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Comment l'internet change le marché de l'art - Wired UK - 0 views

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    L'élargissement des publics collectionneurs se fait peut-être, hélas, au détriment de la relation entre l'artiste et ses acheteurs, estime Nathan Hurst pour Wired. Mais la vente directe, permet à l'artiste d'atteindre un public beaucoup plus large. 
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Ma vie comme robot de télétravail - WSJ.com - 0 views

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    Rachel Emma Silverman pour le WSJ a vécu la vie d'un robot de téléprésence. Cette journaliste basée à Austin, Texas, est une habituée du télétravail avec sa rédaction. Alors qu'a apporté le robot de téléprésence à sa relation avec ses collègues ? Effectivement, celui-ci a permis de nouvelles interactions avec des collègues qu'elle ne connaissait pas ou qu'elle croisait rarement. Mais le robot a aussi un plein de problèmes de déplacement et souvent, elle avait du mal à entendre les discussions (sans compter les problèmes de connexion dans certains recoins des bureaux). La nouveauté a renforcé l'intérêt, la présence. Mais au final, la rédaction a préféré investir dans des billets d'avion que dans le robot qu'ils avaient en test.  
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A Wider Circle - Neighbor-to-Neighbor Program - 0 views

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    L'association A Wider Circle s'appuie sur une cartographie collaborative pour mettre en relation des personnes nécessiteuses et des gens qui souhaitent donner ou se débarrasser d'objets devenus inutiles.
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Les profs n'aiment pas les étudiants créatifs - Alex Tabarrok, Marginal Revol... - 0 views

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    La classe n'est pas conçu pour l'expression impulsive, explique Alex Tabarrok après avoir résumé les études sur la relation de l'éducation à la créativité. Il faut dire que l'élève créatif n'est pas forcément un sujet obéissant à la dynamique de groupe...
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La ville numérique : quels enjeux pour demain ? - Métropolitiques - 0 views

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    "La ville numérique se distingue-t-elle par des formes et agencements particuliers caractérisant aussi bien son bâti que ses tissus urbains, sa voirie et ses espaces publics ? Est-elle une réalité physique tangible ? Ou bien reste-t-elle pour une bonne part virtuelle et principalement localisée dans le « cyberespace » ?" interroge Serge Wachter. Pour l'instant, force est de constater qu'ils ont peu affecté la forme physique des villes. C'est plus l'individu que la ville qui devient numérique, quand bien même les villes lancent des projets d'accès à leurs services et ressources numériques. La résistance de la ville est due à la prégnance des trames urbaines façonnées par les réseaux de voirie, même si l'impact des nouveaux moyens de communication virtuel sur l'espace urbain sont puissants et indéniables : ils affectent plus les expériences individuelles et sociales que les aménagements physiques. La ville n'est pas une fabrique, mais un jeu de relations entre flux et lieux. Néanmoins, la rue devient également une infrastructure numérique et informationnelle et les TIC deviennent une composante des démarches de design urbain. Le critique d'architecture américain, Paul Goldberger, s'en inquiète et dénonce la dissolution du lien social : le téléphone rend l'espace public moins public. "un grand défi pour le futur consistera à trouver les voies d'une articulation fructueuse et désirable entre urbanité réelle et urbanité virtuelle." Elle ouvre l'espace à une "architecture spectacle", à un jeu entre l'individu et son environnement qui agit sur les ambiances, la lumière, l'acoustique, la sensualité...
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Défendons un partage non-marchand des oeuvres ! - LeMonde.fr - 0 views

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    Philippe Aigrain et Gaëlle Krikorian dénoncent les relations malsaines entre industrie culturelle et politique qui visent à sanctuariser les profits des multinationales du divertissement, alors qu'organisations citoyennes et chercheurs proposent depuis longtemps un nouveau pacte social entre créateurs et citoyens, sans qu'elles ne rencontrent jamais d'échos dans les soit disant procédures de consultations ouvertes. "Les pressions de l'industrie culturelle doivent cesser et le débat démocratique être remis au coeur du processus".
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La censure est inséparable de la surveillance - The Guardian - 0 views

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    Il n'y a pas de censure en ligne sans intrusion au coeur de nos libertés personnelles, explique Cory Doctorow. Le problème, c'est que dans le domaine de la vie privée, comme dans la santé, nous ne voyons pas toujours les relations entre les causes et les effets. A quand des programmes d'éducation (et de régulation) à la vie privée, comme on en trouve dans la santé ?
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Future of the City - Urban Times - 0 views

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    Urban Times consacre un dossier à l'avenir des relations entre la ville et ses habitants, et comment la technologies sera intégré à notre environnement quotidien, via des articles, des vidéos et des images (de Frog Design), plutôt étonnantes. A compléter par les propositions de Workshop de Frog Design : http://designmind.frogdesign.com/blog/envisioning-the-city-of-the-future.html
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Les ecrans rendent-ils idiots ? - Sciences Humaines - 0 views

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    Rémi Sussan revient sur les relations entre nos écrans et notre intelligence et dénonce la confusion entre corrélation et causalité. Si l'usage des médias a un impact sur le cerveau, il est plus difficile d'affirmer son important ou d'évaluer ses effets positifs ou négatifs.
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Méditer sur le Quantified Self - Cyborgology - 0 views

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    Whitney Erin Boesel était à la 2nde édition de la conférence Quantified Self qui se tenait récemment en Californie. Alors que l'année dernière la question était surtout de savoir que faire des données personnelles collectées, cette année, selon elle, la question était plutôt de savoir quelle information compte. Larry Smarr qui a découvert sa maladie de Crohn avant ses médecins affirme qu'il ne faut croire ni les livres, ni les docteurs, ni même nos sentiments, mais seulement ce que l'on mesure. Pour lui, les docteurs ne devraient pas nous demander comment l'on se sent, mais nous demander nos données ! Un autre thème de cette édition était la méditation, c'est-à-dire le fait qu'on devienne attentif à soi, comme un bénéfice encore plus important que les données recueillies. Yuri van Geeest posait également une autre question intéressante en évoquant l'ajout de GPS à nos sens : "si nous externalisons notre attention dans la techno, risque-t-on de perdre notre intuition ?" Pas nécessairement. Une femme a même expliqué qu'elle était plus sensible à sa période d'ovulation depuis qu'elle suivait un accompagnement médical pour avoir un enfant. Pire, raconte-t-elle, elle est plus consciente de cette période que les outils techniques sensés les prédire. Pour elle, la technologie n'a pas diminué son intuition, mais est venu interféré dans ses relations avec le corps médical : ceux-ci faisant plus confiance à la technologie qu'à l'intuition de leur patiente ! Pour Kevin Kelly, seule l'information qui peut être quantifiée peut-être partagée avec les autres. Mais c'est oublier que les données qualitatives et les observations peuvent l'être également. "La facilité ou la difficulté à partager des données avec d'autres personnes n'est pas une propriété inhérentes aux types de données, c'est une fonction sociale et culturelle sur les types d'information qu'on juge utile ou digne de foi". La difficulté à partager nos donnÃ
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Secoués par le changement - Technology Review - 0 views

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    La technologie réalise-t-elle le progrès ou l'apocalypse ? Peter Dizikes revient sur plusieurs livres récemment publiés sur le sujet de l'impact des technologies... Et nous rappelle que Robert Louis Stevenson s'était exilé dans les Samoa, où il est mort, consterné par les conséquences sociales de la technologie dont il a été témoin lors de ses voyages, notamment la destruction des cultures du Pacifique. Dans "Le triomphe de l'empire humain", Rosalind Williams étudie l'ambivalence de la relation à la technologie de Verne, Stevenson et William Morris. Verne a répondu à son anxiété par l'écriture de fiction où la technologie libère les gens pour explorer le monde. Tous ont expérimenté le changement technologique comme une érosion de leur monde. Ils montrent bien que les deux visions coexistent en nous.
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L'essor du prêt solidaire entre particuliers comble un vide bancaire - LeMond... - 0 views

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    Après le financement participatif, voici le prêt solidaire, qui met en relation prêteurs et emprunteurs. "Les prêteurs solidaires avancent en moyenne 200 euros par personne, pour des prêts moyens de 7 000 euros, ce qui représente 30 à 40 contributeurs par projet. Le taux de non remboursement des avances est très faible. Le taux d'échec est quatre fois inférieur à celui rencontré par le secteur bancaire traditionnel. Les emprunteurs jouant leur réputation auprès de leurs connaissances, ils mettent un point d'honneur à rendre la somme prêtée."
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Les collectifs numériques, source d'imaginaire politique - Millenaire3 - 1 views

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    Pour Valérie Peugeot, on ne peut qu'être frappé par la conjonction temporelle de deux ruptures, d'une part l'économie industrielle qui doit se réinventer à l'ère informationnelle par une mutation qui se fait dans la douleur, d'autre part, celle d'une action politique bloquée. L'imaginaire et l'inventivité politique et économique a changé de camp. Et c'est aujourd'hui dans la proximité qu'elles se construisent, autour d'une société contributive émergente... Cette société contributive, cette innovation sociale prend aujourd'hui 4 grandes formes : la première est celle des structures délégatives qui résistent aux nouvelles formes de distribution de pouvoir, ce sont les associations instituées de ce secteur. La seconde est celle des innovateurs sociaux et citoyens qui placent le numérique et la construction du bien commun au coeur de leur activité. La troisième est également digital by desin, mais son identité est radicalement différente : ce sont les acteurs de l'économie collaborative, qui promeuvent des valeurs de partage et d'appropriation (sans se les appliquer nécessairement à eux-mêmes). Le dernier groupe est constitué des acteurs de l'économie sociale et solidaire traditionnelle. Ces collectifs ne sont pas sans tensions. la première n'est pas entre le marchand et le non marchand. L'économie sociale et solidaire a toujours été dans un entre deux. Mais elle est entre les régimes de propriété, entre régime de propriété et biens communs. La seconde ligne de tension tient à la relation que ces innovateurs entretiennent avec les acteurs publics. Pour certains, l'innovation sociale est un moyen de se substituer à la puissance publique défaillante, pour d'autres, elle participe à de nouvelles formes de partenariats. Mais, si l'acteur public initie quelques rares soutiens, ceux-ci peinent à passer à l'échelle, à devenir "politique publique" à part entière et plus encore à essaimer et mailler les territoires.
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U&I - Les couples admettent que leur relation et leur communication peuvent ê... - 0 views

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    U&I - http://www.uandi.fr/fr/ - une application pour aider les couples à s'aimer durablement... La psychologie positive quantifiée...
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Moins d'innovation, plus d'inégalités - NYTimes.com - 0 views

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    Pour le prix Nobel d'économie Edmund Phelps, directeur du Centre sur le capitalisme et la société de l'université de Columbia - http://capitalism.columbia.edu - la relation entre l'inégalité et l'innovation n'est pas celle que l'on croît. Depuis les années 70, l'innovation américaine n'est pas au beau fixe, hormis dans quelques secteurs (Silicon Valley, biotechnologies, énergie renouvelable...) et depuis les années 70, les écarts de salaires entre les plus démunis et les plus avantagé n'a cessé de se creuser. Pour Phelps, il faut réintroduire de l'innovation partout, pas par des grands programmes, mais par une réforme du secteur financier et des entreprises afin de les inciter à ne pas regarder une rentabilité à court terme
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Bienvenue à GoogleTown - The Verge - 0 views

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    Sean Hollister, pour The Verge, nous explique comment Mountain View est en train de devenir la propriété de Google. Google vient de signer un accord pour avoir son propre aéroport à proximité du GooglePlex. En 1999, quand Google a emménagé à Mountain View, au 2400 Bayshore Parkway, il n'avait que 50 employés. 15 ans plus tard, il est le plus gros employeur de la ville (malgré la présence de Microsoft, Symantec ou LinkedIn). En 2013, Google emploie 9,7 % de la main d'oeuvre (11332 personnes en juin 2013) de la ville et possède 10,7% des biens imposables. Google représente 1/10e de Mountain View. Google prévoit de s'étendre pour accueillir 24 000 employés prochainement. Seulement 1/3 bénéficie de ses autobus privés pour venir au travail. Le Nord de Mountain View est saturé par la circulation et les parkings. Le conseil municipal s'est plusieurs fois opposé aux ambitions de Google pour construire des logements, un hôtel voir même certains agrandissements. Face à l'extension de Google, le transport et l'environnement sont devenus désormais les principales préoccupations du Conseil municipal. Visiblement, les relations ne sont pas au beau fixe. Certains conseillers municipaux s'alarment que Moutain View ne devienne Googleville.
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La bêtise connective - HuffingtonPost.fr - 0 views

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    Pour le philosophe Vincent Cespedes, auteur de "L'ambition ou l'épopée de soi", la France ne traverse pas une crise conjoncturelle, mais un problème psychobureautique, pour faire référence aux travaux du sociologue américain Robert King Merton. Il s'agit d'une tendance à sacraliser les règles. "A force d'exiger des salariés et des fonctionnaires de se conformer le plus strictement possible aux prescriptions de leur poste, on leur inculque un attachement viscéral aux règles, bien au-delà de la simple adhésion pragmatique. On érige ainsi la psychorigidité au rang des vertus organisationnelles, faisant passer l'application du règlement au-dessus de l'intérêt des clients et des prestataires eux-mêmes. Prudence, méthode et discipline deviennent de véritables handicaps, qui interdisent l'adaptation à la nouveauté et l'agilité procédurale. Conséquences de cette surconformité acquise : une intériorisation des règles (devenues fins en soi et non plus moyens pour atteindre des buts); une diminution des relations interindividuelles; une attitude soumise et passive qui fait fi -- souvent sous le mode de la frustration -- de toute autonomie et de toute créativité." L'intelligence connective, elle, est mue par deux pulsions antagonistes, mais trouvant une émulation prodigieuse grâce aux nouvelles technologies : le désir de liberté et le désir de communauté. Le but devient alors de viser un idéal commun et d'en tirer un plaisir maximal. Pour le philosophe, c'est ce qui explique qu'un vaste marché aux causes et jouissance se soit ouvert sur la toile, composé d'extrémismes de tout poils et d'ayatollahs du dimanche. Pour le philosophe, la grande responsable est l'école, qui continue de faire de la sélection par l'obéissance inconditionnelle aux règles.
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L'ethnographie des technologues - Ethnography Matters - 0 views

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    Nick Seaver, ethnologue chez Intel, explore la façon dont les gens imaginent et négocient la relation entre les domaines culturels et techniques. Dans ce cadre, il s'est particulièrement intéressé aux développeurs, et notamment à ceux qui construisent des systèmes de recommandation musicales, comme Pandora, Spotify, Songza ou Beats Music. Comment les développeurs suggèrent des matériaux d'écoute aux utilisateurs en utilisant données, algorithmes et recommandations humaines. Si l'ethnographie est un excellent outil pour montrer combien les utilisateurs sont plus compliqués qu'on pourrait le penser, il est également un outil utile pour comprendre les processus par lesquels la technologie se construit et mieux comprendre les algorithmes ou les Big Data se construisent. Et Nick Seaver d'observer comment ces entreprises catégorisent les utilisateurs, selon une typologie populaire, celle de David Jennings, qui distingue les utilisateurs en savants (7%), enthousiastes (21%), occasionnels (32%) et indifférents (40%). Cette distinction pose un problème de fond, car bien souvent, les développeurs qui travaillent dans ces sociétés sont surtout un public de spécialistes de la musique, alors que les utilisateurs sont principalement occasionnels ou indifférents et donc abordent la musique d'une manière forcément très différente des experts. Le risque, bien sûr, est que les savants construisent des systèmes qui répondent à leur propres intérêts et à leurs propres idées sur la musique, négligeant les autres types d'utilisateurs. Le regard ethnographique pourrait permettre de construire des expériences qui aillent au-delà de variables trop simplistes comme : quel prix payer ? Combien de clics avant d'arriver au morceau que je souhaite écouter ?... Quelles sont les idées préconçues sur la culture des développeurs ? Quelles expériences veulent-ils créer dans les systèmes qu'ils construisent ? L'ethnographie des technologues permet de const
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Ce que vous croyez savoir sur le web est faux - TIME.com - 0 views

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    Pour Tony Haile, président de Chartbeat - https://chartbeat.com - une société spécialisée dans l'analyse des données notamment pour des sociétés qui proposent des contenus en ligne, comme Time.com, nous confondons un peu tout sur le web. Nous confondons ce sur quoi les gens cliquent et ce qu'ils lisent. Nous confondons le partage et la lecture. Depuis 1994 et les travaux de Ken McCarthy, le clic est devenu la mesure de la performance de l'annonce en ligne et a permis de bâtir d'énormes entreprises comme Google. Mais il a eut des effets secondaires malheureux comme le spam. Or, si le web a changé en 20 ans, le clic demeure son principal moteur. Reste que la tendance à la baisse du taux de clic invite les médias à s'adapter. Ils ne cherchent plus tant à vous faire cliquer qu'a conserver votre attention. Bienvenue à l'ère du web de l'attention ! Et Tony Haile de démonter les mythes du web. Non, nous ne lisons pas tout ce sur quoi l'on clique. 55% des gens qui cliquent sur une page y restent moins de 15 secondes. Une réalité dont les médias devraient activement se préoccuper. En fait, les sujets les plus cliqués ne correspondent que rarement aux sujets qui ont reçu le plus haut niveau d'attention par page vue. Or, quand on parvient à retenir l'attention d'un visiteur 3 minutes, ceux-ci sont deux fois plus susceptibles de revenir que si vous ne retenez leur attention que pendant une minute ! Et le public le plus précieux est celui qui revient. Second mythe : plus nous partageons, plus nous lisons. Bien sûr, plus un article est socialement partagé, plus il est susceptible d'obtenir du trafic. Mais les gens qui partagent du contenu ne sont qu'une petite fraction de ceux qui visitent le contenu. En moyenne, estime Tony Haile, on compte 1 tweet et 8 like pour 100 visiteurs. Sur 10 000 articles partagés, Chartbeat a constaté qu'il n'y avait pas de relation entre le partage et l'attention. Les articles sur lesquels les gens s'attardent le plus ne
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Paye pour exister ! - Le dernier blog - 0 views

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    Google et Facebook réintroduisent de la hiérarchie dans le réseau Internet qui s'est toujours caractérisé par l'égalité entre les personnes qui y sont connectées, en faisant payer la visibilité des commentaires ou la possibilité d'adresser des messages directs à des gens avec qui nous ne sommes pas en relation. Le pouvoir que nous accordons aux plates-formes continue de se retourner contre nous à mesure qu'ils sont en situation de monopole et nous en situation de dépendance.
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