Skip to main content

Home/ InternetActu/ Group items tagged temps

Rss Feed Group items tagged

hubert guillaud

Pourquoi les Big data ne sont pas la réalité - NYTimes.com - 0 views

  •  
    Pour Kate Crawford, qui détruit 6 mythes des Big Data : "Nous avons besoin de penser comment nous naviguerons dans ces systèmes. Pas tant individuellement qu'en temps que société".
hubert guillaud

Pour faire des économies, fermons la cour des comptes | Classe éco | Francetv... - 0 views

  •  
    On connait le schéma : les rapports (même excellents) sont enterrés par les suivants sans que rien ne se passe. En fait, rappelle Alexandre Delaigue, le problème des rapports est d'apporter des solutions simples à des problèmes parfois plus complexes, ils proposent une explication d'un phénomène par des mesures qui ne sont pas toujours adaptées. "Mesurer le résultat de mesures globales est un défi considérable. Tout le monde loue aujourd'hui le "modèle finlandais" d'éducation, mais oublie que les performances de la Finlande ont été très moyennes jusqu'à la fin des années 90. Les spécialistes considèrent aujourd'hui que les performances résultent de mesures commencées il y a parfois 50 ans. On est bien loin du temps du politique." Dans l'industrie phamarceutique, on procède par l'expérimentation aléatoire pour savoir si un médicament est utile ou non. La procédure expérimentale présente un potentiel énome pour améliorer les politiques estime Jim Manzi dans "Uncontrolled suprising trial". Pourrait-on appliquer une logique expérimentale à l'école ? L'essai sur les internats d'excellence en France a montré ses limites. "Comme le montre Manzi, l'expérimentation apprend la modestie. Elle conduit à constater qu'il est très difficile d'obtenir de vraies améliorations, que les vrais progrès sont incrémentaux : les grands bonds en avant, le plus souvent, n'existent pas." "A force de répéter ce processus - rapport, discussion, décision, absence de résultat, nouveau rapport - on finira peut-être par comprendre que l'on ne s'y prend peut-être pas très bien pour améliorer nos politiques publiques."
hubert guillaud

Mondes sociaux - Comprendre les réseaux personnels - 0 views

  •  
    "On sait que leur taille varie selon le critère que l'on se donne pour les délimiter : en moyenne, nous « connaissons » quelques milliers de personnes par leur nom, nous pourrions mobiliser une ou deux centaines de personnes pour nous présenter à quelqu'un que nous ne connaissons pas, nous échangeons régulièrement avec une trentaine de personnes et nous ne faisons des confidences qu'à trois ou quatre proches. La plupart des études de réseaux personnels portent sur les relations les plus régulières (20 à 50 personnes selon les méthodes d'enquêtes utilisées). Que nous apprennent-elles ? Elles permettent d'abord de savoir que les réseaux ont une structure spatiale. Alors même que l'on peut entretenir des liens forts avec des personnes à l'autre bout du monde, entre deux tiers et trois quart des personnes avec lesquelles nous sommes en relation résident dans la même aire urbaine. Beaucoup de ces relations sont fragiles : elles disparaissent ou s'endorment lorsque nous partons nous installer ailleurs. Seuls les liens forts (famille, amis proches) résistent. Les relations locales se recréent au fil du temps et il faut environ deux ans pour reconstituer un réseau local similaire à celui de personnes installées depuis longtemps. Constitué de nouveaux liens, ce réseau présente une structure semblable au réseau antérieur." Les études de réseaux personnels permettent aussi de comprendre que les relations ne naissent pas par hasard : la plupart se construisent dans des contextes collectifs (famille, études, travail…) ou concernent des personnes qui nous sont présentées par une connaissance. On sait aussi que la taille des réseaux varie avec le niveau social : plus on est favorisé par l'éducation ou le revenu, plus on a de relations. Ces relations sont en outre marquées par une homophilie assez forte : on fréquente davantage ceux qui nous ressemblent par l'âge, le niveau d'études, le genre… Si l'on cumule
hubert guillaud

Ask.fm affole les ados en quête de cyber-frissons - LeMonde.fr - 0 views

  •  
    Ce réseau social, le plus underground du  moment, connaît un succès fulgurant : 1,3  million de Français, dont la moitié sont âgés de  moins de 17 ans selon Médiamétrie, sont allés y  faire un tour en mars, soit quatre fois plus  qu'en octobre 2012. C'est déjà le troisième  réseau social en temps passé (trois quarts  d'heure par mois) en France, derrière Twitter (1  heure) et Facebook (5 heures).  Lancé à Riga (Lettonie) en juin 2010, Ask.fm  affiche un principe simple : "Les personnes  communiquent entre elles principalement en  posant et en répondant à des questions",  explique le cofondateur Mark Terebin.  Même si la majorité des messages publiés  parlent musique, flirt et copinage, "pour chaque  membre, le nombre de réponses reçues est  comptabilisé, et un classement est publié,  explique Pascale Garreau, responsable du  programme Internet sans crainte. Il faut donc  faire du trash pour être remarqué et générer  des réponses."
hubert guillaud

Le cerveau quantifié d'un neuroscientifique - Technology Review - 1 views

  •  
    Russell Poldrack - http://www.poldracklab.org/people/ - neuroscientifique à l'université du Texas à Austin mesure son humeur et ce qu'il mange. Deux fois par semaine, il scanne son cerveau dans IRM et une fois par semaine son sang. Le but de cette étude de soi - http://myconnectome.org/wp/ - : comprendre comment les réseaux de neurones se comportent et se transforme dans le temps et comment notre alimentation a un impact sur eux. 
hubert guillaud

Ma triste réalité tech : vous ne pouvez faire confiance à personne - The Regi... - 0 views

  •  
    Pour Trevor Pott, tout les outils sur lesquels nous travaillons chaque jour sont construits par quelqu'un d'autre. Ce qui nécessite d'avoir confiance dans les instruments que nous utilisons quotidiennement. Prenons l'exemple des mots de passe pour s'authentifier sur un service. Nous savons tous qu'ils craignent. Nous continuons à utiliser des mots de passe facile à se remémorer et donc facile à craquer, même si on nous a 1000 fois répéter le contraire. L'usage du double facteur d'identification est certes à la hausse, mais il pose un vrai problème d'arbitrage entre la sécurité et l'usabilité. Chaque jour nous ouvrons des centaines de sessions, nous connectons à nombre de réseaux, plusieurs fois, ce qui nécessite d'entrer et reentrer des dizaines de fois nos mots de passe. Si nous devions passer à l'authentification à double facteur cela nous prendrait deux fois plus de temps. Cela s'annonce insoutenable. L'autre alternative est donc un gestionnaire de mots de passe.  Il en existe de deux types : ceux qui sont installés sur votre système local et ceux qui stockent vos données sur un système distant. Mais nous avons désormais plusieurs machines, ce qui rend obsolète le gestionnaire local. La seule solution est donc dans le système distant. Je peux donc utiliser un service dans les nuages comme LastPass - https://lastpass.com : il vous suffit alors de vous souvenir d'un seul mot de passe (celui de lastpass) pour que vos outils accèdent à tous vos services. La seconde option consiste à créer un lastpass que vous hébergez sur un serveur qui vous appartient, mais aucun logiciel qui permette cela n'est au niveau, notamment en terme de facilité d'utilisation. Ces 2 options posent chacune un problème. Le magasin central des mots de passe de LastPass doit être particulièrement protégé, même s'il utilise une technologie de cryptage efficace. Ce que montre le cas de l'affaire Prism de la NSA c'est que le gouvernement pourrait avoir accè
hubert guillaud

Glenn Greenwald, le blogueur qui défie Big Brother | Rue89 - 0 views

  •  
    "La façon dont les choses sont censées fonctionner est la suivante. Nous sommes censés à peu près tout savoir d'eux : c'est pour cela qu'on parle de service public. Eux sont censés à peu près ne rien savoir de ce que nous faisons : c'est pour cela qu'on nous appelle des individus privés. Cette dynamique, la base d'une société saine et libre, a été inversée de manière radicale. Maintenant, ils savent tout de ce que nous faisons, et construisent sans cesse des systèmes pour en savoir plus. Pendant ce temps, nous en savons de moins en moins sur ce qu'ils font, puisqu'ils construisent des murs de sécurité derrière lesquels ils travaillent. C'est ce déséquilibre qui doit prendre fin. Aucune démocratie ne peut être saine et efficace si les actions les plus importantes de ceux qui détiennent le pouvoir politique restent totalement inconnues de ceux auxquels ils sont censés rendre des comptes."
hubert guillaud

Pour les ressources humaines, le Big Data pourrait ne pas être un tel Big dea... - 0 views

  •  
    Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce qui fonctionne chez
hubert guillaud

Comment échoue la logique du rien à cacher - Zephoria - 0 views

  •  
    Chaque mois d'avril, danah boyd, comme bien de ses concitoyens, doit remplir sa déclaration d'impôt. Comme chacun d'entre nous elle le fait au mieux, tente de ne rien oublier... Et pourtant, si l'organisme des impôts américain décidait de faire un contrôle, ils trouveraient certainement quelque chose : oubli, erreur de calcul, etc. "La possibilité d'un contrôle est donc intimidant et effrayant, non pas parce que j'ai quelque chose à cacher, mais parce que prouver qu'on est innocent prend du temps, de l'argent, des efforts et de l'émotion." Et c'est justement ce qui lui arrive en ce moment, suite à un déménagement. Et il est difficile de rassembler des documents qui le prouve. Si le gouvernement utilisaient les données de son opérateur téléphonique, il pourrait le voir pourtant. Mais le gouvernement via Prism utilise les données pour créer de la suspicion, pas pour confirmer l'innocence des gens. Le cadre de la présomption d'innocence est important pour les libertés civiles, même si cela signifie que certains criminels échapperont à la justice. Ces cadres demandes aux gouvernements de prouver que quelqu'un a fait quelque chose de mal. Parce qu'il est facile de susciter des soupçons. Malgré cette protection, chaque année, des innocents sont condamnés à la prison et parfois même condamnés à la peine de mort. Si quelqu'un à intérêt à vous déclarer coupable, alors il peut d'autant plus facilement peindre ce portrait de vous s'il a suffisamment de données. Les gens se sentent souvent à l'abri de la surveillance de l'Etat parce qu'ils n'ont rien fait de mal. Et pourtant, si vous rencontré les auteurs de l'attentat de Boston, peut-être serez vous soupçonnés, poursuivis par les médias, comme on l'a vu durant cette affaire. La société génère des soupçons sur ceux qui ne lui ressemble pas : pauvres, étrangers, ou ceux qui ont une fois différente... Ceux qui ne sont pas comme nous sont suspects et cela renforce le désir de les
hubert guillaud

Ne pas lâcher le PRISM pour l'ombre - Affordance.info - 0 views

  •  
    Olivier Ertzscheid revient sur Prism et les révélations d'Edward Snowden sur les écoutes dont nous sommes les victimes. Une affaire qui pointe l'impasse dans laquelle nous conduit l'idéologie de la transparence. Pour Olivier Ertzscheid, le contrôle des Etats a toujours existé. Son renforcement et son omniprésence est à la fois conjoncturelle (nous avons accès à des tonnes de données plus facilement) et structurelle (il est le pendant de la perte de contrôle sur la société). A la question politique du contrôle s'ajoute celle, plus éthique, de la bienveillance. Dans une société au sein de laquelle l'essentiel des écosystèmes informationnels sont consubstantiellement des dispositifs de sur-veillance qui instrumentalisent à leur seul profit des logiques de sous-veillance, la question de la bienveillance dans le pilotage desdits systèmes doit être posée avec force et détermination. Il n'est plus temps de se perdre en conjectures sur la capacité desdits acteurs ou systèmes à réguler eux-mêmes l'empathie ou le respect de la vie "privée" dont ils pourraient nous donner gage.
hubert guillaud

A quoi servent les tablettes à l'école ? - LeMonde.fr - 1 views

  •  
    "Alors que Vincent Peillon tentera une nouvelle fois, le 10 juin, de convaincre qu'il lance bien plus que le énième "plan numérique", les conseils généraux, eux, continuent leur distribution de machines aux collégiens. Comme hier ils offraient un dictionnaire ou une calculatrice !" Mais, rappellent les études internationales, équiper un enfant d'un ordinateur personnel n'augmente pas sa réussite scolaire estime une étude du National Bureau of Economic Research américain : http://www.nber.org/papers/w19060 Pour les chercheurs, l'Etat doit faire preuve de prudence et être réaliste quant à l'efficacité des politiques visant à réduire l'écart numérique entre élèves des familles favorisées et les autres. L'étude, après distribution d'ordinateurs à 1123 enfants sur deux ans n'a observé aucun effet sur les notes des élèves. L'étude montre que les enfants ont passé un peu plus de temps sur leurs devoirs que ceux privés de matériel, mais pas assez pour que cela ait un impact. Ceux qui n'ont pas bénéficié d'ordinateurs ont passé en moyenne 4,2 heures sur un écran pour jouer ou communiquer, ceux qui en ont eut un y ont passé 2h30 de plus chaque semaine. "L'ordinateur n'est pas un outil d'approfondissement du travail ni un outil de culture". Les inspecteurs généraux qui ont analysé les effets en France du plan "Un collégien, un ordinateur portable" du département des Landes ont fait la même observation. Reste à savoir si ceux deux heures de plus à surfer, jouer ou communiquer sont finalement bénéfiques autrement pour les enfants ? 
hubert guillaud

Daniel Suarez : les robots tueurs, avenir de la guerre, cauchemar pour l'huma... - 0 views

  •  
    A Ted, l'écrivain de SF Daniel Suarez en a appelé a une mobilisation internationale contre les drones de combats et à un traité international contre leur prolifération. Selon lui, il faut renoncer à ce le fantasme d'une guerre d'automates et créer un système immunitaire autour de la société civile. Les outils sont à portée de main : une plaque d'identification cryptolographique sur chaque drone créé, une carte en temps réel indiquant la présence de drones, des drones « civiques » susceptibles de prévenir les individus quand ils sont tracés. 
hubert guillaud

APICulture et DataCulture à la lumière du facteur temps - Christian Fauré - 0 views

  •  
    Pour l'ingénieur et philosophe Christian Fauré on ne doit pas publier de données sans qu'elles soient qualifiées et de qualité, comme l'a trop fait l'open data. Les données doivent avoir des fonctions d'écriture pour être enrichies et les infrastructure techniques qui les accueillent doivent être de qualité.
hubert guillaud

25 technologies que toute Smart City doit avoir - Mashable - 1 views

  •  
    Mashable liste 25 technologies urbaines : systèmes de partages de vélos, panneaux solaires, stations pour charger ses appareils, systèmes de contrôle du temps, applications pour gérer le trafic routier, initiatives open data, applications de parkings, applications pour favoriser la propreté, city guide, wifi... 
hubert guillaud

La "classe à l'envers", petite révolution pédagogique au Canada - Le Nouvel O... - 0 views

  •  
    "A Moncton, une institutrice a décidé de donner ses cours sur YouTube et de consacrer le temps de classe à faire les devoirs. Une méthode destinée à aider les élèves les plus en difficulté."
hubert guillaud

Une start-up créé un Google Analytique pour les magasins réels - Technology R... - 0 views

  •  
    Pour Euclid - http://euclidanalytics.com - les données sur les clients seront demain cruciales tant pour les magasins en ligne que pour les magasins réels. D'où l'idée d'Euclid d'utiliser les smartphones des clients pour développer les statistiques de fréquentations des magasins physiques (pourcentage de passants qui entrent dans le magasin, la durée passée dans le magasin, la fréquence des visites...). Le but : rendre le monde réel plus lisible par les machines, estime Scott Crosby, le fondateur d'Euclid. Le PDG d'une chaine de café a ainsi utilisé les statistiques fournis pour voir que dans son café installé à l'université de Californie, à Berkeley, les gens passaient beaucoup plus de temps en moyenne à l'intérieur de son café que dans les autres ce qui lui a permis d'aménager son café pour le rendre plus confortable. D'autres clients (un marchand de meuble) ont pu mesurer ainsi que des clients venaient par exemple 3 fois dans le magasin avant de se décider pour un achat ou encore que le catalogue papier envoyé n'avait aucun effet perceptible en magasin. Le système coûte environ 200 $ par mois par magasin. Quant à la vie privée, un panneau informe les visiteurs du dispositif technologique et leur permet de visiter une page web pour se rendre invisible au système. Euclid pourrait demain proposer d'autres fonctionnalités : par exemple, si les magasins acceptent de partager les données qu'ils recueillent, il pourrait être en mesure de dire quels types de magasins les clients visitent et d'adapter la publicité en conséquence.
hubert guillaud

Qui suis-je réellement ? - We the Data - 0 views

  •  
    Pour Peter Vander Auwera, tout le monde veut remplacer notre Moi par Mes Données. A l'heure où notre corps et notre esprit est augmenté et complété par des outils, par l'écologie des machines, les réseaux et les algorithmes, qui sommes-nous devenus ? Il est temps d'inventer un mot nouveau pour "cet environnement de soi", ce "Dysical" (contraction de digital et physical). Notre soi-dysical est également de plus en plus défini par le contexte et la réputation que nous avons dans cette économie de donnée en P2P chère à Michael Bauwens. Mon identité est de plus en plus corrélée à mes relations aux autres. La confiance se définit de plus en plus par le niveau de relation plus que par le niveau d'identité, qui pause avec de plus en plus d'acuité la question de l'usage des données. Nous avons besoin de contrats clairs, de règles du jeu très explicites. Et demain, avec des milliards d'objets interconnectés, les objets ne seront plus le contexte, mais les données d'objets seront l'interface. "Nous sommes les données" et pour exister nous avons besoin de sortir le monde des données de leurs silos propriétaires.
hubert guillaud

Google propose de gérer la vie numérique après la mort - Numerama.com - 0 views

  •  
    "Google lance un nouveau service - le gestionnaire de compte inactif : https://www.google.com/settings/u/0/account/inactive - pour permettre aux usagers de déterminer le destin de leurs données en cas de décès. Le site américain propose de passer le compte en inactif au bout d'un certain temps et de dire si les données doivent être transmises à des proches ou définitivement détruites."
hubert guillaud

Comment sortir du piège de l'e-mail ? - LeMonde.fr - 0 views

  •  
    Nous traitons 40 à 78 messages par jour en moyenne. Au bureau, les directions cherchent à juguler le flux pour éviter l'overdose. L'e-mail va-t-il connaître le même sort que ses ancêtres ? Résultat, le temps passé sur la boite mail diminue et l'audience des services de mails est en berne. Le problème n'est pas tant le spam, qui n'est pas pris en compte par ces études, que nos comportements : démultiplication des échanges pour organiser une réunion, un projet... Multiplication des interventions sur un même document... L'e-mail devient un outil de management : où tout le monde se met en copie comme pour se déresponsabiliser (70% des e-mails sont des mails "parapluie") et le mail est devenu le symbole de la souffrance et des conflits larvés. On se permet par e-mails des choses que l'on ne dirait pas en face. Pour réagir, les entreprises prennent des mesures drastiques : interdiction d'envoyer des e-mails après 18h, journées sans e-mails... pour sensibiliser à la mauvaise utilisation de l'outil. Les entreprises se tournent aussi vers d'autres solutions comme les réseaux sociaux internes... encore faut-il convaincre qu'ils ne sont pas de nouveaux outils de surveillance. Enfin, les entreprises sont frileuses face aux coûts de ces nouveaux déploiements : les gens ouvrent leurs emails puis leurs autres outils de communication... Ils s'ajoutent les uns aux autres, même s'ils permettent aussi de désengorger parfois les outils mal utilisés. Bref, la régulation des échanges dans l'entreprise n'est pas si simple et focalise sur les outils avant les pratiques.
hubert guillaud

10 raisons pour lesquelles on abandonne un Mooc - OpenCulture - 1 views

  •  
    Ils prennent trop de temps, supposent trop de connaissance, ne sont parfois pas au niveau, sont ennuyeux, ne sont pas assez bien organisés, avec des outils trop complexes, parce que les profs ne participent pas, parce qu'ils peuvent avoir des coûts cachés... parce qu'apprendre est plus important que d'avoir une récompense finale.
« First ‹ Previous 81 - 100 of 252 Next › Last »
Showing 20 items per page