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Chamila Puylaurent

Dans 20 ans, la disparition du travail ? - 1 views

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    "Le travail va disparaître. Elucubration ? Peut-être… À moins qu'il ne s'agisse d'une réalité que vous n'êtes pas obligé de regarder en face, mais dans laquelle vous vivrez en 2035. Oui, il sera dans ce cas possible de se lever plus tard le matin, voire de rester en pyjama toute la journée comme au lendemain d'un samedi de cuite. Non, ce ne sera pas forcément drôle, car ce phénomène que d'aucuns disent inexorable pourrait bouleverser, au delà de la seule vieille Europe, l'humanité toute entière. "
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    Voici des perspectives réellement inquiétante... et qui demande réflexion
Aurialie Jublin

Fitcoin, faites du sport pour de l'argent -... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Si l'activité physique des individus commence à être lucrative pour certaines entreprises, alors peut-être va-t-il falloir la considérer comme un travail". 
Aurialie Jublin

Unions 2.0 : Le syndicalisme à l'ère du numérique (suite) - Metis - 2 views

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    "Conclusion L'extension du numérique prépare-t-il un monde sans contre-pouvoirs ? C'est un danger identifié par tous les acteurs, y compris les Etats, qui cherchent à préserver leur assiette (fiscale) de la dévoration de valeurs menée par les géants de l'internet. Les organisations syndicales le pressentent : elles se trouvent confrontées au plus grand défi depuis la charte d'Amiens, qui définissait le rôle du syndicalisme comme la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs. Il est urgent de cesser d'attendre. L'enjeu est de taille. Il faut renouer avec l'ambition émancipatrice qui se trouve à l'origine d'internet. Il faut installer les mouvements sociaux et collectifs sur le Web, comme on déjà su le faire plusieurs ONG. Il faut utiliser ces technologies pour poursuivre l'aventure du syndicalisme en travaillant sur l'inclusion, l'action collective, la cohésion, le développement des biens communs."
Aurialie Jublin

Et si l'économie du partage annonçait la fin du salariat ? - 0 views

  • Bref, la société salariale serait dépassée. « N'oublions pas d'ailleurs que, jusqu'en 1930, en France mais également dans nombre de pays développés, la forme d'emploi dominante était le travail indépendant », souligne Denis Pennel. Un mode d'organisation compatible avec une grande diversité d'emplois : « Dès le XIXe siècle, il existait un grand nombre de catégories de travailleurs, mais les différences s'organisaient plus autour de métiers exercés qu'autour des statuts d'emplois.» Voilà donc le modèle défendu implicitement par les tenants de la «share eco-nomy» : une économie où chacun est son propre patron, une économie d'avant le salariat, ce mode d'organisation sociale qui semble soudain démodé.
  • Comme le relevait le sociologue Robert Castel dans son livre phare «Les métamorphoses de la question sociale, chronique du salariat», ce statut a longtemps été, jusqu'au début du XXe siècle, l'apanage d'une minorité. Et pas de la plus chanceuse : être salarié, au milieu du XIXe siècle, c'était faire partie de la lie de la société. On peine à imaginer aujourd'hui, dans notre société dominée par ce mode d'organisation sociale, tout ce que le statut de salarié pouvait avoir de dégradant, dans une France encore largement agricole, où les agriculteurs plus ou moins riches mais pour la plupart d'entre eux propriétaires, ou espérant le devenir, étaient les plus nombreux, aux côtés des artisans et bourgeois. Le salarié, c'était celui qui n'avait rien. Aucun patrimoine. Rien que ses bras. C'était donc, initialement, le prolétaire. Un prolétaire souvent en marge de la société, effrayant le bourgeois, relevant des classes dites alors «dangereuses».
  • Ce combat social-démocrate est passé surtout par la création progressive, durant la première moitié du XXe siècle, de ce que Robert Castel a appelé, après certains penseurs de la fin du XIXe siècle, la «propriété sociale». Quésaco ? Le fait d'accorder aux «travailleurs» à la situation toujours incertaine, faute de patrimoine, un certain nombre de garanties, sous forme d'assurances collectives, touchant les accidents du travail, la maladie et la vieillesse. Ces garanties constituent comme des droits de propriété acquis progressivement sur la société - on pense aux retraites, bien sûr.
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  • Comme le souligne Robert Castel, avec l'avènement de la propriété sociale, progressivement accordée aux salariés au début du XXe siècle, on assiste alors à la constitution d'un nouveau rapport salarial. Le salaire ne représentait jusqu'alors que la rétribution ponctuelle d'une tâche : la plupart des salariés étaient, en effet, payés à la tâche. La montée en puissance de la propriété sociale change cette situation. Le salaire, désormais, «assure des droits, donne accès à des prestations hors travail (maladies, accident, retraite) et permet une participation élargie à la vie sociale». En minant le salariat, devenu la caractéristique d'une économie industrielle qui serait dépassée, l'économie du partage sape les fondations de cet édifice patiemment bâti qu'est la propriété sociale.
  • en évitant toute contribution au système social, ou alors en y contribuant très faiblement, un adepte de l'économie du partage concourt à la dégradation de la situation financière des régimes sociaux. Lesquels, à force de mal se porter, finiront par être remis en cause, au détriment des salariés. La boucle sera alors bouclée.
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    "La logique de l'économie du partage, c'est celle de la fin du salariat, admettent même ses plus ardents défenseurs. Avec, pour conséquence, une impossibilité croissante de financer la protection sociale, et donc le risque de faire disparaître le modèle français de sécu"
Aurialie Jublin

Malakoff Médéric veut jouer le rôle de « coach santé » auprès des entreprises... - 0 views

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    Et si les entreprises prenaient en main la santé de leurs salariés, en leur proposant un ensemble de services clé en main, comme, par exemple trouver un rendez-vous chez un ophtalmologue en moins de trois mois, évaluer leurs risques en fonction de leur travail et de leur mode de vie, dépister les maladies graves, bénéficier d'une aide dans des situations difficiles comme le soutien d'un parent âgé, réduire le poids de leurs dépenses de soins ou bâtir des « tableaux de bord » personnalisés de santé ? Voilà la proposition de « coaching santé » qu'adresse aux entreprises de toutes tailles l'assureur complémentaire Malakoff Médéric, le groupe mutualiste paritaire dirigé par Guillaume Sarkozy, ex-patron du Medef et par ailleurs frère aîné de Nicolas Sarkozy
Aurialie Jublin

Dans les drive des supermarchés, l'exploitation des corps sous les ordres des... - 0 views

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    Derrière la multiplication des drive, service qui propose aux clients des supermarchés de faire leurs courses en ligne avant de les récupérer en voiture, se cache de nouvelles formes d'exploitation. Les travailleurs - en l'occurrence, surtout des travailleuses -, courent toute la journée pour accomplir leurs tâches sous les ordres des machines. Extraits d'une enquête de Marie Gueguen à Guichen, en Ille-et-Vilaine.
Aurialie Jublin

Amazon Is Building An App To Let Normal People Deliver Packages For Pay - 0 views

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    Amazon is apparently enlisting everyday humans in its network of endless online shopping delivery. The WSJ reports that the ecommerce giant is working on an app internally that would allow the average consumer to make a little cash by picking up Amazon packages at various retail locations and dropping them off at their final destination.
Aurialie Jublin

Ces mutuelles santé qui remboursent les objets connectés - 0 views

  • Le groupe mutualiste à l'origine de cette initiative intervient auprès de 130.000 clients d'un type particulier. Il s'agit de professionnels de santé (infirmier, médecins, dentistes, pharmaciens) que la mutuelle souhaite inciter à utiliser des objets connectés comme dispositif de prévention.Mais, ces professionnels pourraient aussi devenir d'excellents prescripteurs de ces objets connectés auprès de leur propre clientèle, les patients.Soucieux de répondre aux inquiétudes de ses adhérents, le groupe mutualiste indique qu'il n'aura accès à aucune donnée de santé liée à l'utilisation de ces objets connectés. Donc, aucun contrat modulant ses tarifs en fonction du mode de vie ou de l'état de santé des adhérents n'est possible.
  • Aucun contrat de complémentaire santé ne peut prévoir donc encore d'appliquer une modulation tarifaire en fonction des habitudes de vie ou des paramètres individuels de santé. Mais l'assurance automobile vient néanmoins de franchir le Rubicon en modulant les tarifs selon la conduite au volant. Direct Assurance (Groupe Axa) propose une formule de contrat avec boîtier connecté qui applique un système de bonus-malus en fonction du comportement routier du conducteur.
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    "Pasteur Mutualité crée un forfait de prise en charge d'objets connectés dans ses complémentaires santé.  Les mutuelles jouent officiellement la carte de la prévention."
Aurialie Jublin

(PDF) Jugement contre Uber "Les chauffeurs sont des employés" - 0 views

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    Selon un tribunal de Californie : Uber doit rembourser les frais de déplacement
Aurialie Jublin

Pour la Californie, les chauffeurs des VTC Uber sont des salariés - L'Express... - 2 views

  • Uber prétend être une "plateforme neutre d'un point de vue technologique" pour ses chauffeurs indépendants, mais c'est elle qui pose la plupart des conditions d'embauche, a fait remarquer l'auditeur de l'Etat Stephanie Barrett. Uber et ses dirigeants "sont impliqués dans chaque aspect des opérations" y compris les enquêtes menées sur les futurs chauffeurs et leur renvoi éventuel si leur évaluation s'avère trop faible, a-t-elle ajouté. Pour cette raison, Uber doit "indemniser son employé pour tout ce que l'employé dépense dans le cadre de ses fonctions". Mme Berwick avait demandé à être remboursée notamment des frais de péage. 
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    "La Californie a estimé que les chauffeurs des voitures de la société de services de transport Uber (VTC) étaient des salariés et non des travailleurs indépendants, une décision qui remet en cause le modèle économique de la start-up."
Aurialie Jublin

Et si les techno-optimistes avaient tort? | Slate.fr - 0 views

  • Tout semble plaider donc en faveur de la thèse d’une excitation démesurée de nos contemporains vis-à-vis du changement technologique, sauf que ce dernier aura néanmoins un impact très puissant sur un plan fondamental de l’organisation des sociétés, celui de l’emploi. La probabilité que les machines et algorithmes se substituent à l’emploi humain est à présent bien établie: en particulier, on sait que ces technologies détruisent de l’emploi de qualifications moyennes et faibles, quand les salariés très qualifiés ont plutôt tendance à en profiter, ce qu’on nomme le biais de compétence du changement technologique. Ce que l’investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen a résumé d’une formule lapidaire: le marché du travail va se scinder en deux parties, «les gens qui donnent des ordres aux ordinateurs et ceux à qui les ordinateurs donnent des ordres».
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    "En dépit d'une grande agitation autour du potentiel de rupture des nouvelles technologies, les gains de productivité sont-ils définitivement derrière nous?"
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