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Aurialie Jublin

Faire ses 35 heures sur quatre jours, c'est possible (et c'est bien !) - Le n... - 2 views

  • Dans les bureaux par contre, pas de poste polyvalent : le fonctionnement a été repensé en binômes et en trinômes. Chaque membre remplace l’autre, si besoin, pendant sa journée de congés.
  • Selon Susana Mendez, ce fonctionnement a contribué à changer le « travailler ensemble » : « Ça a encouragé la communication entre les salariés et, parce que chacun apprend de l’autre, ça a aussi favorisé la promotion en interne. »
  • Côté bénéfices, l’entreprise y a aussi gagné. Grâce au système de turn-over, les machines tournent 44 heures, contre 39 auparavant. Soit cinq heures de plus par semaines. « Ça nous a fait gagner en moyenne un mois de production par an, c’est énorme », estime Claude Prigent l’heureux PDG qui ne reviendrait sur sa décision pour rien au monde :
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    "Pour Yprema, il existe d'autres avantages, moins évident que le confort des salariés, à la semaine de quatre jours. Les dizaines de postes créés grâce à la Loi Robien ont facilité un système de turn-over dans tous les services : ainsi, les contrats de 35h sur quatre jours ne coûtent pas plus cher à l'employeur. Pour combler les absences de postes en postes, l'entreprise a opté pour des postes polyvalents, qui comblent les trous, sur ses sites d'exploitation. "
Chamila Puylaurent

Projets collaboratifs: l'art de bien démarrer - 0 views

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    "Deux de mes mentors, Gail et Matt Taylor, soulignent souvent l'importance des « démarrages propres ». Chaque fois que vous débutez un projet collaboratif difficile, vous devez vous attendre à ce que les choses deviennent désordonnées au milieu..."
Chamila Puylaurent

Entreprise 2.0, un nouveau cycle ? - 0 views

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    Avis d'Anthony Poncier - "Même les entreprises lancées dans le 2.0 en interne sur le mode productiviste vont devoir faire évoluer leur modèle de management et leur organisation sous la pression des médias sociaux." Les entreprises ont toujours du mal à travailler en mode collaboratif et n'y affecte pas les ressources nécessaires...
Chamila Puylaurent

Sens au travail : comment en faire un facteur de motivation ? - JDN Management - 0 views

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    "Le docteur Philippe Rodet, médecin urgentiste et membre fondateur de la commission stress de l'ANDRH, estime que le sens est la clé de la réussite, tant aux niveaux personnel que professionnel, car il est le premier facteur de motivation et de bien-être. Mais pour que le sens se traduise en motivation, il faut oser donner du sens au travail. "
Chamila Puylaurent

Pourquoi il faut rebâtir la "maison travail" - 0 views

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    "Parce que la révolution individualiste est en train de bouleverser le monde du travail et avec elle une économie de plus en plus aléatoire, il est nécessaire de repenser notre modèle social et notre façon d'appréhender nos carrières. Dans l'ouvrage « Travailler pour soi », l'auteur Denis Pennel nous invite à en comprendre les tenants et les aboutissants et propose des recommandations concrètes pour adapter nos acquis sociaux à ces nouveaux paradigmes du travail"
Aurialie Jublin

The Science Behind Your Ideal Work Environment | Fast Company - 0 views

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    "FEW PEOPLE GET THEIR BEST WORK DONE IN A DULL GRAY CUBICLE FARM OR A NOISY OPEN OFFICE. HERE'S HOW TO CREATE THE OPTIMAL WORK ENVIRONMENT WITH THE PERFECT TEMPERATURE (env. 20/21°), LIGHTING AND NOISE LEVELS (ambient noise)."
Aurialie Jublin

Comment changer le fonctionnement des entreprises - Francis Pisani - 0 views

  • Pour Dignan :« Les entreprises qui ont le plus d’impact et qui croissent le plus vite aujourd'hui utilisent un modèle d'exploitation complètement différent [du modèle hiérarchique]. »« Ce sont des machines à apprendre "maigres et méchantes" (lean and mean). »« Elles ont un parti pris intense en faveur de l'action et une réelle tolérance du risque, qui se manifeste dans l'expérimentation fréquente et l'implacable itération des produits. »« Elles bidouillent (hack) produits et services, les testent et les améliorent pendant que leurs compétiteurs qui fonctionnent comme hier (legacy competition) affinent leur PowerPoints. »
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    "Mais alors comment faut-il s'organiser ? Dignan propose différents modèles inspirés de sociétés à succès : Zappos (qui vend des chaussures et des vêtements online), Spotify qui a bouleversé la consommation de la musique et Valve, une productrice de jeux. Avec des variations, elles ont en commun de : - Chercher à distribuer autorité et autonomie en les confiant aux individus et aux équipes. - Elles permettent que la nature changeante du travail […] ait un impact sur la structure des rôles et des équipes. - Elles valorisent la transparence et la communication fluide. - Elles permettent aux individus de travailler dans plusieurs groupes. - Elles réduisent le rôle de la direction aux problèmes de stratégies exigeant une vue d'ensemble et laissent tous les autres se résoudre à la marge."
Aurialie Jublin

The Workplace of the Future - #iic13 - 0 views

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    Présentation par IBM
abrugiere

REGARDS SUR LE NUMERIQUE | Les "sans bureau fixe" à la conquête du mieux-vivr... - 1 views

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    Par le passé, les périmètres administratifs ont toujours été fixés sur des problématiques de mobilité : la commune, c'est ce qu'on parcourt à pied en une journée. Le département, c'est une journée à cheval. Avec la vitesse des transports d'aujourd'hui, ces découpages son obsolètes ! Et si en se concentrant sur le travail on pouvait améliorer tout ça ? On voit que l'organisation du travail se transforme, ainsi que son statut et sa nature même. Au-delà de sa localisation (le télétravail, les télécentres...), le travail pénètre tout, tous les temps et tous les lieux.
Aurialie Jublin

Quand former ne suffira plus : demain, l'entreprise "capacitante" - 2 views

  • Le blog de Ray Kurzweil, analysant une étude menée par Oxford, nuance : près de la moitié des emplois américains sont en effet menacés par l’automatisation (47%)… Mais attention : le chiffre annonce moins un raz-de-marée sur l’emploi qu’une transformation radicale de la nature des métiers.
  • L’automatisation étant appelé à être un phénomène exponentiel, le second terme de l’équation risque de s’avérer trop lent : la relative capacité de l’ensemble de la main-d’oeuvre à adapter ses compétences s’annonce insuffisante. La plus fondamentale des révolutions, relève l’étude, c’est ainsi moins la suppression nette d’emplois que le déplacement vers des tâches requérant de nouvelles compétences : l’intelligence sociale et créative.
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    "ANALYSE. Une étude le montre : demain, les politiques de formation ne suffiront pas à rendre les parcours professionnels plus stables. Face à ce défi de la sécurisation, l'entreprise devra aussi mobiliser la manière même dont elle organise le travail et l'ensemble de sa politique RH."
Aurialie Jublin

Etre géolocalisé par son employeur ? « Je m'en fiche, je n'ai rien à cacher »... - 1 views

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    "Comme la géolocalisation permet de connaître les consommations de carburant des véhicules, plusieurs entreprises utilisent ces données pour mettre en place une compétition entre les commerciaux. Selon Claire Alleaume, le salarié qui consomme le moins d'essence obtient une prime. L'économie se met au service de l'écologie. La volonté de contrôler l'absentéisme et les attitudes des commerciaux n'est, elle, pas mise en avant. Ni par les équipementiers de balises de géolocalisation, ni par les chefs d'entreprise. Stéphane, le commercial, n'est pas dupe de ce qu'il y a derrière les arguments marketing : « L'écoconduite ? Oui, on y était sensibilisés. Mais pour moi, ce n'est pas la raison principale. Même s'ils ne s'en vantent pas, et c'est normal, ils ont surtout utilisé la géolocalisation pour diminuer les abus. »"
Aurialie Jublin

How to Get a Job at Google - NYTimes.com - 1 views

  • “There are five hiring attributes we have across the company,” explained Bock. “If it’s a technical role, we assess your coding ability, and half the roles in the company are technical roles. For every job, though, the No. 1 thing we look for is general cognitive ability, and it’s not I.Q. It’s learning ability. It’s the ability to process on the fly. It’s the ability to pull together disparate bits of information. We assess that using structured behavioral interviews that we validate to make sure they’re predictive.”
  • The second, he added, “is leadership — in particular emergent leadership as opposed to traditional leadership.
  • What else? Humility and ownership. “It’s feeling the sense of responsibility, the sense of ownership, to step in,” he said, to try to solve any problem — and the humility to step back and embrace the better ideas of others. “Your end goal,” explained Bock, “is what can we do together to problem-solve.
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  • The least important attribute they look for is “expertise.” Said Bock: “If you take somebody who has high cognitive ability, is innately curious, willing to learn and has emergent leadership skills, and you hire them as an H.R. person or finance person, and they have no content knowledge, and you compare them with someone who’s been doing just one thing and is a world expert, the expert will go: ‘I’ve seen this 100 times before; here’s what you do.’ ” Most of the time the nonexpert will come up with the same answer, added Bock, “because most of the time it’s not that hard.”
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    Pas forcément besoin de diplôme "LAST June, in an interview with Adam Bryant of The Times, Laszlo Bock, the senior vice president of people operations for Google - i.e., the guy in charge of hiring for one of the world's most successful companies - noted that Google had determined that "G.P.A.'s are worthless as a criteria for hiring, and test scores are worthless. ... We found that they don't predict anything." He also noted that the "proportion of people without any college education at Google has increased over time" - now as high as 14 percent on some teams. At a time when many people are asking, "How's my kid gonna get a job?" I thought it would be useful to visit Google and hear how Bock would answer."
Aurialie Jublin

Breather, Like Zipcar For Workspaces, Launches In NYC | Fast Company | Business + Innov... - 0 views

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    "That wiggle room in the middle is a space that a new service called Breather hopes to occupy. The service, which launches today in New York City, works like this: Instead of paying monthly rent for a desk you use once or twice a week, the Breather app lets you duck into one of its small, cozy (and very nicely furnished) workspaces for an hourly fee. You simply pick a location on the map, reserve a space for anywhere from 30 minutes to a few hours, and unlock the door with a code on your phone. It's like an Airbnb or Zipcar for when you want to zen out, charge your phone, or sneak in a nap."
Aurialie Jublin

Recruteurs cherchent "gens bizarres", "procastinateurs" et "habitués à l'éche... - 0 views

  • Pour la sociologue Brené Brown, un “inconfortable sentiment de vulnérabilité” est aujourd’hui nécessaire pour faire du “bon travail”. Une vulnérabilité qui s’exprime parfois dans un trop-plein de perfectionnisme : la procrastination, tendance à tout remettre au lendemain, réaction d’auto-défense et d’inhibition face à la performance et la perspective de l’accomplissement d’une tâche.
  • Une autre raison, plus fondamentale, tiendrait à l’évolution même du monde du travail, de plus en plus “déstructuré“. Entendre, faisant de plus en plus appel à l’autonomie, entre un management plus horizontal, une entreprise appelée à être de plus en plus décloisonnée et la nature même des fonctions allant en se complexifiant et se recomposant en permanence. La “transformation numérique”,  enjeu d’actualité pour les entreprises qui sont en voie de répercuter les conséquences de la révolution numérique dans leurs business models et leurs organisations, nécessite ainsi la “remise en question permanente”
  • Notant qu’à Google, “la proportion de gens sans diplôme universitaire a augmenté avec le temps”, Laszlo Bock dessine un avenir du recrutement où, loin des algorithmes, les références et les qualifications ne sont pas gages de succès. L’entreprise dispose de trois critères-clés pour assurer un bon recrutement : Plus que le QI et même l’expertise, les capacités cognitives telles que la capacité à apprendre et la curiosité Le leadership, mais un leadership moderne, dit “leadership émergent”, qui correspond à la capacité critique à savoir “prendre le lead” mais aussi, lorsqu’il le faut, renoncer au pouvoir et L’humilité et la maîtrise de soi, notamment l’humilité intellectuelle et une attitude collective de “problem-solving”
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    "Google engage de moins en moins de jeunes diplômés sortis de grandes universités prestigieuses. Un signe pour l'avenir du recrutement ? La capacité à savoir échouer, nouvelle vertu cardinale dans la recherche d'emploi ? Alors que les jeunes entrepreneurs vont jusqu'à se rencontrer dans des Fuck Up Nights pour partager leurs échecs, les recruteurs semblent également de plus en plus se tourner vers ces profils aptes à "rater avec grâce"."
Aurialie Jublin

Comment les espaces de coworking deviennent des laboratoires d'innovation pour grandes ... - 2 views

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    L' intérêt des grandes entreprises pour le modèle du coworking grandit . L'attention ne se limite d'ailleurs pas aux industries de l'informatique. L 'assureur américain StateFarm, par exemple, a ouvert son propre espace de Coworking ouvert au public dans l'Illinois. A Londres, le groupe britannique de médias Pearson est partenaire de l'espace de coworking TechHub. En France, l'industrie de l'édition a investi, avec la ville de Paris, dans un espace ouvert similaire (le Labo de l'édition ) où tous les travailleurs, employés, salariés, entrepreneurs, liés de près ou de loin au monde du livre ou de l'édition, peuvent venir occasionnellement y travailler. Citons encore l'espace de coworking Fishburners, à Sydney, en Australie, soutenu par l'opérateur mobile local Optus . Mais aussi Pepsi
Aurialie Jublin

Frustrée, la jeunesse française rêve d'en découdre - 1 views

  • « Les 18-25 ans qui ont participé font voler en éclats le mythe d'une société méritocratique » : voilà le second enseignement majeur de l'enquête, à entendre les deux sociologues. Près des trois quarts (70 %) d'entre eux ont le sentiment que la société française ne leur donne pas les moyens de montrer ce dont ils sont capables. « C'est massif, et en forte progression. En 2006, ils étaient 53 % dans ce cas. »
  • D'autant que dans la sphère professionnelle non plus, les jeunes n'ont pas l'impression que leurs mérites et efforts soient récompensés. 60 % des répondants ne se croient pas payés, par exemple, à la hauteur de leurs qualifications.
  • Les jeunes valorisent d'autant plus le travail qu'il leur échappe, un quart d'entre eux connaissant le chômage. Seule une toute petite frange le rejette, envisageant de vivoter en marge du système. 81 % des répondants disent que le travail est important dans leur vie. Et pas seulement pour gagner de l'argent. La moitié déclare que travailler sert avant tout à s'épanouir. « Qu'ils soient soucieux de l'équilibre vie privée-vie professionnelle ne veut pas dire que la valeur travail se perd », commente Camille Peugny, pour qui rien n'est plus faux que les clichés sur une « génération feignasse » : « Impossible de faire une conférence sur les jeunes sans qu'un manager assure qu'à peine arrivés en entreprise, les jeunes ne s'intéressent qu'à leurs RTT. Platon déjà évoquait la décadence de la jeunesse, c'est un discours vieux comme le monde, lié au cycle de l'âge, à la difficulté à concevoir le changement apporté par les jeunes. »
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  • L'enquête Génération quoi ? fournit le plus grand échantillon d'intérimaires jamais réuni (8 000 répondants dans cette situation), et leur « souffrance » saute aux yeux des sociologues. « Il faut sortir du discours sur l'intérim choisi. Ces jeunes veulent travailler davantage, ils ont le sentiment insupportable que leur destin est aux mains des autres, que leur sort dépend d'un coup de téléphone, ce qui interdit toute projection dans l'avenir. »
  • Autre ambivalence, chez les jeunes cette fois : ils ne sont pas en conflit avec la génération parentale parce que les relations sont souples, les solidarités fortes. Mais cela ne les empêche pas d'en vouloir à leurs aînés de ne pas leur faire de place dans la société. Pour un jeune sur deux, les générations précédentes sont responsables de leurs difficultés. « C'est assez nouveau en France, et l'on peut penser que cela monte, surtout chez les étudiants, observe Cécile Van de Velde. Le problème d'équité entre générations se conscientise, sans doute du fait de la politique d'austérité, de la réforme des retraites et des débats sur le poids de la dette. Les jeunes pensent qu'ils font les frais de tout cela. »
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    "L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. A l'automne 2013, les jeunes de 18 à 34 ans étaient conviés par France Télévisions à répondre à un long questionnaire en ligne sur eux-mêmes et leur génération. 210 000 se sont pris au jeu de cette opération « Génération quoi ? ». Leurs 21 millions de réponses fournissent un matériau de recherche exceptionnel pour les deux sociologues de la jeunesse Cécile Van de Velde et Camille Peugny, maîtres de conférences respectivement à l'EHESS et à l'université Paris-VIII, qui ont contribué à concevoir le questionnaire. Ils en tirent aujourd'hui pour Le Monde les principaux enseignements, en se focalisant sur la tranche d'âge des 18-25 ans, centrale pour l'analyse."
Aurialie Jublin

15 engagements pour l'équilibre des temps de vie - Ministère Droits de la Femme - 2 views

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    15 conseils pratiques pour bien gérer les temps de vie
Aurialie Jublin

Les tiers lieux, relais de proximité pour tous les citoyens - 2 views

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    "Les tiers lieux offrent aux collectivités locales de nouvelles solutions pour attirer une économie présentielle. Elles vont devoir trouver auprès des financiers, les investissements nécessaires à l'organisation de ces tiers lieux. On sait que les financiers savent lever les investissements nécessaires à la création d'un programme portant sur une centaine de lieux d'animation. Ils sont souvent beaucoup plus prudents face aux développements de centaines de lieux dispersés. Peut on attendre des pouvoirs publics que les PTCE créent les indispensables véhicules de financement de ces tiers lieux ? La résolution de cette question réside dans la réponse attendue de petites collectivités locales dont le développement reste lié à l'attractivité qu'elles proposent à l'ESS."
Aurialie Jublin

Métiers disparus, métiers pas encore apparus - Information - France Culture - 0 views

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    "Et même, merveille de ces rapprochements, deux métiers - l'un disparu, l'autre pas encore inventé - se font échos d'une recension à l'autre. Au dix-neuvième siècle, il y avait un métier - c'était une plutôt une pratique délictueuse - consistant à déterrer des cadavres pour les revendre à des universités qui les disséquait, les pilleurs de tombes. Demain, il y aura un nouveau métier, le conseiller en funérailles numériques, celui qui vous aidera à choisir comment vous mourrez dans les réseaux : déciderez-vous qu'une page mémorial soit ouverte sur Facebook ? Voudrez-vous être enterré dans un cimetière numérique ? Ou au contraire voudrez-vous que toutes vos informations personnelles soient supprimées des réseaux pour ne pas risquer d'être la victime des nouveaux pilleurs de cadavres numériques qui séviront sur Internet?"
Aurialie Jublin

Data pioneers watching us work - FT.com - 0 views

  • Not everyone is convinced that the growing use of technology to monitor workers’ productivity offers an un­equivocal improvement, however. Teresa Amabile, a professor and director of research at Harvard Business School, says it could be “very positive” or “very negative” depending on the existing workplace culture. Monitoring can work if the teams, departments or whole offices using the software or devices have what she calls “a high degree of psychological safety”. If people feel able to experiment, potentially fail and learn from those lessons, then they can be motivated by gaining a better understanding of how they spend their days. But she warned that the technology was still in its early days and could be “too crude” an instrument to rely on. “There is definitely a danger of seeing technology as a silver bullet,” she says.
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