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Aurialie Jublin

Qu'est-ce que le nouveau « CDII » ou « CDI intermittent » ? - 1 views

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    Le CDII ou contrat à durée indéterminée intermittent est, de fait, une sorte de contrat à temps partiel annualisé : le salarié va alterner des périodes travaillées et non travaillées, et sa rémunération sera « lissée » sur l'année : comment payer quatre mois de travail en douze fois ? Il sera « ouvert » aux entreprises de moins de 50 salariés (dans un premier temps dit « expérimental »).
Aurialie Jublin

Pourquoi les entreprises ont encore peur du télétravail - 20minutes.fr - 1 views

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    Parmi les principaux freins identifiés par les experts: la peur des responsables de ressources humaines de perte du lien avec l'entreprise, mais aussi les réticences des managers de proximité à perdre le contrôle du temps de travail des salariés. Dans les PME, seulement 12,4% des salariés français bénéficiant d'au moins 8h mensuelles de télétravail contractuel, selon une étude réalisée en mai 2012 par le cabinet spécialisé Greenworking .
Aurialie Jublin

Les ressources humaines doivent-elles changer de nom ? - 0 views

  • Passée la tentation d’externaliser cette fonction de l’entreprise, l’autre solution selon lui serait de dissocier le service RH en deux : une équipe chargée de conforter les salariés dans leur travail (motivation, développement de la culture d’entreprise, bien-être…) et une autre chargée d’optimiser la composition de la force de travail pour l’entreprise (évolution des compétences en interne, recrutement, gestion du turn-over). Dans cette optique, la première équipe s’occupe des hommes et des femmes quand la seconde s’intéresse, de façon plus froide et scientifique (avec des indicateurs clés de performances), aux ressources animées de l’entreprise.
  • Faute de trouver mieux, elle préfèrerait le titre de directrice des talents humains. « Derrière l’idée de ressource, il y a la notion de quantité alors que les RH doivent mettre en avant la créativité et l’individualité des collaborateurs, au service d’un collectif », estime-t-elle.
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    "Sur LinkedIn le débat fait rage. Le post du consultant américain Bernard Marr s'interroge sur la pertinence du terme "ressources humaines". Si le premier actif d'une entreprise sont ses salariés, peut-on les considérer comme de simples ressources ?"
abrugiere

Crowdsourcing : peut-on (juridiquement) parler de travail gratuit ou pas ? - ... - 0 views

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    le crowdsourcing ("l'acte par lequel une entreprise ou une institution externalise une fonction préalablement assumée par des salariés vers un réseau indéfini et généralement large de personnes sous la forme d'un appel ouvert" d'après sa définition originale de 2006 le mouvement No!Spec sensibilise déjà le public depuis 1997 au travail spéculatif, les créatifs se sont organisés autour d'une pétition appelée "Travail Gratuit"
Chamila Puylaurent

La qualité de travail : un modèle d'avenir - 0 views

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    "La qualité de travail, perçue comme modèle d'organisation et de management, est un modèle d'avenir, adapté aux contraintes contemporaines des entreprises, et qui leur permettra d'asseoir réellement leur compétitivité sur l'accomplissement de leurs salariés."
Aurialie Jublin

Sauter sa pause déjeuner c'est offrir 16 jours de travail à son employeur - 0 views

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    Selon une étude britannique, ne pas prendre sa pause déjeuner revient à travailler gratuitement 128 heures par an. Pourtant, il est important de se reposer, fait remarquer un médecin à l'origine de l'étude. Mais les salariés se sentent trop coupables de s'arrêter de travailler.
Aurialie Jublin

Le nouvel accord Syntec sur les "forfaits jours" est une bonne nouvelle ! | Le Cercle L... - 2 views

  • L’accord reprend en grande partie, mais de manière plus précise, le forfait jour initial pour ce qui concerne les salariés et la rémunération. Surtout cet avenant met en place les gardes fous attendus et nécessaires à la protection de la santé et la sécurité des salariés de la branche. Il introduit ainsi l’obligation, pour le cadre autonome, de se déconnecter des outils de communication à distance, mis à disposition par son employeur pendant ses temps de repos. De même, si les cadres en forfait jour peuvent travailler jusqu’à 13h par jour, compte tenu du repos quotidien de 11h obligatoire, l’accord précise qu’il ne s’agit que d’un maximum et en aucun cas de la définition d’une journée normale de travail.
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    "Rappelons que le forfait jour, a été créé en l'an 2000, comme système dérogatoire des 35h, principalement pour les acteurs de l'économie numérique, archétype de l'autonomie. Ces derniers sont aujourd'hui très exposés à la multiplication des outils électroniques de communication, cela de plus en plus tard et sur des périodes quotidiennes de plus en plus longues… Il fallait donc trouver un moyen de rendre compatible ce forfait aux nouvelles habitudes de travail. Aujourd'hui très apprécié des employeurs mais aussi des cadres, le forfait jour est considéré comme une reconnaissance d'une certaine responsabilisation du cadre autonome. Concrètement, ces derniers doivent travailler 218 jours par an maximum, moyennant de pouvoir poser leurs congés quand ils le souhaitent (et le peuvent), et sont soumis à un repos hebdomadaire obligatoire de 35h (24h + 11h de repos quotidien accolé) et quotidien obligatoire de 11h."
Chamila Puylaurent

Travail nomade et contrats de projets: vers l'entreprise sans toit ni loi? - 0 views

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    "L'organisation du travail a connu depuis quarante ans des évolutions majeures, mais nous ne sommes qu'au début du chemin. Si elle veut perdurer sous sa forme actuelle et s'assurer de l'engagement de ses salariés, l'entreprise devra repartir de ce qu'ils sont réellement, c'est-à-dire des individus à la fois déliés et renouant sans cesse de nouveaux liens autour des projets successifs qu'elle leur proposera. "
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    Finalement la vraie question qui va se poser (et qui se pose déjà), c'est quelle sera la place du travail dans la vie des individus ? Comment le travail pourra t-il encore jouer le rôle de lien social ? Comment l'entreprise et les managers pourront s'adapter à ces changements ?
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le travail dans 60 ans? - L'EXPRESS - 0 views

  • Autre formule: le portage salarial, qui concilie l'indépendance du statut de consultant avec la sécurité du salariat. Les groupements d'employeurs ont le vent en poupe: ils permettent de créer des emplois à temps plein à partir de besoins à temps partiel de plusieurs entreprises. "Mais, attention, il s'agit pour l'heure de très petits volumes"
  • les groupements de coopération sanitaire (GCS), via lesquels des établissements de santé privés et publics se regroupent et se prêtent du personnel. 
  • C'est le cas aussi dans l'industrie pharmaceutique, où la recherche et développement implique de lourds investissements. Des partenariats "open" sont accessibles à des communautés de chercheurs. L'entreprise ouvre ainsi le plus largement possible le champ de ses ressources. Et des individus ou des équipes talentueux peuvent se faire remarquer, voire décrocher un contrat si la coopération aboutit. 
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  • Pour Philippe Durance, le succès des coopératives auprès des cadres quinquas s'explique par la recherche de sens et d'engagement. "Les gens veulent être indépendants et autonomes, mais pas tout seuls."
  • Demain, les actifs vont vendre, non plus leur diplôme, mais leur réseau. Plus les réseaux seront larges, nombreux et bien entretenus, et plus les gens seront efficaces. "De nombreuses formes de travail vont coexister, estime Sandra Enlart. Micro-entreprises, temps partiels de toutes sortes, contrats sur objectifs, contrats multi-employeurs, contrats multisalariat (plein-temps occupés par plusieurs personnes qui s'entendent entre elles en amont). Et la fluidité entre les différents statuts deviendra incontournable." 
  • Les entreprises auront un noyau dur de compétences et entretiendront des rapports marchands, plus souples, avec d'autres profils de travailleurs. "Chacun va devoir créer son propre emploi", explique, quant à lui, Philippe Achalme, qui plaide pour la pluriactivité, "gage de sécurité". Quant au télétravail, il sera devenu banal à un horizon relativement proche.
  • dans une dizaine d'années, le DRH n'aura plus du tout le même rôle. "Il devra gérer des communautés dans des systèmes ouverts. Dans ce contexte, l'idée du DRH qui contrôle tout avec des systèmes internes sera totalement révolue. D'autre part, il devra être capable non pas d'organiser la rétention des salariés, mais leur employabilité." 
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    "Des formes d'emploi plus souples se multiplient, davantage en phase avec les demandes des entreprises et avec la quête de sens et d'autonomie de chacun."
Aurialie Jublin

L'intégration réussie de la génération Y en pratique - 0 views

  • C'est ce qu'a analysé Augustin Paluel-Marmont, cofondateur de Michel et Augustin, : “La mise en place des 35 heures a selon moi profondément modifié le rapport entre le salarié et son job : on ne travaille plus par devoir, mais par envie et par passion.”
  • “Je remarque également que mes salariés veulent et ont un très fort niveau d’autonomie et de responsabilisation. Chacun gère son propre chantier comme son propre patron”, soulève le cofondateur de Michel et Augustin.
  • Pour appliquer ce nouveau standard, Patrice Roussel identifie 4 clefs d'ingénierie managériale, dont 3 liées au sentiment de justice, à développer pour l'arrivée des Y en entreprise et le management du changement de l'entreprise : La justice distributive, par rapport à la rémunération et aux primes équivalentes au travail fourni.La justice procédurale, qui donne le sentiment d’être traité avec des méthodes équitables et que la mise en place des procédures et décisions est juste.La justice interactionnelle, à savoir celle qui naît de la qualité du rapport entre manager de proximité et collaborateur.La culture du feedback ou la communication positive de façon plus générale
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  • La relation au manager de proximité devient primordiale dans ce cas la mais pas seulement. La mise en scène du travail l'est tout autant. Lieux informels de rencontre, déjeuners en équipe à intervalles régulières, tutoiement,... sont des caractéristiques qui permettent d'identifier l'entreprise "Y friendly" et donc de créer un climat favorable à une histoire d'amour entre l'entreprise et ses jeunes collaborateurs.
  • Je considère que ce n’est pas forcément moi qui recrute, mais le collaborateur futur qui juge si ce que nous lui offrons correspond à ce qu’il recherche.” Autant de démarches destinées à assurer non seulement une bonne entente au moment de l’entrée en entreprise, mais également une coïncidence des attentes à la fois du salarié Y et de la structure qui l’embauche."
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    Bonne nouvelle pour les membres de la génération Y, la marque alimentaire Michel et Augustin spécialisée dans les biscuits et les yaourts à boire, ainsi que le site internet leetchi.com viennent d'affirmer leur engagement "Y friendly".
Aurialie Jublin

Note de lecture de "Travail au singulier" de Patricia Vandramin- Cairn.info - 2 views

  • En sorte que le nomadisme coopératif ainsi enrichi va désigner « cette volonté et ce besoin constants de s’associer aux autres, à la fois pour réaliser l’activité professionnelle, mais aussi pour porter un projet personnel » (p. 11). Pour montrer qu’une telle façon d’envisager son rapport aux autres et au travail devient un trait majeur des sociétés occidentales contemporaines, l’auteur va chercher à identifier les formes de solidarité dominantes dans le secteur des TIC, secteur qu’elle considère comme précurseur des entreprises de demain.
  • Enfin, l’auteur précise que toute cette réflexion autour d’un nouveau type de lien social au travail (et plus généralement dans la société) se veut une aide au service des organisations syndicales, apparemment incapables de prendre l’exacte mesure des transformations à l’œuvre chez les salariés et notamment, les appartenances multiples, vécues comme librement consenties et permettant de préserver son quant-à-soi. En ce sens, le nomadisme coopératif, en rappelant que les individus ont dorénavant un sens du collectif et de l’engagement différent, constitue une aide précieuse pour réorienter l’activité syndicale : les « nouveaux salariés » aspirent autant qu’autrefois à la solidarité, mais ils l’envisagent sur le modèle du projet (partager des objectifs limités à court terme), dans lequel ils sont prêts à s’engager en sujets – sans délégation –, avec des groupes provisoires composés de salariés appartenant à des métiers et des entreprises divers (réseaux).
  • De façon complémentaire, on pourrait chercher à apprécier les proximités avec l’émergence du compagnonnage, au début du XIXe siècle en France.
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  • Comme le rappellent G. Noiriel et A. Dewerpe[3] [3] NOIRIEL, 1986 ; DEWERPE, 1989. ...suite, le compagnonnage s’est développé surtout dans les métiers artisanaux urbains ; ses membres doivent faire le tour de France pour parfaire leur formation ; ils ont à lutter contre les tendances délétères de l’individualisme, valeur prônée par la société postrévolutionnaire ; les associations qui se créent sur cette base sont ouvertes aux ouvriers de différentes professions. Ajoutons que le compagnonnage a donné naissance à des sociétés de secours mutuel cherchant, notamment, à donner des ressources aux ouvriers pour résister aux baisses de salaire.
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    Développe le concept du "nomade coopératif"/"nomadisme coopératif"
Aurialie Jublin

L'entreprise libérée, réalité ou imposture ? - 1 views

  • Première critique : l’entreprise libérée propose d’abattre un système qui n’existe presque plus ! Frederick Taylor est mort il y a un siècle (en 1915). Son modèle d’organisation scientifique du travail, fondé sur la division à l’extrême des tâches, le chronométrage, le salaire à la pièce, a fait l’objet de fortes critiques (dont par exemple, Le Travail en miettes de Georges Friedman, 1956). Dans le même temps, les relations humaines, les motivations et l’autonomie des employés commençaient à être prises en compte tant dans la théorie, comme le modèle Y de Douglas McGregor que dans la pratique.
  • Une nouvelle bureaucratie est apparue au cours des deux dernières décennies, liée à l’essor des modes de contrôle de gestion, des normes de qualité, des outils informatiques (5), mais ces nouvelles normes et directives sont imposées en large partie par des contraintes institutionnelles, comme les normes de qualité et les normes comptables. Leur suppression ne dépend pas de la seule bonne volonté de « leaders libérateurs ».
  • L’autre critique vient de François Geuze, directeur du master management des RH de Lille. Pour lui, l’entreprise libérée se situe à mi-chemin entre la « stratégie de communication et l’imposture (6) ». Il récuse l’idée que l’on puisse se débarrasser aussi aisément des « fonctions supports » comme les RH, envisagées par les hérauts de l’entreprise libérée comme de purs parasites. (« Les RH sont des parasites à l’état pur (…), ils font partie de ces sorciers devins qui sont autogénérés », affirme Jean-François Zobrist, ex-dirigeant de FAVI (7)). Mais si on supprime les DRH, jugés inutiles, qui va s’occuper de la gestion des carrières, de la formation, des conditions de travail ? Les chefs d’équipe sont-ils à même de traiter eux-mêmes les questions de formation ou d’évolution de carrière ? Pour F. Geuze, la vision caricaturale d’un encadrement qui ne sert « qu’à la prescription et au contrôle » est une façon de renforcer le pouvoir du leader « petit père des peuples ».
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  • Car la suppression du contrôleur ne veut pas dire suppression du contrôle. « La logique pernicieuse de l’entreprise libérée est qu’elle prône l’autocontrôle (…). Mais celle-ci peut bien vite glisser vers le contrôle de tout le monde par tout le monde, chacun des membres d’une équipe étant en permanence sous le contrôle de l’ensemble de ses membres. »
  • L’autre visage de FAVI Mais il existe aussi une autre version de l’histoire. Certes, les ouvriers ne pointent plus ; ils règlent eux-mêmes leur machine. Mais est-ce vraiment aussi révolutionnaire ? J.F. Zobrist n’a fait qu’introduire un type de management à la japonaise des années 1970, très largement importé dans de nombreux secteurs, avec les équipes semi-autonomes. Mais la loyauté des salariés repose aussi sur l’existence d’une norme de groupe très forte, fondée sur l’autocontrôle des salariés entre eux. Tout dissident est mis au ban, et l’omniprésence du « leader libérateur » fait songer au gourou d’une secte…
  • Quand l’automobile a connu la crise de 2008, l’entreprise s’est réorganisée et est passée de 600 salariés à moins de 400 aujourd’hui. J.F. Zobrist a donc dû se séparer de 200 personnes. Dans le même temps, la productivité a progressé au rythme de 3 % l’an, ce qui impose un rythme de travail soutenu. Les ouvriers de chez Favi doivent façonner 1 800 pièces dans la journée, ce qui est un objectif très élevé dans le secteur. La peur du chômage aurait-elle remplacé la pointeuse ? Les récits stéréotypés du leader Favi ne le disent pas.
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    "Devant tant d'enthousiasme, il n'apparaît pas inutile d'écouter quelques voix discordantes. Dans Faut-il libérer l'entreprise ? (2016), Gilles Verrier et Nicolas Bourgeois, tout en partageant les buts et méthodes (on n'interroge que les dirigeants !), prennent un peu de distance et tentent une approche un peu plus mesurée de l'entreprise libérée. D'autres sont franchement plus critiques (4). On peut résumer les critiques à trois grandes catégories."
Aurialie Jublin

Critique de Linchpin (Seth Godin) : un livre indispensable ? - ikon.fr - 1 views

  • Linchpin commence par un chapitre écrit sur un ton quasi-apocalyptique, qui dresse un constat du monde du travail assez radical. Godin fait le procès de la société actuelle qui, héritant de la révolution industrielle, valorise le conformisme, l’obéissance à l’extrême et l’oubli de soi. Autrement dit, la promesse d’un bon salaire et d’une sécurité de l’emploi en l’échange de notre consentement à devenir des rouages bien huilés dans la machine du travail. Le propos de Linchpin est d’encourager le lecteur à devenir le pivot, et non le rouage, car à l’inverse du pivot qui est indispensable au bon fonctionnement de la machine toute entière, le rouage est facilement remplaçable s’il est défaillant.
  • Un “linchpin” (une personne indispensable), nous dit Godin, est une personne capable de créer, de trouver des solutions nouvelles, d’établir des connexions fructueuses entre les individus. Plus que tout, c’est une personne qui fait son travail comme un artiste travaillerait à son oeuvre : elle y met de sa personne toute entière et sait qu’elle n’a pas le droit d’avoir peur de se mouiller.
  • un linchpin est un artiste, en ce sens qu’il fait ce qui le passionne par générosité, parce qu’il est conduit par la volonté de changer l’immobilisme ambiant. Adam Smith disait dans La Richesse des Nations que chaque individu, en cherchant son intérêt personnel, concourrait sans le savoir à servir l’intérêt général (théorie de la main invisible). Pour Godin, c’est l’inverse : le linchpin cherche d’avantage à servir l’intérêt général (celui de ses clients, de son entreprise ou même du monde entier), ce qui indirectement finit par servir son intérêt personnel (par de belles promotions).
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    Linchpin, littéralement "pivot" en français, est un livre qui diffère des précédents travaux de Godin par le fait qu'il s'adresse directement aux individus et pas aux entreprises. Le sous-titre du livre, que je traduirais grossièrement par "Etes-vous indispensable ? Comment donner à sa carrière un avenir remarquable ?" donne tout de suite le ton : Linchpin a des allures de livres de coaching. Pourtant, autant le dire tout de suite, Linchpin est un faux livre de coaching. Au contraire, dans ce livre plus personnel que les autres, Godin cherche surtout à ouvrir les yeux du lecteur sur l'opportunité (l'obligation ?) de changer son rapport au travail, et à mieux appréhender les peurs qui paralysent tout processus de changement personnel. 
Aurialie Jublin

Comment les espaces de coworking deviennent des laboratoires d'innovation pour grandes ... - 2 views

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    L' intérêt des grandes entreprises pour le modèle du coworking grandit . L'attention ne se limite d'ailleurs pas aux industries de l'informatique. L 'assureur américain StateFarm, par exemple, a ouvert son propre espace de Coworking ouvert au public dans l'Illinois. A Londres, le groupe britannique de médias Pearson est partenaire de l'espace de coworking TechHub. En France, l'industrie de l'édition a investi, avec la ville de Paris, dans un espace ouvert similaire (le Labo de l'édition ) où tous les travailleurs, employés, salariés, entrepreneurs, liés de près ou de loin au monde du livre ou de l'édition, peuvent venir occasionnellement y travailler. Citons encore l'espace de coworking Fishburners, à Sydney, en Australie, soutenu par l'opérateur mobile local Optus . Mais aussi Pepsi
Aurialie Jublin

Malakoff Médéric veut jouer le rôle de « coach santé » auprès des entreprises... - 0 views

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    Et si les entreprises prenaient en main la santé de leurs salariés, en leur proposant un ensemble de services clé en main, comme, par exemple trouver un rendez-vous chez un ophtalmologue en moins de trois mois, évaluer leurs risques en fonction de leur travail et de leur mode de vie, dépister les maladies graves, bénéficier d'une aide dans des situations difficiles comme le soutien d'un parent âgé, réduire le poids de leurs dépenses de soins ou bâtir des « tableaux de bord » personnalisés de santé ? Voilà la proposition de « coaching santé » qu'adresse aux entreprises de toutes tailles l'assureur complémentaire Malakoff Médéric, le groupe mutualiste paritaire dirigé par Guillaume Sarkozy, ex-patron du Medef et par ailleurs frère aîné de Nicolas Sarkozy
julien camacho

Mobilité et télétravail sont bons pour la productivité selon une étude de Cit... - 1 views

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    Entretien avec Sophie Vandriessche, directrice commerciale EMEA chez Citrix, qui commente l'étude 2013 Télétravail et mobilité que l'entreprise a conduite auprès de 1262 entreprises sur 3 continents. Où l'on voit que le travail flexible et la mobilité sont bons pour la productivité. Citrix vient de publier les résultats de sa 2e étude relative au Télétravail et à la mobilité en entreprise réalisée par YouGov auprès de 1262 managers et dirigeants de PME de moins de 250 salariés en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, en Australie, en Allemagne, en France et au Canada.
Aurialie Jublin

Réseaux sociaux : du business au lieu de travail, l'entreprise schizophrène ? - 0 views

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    "Les entreprises peuvent-elles vraiment considérer les réseaux sociaux comme des outils business tout en ne formant pas les salariés à leurs usages voire... en bloquant leur accès sur le lieu de travail ?"
Aurialie Jublin

Les salariés connectés: une menace sous-estimée pour l'entreprise ? - Maddyness - 0 views

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    "En France un employé sur trois envisagerait de quitter son travail si l'usage de ses propres appareils mobiles lui était refusé. Une étude européenne menée par Vanson Bourne pour la société VMware met en évidence les pressions auxquelles les entreprises européennes sont soumises concernant l'utilisation d'appareils et d'applications mobiles sur le lieu de travail."
Aurialie Jublin

The Future of Work par PSFK / Zevillage - 1 views

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    "Le site PSFK a sorti en janvier dernier un rapport de 130 pages sur les nouvelles façons dont nous travaillons et les implications pour les entreprises et les salariés. Le rapport s'organise autour de quatre tendances : force de travail idéal, réseautage spontané, développement de la culture d'entreprise et espaces de travail agiles. On trouve dans ce rapport à la fois des statistiques, des recommandations, des exemples et des interviews d'experts."
Aurialie Jublin

Le BYOD et les risques juridiques - 0 views

  • L’étude explique ainsi qu’auparavant, dans l’ère pré-BYOD, la vie privée de l’employé restait « résiduelle » vis-à-vis du matériel apporté par son patron. « Alors que dans un cadre BYOD, la vie privée devient prépondérante dans l’environnement de travail », ce qui change totalement la situation. Certes, les données qui appartiennent à l’entreprise, même sur un appareil de l’employé, restent la propriété de l’entreprise d’un point de vue juridique. Il n’y a donc pas de risque à ce niveau. Par contre, le BYOD peut entrainer des conflits au sujet du temps de travail par exemple.
  • Autre risque juridique lié au BYOD, un employé travaillant sur son propre matériel, un PC portable par exemple, pourrait avancer dans certains cas bien précis que son travail a été réalisé sur son temps personnel, et donc par conséquent que ce travail est sa propriété, et non celle de l’entreprise.
  • Du fait de cette situation, on peut ainsi bien comprendre que de nombreuses entreprises hésitent encore à se lancer dans le BYOD. En tout cas, sa généralisation totale est difficile tant cela implique un haut degré de confiance envers l’intégralité des salariés.
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    "Si les risques de sécurité sont régulièrement mis en avant dès que l'on parle de BYOD (Bring Your Own Device), les risques juridiques ont une visibilité bien moindre. C'est pourtant ce volet qui pousse de nombreuses entreprises à éviter le BYOD."
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