuses et non médicamenteuses en fin de vie Prise en charge médicamenteuse de la douleur ; les thérapies complémentaires permettant d'aider au confort du patient ; les sédations en pratique palliative ; la sédation profonde et continue jusqu'au décès. L'alimentation et l'hydratation en fin de vie Pourquoi questionner l'alimentation et l'hydratation en fin de vie ? ; quand parle-t-on d'alimentation et d'hydratation artificielles (AHA) ? ; comment se prend la décision d'arrêt ou de non mise en place d'une AHA ? La fin de vie : questions en cours en France et à l'international En France : le débat public depuis la loi Claeys-Leonetti, le cas Vincent Lambert, l'insuffisance d'acculturation et de moyens ; à l'international : le développement des soins palliatifs, Ã
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La Croix - Pour le pape François, seule une société qui s'oppose à la "cultur... - 0 views

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    "Dans la matinée du 30 janvier 2020, le pape François a reçu en audience, salle Clémentine au Vatican, les participants à l'Assemblée plénière de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Une assemblée consacrée à la prise en charge des personnes dans les phases critiques et terminales de leur vie. De ce fait, lors de son intervention, le pape François a évoqué la valeur intangible de la vie humaine, la question des soins à l'égard des malades en fin de vie, ainsi que la nécessité de réécrire la « grammaire » de l'accueil et des soins envers la personne souffrante. « Le contexte socio-culturel actuel mine progressivement la conscience de ce qui rend la vie humaine précieuse, a-t-il constaté. En effet, celle-ci est de plus en plus souvent évaluée en raison de son efficacité et de son utilité, à tel point que l'on considère comme des "vies rejetées" ou des "vies indignes" celles qui ne répondent pas à ce critère. » Pour le pape François, une société ne mérite d'être qualifiée de « civilisée » que si « elle développe les anticorps contre la culture du rejet », reconnaît « la valeur intangible de la vie humaine » et « si la solidarité est effectivement pratiquée et sauvegardée ». Il a également évoqué, pour les encourager, les centres de soins palliatifs « où l'on pratique avec engagement la "thérapie de la dignité" », thérapie qui alimente « l'amour et le respect pour la vie »."
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Rennes - Parole de l'Évêque - 10 février : priez pour le respect de la vie - 0 views

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    "Encouragés ainsi à prier, nous pouvons tous nous réunir dans la prière afin de demander que la vie humaine soit davantage respectée. Des aveuglements sur la beauté de la vie, des manques de moyens et d'accompagnements, des erreurs sur la liberté réduite à une autonomie absolue, engendrent de graves manques de respect depuis le commencement de la vie jusqu'à sa fin naturelle. Quand l'Assemblée nationale a voté pour que l'avortement soit inscrit dans la Constitution française, les évêques de France ont attiré l'attention sur la beauté de la vie qui croît dans le sein de la mère : « Toute vie est un don pour ce monde. » Dans une société où est magnifiée la performance et dans laquelle l'individualisme affecte nos mentalités, la prise en considération fraternelle de la personne fragilisée, ou en fin de vie, n'est pas mise à sa juste valeur. L'euthanasie apparaît normale aux yeux de certains ! Les évêques ont signé une lettre « Ô mort, où est ta victoire ? » Elle peut aider chacun à méditer sur la mort et sur l'accompagnement fraternel envers nos frères et sœurs en fin de vie."
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Annales française de médecine d'urgence - Fin de vie, limitation des thérapeu... - 0 views

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    À lire dans la revue Annales françaises de médecine d'urgence, un article de C. Joly, O. Coté et L.-M. Joly intitulé "Fin de vie, limitation des thérapeutiques, éthique et législation: un retour sur 50 ans d'évolution en France", dont voici le résumé: "Les urgentistes sont fréquemment confrontés à des décisions de limitation ou arrêt des thérapeutiques (LAT) en fin de vie. Il revient à l'urgentiste à la fois de décider la LAT et d'organiser les conditions de la fin de vie. Appliqué à des situations toujours singulières, parfois dramatiques, et dans lesquelles manquent souvent des informations à la phase initiale, l'exercice peut se révéler difficile. Sur le plan social et médiatique, la question de la fin de vie est récurrente. En seulement 20 ans, trois lois sont venues encadrer les décisions de LAT. Si la majorité de ces affaires ne concernaient pas directement les urgences, elles finissent par les impacter, car le problème de la fin de vie est universel. De plus, les urgentistes sont obligés d'appliquer les lois concernant la fin de vie, quand bien même celles-ci ne reconnaissent aucune spécificité à la mise en œuvre des LAT en urgence. Que ce soit dans l'espace médiatique, professionnel ou privé, la parole d'un médecin urgentiste sur ce sujet sensible doit reposer sur une bonne connaissance des faits. Il en va de la crédibilité de la discipline en particulier et de la médecine en général. Il nous paraît donc intéressant de présenter une rétrospective de l'évolution législative ou réglementaire au sujet de la fin de vie en France depuis les années 1970, en montrant comment cette évolution a été intriquée avec les grandes affaires médiatisées survenues à la même époque."
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CNSPFV - La campagne nationale d'information sur la fin de vie est lancée - 0 views

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    "Le 20 février 2017, Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, lance avec le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV) une campagne nationale d'information sur la fin de vie, pour inviter les Français au dialogue avec leurs proches et les professionnels de santé, et pour les informer sur les droits des personnes malades et des personnes en fin de vie. Chacun peut exprimer ses volontés sur la fin de vie, qu'il soit en bonne santé ou malade, pour faire valoir ses droits. En plaçant le patient au cœur des décisions qui le concerne, la loi du 2 février 2016 répond à la demande d'une fin de vie digne, accompagnée et apaisée, par une meilleure prise en charge de la souffrance. Pour inviter les professionnels de santé à parler de la fin de vie avec leurs patients, Marisol Touraine a lancé en décembre 2016 le premier volet de cette campagne. 9 Français sur 10 ne connaissent pas cette loi, ni leurs droits. Du 20 février jusqu'au 20 mars 2017, la campagne d'information sera relayée sur plusieurs médias, autour d'une signature : « La fin de vie, et si on en parlait ? » : un spot TV de 25 secondes ; deux annonces presse et des bannières sur différents sites internet et sur les réseaux sociaux ; un site internet dédié : parlons-fin-de-vie.fr ; des événements organisés partout en France par le CNSPFV dès le mois de mars. "
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N° 2583 - Proposition de résolution de Mme Véronique Besse visant à développe... - 0 views

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    "EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La question de la fin de vie se pose régulièrement. Plusieurs grandes lois ont été votées par la représentation nationale et devaient permettre de répondre aux attentes des Français. La première, en date du 9 juin 1999, vise à garantir le droit d'accès aux soins palliatifs. La deuxième, du 4 mars 2002, est relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. Enfin, la troisième loi, dite Léonetti, du 22 avril 2005, s'oppose à « l'obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie ». Seulement, les dispositions de ces lois ne sont pas toujours appliquées correctement. Dans leur récent rapport sur la fin de vie remis au Président de la République, les députés Jean Léonetti et Alain Claeys écrivent à propos de la loi Léonetti : « le constat est unanime sur sa méconnaissance par le grand public - et donc par les malades et leurs proches - et par les médecins, ce qui a pour conséquence son application très incomplète. » Cette méconnaissance a pour conséquence une répartition très inégale sur le territoire de l'offre de soins palliatifs. Aujourd'hui, seulement 20 % des patients qui pourraient en bénéficier ont accès aux soins palliatifs. Malgré trois plans triennaux de développement depuis 1999, l'offre ne répond pas à la demande. Pourtant les Français sont en réelle attente de soins palliatifs. En janvier 2011, 60 % des Français affirmaient préférer le développement des soins palliatifs à la légalisation de l'euthanasie selon un sondage réalisé par Opinion Way pour la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). Trois ans plus tard, en octobre 2014, le départ de personnes pour la Suisse afin de bénéficier d'un suicide assisté signifiait pour 92 % des Français interrogés que la loi Leonetti sur la fin de vie fonctionnait de manière insatisfaisante (sondage IF
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Ifop - Le regard des Français sur la fin de vie - 0 views

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    "Quelques jours avant la publication, le 23 octobre 2014 d'un rapport rendant compte du débat public sur la fin de vie par le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE), l'Ifop a interrogé les Français pour l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité sur les questions posées par la fin de vie. Les personnes interrogées se montrent ainsi favorables à une extension des possibilités permises par la loi Leonetti. 96% des Français jugent que la loi française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes souffrant de maladies insupportables et incurables demandant une euthanasie. La proportion de personnes souhaitant « absolument » autoriser ce droit s'élève à 54%, en hausse de 10 points par rapport à la vague précédente. Dans le détail, les sympathisants des différentes formations politiques, de gauche comme de droite, se montrent à une large majorité favorables. Les Français ne portent pas de jugement négatif sur les cas des personnes qui partent en Suisse pour bénéficier d'un suicide assisté. S'agissant de ce phénomène, 94% des interviewés déclarent le comprendre car ces personnes ont le droit de choisir la façon de finir leur propre vie, tandis que 92% considèrent que cela montre que la loi Leonetti sur la fin de vie fonctionne de manière insatisfaisante. Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, une prise de position en défaveur de la légalisation de l'euthanasie d'un candidat en lice pourrait être sanctionnée par une proportion non négligeable de personnes. 40% des Français déclarent en effet être prêts à renoncer à voter en faveur d'un candidat proche de leur sensibilité politique, mais opposé à la légalisation de l'euthanasie. "
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N° 2435 - Proposition de loi de Mme Véronique Massonneau visant à assurer aux... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI visant à assurer aux patients le respect de leur choix de fin de vie, (...) EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La loi du 22 avril 2005, relative aux droits des malades et à la fin de vie, a marqué, en France, une étape importante dans l'accompagnement des patients en fin de vie. En permettant le développement des soins palliatifs et la réduction considérable de l'acharnement thérapeutique, la France se dotait d'une première législation œuvrant pour le droit de mourir dans la dignité. Toutefois, cette loi demeure bien insuffisante. L'arrêt des soins qu'elle autorise se caractérise par l'arrêt de l'hydratation et de l'alimentation artificielle. Aussi, les conditions de décès dans lesquelles sont plongés les patients ne sont pas toujours aussi apaisées qu'ils l'auraient désiré. Aujourd'hui, l'on meurt toujours mal en France, comme le démontre l'étude MAHO (Mort à l'Hôpital), publiée en 2008, selon laquelle les soignants considèrent que seulement 35 % des décès s'y déroulent dans des conditions acceptables. La solution serait de ne pas se contenter du « laisser mourir » autorisé par la loi de 2005, mais autoriser le « faire mourir », encore prohibé. Plus de 90 % des Français sont d'ailleurs favorables à une légalisation de l'aide active à mourir. En outre, la pratique de l'euthanasie a déjà cours en France, mais d'une manière clandestine, pour répondre aux attentes légitimes de malades, de patients en fin de vie et en situation de souffrance. Il convient donc d'encadrer cette pratique afin d'éviter tout risque, tant pour le patient que pour le corps médical. La présente proposition de loi vise à assurer aux patients en fin de vie le droit de mourir dans la dignité. Cela se concrétise par l'ouverture du droit aux pratiques d'aide active à mourir, à savoir l'euthanasie et le suicide médicalement assisté, mais également par le renforcement
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Fin de vie : la Boîte à idées appelle à la vigilanceLa boîte à idées | La boî... - 0 views

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    "Si la Boîte à idées salue la volonté de renforcer le droit des patients, et en particulier la rédaction et l'accessibilité des directives anticipées, elle met en garde contre certaines ambigüités juridiques du texte de loi qui risquent de mener à une « euthanasie masquée ». La Boîte à idées appelle particulièrement à la vigilance sur les dispositions relatives à la sédation « profonde » et continue » en phase terminale. Celle-ci ne doit avoir pour objectif que de soulager la douleur. Dans le deuxième cas identifié par les rapporteurs, l'intention de l'acte de sédation n'est pas claire. En effet, s'il s'agit simplement de soulager la douleur d'une personne ayant décidé d'interrompre ses traitements, les soins palliatifs seraient adaptés à ce type de situation. En réalité, il semble que l'intention de cet acte, conjugué à la décision d'arrêt des traitements, soit d'accélérer la venue de la mort plutôt que de la laisser faire son Å“uvre. Ainsi, une personne, qui initialement ne serait pas en phase terminale d'une affection grave et incurable, verrait son pronostic vital engagé à court terme du fait de sa décision d'arrêter son traitement. Au-delà des dispositions de cette proposition de loi, la Boîte à idées invite surtout le Gouvernement à se recentrer sur les vrais sujets, l'accessibilité des soins palliatifs et la formation de l'accompagnement des personnes en fin de vie. Car pour la Boîte à idées, le vrai enjeu de la fin de vie n'est pas législatif. La Boîte à idées, premier think-tank ayant chiffré l'investissement nécessaire pour y parvenir, l'a évalué à plus de 500 millions d'euros dans son dernier rapport. Les économies liées à la lutte contre les situations d'acharnement thérapeutique et les hospitalisations d'urgence des personnes en fin de vie permettront en partie de le financer. C'est la conviction de la Boite à idées : on ne peut pas aujourdâ
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Marche pour la Vie du 19 janvier à Paris : Elle est pas belle la vie ? Oui, m... - 0 views

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    "Elle est pas belle la vie ? Oui, mais… Je ne cesse de m'émerveiller devant la beauté de l'homme, de tout homme quel que soit son âge, sa nationalité, sa couleur, sa religion. Quand je vois un nouveau-né, je m'émerveille devant la beauté de l'œuvre de Dieu et je voudrais vous inviter tous à regarder tous ceux que vous rencontrez tout au long de vos journées avec un regard d'émerveillement. Puissions-nous tous témoigner de la beauté de la vie humaine de sa conception jusqu'à son terme naturel, oui "l'homme est homme de l'utérus au sépulcre" pour reprendre les mots de Léon Bloy. Oui la vie est belle, mais à condition qu'elle ne soit pas abîmée, défigurée, bafouée comme elle l'est trop souvent aujourd'hui. Nous devons avoir le courage de dénoncer toute atteinte à la vie de l'homme quelle qu'en soit la nature ou les auteurs : l'existence du quart-monde demeure un scandale, l'élargissement du fossé nord-sud est inacceptable ; le tsunami idéologique fondé sur la pseudo "théorie du genre" qui déferle sur notre monde est tout aussi irrecevable, comme l'est toute atteinte à la vie d'un fœtus ou la mise en place d'un soi-disant droit à mourir dans la dignité."
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Élargir la PMA ? "Cela pourrait rouvrir des plaies", dit Monseigneur Pontier - 0 views

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    "L'archevêque de Marseille demande à Emmanuel Macron de ne pas "court-circuiter le temps du débat". Elizabeth Martichoux L'invité de RTL Elizabeth Martichoux Télécharger L'invité de RTL du 15 août 2017 Crédit Image : BERTRAND GUAY / AFP | Crédit Média : Jérôme Florin | Durée : 10:15 | Date : 15/08/2017 La page de l'émission Jérôme Florin Jérôme Florin Journaliste RTL Partager l'article publié le 15/08/2017 à 08:48 C'est un sujet qui revient régulièrement sur le devant de la table. Alors qu'Emmanuel Macron a promis d'élargir la procréation médicale assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Monseigneur Pontier, l'archevêque de Marseille, pense que cela pourrait "rouvrir des plaies" et entraîner de nombreuses manifestations comme ce fut le cas lors des manifestations contre le mariage pour tous. "Il y a en jeu, non seulement le désir de chacun, mais le respect de l'enfant qui est le plus fragile. En cela, nous pensons qu'il n'est pas juste de faire de l'enfant un droit", a-t-il déclaré au micro de RTL. L'archevêque de Marseille, qui est également président de la Conférence des évêques de France, appelle de ce fait à la prudence. "Il faut aller très très prudemment et ne pas court-circuiter le temps du débat", annonce-t-il assurant que "le droit à l'enfant est quelque chose d'inacceptable". La rédaction vous recommande Oise : une fête pour célébrer "la vertu" des jeunes filles fait débat 7 prêtres refoulés d'un pub : "Désolé, pas d'enterrement de vie de garçon" Le père Bertrand Chevallier, prêtre à Saumur Saint-Étienne-du-Rouvray : "L'annonce a été tellement brutale", témoigne la sœur du père Hamel Religions PMA Société Vous aimerez aussi Découvrez les offres suréquipées de la Kia cee'd, garantie 7 ans ! Kia cee'd Suréquipée Ce thérapeute défie l'industrie des régimes Ventre plat Super rapport qualite/prix pour cette chaise haute ultra fonctionnelle et t
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Documentation catholique - Plaidoyer des évêques espagnols en faveur de l'obj... - 0 views

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    "Le 25 mars 2022, la Conférence épiscopale espagnole a publié une « Note doctrinale sur l'objection de conscience », note qui avait été approuvée par les évêques membres de la Commission épiscopale pour la doctrine de la foi le 1er février et autorisée de publication par la Commission permanente de la CEE lors de sa réunion les 8-9 mars 2022. Assistant dans leur pays « à l'approbation de la loi qui permet la pratique de l'euthanasie et la considère comme un droit de la personne » - « une étape supplémentaire dans un ensemble de lois qui conduisent à laisser la vie humaine gravement sans protection » -, ainsi qu'à l'adoption de lois « inspirées par des principes anthropologiques qui absolutisent la volonté humaine », les évêques espagnols sont amenés à penser que, « même s'il est vrai que l'être humain n'a jamais eu un sens aussi fort de sa propre liberté, celle-ci sera toujours menacée par des États et des groupes de pression qui n'hésitent pas à utiliser tous les moyens pour influer sur la conscience des personnes… ». Pour eux, cette utilisation du pouvoir pour façonner la conscience morale des personnes « constitue une menace pour la liberté ». C'est pourquoi, les évêques espagnols, dans la continuité des enseignements de leur Conférence épiscopale, - « exprimés dans l'Instruction pastorale La vérité vous rendra libres » de 1990 - et conformément à la lettre de la Congrégation pour la doctrine de la foi Samaritanus bonus, qui plaide en faveur d'« une position claire et unifiée de la part des Conférences épiscopales, des Églises locales, ainsi que des communautés et institutions catholiques, afin de protéger leur droit à l'objection de conscience dans les contextes juridiques qui prévoient l'euthanasie et le suicide », ont souhaité « rappeler les principes moraux » que les catholiques se doivent de garder à l'esprit « au moment de décider d
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CNCDH - Avis complet - Avis "Mieux accompagner la fin de la vie" - 0 views

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    Adoption de l'avis "Mieux accompagner la fin de la vie à la lumière des enseignements de la crise sanitaire" (A - 2022 - 2) La crise sanitaire a rappelé les lacunes du système sanitaire et médico-social en matière d'accompagnement de la fin de la vie. Un équilibre doit être recherché entre l'approche sanitaire et les autres approches à partir des droits des personnes. Outre la revalorisation et le renforcement des métiers du soin et du lien, la CNCDH recommande de replacer la mort au centre du débat public en organisant des états généraux de la fin de la vie, afin, notamment, d'anticiper les enjeux du vieillissement. Elle recommande également de développer une culture palliative partagée, de mieux informer les personnes sur leurs droits et les dispositifs existants et de créer un répertoire national regroupant les dispositions anticipées. Elle suggère de lutter contre l'isolement social, les discriminations liées à l'âge et les inégalités en garantissant un meilleur maillage territorial favorisant les échanges en réseau entre professionnels et en multipliant les lieux de vie partagés. La CNCDH appelle enfin à mieux accompagner les aidants mais également les plus démunis tout au long du processus de fin de la vie.
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Mende - Débat sur la fin de vie, respecter la vie jusqu'au bout ! - 0 views

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    "Une consultation citoyenne est ouverte sur la fin de vie. Elle invite à envisager une évolution de la législation d'ici la fin de l'année en ouvrant une possible aide active à mourir. Que l'on parle d'aide au suicide ou d'exception d'euthanasie, les questions sont vertigineuses et les débats du « panel citoyen » ou entre nous, peu confortables. Il faudra nous positionner… Pourquoi vivre ? Pourquoi cette vie-là ? Comment, tout à la fois, respecter et servir la vie sans acharnement ? Nous n'oublions pas l'expérience toujours éprouvante du travail trépas, l'épreuve des personnes gravement malades ou handicapées, la solitude des soignants, le désarroi de certaines familles mais aussi le manque de structures appropriées. Les interrogations existentielles arrivent alors en cascade : accompagner vers la mort, mais comment ? Qui a le pouvoir sur la vie et sur la mort ? Qu'est-ce que le droit de mourir dans la dignité ? Mais alors qu'est-ce que la dignité inaliénable ? Quelles seraient les répercutions d'une exception, dépénalisation, ou légalisation de l'euthanasie ? "
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CNCDH - Communiqué de presse - Avis "Mieux accompagner la fin de vie" - 0 views

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    Adoption de l'avis "Mieux accompagner la fin de la vie à la lumière des enseignements de la crise sanitaire" (A - 2022 - 2) La crise sanitaire a rappelé les lacunes du système sanitaire et médico-social en matière d'accompagnement de la fin de la vie. Un équilibre doit être recherché entre l'approche sanitaire et les autres approches à partir des droits des personnes. Outre la revalorisation et le renforcement des métiers du soin et du lien, la CNCDH recommande de replacer la mort au centre du débat public en organisant des états généraux de la fin de la vie, afin, notamment, d'anticiper les enjeux du vieillissement. Elle recommande également de développer une culture palliative partagée, de mieux informer les personnes sur leurs droits et les dispositifs existants et de créer un répertoire national regroupant les dispositions anticipées. Elle suggère de lutter contre l'isolement social, les discriminations liées à l'âge et les inégalités en garantissant un meilleur maillage territorial favorisant les échanges en réseau entre professionnels et en multipliant les lieux de vie partagés. La CNCDH appelle enfin à mieux accompagner les aidants mais également les plus démunis tout au long du processus de fin de la vie.
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Enjeux sanitaires et éthiques des affaires « Bonnemaison » et « Lambert » : Q... - 0 views

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    "Deux décisions de justice récentes mettent en lumière des enjeux éthiques majeurs pour notre pays. Le 24 juin 2014, le Conseil d'Etat a considéré que le fait de nourrir et hydrater Vincent Lambert, lourdement handicapé et qui n'est pas en fin de vie, pouvait être considéré comme une obstination déraisonnable, et qu'il n'était donc pas illégal que son médecin mette fin à l'alimentation et l'hydratation considérées comme « artificielles ». Le 25 juin 2014, le Dr Nicolas Bonnemaison a été acquitté par un jury d'assises, alors que l'avocat général avait demandé une peine de cinq ans de prison avec sursis. Ce médecin, accusé d'empoisonnement sur sept patients âgés en fin de vie, n'a pourtant pas respecté la loi Leonetti et a précipité vers la mort ces personnes, sans aucune concertation avec le personnel médical ou les familles. Quels signes ces décisions donnent-elles à notre société, qui se trouve ainsi confrontée à des défis sans précédent sur la place des personnes les plus vulnérables ? Progressivement, une partie de la société semble légitimer l'exclusion de personnes fragiles du fait de la maladie, du grand âge ou du handicap. Il parait essentiel de s'interroger sur cette forme de « confusion compassionnelle », qui provoque des attitudes ambiguës et des décisions dangereuses d'un point de vue éthique, sanitaire et sociétal : Arrêter de nourrir et d'hydrater, dans le but de provoquer la mort d'une personne qui n'est pas en fin de vie et qui n'a pas besoin d'autres traitements, pourrait-il devenir légitime au motif que cette situation constituerait un « maintien artificiel de la vie » ? Injecter un produit à dose mortelle à un patient pourrait-il ne plus être considéré comme une euthanasie, pour devenir une façon de soulager des souffrances exprimées ou supposées ? Ces décisions remettent gravement en cause le premier des droits de l'homme, le droit
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Amiens - Samedi 28 Novembre: Ensemble, prions pour la vie - 0 views

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    Proposition pour vivre seul ou en famille le temps de prière pour la vie "Samedi 28 novembre, veille  du premier dimanche de l'Avent et en union avec  toutes les veillées pour la vie célébrées dans le monde entier,  nous vous proposons un temps de prière  seul ou en famille  pour  célébrer la vie, rendre grâce pour ce don que Dieu nous donne et  prier le Seigneur miséricordieux  pour toutes les  atteintes à la vie . L'évangile de la vie est au cœur du message de Jésus  et en cette veille d'entrée dans  l'Avent,  nous nous souvenons que Dieu s'est fait petit enfant en Jésus. Nous confions au Seigneur tout spécialement  les  parents qui attendent un enfant, ceux qui désireraient porter la vie et ceux qui souffrent d'une vie perdue."
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